Vieux-Moulin (Oise)
Vieux-Moulin est une commune française située au cœur de la forêt de Compiègne dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Le hameau du Vivier-Frère-Robert y est rattaché.
Vieux-Moulin | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne | ||||
Maire Mandat |
Béatrice Martin 2020-2026 |
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Code postal | 60350 | ||||
Code commune | 60674 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vieux-Moulinois | ||||
Population municipale |
600 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 23′ 35″ nord, 2° 55′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 35 m Max. 130 m |
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Superficie | 17,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-2 | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://vieux-moulin.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Vieux-Moulinois.
Géographie
Au cœur de la forêt de Compiègne, le village, dominé par le mont Saint-Mard, s’étire dans le vallon du ru de Berne, affluent de la rive gauche de l’Aisne. Désigné au XIIIe siècle sous le toponyme rivus Hortice, « ce ruisseau des orties » a permis l’implantation humaine dans une forêt où les ressources aquatiques pérennes sont rares. Il est alimenté par le ru de la Fontaine-aux-Porchers augmenté par le ru des Prés-la-Ville et le ru du Pré-Tortu. Son débit, bien que modeste, permit d’installer un moulin au IXe siècle au lieu-dit le Château Vert. Les marais qu’il traverse avaient été drainés et aménagés en prairie. Ils sont redevenus des zones humides menacées aujourd’hui par l’urbanisation.
Le cours du ru de Berne, long de 13 818 m, est entretenu par le Syndicat intercommunal pour l’entretien et l’aménagement des rus de Berne et des Planchettes créé en 2003. Il alimente les étangs de Saint-Pierre creusés par les moines célestins de Saint-Pierre-en-Chastres au XVIe siècle. Les étangs étaient au nombre de six, réduits à trois aujourd’hui : étangs de Saint-Pierre, de la Rouillie et de l'Etot. Ils servaient à fournir du poisson pour les moines et à rouir le chanvre. Le ru de Berne traverse ensuite les étangs du Vivier-Frère-Robert et de l'Ortille avant de rejoindre l'Aisne après le pont de Berne.
Les sols sablonneux et peu fertiles n'ont pas permis le développement de l'agriculture et les habitants s'employaient en forêt : ils étaient bûcherons ou brioleurs (transporteurs de bois).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 51 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Vieux-Moulin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (93,6 %), zones urbanisées (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), eaux continentales[Note 8] (1,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Vetus Molendinum (1144), Vetus Molinum, Vieil Moslin (1564), Vieil Moulin (1690), Vieux Moulin (1700).
Histoire
Préhistoire
Sur la pente nord du mont Saint-Mard face à Rethondes se trouve la Pierre Torniche ou Pierre qui tourne. Ce rocher, détaché du sommet du plateau calcaire, a été utilisé comme sépulture collective à la fin du Néolithique. Des fouilles entreprises en 1865 ont révélé dix-huit squelettes et une trentaine d'objets en silex, conservés au Musée de l'Homme à Paris, qui permettent une datation entre 2500 et 1700 av. J.-C. La légende rapporte que cette pierre tournerait sur elle-même à minuit le jour de Noël.
Moyen Âge
Unique paroisse fondée dans la forêt de Compiègne, il y eut d'abord une chapelle dédiée à saint Mellon de Cardiff qui fut le premier évêque de Rouen.
En 1309, une communauté de moines célestins s'installe sur une hauteur à proximité et y édifie le prieuré de Saint-Pierre-en-Chastres, sur l'initiative de Philippe IV le Bel. Le prieuré bénéficie ensuite des libéralités de Philippe V le Long et de Charles IV le Bel. Le prieuré contribue, en 1331, à la fondation du prieuré Sainte-Croix d’Offémont, près de Saint-Crépin-aux-Bois. Les moines y demeurent jusqu'à la Révolution, malgré la suppression de l'ordre des Célestins en 1771[21].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2020, la commune comptait 600 habitants[Note 9], en diminution de 5,81 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 318 hommes pour 311 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Mellon ( Inscrite MH (2015)[32]).
