Saint-Jean-aux-Bois (Oise)
Saint-Jean-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Saint-Jean-aux-Bois | |||||
Abbaye de Saint-Jean-aux-Bois. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Lebœuf 2020-2026 |
||||
Code postal | 60350 | ||||
Code commune | 60579 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Solitaires et Solitaires | ||||
Population municipale |
330 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 55″ nord, 2° 54′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 138 m |
||||
Superficie | 25,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-2 | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Ses habitants sont appelés les Solitaires car en 1794 sous la Révolution française, le village prend le nom de la Solitude.
Géographie
C'est une commune forestière, située en forêt de Compiègne, formée de villages de bûcherons dont Saint-Jean, Malassise, la Brévière.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 55 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (98,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de La Solitude[21].
Histoire
Le village de Saint-Jean-aux-Bois aurait pour origine un monastère du XIIe siècle construit à l'emplacement d'une chapelle.
Le bourg se serait bâti en dehors de l'abbatiale lors de son extinction vers 1761.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie de 1806 à 1973 du canton de Compiègne, année où celui-ci est scindé et la commune intègre le canton de Compiègne-Sud. En 1982, la commune est rattachée au canton de Compiègne-Sud-Est[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Compiègne-2.
Intercommunalité
La commune était membre de l’Agglomération de la région de Compiègne, communauté d'agglomération créée en 2004 par transformation de la communauté de communes de la région de Compiègne, qui succédait elle-même au SIVOM de Compiègne créé fin 2010.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], celle-ci fusionne avec la communauté de communes de la Basse Automne, pour former le la communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2020, la commune comptait 330 habitants[Note 8], en augmentation de 7,84 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 151 hommes pour 164 femmes, soit un taux de 52,06 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
En 2019, le village dispose d'un restaurant étoilé, la Bonne Idée. Pour sauvegarder le bistrot de pays La Fontaine Saint-Jean, la commune a décidé de le racheter aux anciens exploitants afin de remettre en location[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Saint-Jean-aux-Bois compte trois monuments historiques sur son territoire :
- Abbaye Notre-Dame-et-Saint-Jean-Baptiste
- L'église de l'abbaye de Saint-Jean-aux-Bois est classée monument historique par liste de 1862, et la salle capitulaire ainsi que l'entrée de l'abbaye par liste de 1889[30].
- En 1137, le roi Louis le Gros donne des terres et une maison au prieuré Saint-Adrien de Béthisy, mais les religieux les cèdent dès 1152 à la veuve du roi, la reine Adélaïde. Elle y fait construire une abbaye de moniales bénédictines qui se substitue à un prieuré sis au lieu-dit Sainte-Perrine.
- En 1634, les moniales échangent leur monastère avec les chanoines réguliers de saint Augustin du prieuré de Royallieu à Compiègne. L'abbaye devient prieuré et elle est délaissée en 1761 quand les moines déménagent pour Soissons. L'église devient alors paroissiale.
- L'architecture gothique primitive de l'église, d'une grande simplicité de ligne, renvoie au début au dernier quart du XIIe siècle et au début du XIIIe siècle. L'on peut supposer une seule campagne de construction assez rapide. Hormis les contreforts à ressauts qui répondent à un besoin statique, le seul décor extérieur sont les corniches en haut des murs gouttereaux. L'église se compose d'une nef de trois travées sans bas-côtés ; d'un transept largement débordant ; et d'un chœur au chevet plat d'une seule travée ; la salle capitulaire se situant au sud de la dernière travée de la nef. L'éclairage est assuré par de hautes baies à lancette unique, sans remplage. Elles sont au nombre de deux de chaque côté du chœur, grâce à son voûtement particulier par une voûte d'ogives sexpartite. Le chevet est en plus ajouré par un triplet, et la façade occidentale par une grande roue gothique. Les voûtes sexpartites caractérisent également la croisée du transept, ce qui a conduit à la subdivision des deux croisillons en deux petites travées carrées, séparées par un pilier central vers la croisée. De cette façon, le croisillon nord bénéficie également de deux hautes baies sur son mur pignon, mais au sud, les bâtiments contigus du prieuré réduisent le nombre des fenêtres. L'élancement des piliers mentionnées et des faisceaux de colonnettes aux quatre angles du carré du transept lui confèrent une grande élégance.
