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Laurens (HĂ©rault)

Laurens [lɔ.ʁɛ̃s] (en occitan, Laurenç [law.'rens]) est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement de l'HĂ©rault, en rĂ©gion Occitanie.

Laurens
Laurens (HĂ©rault)
Vue générale du village.
Blason de Laurens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement BĂ©ziers
Intercommunalité Communauté de communes Les Avant-Monts
Maire
Mandat
François Anglade
2020-2026
Code postal 34480
Code commune 34130
DĂ©mographie
Gentilé Laurentiens
Population
municipale
1 776 hab. (2020 en augmentation de 11,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 108 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 31â€Č 27″ nord, 3° 11â€Č 52″ est
Altitude 140 m
Min. 117 m
Max. 228 m
Superficie 16,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction BĂ©ziers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cazouls-lĂšs-BĂ©ziers
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Laurens
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Laurens
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Laurens

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Libron, le ruisseau de Gournautuc et par divers autres petits cours d'eau.

    Laurens est une commune rurale qui compte 1 776 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers. Ses habitants sont appelĂ©s les Laurentiens ou Laurentiennes.

    GĂ©ographie

    Carte

    Le Libron prend sa source Ă  Laurens sous le pont Ă  la confluence de la Naubine et du SauvanĂšs.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Laurens
    Caussiniojouls FaugĂšres Roquessels
    Cabrerolles Laurens Gabian
    (point quadruple)
    Fouzilhon
    Autignac Magalas

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 771 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 128,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  42 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Laurens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (65,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (23,1 %), zones urbanisĂ©es (8,3 %), forĂȘts (5,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,2 %), prairies (1,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laurens est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Libron. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1990, 1992, 1996, 2014 et 2019[21] - [19].

    Laurens est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laurens.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 52,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 875 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 723 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 83 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Laurens est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Toponymie

    Attestée sous les formes parrochia de Laurencs en 1139,ecclesie de Laurencs en 1146, castro de Laurentiis en 1270, de Laurenchis en 1351, Laurens en 1529, Laurens en 1585, de Laurenciis au XVIe siÚcle, Laurent en 1622[27].

    Ce toponyme est issu du nom de personne romain Laurencius[27], Le nom est latin et signifie « l'homme de Laurentum », Laurent « celui qui est couronné de lauriers ».

    Frank R. Hamlin propose le nom latin Laurum + suffixe occitan -enc[28].

    Histoire

    Carte postale de la grand rue (1922)

    Un relais de poste et de transports Ă  LAURENS au XVIIIe siĂšcle:

    En 1690, la famille FUSIES crĂ©e Ă  LACAUNE un relais de poste. Au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, elle crĂ©e une ligne de transport BEZIERS-LACAUNE-CASTRES avec des relais Ă  LAURENS, SAINT GERVAIS, MURAT, BRASSAC... Chaque relais compte de 10 Ă  20 chevaux pour remplacer les montures. A SAINT GERVAIS, des chevaux sont louĂ©s aux voituriers en plus de leurs propres montures pour monter LA CROIX DE MOUNIS. Au sommet, les chevaux sont relĂąchĂ©s et reviennent seuls Ă  l'Ă©curie. A SAINT PONS, c'est la mĂȘme chose pour monter le Col du CABARETOU. Au dĂ©but du XIXe siĂ©cle, la famille FUSIES avait plus de 300 chevaux. Mais avec le chemin de fer et l'apparition des premiers camions Ă  pneus pleins, le dĂ©but du XXe siĂšcle signe la fin des vĂ©hicules Ă  chevaux. Les bĂątiments du relais de LAURENS a priori situĂ©s Ă  proximitĂ© de l'actuelle piste de Karting vont ĂȘtre abandonnĂ©s et ne reprendre vie que trĂšs rĂ©cemment. La famille FUSIES continue d'exploiter l'hĂŽtel restaurant qui porte son nom Ă  LACAUNE. Cet Ă©tablissement garde sur ses murs des fresques de 1930 retraçant le passĂ© de diligences.

