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Le Cayrol

Le Cayrol est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Le Cayrol
Le Cayrol
L'abbaye Notre-Dame de Bonneval et le ravin de la Boralde Flaujaguèse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Communauté de communes Comtal Lot et Truyère
Maire
Mandat
Bernard Valery
2020-2026
Code postal 12500
Code commune 12064
Démographie
Gentilé Cayrolais(e)
Population
municipale
274 hab. (2020 en augmentation de 7,45 % par rapport à 2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 17″ nord, 2° 47′ 34″ est
Altitude Min. 470 m
Max. 885 m
Superficie 22,16 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Espalion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lot et Truyère
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Cayrol
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    Géographie

    Généralités

    Le Cayrol est une commune du nord du département de l'Aveyron. Elle se compose de nombreux petits hameaux dispersés et de deux villages principaux : Le Cayrol et Anglars.

    Son relief se caractérise par de nombreuses gorges au fond desquels coulent de petits ruisseaux. Les deux principaux sont la Boralde Flaujaguèse en limite orientale de la commune, et le ruisseau d'Esparrou qui prend sa source sur le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Le Cayrol est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes du Cayrol
    Montpeyroux
    Coubisou Cayrol Condom-d'Aubrac
    Espalion

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier du Le Cayrol.

    La commune est drainée par la Boralde Flaujaguèse, le Ruisseau de Coubisou, le ruisseau d'Agols, le ruisseau de Caussane, le ruisseau de Reboulat, le ruisseau de Barruguettes, le ruisseau de Bélous, par divers petits cours d'eau[1].

    La Boralde Flaujaguèse, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Curières et se jette dans le Lot à Saint-Côme-d'Olt, après avoir arrosé 6 communes[2].

    Le Ruisseau de Coubisou, d'une longueur totale de 10,4 km, prend sa source dans la commune de Le Cayrol et se jette dans le Lot à Bessuéjouls, après avoir arrosé 3 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en Å“uvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en Å“uvre dans le département de l'Aveyron[4].

    La commune fait partie du SAGE Lot amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE concerne le bassin d'alimentation du Lot depuis sa source jusqu'à Entraygues-sur-Truyère dans l'Aveyron, où il reçoit la Truyère en rive droite. Il couvre ainsi 91 communes, sur deux départements (Lozère et Aveyron) et 2 régions – une superficie de 2 616 km2 et 1 400 km de cours d'eau permanents auxquels s'ajoutent jusqu'à 576 km de cours d'eau temporaires[5] - [6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte Lot-Dourdou (SMLD), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le par rapprochement de trois syndicats de rivières[Note 1] et est constitué de quatorze communautés de communes[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 9,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 240 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat de montagne », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'extrême nord du département de l'Aveyron, regroupe tous les lieux où les influences montagnardes et/ou semi-continentale sont prépondérantes, ce qui se traduit par un nombre de jours et un cumul élevés de précipitation, une température moyenne inférieure à 9,4 °C et, corrélativement, plus de 25 jours au cours desquels la température minimale a été inférieure à −5 °C et moins de 4 avec un maximum supérieur à 30 °C[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau de la commune[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [16] et d'une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[17] - [18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal duCayrol comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [19], les « Gorges de la Boralde flaujaguèse » (414,3 ha), couvrant 3 communes du département[20] , et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [19], le « Vallon de la Boralde flaujaguèse et ses affluents » (2 341 ha), qui s'étend sur 7 communes de l'Aveyron[21].

    • Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Le Cayrol est une commune rurale[Note 6] - [22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Espalion, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune duLe Cayrol.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,1 %), forêts (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[24].

    Planification

    La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Cayrol est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[26] - [27].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[28].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune duCayrol est classée à risque faible avec facteurs géologiques[30].

    Toponymie

    Cayrol est un diminutif, « petit roc Â».

    Histoire

    Cayrols disposait d'un consulat.

    Le 5 messidor an VIII, sur le plan administratif, les hameaux du Cayrol, d'Anglars-Saint-Jean sont rattachés à la commune de Coubisou.

    Le , Le Cayrol est rattaché à Espalion. Le hameau d'Anglars, est maintenue à Coubisou.

    Le , la commune de Coubisou perd la section d'Anglars qui fut rattachée à la commune du Cayrol lors de sa création.

    Le , l'arrondissement d'Espalion étant supprimé, la commune du Cayrol est rattachée à l'arrondissement de Rodez.

