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Mézilles

Mézilles est une commune française située en Puisaye dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Mézilles
Mézilles
L'église Saint-Marien
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Daniel Foin
2020-2026
Code postal 89130
Code commune 89254
Démographie
Gentilé Mézillois
Population
municipale
518 hab. (2020 en diminution de 12,05 % par rapport à 2014)
Densité 9,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 42′ 06″ nord, 3° 10′ 27″ est
Superficie 52,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cœur de Puisaye
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mézilles
Liens
Site web https://www.lapagelocale.com/89130-mezilles

    Ses habitants sont appelés les Mézillois.

    Géographie

    Localisation

    D'une superficie de 52,4 km², la commune est proche de Saint-Fargeau.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le Branlin vu de la D 965,
    bras le plus proche du centre-ville

    Mézilles est traversé par le Branlin du sud-est au nord-ouest, arrosant le bourg. À Vessy, il reçoit, déjà, un petit ru en rive gauche venant d'un bois au nom évocateur de bois des Marais et qui longe l'étang des Brosses de 44 ares. Son affluent le ru des Violettes, venant de Fontaines à l'est, le rejoint au Moulin de Bertoin.

    L'Agréau prend source dans le sud-ouest de la commune, en deux branches de 1,4 et 1,3 km respectivement, réunies à l'étang des Fous. Il parcourt ensuite encore 3,4 km sur la commune avant de passer sur celle de Saint-Fargeau, trajet pendant lequel il reçoit deux petits rus en rive gauche.

    Sur son seul parcours et dans ses environs immédiats, on trouve pas moins de 18 pièces d'eau de plus de 20 ares, dont le plus grand étang, celui du Ferrier Cadu, atteint plus de 3 ha.

    L'ensemble des cours d'eau sur la commune atteint ainsi plus de 30 km, à quoi il faut ajouter les nombreux étangs et zones humides[1].

    Géologie

    Terrain du crétacé supérieur, à base de craie[2].

    Lieux-dits et écarts

    Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

    A

    B

    C

    • Les Câlons*, Rte de Fontaines (D 52)
    • Les Caves, Rte de la Métairie
    • Les Champions*, Rte de Saint-Sauveur (D 7) (Rte des Arreaux)
    • Le Charme, Rte de la Métairie
    • Les Chartiers, Rte de Saint-Sauveur (D 7)
    • Les Chaudins*, Rte de Saint-Fargeau (D 965)
    • Les Chaumes*, Rte de Fontaines (D 52)
    • La Chênaie*, Rte de Saint-Sauveur (D 7)
    • La Choutardière*, Rte de Saint-Sauveur (D 7)
    • La Choutière, Rte des Plesses (ancnne rte de Dracy)
    • Les Choutières du Fort*, Rte de Toucy (D 965)
    • Les Comailles*, Rte de Saints (D 211)

    D

    F

    G

    J

    M

    P

    R

    • Les Rivières, Rte des Arreaux (de la D 7 vers Saint-Sauveur)
    • Les Rochers*, Rte de Saint-Sauveur (D 7)
    • Les Plesses, Rte des Plesses (ancnne rte de Dracy)

    S

    T

    • La Talifardière, Rte des Plesses (ancnne rte de Dracy)
    • Truchon*, Rte des Arreaux (de la D 7 vers Saint-Sauveur)

    V

    • La Varenne*, Rte de Saints (D 211)
    • Vessy*, Rte de Saints (D 211)

    Voies de communication et transports

    L'abribus

    La commune est desservie par 40 km de routes et de nombreux chemins. La route principale est la D 965 de Saint-Fargeau (plus loin Bonny-sur-Loire) à Toucy (plus loin Auxerre), qui suit à peu près le tracé d'une voie de l'Antiquité (voir les articles Voies romaines en Gaule et Gallo-romains). La D7 de Champignelles à Saint-Sauveur, et la D 52 de Fontaines à Saint-Privé. Les D 211 vers Saints et D 99 vers Villiers-Saint-Benoît, complètent le réseau routier menant au-delà de la commune[1].

    La ligne N° 3 de l'opérateur Voyages 2000 pour TransYonne, qui dessert Mézilles, relie Saint-Fargeau, Toucy et Auxerre[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Mézilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,8 %), terres arables (28,8 %), prairies (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones urbanisées (0,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Très importants centres de production de fer en bas-fourneaux depuis le second âge du fer et pendant toute l'Antiquité. Du mobilier gaulois et gallo-romain en atteste, découvertes faites dans les nombreux ferriers (amas souvent gigantesques de résidus et scories de fer provenant du traitement du minerai de fer - le ferrier de Tannerre proche est l'un des plus grands d'Europe)[11] - [12] - [13] - [14].