- Le Manoir, vieille bâtisse représentative des maisons de campagne de l'ancienne bourgeoisie parisienne.
- Le Pavillon de l'impératrice Eugénie, œuvre de l'architecte Victor Grisart, 1857 ( Inscrit MH (1994)[33]).
- Les ruines du prieuré des Célestins de Saint-Pierre-en-Chastres ( Classé MH (1905)[34]). Les deux statues de Saint Pierre et Saint Paul exécutées en 1713 par le sculpteur François Dumont pour le jubé de l'église sont aujourd'hui exposées à Saint-Jacques de Compiègne. Les têtes d'angelots sculptées sur le jubé sont également de la main de cet artiste.
- Le poste forestier de Saint-Pierre-en-Chastres ( Inscrit MH (1949)[35]).
- Le Béguinage de la forêt, ancienne école maintenant maisons mitoyennes d'habitation.
- L'église Saint-Mellon.
- Le pavillon de l'impératrice Eugénie.
- Le prieuré.
- Le poste forestier.
Personnalités liées à la commune
- Jean Charles Quinette de Cernay (1776-1822), général des armées de l'Empire y est décédé.
- Jacques Mesrine (1936-1979), criminel, a tenu l'auberge du Mont-Saint-Mard de 1967 Ã 1969.
- Maurice Pillet-Will (1870-1952), comte et banquier habitant La Chaumine, il créa l'école des Samuels.
- Marie-Aimée Roger-Miclos (1860-1950), pianiste, a fait construire le Paradou en 1898.
- Eugène Lefèvre-Pontalis (1862-1923), professeur à l'École des Chartes et directeur de la Société française d'archéologie, il habitait le Paradou.
- Bohuslav Martinů (1890-1959), compositeur tchèque, il habitait la Brèche-au-Bois‚ rue d'Enfer‚ désormais appelée rue du général de Gaulle.
- Charles Paul (1879-1960), médecin légiste, il avait installé un élevage de cockers dans sa résidence secondaire "Les Terres Fraîches". Une place porte son nom.
- Pierre Dreyfus (1907-1994), ancien PDG des Automobiles Renault passa ses vacances au Manoir que son père, banquier qui fit fortune en Amérique centrale construisit à la fin du XIXe siècle.
- Jacques Riboud (1908-2001), ancien PDG d'Antar, urbaniste et économiste monétaire racheta le Manoir peu après la Seconde Guerre mondiale.
- L'écrivain Gérard Nicaisse (1924-2007) y a possédé une maison, au n°1 de l'impasse Saint-Jean, de 1966 à sa mort en 2007.
- Constance (1985-), comédienne et humoriste, arrière-petite-fille du docteur Paul Charles.
- David Koven (1955-), chanteur de variété, habitant le village[36].
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : Coupé : au premier de sinople à la roue de moulin d'or accompagnée, aux cantons, de deux fleurs de lys du même, au second d'argent aux trois fasces ondées d'azur. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Vieux-Moulin, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 98-106
- A. R. Verbrugge, Naissance & vie d'un petit village de l'Oise : Vieux-Moulin, Paris, AGEIP Éditeurs, , 169 p.
- A. R. Verbrugge, Vieux-Moulin, Paris, Éditions de la RPP, , 67 p.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Vieux-Moulin et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vieux-Moulin et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Vieux-Moulin, Prieuré Saint-Pierre-en-Chastres – Eglises de l'Oise », sur eglisesdeloise.com (consulté le ).
- Stéphanie Forestier, « Colette Pittard, maire emblématique de Vieux-Moulin et… amie de Mesrine », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
- « Les élus de l'Oise votent Aubry », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
- « Béatrice Martin élue maire, Patrick Lesne quitte la salle », Le Courrier picard, édition de l'Oise, no 22190,‎ , p. 13 (lire en ligne).
- « Vieux-Moulin : les nouveaux élus privilégient le vert à la pierre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vieux-Moulin (60674) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Notice no PA60000091.
- Notice no PA00132917.
- Notice no PA00114956.
- Notice no PA00114955.
- Le Parisien, « David Koven prépare son retour dans l'Oise », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).