    Associations

    • Foyer rural du Cayrol
    • Société de chasse du Cayrol
    • Association "Les Jardifolies"
    • Association "Histoire et patrimoine d'Anglars"
    • La Cayrolaise

    Fondée en 1927 par Léon MOISSET, cette amicale a pour but d'aider les Cayrolais installés à Paris et à instaurer des liens perdus avec « le pays ». Elle a aussi contribué au financement de bâtiments publics (écoles, monuments, église …) et participé à des actions de bienfaisance.

    Elle continue encore aujourd'hui son action, et permet notamment lors de son banquet annuel de réunir les Cayrolais et Cayrolaises de Paris et d'ailleurs.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune duCayrol est membre de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Espalion. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[31].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Truyère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[32].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal du Cayrol, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[33] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[34]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les onze candidats en lice[35], dix sont élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 55,6 %. Le dernier conseiller restant à élire est élu au second tour, qui se tient le du fait de la pandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 27,92 %[35]. Bernard Valery est élu nouveau maire de la commune le [36].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[37]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1866 1871 Jean Bouldoires cultivateur
    1871 1874 Jean-Antoine Aldebert (père) industriel
    1874 1904 Jean-Antoine Aldebert (fils) industriel
    1904 1920 François Pégorier
    1920 1927 Jean-Antoine Aldebert industriel
    1927 1935 François Saint-Fleuret
    1935 1944 Pierre Costes
    1944 1953 Pierre-Jean Costes
    1953 1958 Jules Delsol Agriculteur
    1958 1965 Jean Alazard
    1965 1967 Louis Rigal Agriculteur
    1967 1977 Gabriel Delsol Agriculteur
    1977 1991 Albert Aldebert
    1991 2008 Jean Bregou
    2008 2014 Sylvette Hermet
    mars 2014 juillet 2020 Maurice Battut[39] Artisan
    juillet 2020 En cours Bernard Valery[39] - [40] Ancien employé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Anglars, Saint-Jean, Bedène

    AnnéeNom
    1621Bernard Malet, d'Anglars
    1643Jean Rigal dit Sabatié, de la Frayssinette
    1647François Capoulade
    1666Guyon Certain, du Cours
    1670Jean Lescure, de la Frayssinette
    1671Jean Bouissou, de la Frayssinette
    1673Jean Malet, d'Anglars
    1684François Bézamat
    1693Pierre Bouissou dit Tarry, de la Frayssinette
    1694Jean Gallut
    1695Jean Bouldouyres dit Bernat, d'Anglars
    1702Pierre Bouldoires, de Sécaillou
    1706Bouldouyres, d'Anglars
    1718Jean Bouissou dit Tarry de la Frayssinette
    1729Bouyssou
    1730Bouissou dit Tarry de la Frayssinette
    1731Pierre Bouldoires
    1739Guillaume Pégorier
    1742Antoine Gallut
    1747Falguié
    1748Malet
    1750Pierre Pégorier
    1753Jacques Raynal
    1755Antoine Bouldouyres
    1760Antoine Bézamat
    1762Jean Barthélémy
    1763Jacques Raynal
    1764Jean Viguier
    1765Antoine Alazard de la Frayssinette
    1773Jean Barthélémy
    1774Jacques Raynal
    1775Nicolas Falq
    1777Antoine Pégorier
    1778Antoine Alazard
    1779François Ferrié du Cours
    1784Jacques Raynal
    1785Joseph Mirabel d'Anglars
    1791Guillaume Bouldouyres, d'Anglars

    Bonneval

    AnnéeNom
    1686Jean Delsol dit Varet
    1686Jean Romieu
    1697Pierre Gasc
    1743Jean Baldy
    1745Antoine Besombes
    1746Pierre Bouldouyres
    1747Jean Cayron
    1748Jean Romieu, dit Clauzel
    1750Antoine Raynal
    1752Pierre Bouldouyres
    1753Jean Nayrolles
    1754Alaux
    1755Antoine Romieu
    1757Jean Bouldouyres
    1758Antoine Lemouzi
    1759François Malet
    1760Jean Besombes
    1761Bernard Nayrolles
    1763François Calmels
    1765Pierre Cestrieres
    1766Jean Delsol de Palays
    1772François Dordé
    1772Pierre Annat
    1784Antoine Andrieu, de Barrugues

    Briounès

    AnnéeNom
    1677Antoine Cabanettes
    1694Jean Rames
    1695Bernard Cazals
    1710Bernard Cazals
    1734Bernard Cazals
    1771Antoine Roustan
    1776Antoine Bézamat
    1788Joseph Martin

    Le 5 messidor an VIII, Briounès est rattaché à la commune de Coubisou

    Le Briounès rentre définitivement dans là commune de Montpeyroux

    Bézamat dépendance d'Esparou

    AnnéeNom
    Bernard Costes dit Revilhat de Polvérières
    François Bezombes
    Pierre Delsol
    Jean Delsol
    François Bézamat