- L'on note aussi que ses voûtes sont dotées de formerets, ce qui n'est pas le cas ailleurs dans l'église. Dans la nef et dans le chœur, les nervures des voûtes retombent directement sur des culots, à l'exception des quatre extrémités de l'église à l'ouest et à l'est, où une seule colonne trouve place. Malgré cette austérité, les culots et chapiteaux de feuillages très naturalistes sont d'une grande qualité, et l'intérieur est riche d'une harmonie des proportions indéniable. Les vitraux en grisaille sont d'origine[31].
- Porte fortifiée à l'entrée.
- Chevet de l'église.
- Rosace de la façade ouest.
- Salle capitulaire.
- Statue de la Vierge à l'enfant par Georges Muguet à l'entrée de la Salle capitulaire
- Statue d'ange dans le cimetière de l'abbaye.
- Poste forestier de Sainte-Périne
- Dans la forêt de Compiègne, sur la RD 85 au sud du hameau de la Brévière (classé monument historique par arrêté du [32])
- Poste forestier de la Muette
- Dans la forêt de Compiègne, au nord du village, près du carrefour de la Muette (inscrit monument historique par arrêté du [33]) : Il date de 1643.
On peut également signaler :
- Château de La Brévière, au hameau du même nom : construit par un ministre de la justice de Napoléon III, c'est désormais un centre de formation du syndicat Force Ouvrière.
- Lavoir couvert, route du Parquet : établi sur un petit ruisseau, il a été presque entièrement bâti à neuf et ne comporte plus guère d'éléments authentiques.
- Croix de cimetière, richement garnie de sculptures.
- Porche de l'ancienne ferme de l'abbaye, rue du Couvent.
- Échauguette près du carrefour de la Muette et du poste forestier du même nom. Une échauguette semblable se trouve immédiatement devant le poste forestier de Sainte-Perrine.
- Le chêne de Saint Jean, un des plus vieux chênes forestiers de France.
- Château de la Brévière.
- Lavoir couvert.
- Croix de cimetière.
- Porche de la ferme.
- Échauguette dans la forêt.
Personnalités liées à la commune
- Léon Duvauchel (1848-1902), écrivain naturaliste et régionaliste qui vécut et fut enterré dans la commune.
- Léon Agel, auteur, Émile Carrara, compositeur, et Lucienne Delyle, créatrice de la chanson Mon amant de Saint-Jean en 1942. Le Saint-Jean de cette chanson fait référence à Saint-Jean-aux-Bois.
- Michel André Zévaco (1893-1979), dessinateur et décorateur, fils de Michel Zévaco, inhumé dans le cimetière avec sa femme et leur fils.
- Edmond Daynes (1895-1986), artiste peintre attaché à Saint-Jean-aux-Bois où il a résidé et s'est marié et dont il a peint des vues, plusieurs d'entre elles (dont le poste forestier de Sainte-Perine) étant conservées au musée Antoine-Vivenel de Compiègne.
- Philippe Grisel (1930 - 1998), artiste peintre qui vécut dans la commune de 1953 à 1998.
- André Hammel, psychiatre et résistant. Il ouvre à Saint-Jean-aux-Bois l'une des premières cliniques psychiatriques françaises, la clinique Béthanie.
Héraldique
|
Les armes de Saint-Jean-aux-Bois se blasonnent ainsi : |
---|
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Coulaud, L'abbatiale de Saint-Jean-aux-Bois, Ingersheim, Imprimerie S.A.E.P., 1995 (réédition), 26 p.
- Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 311-317
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Jean-aux-Bois sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Saint-Jean-aux-Bois (60579) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Jean-aux-Bois et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jean-aux-Bois et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Saint-Jean-aux-Bois », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Jean-aux-Bois (60579) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Stéphanie Forestier, « À Saint-Jean-aux-Bois, la mairie rachète le Bistrot de pays : Pour éviter que l’établissement ne disparaisse, la commune va acquérir les lieux. Elle cherche déjà des gérants pour remplacer ceux actuels », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Abbaye Notre-Dame-et-Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00114861, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 311-317.
- « Poste forestier de Sainte-Perine », notice no PA00114863, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Poste forestier de la Muette », notice no PA00114862, base Mérimée, ministère français de la Culture.