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Lihus

Lihus est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Lihus
Lihus
Carte du village au début du XXè siècle.
Blason de Lihus
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Odile Moittié
2023-2026
Code postal 60360
Code commune 60365
Démographie
Population
municipale
428 hab. (2020 en augmentation de 6,73 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 21″ nord, 2° 02′ 42″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 195 m
Superficie 16,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Lihus
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Lihus
Liens
Site web https://www.lihus.fr/

    Géographie

    Description

    Lihus est un village picard du Beauvaisis jouxtant CrèvecÅ“ur-le-Grand situé à 20 km à vol d'oiseau au nord de Beauvais, km au nord-est de Marseille-en-Beauvaisis et 27 km de Gournay-en-Bray, 10 km au sud-est de Grandvilliers et 37 km au sud-ouest d'Amiens. Il est desservi par l'ancienne RN 30 (actuelle RD 930).

    Lihus est traversé par le sentier de grande randonnée GR 125.

    Louis Graves indiquait en 1833 que le territoire communal « de forme circulaire, constitue une plaine sur laquelle plusieurs ravins prennent naissance. Le chef-lieu est dans une position centrale. Il forme une agglomération considérable, parce que les rues se coupent à angle droit, et que les maisons sont séparées par des jardins qui donnent de l'étendue au village : ces jardins sont plantés d'arbres qui dérobent la vue des maisons à une courts distance[1] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 797 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Songeons », sur la commune de Songeons, mise en service en 1951[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 821,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lihus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,8 %), forêts (10 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 190, alors qu'il était de 179 en 2013 et de 160 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 85,9 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lihus en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement à Lihus en 2018.
    Typologie Lihus[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
    Résidences principales (en %) 85,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,4 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 6,7 7,1 8,2

    Toponymie

    Attesté sous les formes Lyhus 1035, Lehutz en 1146, Lihuis en 1155, Lehus en 1172, Liehuez en 1189, Lius en 1252, Lihus en Beauvoisis en 1456, Lihu en 1667, Lihus-le-Grand dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, par opposition à Lihus-le-Petit (aujourd'hui écart sur le territoire de la commune)[22] - [23].

    Il s'agit vraisemblablement d'un composé avec l'appellatif germanique (saxon ou franc) hus, maison (cf. vieil anglais hūs, mod. house ; vieux haut allemand hus, mod. Haus) précédé d'un élément indéterminé[24]. Pourtant, Ernest Nègre[25] explique l'ensemble par le nom de personne germanique Leduis[26], qui serait devenu Lihuis, par lénition du [d] intervocalique. Si cette hypothèse est possible phonétiquement, elle n'est pas confortées les formes les plus anciennement connues : Lyhus en 1035, Lehutz en 1146 et la forme contemporaine Lihus.

    On peut analyser le premier élément de manière conjecturelle comme le germanique hlîth, pente. La signification serait donc « maison sur la pente ».

    Histoire

    Moyen Âge

    Selon Louis Graves, « Lihus forma de bonne heure une seigneurie importante qui comprenait dans son étendue les terres d'Hétomesnil et de Crevecceur. Cette seigneurie appartenait , dans le quatorzième siècle, à Arnauld de Corbie, chanoine de Beauvais. premier président au parlement de Paris, qui, de 1388 à 1413, fut trois fois chancelier de France.
    À la même époque , et plus d'un siècle avant, il y avait à Lihus un château fortifié dont il reste encore [en 1833] quelques fondements près de l'église; on en connaît la place sous le nom de Vieux-Catel. Selon la tradition locale, ce château communiquait, par des souterrains, avec celui de Francastel, qui est éloigné de deux lieues. Une tradition semblable existe dans le département l'égard des châteaux de Vaumain et de Trie, de Pierrefonds et de Saint-Jean-au-Bois, de Noyers et de Froissy, etc. Il est difficile de croire à son exactitude[1] ».

    Temps modernes

    En 1659, Adrien Hanivel de Mannevillette achète à Nicolas Alexandre (comte de Gouffier, marquis de Crèvecœur et baron de Engoudessen), la terre et le marquisat de Crèvecœur, et la seigneurie de Lihus. Il obtient l'érection de la terre de Lihus en comté de Mainevilette par Lettres patentes du , et le village prend alors le nom du comté, sous lequel il est désigné dans plusieurs livres et cartes au XVIIIe siècle. Les .terres de Blicourt, Ply-sur-Thérines, Morvillers, Grocourt, Songeons, relevaient du comté de Mainevilette[1].

    En 1701 la fille du comte de Mannevillette, la comtesse de Clermont Tonnerre, hérite avec sa mère du comté. La comtesse de Mannevillette décédera à l'âge de 98 ans. Les comtes de Mannevillette sont inhumés dans la chapelle du château de Crèvecœur. La comtesse de Clermont Tonnerre vend les terres de la seigneurie de Mannevillette à Jean Baptiste d'Apres de Blangie.