    Les maires de 1866 à 1991

    PériodeNom
    1866-1871Bouldoires Jean, d'Irissac
    1871-1874Aldebert (père) Jean-Antoine, de Laubenq
    1874-1904Aldebert (fils) Jean-Antoine, de Laubenq
    1904-1920Pégorier François, de Pauvérières
    1920-1927Aldebert Jean-Antoine, de Laubenq
    1927-1935Saint-Fleuret François, du Cayrol
    1935-1944Costes Pierre, du Cayrol
    1944-....Costes Pierre-Jean, de Barrugues
    1977-1991Aldebert Albert, de Laubenq
    Premier conseil municipal

    Premier conseil municipal du Cayrol lors de la création de la commune :

    Par arrêté de M. le Préfet, en date du , M. Bouldoires Jean d'Irissac, est nommé maire de la commune du Cayrol. Le conseil municipal fut alors ainsi constitué :

    Maire
    Bouldoires Jean, d'Irissac.
    Adjoint
    Aldebert Jean-Antoine (père), de Laubenq
    Conseillers
    Nayrolles Joseph, du Peyrou
    Mirabel Jean-Antoine, de Volpicante
    Richard Raymond, de barrugues
    Malet Joseph, de La Roumayrie
    Cayron Jean, de Palays
    Mirabel Jean, de La Combe
    Vidal Hyacinthe, de La Frayssinette
    Roustan Jean, de Coussane
    Bertrand Joseph, du Cayrol
    Bouldoires Guillaume, d'Anglars

    La première séance eut lieu le . Chaque conseiller se leva et prononça le serment suivant : "Je jure obéissance à la Constitution et fidélité à l'Empereur." À la séance du , le budget de la commune fut établi ; il se décomptait ainsi : Recettes : 3.466 fr.06 Dépenses : Néant

    Sources

    • Éric Costes descendant du Cayrol auteur du site sur l'histoire du Cayrol.
    • Maurice Costes de la Société la Cayrolaise auteur de "Le Cayrol 1952".
    • Archives départementales et communales.
    • Communauté liste généalogique d'Aveyron.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2020, la commune comptait 274 habitants[Note 8], en augmentation de 7,45 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    298284810744779777830779742
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    718714684604608590567493468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    472442416328313282285285263
    2017 2020 - - - - - - -
    259274-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 102 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 221 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 760 â‚¬[I 5] (20 640 â‚¬ dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 7]2,4 %3,6 %5,1 %
    Département[I 8]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 138 personnes, parmi lesquelles on compte 86 % d'actifs (80,9 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 14 % d'inactifs[Note 10] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Espalion, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 78 emplois en 2018, contre 68 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 115, soit un indicateur de concentration d'emploi de 68,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,9 %[I 11].

    Sur ces 115 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 51 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 56,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 41,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités hors agriculture

    30 établissements[Note 11] sont implantés au Cayrol au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 14]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 46,7 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 30 entreprises implantées au Le Cayrol), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].

    Agriculture

    La commune est dans la « Viadène et vallée du Lot », une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aveyron[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations57423430
    SAU[Note 14] (ha)1 3991 8491 6711 709

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 57 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 42 en 2000 puis à 34 en 2010[47] et enfin à 30 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 47 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[48] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 399 ha en 1988 à 1 709 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 25 à 57 ha[47].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Fondée en 1147 par l'abbaye de Mazan, l'abbaye de Bonneval a été jusqu'à la Révolution une des plus importantes abbayes cisterciennes de la région. Les derniers moines ont été chassés en 1791, et remplacés par des moniales cisterciennes en 1875. Des bâtiments primitifs, restent une partie de l'église, quelques pièces, et les remparts (XIVe et XVIe siècles). Les sÅ“urs sont actuellement au nombre de 30, de 29 à 97 ans. Joignant le travail à la contemplation, elles produisent un chocolat qui contribue à la renommée gastronomique de la région[49].
    • L'église Saint-Étienne d'Anglars faisait partie dès 1265 de la Commanderie Templière d'Espalion. Cet édifice à nef unique avec un cÅ“ur rectangulaire a été fortifié en 1381 dans ses parties hautes pour servir de refuge à la population lassée de s'enfuir au château fort de Cabrespine devant les invasions Anglaises et les pillards. Le cimetière fermé de murailles servait à abriter le bétail. Les deux tourelles de la façade datent du XVIe siècle. Des travaux d'aménagement ont été réalisés en 2005 avec la réfection des façades et de la toiture ainsi que des abords.
    • Ardoisières d'Anglars réputées dans la région, qui ont produit pendant quatre siècles, de 1536 à 2007.

