Le Monastère
Le Monastère est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Le Monastère | |
Vue partielle du Monastère | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Rodez |
Intercommunalité | Rodez Agglomération |
Maire Mandat |
Jacques Montoya 2020-2026 |
Code postal | 12000 |
Code commune | 12146 |
Démographie | |
Gentilé | Monastériens |
Population municipale |
2 306 hab. (2020 ) |
Densité | 343 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 20′ 37″ nord, 2° 34′ 45″ est |
Altitude | Min. 519 m Max. 648 m |
Superficie | 6,73 km2 |
Unité urbaine | Rodez (banlieue) |
Aire d'attraction | Rodez (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Rodez-2 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | lemonastere.fr |
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'abbaye, inscrite en 2014, et l'église Saint-Étienne-et*Saint-Blaise, inscrite en 2014.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction de Rodez située dans son Unité urbaine juste au sud de Rodez.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Flavin, Olemps, Rodez et Sainte-Radegonde.
Rodez | ||||
Olemps | N | Sainte-Radegonde | ||
O Le Monastère E | ||||
S | ||||
Flavin |
Réseau hydrographique
La commune est drainée par l'Aveyron, la Briane, la Brianelle, la Garrigue, le ruisseau des Planquettes et par divers petits cours d'eau[1].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[2].
La Briane, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune de Flavin et se jette dans l'Aveyron à Le Monastère, après avoir arrosé 3 communes[3].
Gestion des cours d'eau
La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[4] - [5] - [6].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau de la commune[10], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal du Monastère comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] - [14], la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[15] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4] - [14], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[16].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Le Monastère est une commune urbaine[Note 5] - [17]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rodez, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[I 2] et 47 933 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,9 %), prairies (30,4 %), zones urbanisées (13,5 %), forêts (13,4 %), terres arables (2,9 %)[19].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté d'agglomération du Grand Rodez, dont la commune est membre[20].
La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[22].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Monastère est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23] - [24].
Risque d'inondation
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Aveyron Amont-Auterne[26], approuvé le 14 décembre 2006[27].
Plusieurs inondations, retracées par la presse locale, restent dans les mémoires : , [28], [29], [30], [29].
Risque de feux de forêts
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[31].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune du Monastère est classée à risque moyen à élevé[32]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[33] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bourg-la-Briane[35].
Histoire
L'évêque de Rodez, Gilbert de Cantobre, accorda des indulgences en 1339 aux ouvriers qui contribuaient à la construction du pont du Monastère.
En 1837, la commune absorbe celles voisines de Banocres, Boutonnet, Combelles, Foulloubous et Rendeynes[35] peuplées respectivement de 10[36], 20[37], 12[38], 9[39] et 13[40] habitants au recensement de 1793. La commune du Monastère est créée par ordonnance du roi Louis-Philippe Ier le 3 juillet 1837.,
Politique et administration
Découpage territorial
La commune du Monastère est membre de la Rodez Agglomération[I 7], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rodez. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 7]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Rodez-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 7], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[42].
- Le Monastère dans l'intercommunalité en 2020.
- Le Monastère dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections de 2020
Le conseil municipal du Monastère, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[43], pour un mandat de six ans renouvelable[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 19[45]. Les dix-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 33,62 %, issus de la seule liste candidate, conduite par Jacques Montoya[46]. Jacques Montoya est élu nouveau maire de la commune le [47].
Les deux sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté d'agglomération du Grand Rodez sont alloués à la liste de Jacques Montoya[46].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2020, la commune comptait 2 306 habitants[Note 7], en augmentation de 7,96 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 981 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 2 309 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 010 €[I 8] (20 640 € dans le département[I 9]). 57 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] ( % dans le département).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 2,5 % | 4 % | 3,7 % |
Département[I 11] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 511 personnes, parmi lesquelles on compte 82,1 % d'actifs (78,3 % ayant un emploi et 3,7 % de chômeurs) et 17,9 % d'inactifs[Note 10] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 13]. Elle compte 409 emplois en 2018, contre 376 en 2013 et 312 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 189, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,2 %[I 14].
Sur ces 1 189 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 231 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
119 établissements[Note 11] sont implantés au Monastère au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 119 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 6,7 % | (17,7 %) |
Construction | 24 | 20,2 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 25 | 21 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 2,5 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 5 | 4,2 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 17 | 14,3 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 22 | 18,5 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 15 | 12,6 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 119 entreprises implantées au Le Monastère), contre 27,5 % au niveau départemental[I 18].
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 382 ha[53] - [Carte 3] - [Carte 4].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'abbaye bénédictine Saint-Sernin, fondée au IXe siècle, première abbaye de femmes du Rouergue[54]
- Le domaine de Combelles, son centre équestre et son village de vacances sont situés sur la commune du Monastère.
- Église Saint-Étienne-et-Saint-Blaise du Monastère. L'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2014[55].
Château de Combelles. Combelles
entrée du domaine.Le vieux pont. - L'église Saint-Étienne-et-Saint-Blaise du Monastère et ses façades à l'ouest et au Sud
Personnalités liées à la commune
- Jean-Amans Biron, né le au Monastère, dragon d'empire, sauva Napoléon le au pont d'Arcole, en le dégageant des Autrichiens qui s'apprêtaient à le saisir[56]. Une plaque commémorative est posée à l'angle de la rue Saint-Blaise et de la rue de la Briane : Jean-Amans Biron / Dragon d'Empire / 1770-1841 / Né au Monastère, a vécu dans cette maison / Sapeur au 1er régiment de Dragons / Fit les campagnes de la République et de l'Empire / En 1802, on lui décerna la Légion d'honneur / pour ses actes de bravoure et d'héroïsme / à la bataille de Marengo / Notre valeureux compatriote Aveyronnais / fut le premier décoré de cette distinction / dans ce département / Bicentenaire de sa Légion d'honneur / 1802-2002[57].
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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Autres sources
- « Fiche communale du Monastère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Aveyron »
- Sandre, « la Briane »
- « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- site officiel du SMB2
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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