    Le titre de comte de Mannevillette est transmis à la maison de Clermont-Tonnerre et plus tard à celle de la Rochefoucauld-Liancourt jusqu'à la Révolution. À partir de 1686, la famille Chrestien de Poly et de Lihus est seigneur de Lihus jusqu'à la Révolution. elle restera à la tête de la commune de Lihus de la Révolution à 1930, soit 140 ans environ.

    Époque contemporaine

    En 1833, on compte sur le territoire communal trois moulins à vent. Les habitants fabriquent alors des serges et des objets de bonneterie[1].

    • Lihus au tout début du XXe siècle
    • La rue de CrèvecÅ“ur et le puits.
      La rue de Crèvecœur et le puits.
    • La place.
      La place.
    • Le  château.
      Le château.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marseille-en-Beauvaisis[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Lihus est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 André Pecquet
    mars 2001 27 novembre 2011[28] Bernadette Évra Cadre à France Télécom.
    Morte en fonction
    18 janvier 2012[29] février 2023[30] - [31] Thierry Levasseur[32] Chargé d'affaires dans une entreprise du bâtiment
    Démissionnaire
    avril 2023 En cours Odile Moittié

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 428 habitants[Note 8], en augmentation de 6,73 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0681 0261 0311 0261 0881 0571 0341 030981
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    907860762710701630644605597
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    531523495390410342351361338
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    328342310296322309351363375
    2015 2020 - - - - - - -
    402428-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 209 hommes pour 207 femmes, soit un taux de 50,24 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    0,0
    7,9
    75-89 ans
    9,4
    10,7
    60-74 ans
    10,8
    23,3
    45-59 ans
    20,7
    20,5
    30-44 ans
    22,5
    15,8
    15-29 ans
    15,5
    20,9
    0-14 ans
    21,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église du XIIIe siècle, Notre-Dame de Lihus est le seul édifice de cette époque, avec Saint-Aubin de Sommereux, entièrement conservé dans le Nord-Ouest de l'Oise[38].
      Sa cloche de 1416 est classée monument historique[39].
    • Château du XVIIIe siècle, construction arrêtée par fait de Révolution (propriété privée).

    Personnalités liées à la commune

    • Adrien Hanivel de Mannevillette : en 1662, il est constitué capitaine des chasses dans le Beauvaisis. Le , le roi lui accorde de nouvelles lettres patentes par lesquelles les terres de la seigneurie de Lihus sont érigées en comté sous le nom de Mannevillette.

    Héraldique

    Blason de Lihus Blason
    Parti d'azur et de gueules, à la bande d'argent brochante et accompagnée de deux gerbes de blé d'or[40].
    Détails
    Adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Marseille, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 45-47.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Songeons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lihus et Songeons », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Songeons - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lihus et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1979.
    23. A. Dauzat et Ch. Rostaing, op. cit., expliquent hus, par le norrois hús, maison également. Cependant Lihus est situé en dehors de la zone d'implantation des toponymes normands, qui ne s'étend jamais au-delà des frontières actuelles de la Normandie (Haute et Basse). Certes, on trouve bien un le Becquet (du norrois bekkr, ruisseau), près de Beauvais ou un La Londe (du norrois lundr, bois) dans le Maine, mais ces termes ont été intégrés dans le dialecte normand et faisaient encore sens à la fin du Moyen Âge. Ils expliquent l'élément Li- par le nom de personne germanique Liut [?].
    24. Toponymie générale de la France, Volume II, Librairie Droz 1990. p. 850.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II, Librairie Droz 1990. p. 850.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. M. S., « Lihus : Décès de Bernadette Évra, maire du village », Le Bonhomme picard, édition Grandvilliers, no 3162,‎ , p. 16.
    28. « Thierry Levasseur, nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Ancien premier adjoint, il succède à Bernadette Evra, récemment décédée de maladie. Chargé d'affaires dans une entreprise du bâtiment à Beauvais, Thierry Levasseur habite la commune depuis trente ans ».
    29. Juliette Duclos, « Personne ne nous protège » : dans l’Oise, la détresse de ces maires de communes rurales harcelés : Des courriers anonymes dans la boîte à lettres aux mails d’insultes et coups de fil d’intimidation, les maires des communes rurales du département n’échappent pas au harcèlement. Celui de Lihus vient ainsi de démissionner, après avoir reçu des menaces de mort », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu au conseil municipal depuis 2001, cet ancien chargé d’affaires dans le bâtiment est devenu maire de Lihus, en 2012, à la suite du décès du précédent édile (...) Derrière cette démission, il y a eu une scission qui s’est opérée à son encontre au sein de son conseil municipal. Mais il y a eu aussi cette vague de harcèlement dont il a été la cible, l’été dernier ».
    30. Chloé Gaillard, « Menacé de mort et harcelé, ce maire de l'Oise contraint de démissionner : Après 11 années de mandat, Thierry Levasseur vient de raccrocher son écharpe de maire de Lihus (Oise). Suite à un "conflit" avec des habitants, il a été menacé de mort… », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 15.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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