    Connue au Ve siècle sous le nom de Miciglae[15] ou Miciglis[16], elle fut donnée par saint Germain, évêque d'Auxerre, au monastère de Saint-Côme[17] qu'il avait fondé à Auxerre.

    Siège d'une châtellenie appartenant aux seigneurs de Saint-Fargeau et relevant du château de Montargis, elle est en 1450 la propriété de Jacques Cœur. Quand il est arrêté et ses biens confisqués en 1451, la seigneurie est récupérée par son plus grand persécuteur Antoine de Chabannes, qui met aussi la main sur nombre d'autres seigneuries des environs[18] - [Note 2]. Geoffroy Cœur, fils de Jacques Cœur, récupère Mézilles et onze autres propriétés par lettres patentes de Louis XI du [19] ; cependant Chabannes revenu en grâce peu après les lui conteste âprement[20].

    La commune a été fusionnée avec l'ensemble de celles du canton de Saint-Fargeau en 1972, et est redevenue indépendante en 1976.

    1976 est également l’année de la première édition du Bricabrac de Mézilles.

    Politique et administration

    La mairie - école
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1973 1995 Désiré Gaufillet PS
    1995 2001 Madeleine Maréchal PS
    mars 2001 En cours Daniel Foin[21] UMP-LR Ancien cadre

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2020, la commune comptait 518 habitants[Note 3], en diminution de 12,05 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2901 1221 2251 3281 3021 4311 3981 5081 467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4621 5051 4741 4431 4771 4731 3561 3181 269
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2611 2271 1771 1081 1911 066993963879
    1962 1968 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    812720604531557573578590527
    2020 - - - - - - - -
    518--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Commerces et services

    Mézilles a une boulangerie-pâtisserie, un bar, une petite épicerie, une agence postale (dans la mairie), un salon de coiffure, deux restaurants, une auberge et des chambres d'hôtes.

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    La boulangerie,
    maison à colombages
    Le gué carrossable du pont du XIVe s.
    Le monument aux morts
    • l'église Saint-Marien, dédiée à Marien[26], du 4e quart du XVe siècle, certaines parties du 1er quart du XVIe siècle[27] ;
    • le château du Fort, sur les hauteurs du village anciennement la Mothe de Nevoy puis le Fort d'Assigny. La chapelle date de 1575 ;
    • le Vieux Château, situé dans le centre du village, aurait appartenu à Anne de Beaujeu. Remembré au cours des siècles, il est habité depuis le XIXe siècle par les descendants de la famille Lavollée. Parmi ses dépendances, il compte un ancien pressoir en pierre de taille.
    • le chalet Saint-Hubert, situé Route de Toucy, construit vers 1871 par le lieutenant-colonel Paulin Lavollée.
    • le jardin Ribaudin situé dans la rue de l'Église (entre les deux bras du Branlin) le long de la D965, date du XIXe siècle. Il est irrigué par un réseau de canaux et a conservé la structure des jardins de l'époque : jardin d'agrément, verger, potager, pigeonnier, une île et une glacière (sur l'île). Il est bordé par le Branlin avec le lavoir communal, et par plusieurs lavoirs privés sur le bief qui alimente les canaux du jardin. Il a récemment été racheté et rénové par la commune.
    • Le « vieux pont », du XIVe siècle avec le plus important et le plus fréquenté des quatre passages à gué de la commune, se trouve près du jardin Ribaudin, dans la rue du Vieux-Pont et sur le bras du Branlin le plus proche du centre-ville.
    • Monuments de Mézilles
    • L'ancien hôtel du Cheval Blanc
      L'ancien hôtel du Cheval Blanc
    • Maisons
      Maisons
    • Le coq du monument aux morts
    • Église Saint-Marien,la voûte du narthex
      Église Saint-Marien,
      la voûte du narthex
    • Église Saint-Marien,le porche
      Église Saint-Marien,
      le porche
    • Le Branlinprès de la rue du Bief
      Le Branlin
      près de la rue du Bief

    Lieux historiques

    Il existe aussi à Mézilles :

    • le chemin de Jeanne d'arc, chemin communal qu'emprunta Jeanne d'arc venant d'Auxerre pour rejoindre Orléans ;
    • l'arbre du pendu, un hêtre où des curés furent pendus ; de nombreuses dates ont été gravées sur l'écorce dont certaines de 1800. Lors de la tempête de 1999, il a été cassé mais il reste une partie du tronc encore visible.