    Politique et administration

    Les Premiers Magistrats depuis 1790

    Période Identité Etiquette Qualité
    février 1790 * 13 novembre 1791 Adrien GEPT
    13 novembre 1791* 24 décembre 1792 Jean LEVERE
    24 décembre 1792* 9 novembre 1794 Adrien GEPT
    9 novembre 1794 8 novembre 1795 Pierre Adrien GEPT (fils)
    8 novembre 1795 11 décembre 1795 Joseph BAYLE Agent Municipal
    11 décembre 1795* 21 ou 30 mars 1798 Adrien GEPT (pÚre) Agent Municipal
    21 ou 30 mars 1798* 21 avril 1800 Jean GIBBAL Agent Municipal
    21 avril 1800* 18 juin 1800 Jean GIBBAL Maire provisoire
    18 juin 1800 26 décembre 1814 Joseph BAYLE Maire
    26 décembre 1814 19 avril 1815 Jacques Adrien GEPT
    19 avril 1815 juillet 1815 Joseph BAYLE
    juillet 1815 19 septembre 1830 Jacques Adrien GEPT
    19 septembre 1830 5 avril 1835 Jean BASSET
    5 avril 1835 18 novembre 1840 Jean LEVERE
    18 novembre 1840* 20 aoĂ»t 1848 Pierre RÉVEILLE
    20 août 1848 18 juillet 1859 François GIBBAL
    9 août 1859 7 septembre 1870 Jean CADENAT
    7 septembre 1870 fin septembre 1870 Théodore BROUE
    10 octobre 1870 21 juin 1871 Agramant PORTAL Président de la Commission Municipale
    21 juin 1871 3 mars 1874 Agramant PORTAL Maire
    3 mars 1874 25 mai 1876 Théodore BROUE
    25 mai 1876 8 octobre 1876 Agramant PORTAL
    8 octobre 1876 9 octobre 1877 Paulin BASSET
    13 octobre 1877 2 janvier 1878 Théodore BROUE Maire de la Commission Provisoire
    2 janvier 1878 23 janvier 1878 Paulin BASSET Maire de la Commission Provisoire
    23 janvier 1878 18 mai 1884 Paulin BASSET Maire
    18 mai 1884 14 juin 1884 Charles PORTAL
    22 juin 1884 7 juillet 1885 Jean FrĂ©dĂ©ric AUGÉ
    30 août 1885 19 mai 1912 Charles PORTAL
    19 mai 1912 17 mai 1925 Marc GLEIZES
    17 mai 1925 19 mai 1935 Charles PORTAL
    19 mai 1935 11 janvier 1945 Marius VÉZIAC
    11 janvier 1945 5 mai 1945 Maurice BERTHOMIEU Président de la Délégation Spéciale
    5 mai 1945 27 mars 1971 Camille CALMEL Proche du PCF Maire
    27 mars 1971* 24 mars 1989 Pierre COUDERC Proche du PS Maire
    24 mars 1989* 16 mars 2008 Alain BERTHEZÈNE DVG Maire
    16 mars 2008* En cours François ANGLADE UMP puis LR Maire

    Les dates correspondent à l'entrée en fonctions des maires, agents municipaux, présidents ; celles qui correspondent à leur élection ou à leur nomination sont suivies d'un * (Source : "Commune de Laurens - Les Municipalités depuis 1789", pages 112 et 113, disponible et consultable à la MédiathÚque municipale https://laurens-pom.c3rb.org/

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[30].

    En 2020, la commune comptait 1 776 habitants[Note 7], en augmentation de 11,49 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    504591638754827872843890910
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8847881 0411 0541 0789299101 0441 170
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2081 2041 2081 2041 1121 0621 0251 0141 021
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0551 0471 0281 0061 0099321 2221 3041 552
    2018 2020 - - - - - - -
    1 7371 776-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Activité économique

    Mairie de Laurens.
    • L'Ă©conomie locale a longtemps reposĂ© sur la viticulture et l'exploitation de gisements de marbre noir.
    • Le marbre : la commune comptait les carriĂšres de marbre Anglade et Roustan qui, Ă  leur apogĂ©e, employaient chacune plus de 50 salariĂ©s. Les dĂ©bouchĂ©s du marbre noir s'Ă©tant progressivement rĂ©duits, la diversification des activitĂ©s est devenue une nĂ©cessitĂ©. Pour cela, les deux entreprises ont judicieusement optĂ© pour la transformation de la matiĂšre brute et la fusion avec des organismes de rang national. Aujourd'hui, l'extraction du marbre qui se poursuit n'assure plus que peu d'emplois.
    • La viticulture : Laurens est dans la zone d'appellation du cru AOC FaugĂšres et produit un vin d'excellente qualitĂ©. En 1938, les vignerons de Laurens qui ont dĂ©cidĂ© de se rĂ©unir et d'assurer leur production en coopĂ©rative, font construire la cave commune. Progressivement, la quasi-totalitĂ© des producteurs du village va rejoindre la coopĂ©rative. Les premiĂšres bouteilles Ă©tiquetĂ©es au nom des producteurs apparaissent vers 1970 avec un classement en VDQS. La prospĂ©ritĂ© du vignoble va progresser avec le classement en AOC FaugĂšres. Cette prospĂ©ritĂ© conduira ensuite nombre de producteurs Ă  se retirer de la coopĂ©ration et Ă  vendre directement leur vin en bouteilles.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 726 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 1 744 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 700 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]9 %11,1 %13,2 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 006 personnes, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (64,5 % ayant un emploi et 13,2 % de chĂŽmeurs) et 22,3 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de BĂ©ziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 302 emplois en 2018, contre 298 en 2013 et 293 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 658, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 56,3 %[I 10].

