Laurabuc
Laurabuc est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
Laurabuc | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Carcassonne |
Intercommunalité | Communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois |
Maire Mandat |
Cedric Lemoine 2020-2026 |
Code postal | 11400 |
Code commune | 11195 |
Démographie | |
Gentilé | Laurabuciens |
Population municipale |
393 hab. (2020 ) |
Densité | 49 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 14′ 53″ nord, 1° 58′ 53″ est |
Altitude | Min. 143 m Max. 231 m |
Superficie | 8,04 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Castelnaudary (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Piège au Razès |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau de Tiradourès et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Laurabuc est une commune rurale qui compte 393 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Laurabuciens ou Laurabuciennes.
Géographie
Commune de l'aire urbaine de Castelnaudary située dans la Piège en Lauragais
Communes limitrophes
Laurabuc est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Laurac, Mireval-Lauragais, Pexiora, Saint-Martin-Lalande et Villasavary.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 804 hectares ; son altitude varie de 143 à 231 mètres[2].
Le territoire de la commune est presque entièrement situé dans la plaine de Castelnaudary qui forme un large couloir fertile du seuil de Naurouze à Carcassonne. Sur les 804 hectares de la commune, près de 700 sont des terres cultivables qui produisent essentiellement des céréales. Le village est blotti dans un vallon entre deux collines (la colline du Moulin et celle du Calvaire) sur la première ligne de relief de la Piège, à l'extrémité occidentale du territoire communal.
Voies de communication et transports
L'autoroute A61 traverse le territoire de la commune au nord-est.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau de Tiradourès et le ruisseau de Saint-Jean de Laval, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[5] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnaudary », sur la commune de Castelnaudary, mise en service en 1951[11] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[12] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 676,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 30 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[17].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »[19], d'une superficie de 31 216 ha, ayant une position de transition entre la Montagne noire et les premiers contreforts pyrénéens et on y voir donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21] : la « bordure orientale de la Piège » (11 102 ha), couvrant 22 communes du département[22].
Urbanisme
Typologie
Laurabuc est une commune rurale[Note 6] - [23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), zones agricoles hétérogènes (31 %), zones urbanisées (3 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Laurabuc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992 et 2009[28] - [26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 207 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 207 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Histoire
La plaine de Laurabuc est habitée dès la Préhistoire (âge du bronze et âge du fer). Les traces d'une ferme gallo-romaine ont été identifiées à Sarrazy. Au cours du Moyen Âge, le village de Laurabuc se développe autour du château (dont le donjon correspond à l'emplacement de l'église actuelle), il a une forme semi-circulaire. La seigneurie de Laurabuc est placée sous la dépendance de celle de Laurac, capitale du Lauragais. Au centre du pays cathare, Laurabuc va connaître l'invasion des seigneurs du Nord de la France lors de la croisade des albigeois à partir de 1209. Ainsi Simon de Montfort s'empare-t-il de Laurac en 1211, et exproprie-t-il le seigneur Aymeri. Après la croisade, le Lauragais tombe sous l'autorité du roi de France.
À partir du XIVe siècle, la paroisse de Laurabuc est placée sous l'autorité de l'évêque de Saint-Papoul (évêché crée en 1308). Au XVIe siècle, les guerres de Religion vont toucher Laurabuc qui est prise par les protestants en . En 1575, l'armée catholique reprend le village. Au XIXe siècle, à la suite d'une épidémie de choléra qui atteint la France en 1832, et la région de Castelnaudary dans l'été 1835, puis réapparaît plusieurs fois, le chanoine Bize, curé de Laurabuc, fait promettre à ses paroissiens de construire un calvaire si le village est épargné (l'épidémie avait atteint Pexiora, la commune voisine). Le vœu est exaucé, et en 1854 les 14 chapelles du chemin de croix, construites en pierres de taille qu'on a fait venir de Beaucaire par le canal du Midi, sont installées sur la colline voisine du village. Une grande chapelle est érigée en haut du calvaire en 1871, puis trois grandes croix dominent l'ensemble en 1885. Au début du XXe siècle, Laurabuc est une commune active peuplée de plus de 500 habitants, avec de nombreux artisans, trois cafés (dont l'un avec un petit hôtel), deux écoles publiques. Dans la plaine, les terres sont en partie possédées par des familles de la noblesse (par exemple, les familles d'Arellano héritière de la famille du marquis de Las Cases, compagnon de Napoléon Ier à Sainte-Hélène, Ramière de Fortanier, ou D'Herbès) ou de la grande bourgeoisie (M. Blagé, directeur de la compagnie des chemins de fer du Midi à La Marguerette). Ces familles vivent dans des châteaux entourés de parcs boisés, à côté des fermes qui sont le plus souvent des métairies, la plus grande partie des terres est exploitée en métayage, le reste par de petits propriétaires de la commune. Le XXe siècle est marqué par un long déclin démographique lié à l'exode rural, Laurabuc perd progressivement tous ses commerces et ses écoles. Cependant depuis 1990 et surtout le début du [XXIe siècle, Laurabuc connait une reprise importante, grâce de sa situation privilégiée, au calme, à proximité de Castelnaudary, et d'un accès autoroutier.
Les Hospitaliers
Les actes notariés des XIIe, XIIIe et XIVe siècles, montrent que de riches terres agricoles de la paroisse (appelée Saint-Pierre-de-Laurabuc dans la plaine, ce nom correspond encore à un lieu-dit au centre du territoire de la commune) sont acquises par les seigneurs de Laurac, par le monastère dominicain de Prouille, et surtout par la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem) qui était implantée à Pexiora.
Héraldique
Blason | D'argent aux deux pointes d'azur posées en chevron. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[31] - [32].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Carcassonne de la communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Laurabuc faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2020, la commune comptait 393 habitants[Note 8], en diminution de 2,72 % par rapport à 2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 170 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 410 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 270 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 8,7 % | 11,9 % | 9,9 % |
Département[I 7] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 273 personnes, parmi lesquelles on compte 71,8 % d'actifs (61,9 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 28,2 % d'inactifs[Note 10] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 170, soit un indicateur de concentration d'emploi de 8,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 10].
Sur ces 170 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 1,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
22 établissements[Note 11] sont implantés à Laurabuc au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45,5 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 22 entreprises implantées à Laurabuc), contre 32,3 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises
L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture (céréales : maïs, blé, tournesol…).
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[42] - [Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 6]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 397 ha[44] - [Carte 7] - [Carte 8].
Enseignement
Laurabuc fait partie de l'académie de Montpellier.
Activités sportives
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Calvaire (milieu du XIXe siècle) restauré depuis 1990.
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Laurabuc : de style roman, qui occupe une partie de l'ancienne forteresse dominant le village. Le clocher a été ajouté à l'édifice en 1860. Sur la place devant l'église, croix de mission de 1841. Ancienne porte de la fortification au pied de l'église.
- Chapelle du calvaire de Laurabuc.
- Moulin à vent.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Laurabuc » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Les petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laurabuc » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laurabuc » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laurabuc » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laurabuc » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de Laurabuc », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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