    Les premières exploitations datent du XVIe siècle et firent prospérer les habitants d'Anglars et quelques familles qui se lancèrent dans l'entreprise notamment Antoine Aldebert de Laubenq. Au début du XXe siècle, l'ardoise du Cayrol faisait vivre près de 300 personnes avant que la première guerre mondiale ne vienne mettre fin à cette économie. Mr Aldebert vendit son entreprise à une société qui ne fit rien de l'industrialisation qu'elle avait promis. La carrière fut revendue plusieurs fois et survint la deuxième guerre. Quelques ouvriers carriers continuèrent l'exploitation évitant ainsi de travailler pour les Allemands. Dans les années 1980, un nouveau projet pour relancer l'exploitation des ardoisières est lancé mais échoue à nouveau. Aujourd'hui, il ne reste plus que deux carrières exploitées, celles de Mr Prat et de Mr Salelles sur la Commune de Montpeyroux. Les ardoisières d'Anglars ont fermé en 2007 faute de repreneur.

    Avant sa construction et son histoire mouvementée, les habitants du Cayrol allaient à l'église d'Anglars ou bien à l'abbaye de Bonneval. La destruction de l'abbaye décida les habitants du Cayrol et des alentours à se cotiser pour construire Leur Église. La première pierre fut posée en 1827, et tout était presque terminé lorsque la moitié de la voûte et le clocher retournèrent au sol. Reprenant courage, la population se remis au travail et le , l'église du Cayrol fut bénite par Mgr Grimal, délégué par l'évêque de Rodez. Tout allait bien jusqu'à ce jour de 1839 où l'Abbé Mas, par suite de tracasseries, se résigna à partir et notre église du Cayrol se trouva sans curé.

    L'évêque demanda alors aux habitants de construire un presbytère attenant afin d'accueillir leur nouveau curé. Ce fut fait en 1840. Nouveau rebondissement en 1924, pendant la messe, une poutre s'effondra et l'inspection de l'édifice montra que le mur s'apprêtait à en faire de même. La décision fut prise, l'église fut démolie et la reconstruction commença en 1925 pour s'achever 13 ans plus tard. Si extérieurement cette église n'offre pas de particularité architecturale, elle possède toutefois une fresque murale couvrant tout le cœur représentant le Christ et la Passion du Christ, datant de 1954 dont l'auteur est R. Pagégie.

    • Église Saint-Étienne d'Anglars
      Église Saint-Étienne d'Anglars
    • Église Saint-Étienne d'Anglars. L'intérieur
      Église Saint-Étienne d'Anglars. L'intérieur
    • Église Saint-Pierre du Cayrol
      Église Saint-Pierre du Cayrol

    Personnalités liées à la commune

    Jean-Aymar Frayssinous:

    dernier abbé de Bonneval docteur en Sorbonne, lecteur, régent et professeur royal de théologie à l’Université de Toulouse

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Espaliu : Bessuèjols, Lo Cairòl, Castèlnau, Sant-Cosme, Las Sots / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Espaliu, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 312 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-16-5, ISSN 1151-8375, BNF 36678785)
    • Il faut sauver les ardoisieres du Cayrol AVEYRON MAGAZINE [No 8] du 01/12/2000
    • Bonneval : Une abbaye cistercienne en Rouergue Broché 2008 Annie Bras
    • Notice historique sur l'ancienne Abbaye de Notre-Dame de Bonneval : 2016 de Jean louis Etienne Bousquet (Auteur)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le Syndicat mixte Lot-Dourdou est issu de la fusion des trois syndicats de rivières -Syndicat mixte Lot Colagne (Lozère), SIAH de la Haute Vallée du Lot et SIAH de la Vallée du Dourdou de Conques (Aveyron).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune duCayrol » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Cayrol » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Cayrol » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Cayrol » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Cayrol » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Fiche communale du Cayrol », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « la Boralde Flaujaguèse »
    3. Sandre, « le ruisseau de coubisou »
    4. « Les outils de gestion de la rivière », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
    5. « SAGE Lot amont- Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    6. « SAGE Lot-amont », sur http://lot-dourdou.fr/ (consulté le )
    7. « Le syndicat mixte Lot-Dourdou », sur http://lot-dourdou.fr/ (consulté le )
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. Décret du 23 mai 2018 portant classement du parc naturel régional de l'Aubrac (région Occitanie)
    17. « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur https://www.parc-naturel-aubrac.fr/ (consulté le )
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    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    49. « Abbaye cistercienne Notre-Dame de Bonneval », sur bonneval.com (consulté le ).
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