    Patrimoine naturel

    La commune compte quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    • la ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne, totalisant 2 464 ha répartis sur les territoires de huit communes[Note 4]. Elle vise les habitats d'eaux courantes (milieu déterminant) et on retrouve les mêmes habitats que pour la ZNIEFF de la vallée de l'Ouanne de Toucy à Douchy, mais les prairies améliorées sont remplacées par des prairies humides et mégaphorbiaies[28] ;
    • la ZNIEFF des étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin, 11 699 ha répartis sur douze communes[Note 5], vise particulièrement les habitats d'eaux douces stagnantes (milieu déterminant) ; les autres habitats présents dans cette ZNIEFF sont des eaux courantes, landes, fruticées, pelouses, prairies humides et mégaphorbiaies, tourbières, marais, bocages et bois[29] ;
    • la ZNIEFF des landes de Saint-Sauveur et Mézilles, étang de Tue-Chien, 399 ha partagés entre Fontaines, Mézilles et Saint-Sauveur, cible les landes, fruticées, pelouses et prairies (milieux déterminants). Cette zone inclut aussi des eaux douces stagnantes et des forêts[30] ;
    • la ZNIEFF de la tourbière du Saussoy, 24 ha partagés entre Mézilles, Moutiers et Saint-Sauveur, cible les tourbières et marais (milieux déterminants)[31].
    Grenouille agile

    Depuis 2013, la commune comprend aussi un site d'intérêt communautaire (SIC) Natura 2000 dans le cadre de la directive « Habitat » : le SIC des tourbières, marais et forêts alluviales de la vallée du Branlin, soit 47 ha dont 44 % de prairies semi-naturelles humides et prairies mésophiles améliorées, 40 % de forêts caducifoliées, 15 % de marais (végétation de ceinture), bas-marais (vers les Proux, sur Mézilles) et tourbières, et 1 % d'eaux douces (stagnantes ou courantes). La tourbière du Saussois, sur Mézilles, associe sur un espace relativement restreint une mosaïque de groupements végétaux divers d'intérêt communautaire : des tourbières à sphaignes comblées, non comblées et boisées, des prairies de fauche inondables, des prairies humides marécageuses à grandes herbes, une forêt de bord des eaux à aulne. On y trouve entre autres la petite grenouille agile, le lézard des souches et le lézard des murailles, trois espèces inscrites sur la liste rouge nationale, sur les annexes IV et V (directives « Habitat »), et relevant de conventions internationales[32].

    Espèces protégées du SIC des tourbières ... de la vallée du Branlin

    Enfin, un Conservatoire d'espaces naturels a acquis 7,78 ha du marais des Comailles sur les territoires des communes de Fontaines, Mézilles et Saint-Sauveur[33] ; et 14,68 ha vers Les Proux[34].

    Loisirs, tourisme

    De nombreuses associations animent la commune : pêche, gym, club des anciens (l'Âge d'Or Mézillois], club de marche, club de foot, chorale, golf miniature, club de pétanque…

    Le foyer rural organise le bricabrac, la fête du jardin, et le festival de la caricature et du dessin de presse. Le comité d'animation s'occupe (entre autres) de la fête du cheval. Les associations coopèrent généralement entre elles pour les animations.

    Le Bricabrac de Mézilles est une gigantesque brocante qui se déroule depuis 1976 le deuxième week-end d’août, et attire chaque année plusieurs centaines d’exposants et des dizaines de milliers de visiteurs. Outre sa taille qui en fait une des plus grandes manifestations du genre en France, elle a la particularité d’inclure une ouverture nocturne le samedi soir.

    Le Sentier de grande randonnée de pays Tour de Puisaye traverse la commune de part en part. Une variante de ce GRP se greffe dessus à Mézilles.

    Un chemin de petite randonnée est balisé sur 11 km.

    Centre d'élevage du domaine des Souches

    Ce centre est le plus grand élevage de chiens destinés aux expérimentations animales des laboratoires de France et d'Europe[35] - [36]. Il est la cible de plusieurs opposants dont le collectif « Fermons le CEDS ». Selon ce collectif, l'élevage produirait 4 000 chiots chaque année de race Beagle et Golden Retriever. Il est également spécialisé dans l'élevage de chiens de race Golden Retriever développant spontanément et naturellement la myopathie de Duchenne[37] (GRMD : Golden Retriever Myopathes de Duchenne). Seulement un chien sur quatre de la portée naît malade. Les chiens en bonne santé sont alors adoptés tandis que les chiens malades permettent de faire avancer les recherches sur la dystrophie musculaire de Duchenne (DMD). D'après le collectif « Fermons le CEDS », l'ensemble de ces chiens se reproduiraient délibérément porteurs de cette myopathie.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Pélissier, « Les Romarins ancêtres des Jules. Les prénoms agricoles des ans II et III à Mézilles (Yonne) », Mélanges offerts à Jacques Dupâquier, Paris, 1993, p. 435-448