    Sur ces 658 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 174 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 4,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    155 établissements[Note 10] sont implantés à Laurens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble155100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    2012,9 %(6,7 %)
    Construction2918,7 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3723,9 %(28 %)
    Information et communication42,6 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance21,3 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres63,9 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    159,7 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3120 %(14,2 %)
    Autres activités de services117,1 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,9 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (37 sur les 155 entreprises implantĂ©es Ă  Laurens), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les quatre entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33] :

    • Vino - Tec, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (3 731 k€)
    • Fuentes, activitĂ©s de soutien aux cultures (873 k€)
    • Vinodev, portails Internet (65 k€)
    • Financiere Guibert - FG, fonds de placement et entitĂ©s financiĂšres similaires (k€)

    Agriculture

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations112955744
    SAU[Note 13] (ha)1 0701 093968786

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 112 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  95 en 2000 puis Ă  57 en 2010[36] et enfin Ă  44 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 61 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[37] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1070 ha en 1988 Ă  786 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 10 Ă  18 ha[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Laurens se blasonnent ainsi :

    D'hermine, au pairle losangé d'or et de sinople.

    Personnalités liées à la commune

    Valentin Duc (Beziers 1858-1915), fort tĂ©nor de l'opĂ©ra, fut l'ami de personnages ayant en leur temps une certaine cĂ©lĂ©britĂ© dont Gustave Eiffel. Entre deux tournĂ©es, il aimait venir se reposer dans l'antique chĂąteau de Laurens, sa propriĂ©tĂ© oĂč il aimait tant recevoir ses amis de thĂ©Ăątre.

    Les maires :

    Camille Calmel (...-1971) et son équipe municipale se sont attachés à goudronner la plupart des chemins ruraux pour faciliter les travaux d'exploitation des vignes, la viticulture étant alors la principale activité économique de la commune. Durant ses mandats, un bùtiment de douches publiques a été construit en surplomb de la riviÚre, sur la place du Village. Ce bùtiment a été détruit et il ne reste que le plancher sur lequel a été installée une fontaine.

    Maire durant 18 ans, Pierre Couderc (1971-1979) a eu pour premier objectif, dÚs son élection en 1971, d'assurer avec son équipe municipale l'assainissement du village qui ne disposait toujours pas de tout-à-l'égout. Il a terminé cette action en achevant le cimentage des lits des cours d'eau qui contribue à lutter contre les crues. Durant son troisiÚme mandat, il a procédé à l'acquisition du chùteau pour y installer la mairie.

    Les mandats d'Alain Berthezene (1979-2007), qui a également dirigé la commune durant 18 années, ont été marqués par un fort développement de l'urbanisme. L'aménagement des abords du chùteau en supprimant ruines et maisons insalubres et l'acquisition d'un vaste terrain planté en vigne situé à proximité des écoles qui va permettre de doter le village d'une maison de retraite, d'une salle polyvalente, d'un boulodrome couvert, de terrains de tennis et d'agrandir l'espace de vie des écoliers sont à souligner. S'agissant de l'expansion du village, l'élargissement de la voirie et sa mise aux normes des temps présents pour faciliter la desserte de certaines zones d'habitat n'a pas toujours suivi le tempo de la réalisation des projets.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laurens » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laurens » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laurens » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laurens » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    8. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    9. « Orthodromie entre Laurens et SÚte », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    22. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
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    27. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France, page 658, (ISBN 2600028838).
    28. Frank R. Hamlin et abbĂ© AndrĂ© Cabrol, Les noms de lieux du dĂ©partement de l'HĂ©rault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 204
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Entreprises à Laurens », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    34. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    35. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    36. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Laurens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).

    Annexes

    Bibliographie

    • Louis Anglade, « La source de Laurens », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique, scientifique et littĂ©raire de BĂ©ziers, 9e sĂ©rie, no 2,‎ , p. 87-90
    • Louis Anglade, « Les moulins de Laurens », Les Moulins de l'HĂ©rault, no 16,‎ , p. 153-169
    • Émile Bonnet, Les bijoux wisigoths de la trouvaille de Laurens (HĂ©rault), Montpellier, Impr. gĂ©nĂ©rale du Midi, , 12 p.
    • Marcel Gouron et AndrĂ© Gouron, « Un affranchissement de serfs Ă  Laurens (1270),.. : Ă©tudes mĂ©diĂ©vales languedociennes offertes en hommage par ses anciens collĂšgues, Ă©lĂšves et amis G. Barruol, J. Caille, M. Chalon, J. Combes.. [etc.] », dans Hommage Ă  AndrĂ© Dupont (1897-1972), Montpellier, FĂ©dĂ©ration historique du Languedoc mĂ©diterranĂ©en et du Roussillon, , p. 157-166
    • Dominique Perrin, « Quelques habitants de Laurens et de sa rĂ©gion en 1600 et 1601 : d'aprĂšs une table de minutes notariales », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique des hauts cantons de l'HĂ©rault, no 19,‎ , p. 61-71

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    Articles connexes

    Liens externes

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