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Parmi les propriétés de Jacques Cœur récupérées par Antoine de Chabannes se trouvent la baronnie de Toucy, Saint-Fargeau, Perreuse, Lavau, Champignelles, Villeneuve-les-Genêts, Saint-Maurice-sur-Aveyron, Melleroy, Merille (Mézilles), la Coudre et Frenoye-Fontenelle (hameau de "la Frenoy"/"la Frenois" au N-E de Choisy-en-Brie). Il en a peut-être récupéré d'autres ; celles-ci sont celles redonnées à Geoffroy Cœur par lettres patentes royales de 1463. Voir
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    4. Les huit communes concernées par la ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne sont Champignelles, Fontaines, Malicorne, Mézilles, Saints, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Tannerre-en-Puisaye et Villeneuve-les-Genêts.
    5. Les communes concernées par la ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sont Bléneau, Champcevrais, Champignelles, Mézilles, Moutiers-en-Puisaye, Saint-Fargeau, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Privé, Saints, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Tannerre-en-Puisaye, Villeneuve-les-Genêts.

    Références

    1. Géoportail - Institut Géographique National (France), « Géoportail » (consulté le ).
    2. Géognosie du département de l'Yonne, M. Lallier, Annuaire historique du département de l'Yonne, volume 3, 1839. p. 360-361 : Mézilles et géologie locale.
    3. Ligne N° 3, autocars Trans Yonne.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Aperçu historique sur l'exploitation des métaux dans la Gaule, A. Daubrée, p. 308-309.
    12. Géognosie du département de l'Yonne, M. Lallier, Annuaire historique du département de l'Yonne, volume 3, 1839, p. 365 : ferriers - Mézilles.
    13. Lettre de M. Tartois, maître de forges. Annuaire historique 1846.
    14. Le site paléométallurgique des "Ferrys", commune de La Bussière (Loiret), André Rebiscoul, Revue archéologique de Picardie, 2003, volume 1, Numéro 1-2, p. 129-139. p. 138 : blocs tuyères trifides à Mézilles, similaires à ceux de la Bussière.
    15. Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du département de l'Yonne : comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Paris, imprimerie impériale, , 167 p. (lire en ligne), p. 82.
    16. Pasumot, « Dissertation sur le lieu où s'est donnée la bataille de Fontenay en 841 », dans Annales des voyages, de la géographie et de l'histoire, vol. 13, Paris, F. Buisson, , 416 p., p. 201.
    17. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 42.
    18. Claude-Joseph Trouvé, Jacques Cœur, commerçant, maître des monnaies, argentier du Roi Charles VII et négociateur, Paris, , 472 p. (lire en ligne), p. 378.
    19. baron Chailloux des Barres, Les châteaux d'Ancy-le-Franc, de Saint-Fargeau, de Chastellux, et de Tanlay, Paris, Auguste Vaton, , 255 p. (lire en ligne), p. 62, note 1.
    20. Chailloux 1845, p. 62.
    21. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 27 décembre 2013.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. Annuaire historique du département de l'Yonne, 28e année, 4e volume de la 2e série, Auxerre, G. Perroquet, (lire en ligne), p. 168.
    27. « Église », notice no PA00113739, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. ZNIEFF 260014938 - Vallée du Branlin de Saints à Malicorne sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    29. ZNIEFF 260014941 - Étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN.. Cette ZNIEFF rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes.
    30. ZNIEFF 260014943 - Landes de Saint Sauveur et Mézilles, étang de Tue-Chien sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    31. ZNIEFF 260014939 sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
    32. NATURA 2000 - FR2600991 - Site d'intérêt communautaire des Tourbières, marais et forêts alluviales de la vallée du Branlin.
    33. FR1500642 - « Marais des Comailles » - Terrain acquis par un Conservatoire d'espaces naturels, fiche INPN.
    34. FR1500635 - « Les Proux » - Terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, fiche INPN.
    35. « Auxerre : un millier de manifestants contre l’expérimentation animale », sur le journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
    36. « Au domaine des Souches, l’équipe de Michel Carré élève des beagles en vue d’expérimentations », sur L'Yonne républicaine, (consulté le ).
    37. J. N. Kornegay, S. M. Tuler, D. M. Miller et D. C. Levesque, « Muscular dystrophy in a litter of golden retriever dogs », Muscle & Nerve, vol. 11, no 10,‎ , p. 1056–1064 (ISSN 0148-639X, PMID 3185600, DOI 10.1002/mus.880111008, lire en ligne, consulté le ).
    38. Maurice Pignard-Péguet, Histoire des communes de l'Yonne, Livre 1 : arrondissement d'Auxerre, 1913.
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