Pexiora
Pexiora, Puègsiuran en occitan est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
Pexiora | |
L'église de Pexiora, édifiée au XIVe siècle. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Carcassonne |
Intercommunalité | Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère |
Maire Mandat |
Serge Cazenave 2020-2026 |
Code postal | 11150 |
Code commune | 11281 |
Démographie | |
Gentilé | Pexioranais |
Population municipale |
1 241 hab. (2020 ) |
Densité | 94 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 16′ 09″ nord, 2° 02′ 15″ est |
Altitude | Min. 130 m Max. 160 m |
Superficie | 13,16 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Castelnaudary (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Piège au Razès |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de la Fontaine de Besplas, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Mézeran. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Pexiora est une commune rurale qui compte 1 241 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Pexioranais ou Pexioranaises.
Géographie
Commune de l'aire urbaine de Castelnaudary située dans le Lauragais. À son pied, coule le Tréboul.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lasbordes, Laurabuc, Saint-Martin-Lalande, Villasavary et Villepinte.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de la Fontaine de Besplas, le ruisseau de Mairevieille et le ruisseau de Mézeran, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[5].
Le ruisseau de Tréboul, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Mas-Saintes-Puelles et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel à Villepinte, après avoir traversé 7 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bram », sur la commune de Bram, mise en service en 1970[12] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 679 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 26 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] : les « gravières et plaine de Bram » (2 381 ha), couvrant 6 communes du département[20].
Urbanisme
Typologie
Pexiora est une commune rurale[Note 5] - [21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pexiora est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 553 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 553 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 3].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].
Histoire
C'est à partir du XIe siècle qu'apparaît Pexiora, point relais de la via Aquitania, entre Castelnaudary (Sostomagus) et Bram (Eburomagus). Le village prend forme autour d'une chapelle romane en ruines[28].
Pexiora échappe aux dévastations que commet le Prince noir en Languedoc en 1355, moyennant une rançon importante[28].
Les Hospitaliers
À proximité de la chapelle, les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem fondent vers 1102 une commanderie[29] ainsi qu'un hôpital. Vers 1134, est également créée une deuxième chapelle, dédiée à saint Jean-Baptiste patron de leur ordre[30]. Durant la croisade contre les Albigeois, les Hospitaliers tolèrent la présence des Cathares sur le territoire de la commanderie. L'enrichissement de la commanderie, lié aux dons de terres et de bêtes de différentes personnalités locales impliquées dans l'hérésie en est peut-être à l'origine.
La commanderie est à l'origine de la construction en 1245 et 1269, de deux moulins à vent. Ils sont à l'origine de la prospérité que connaîtra le village vers le XIIIe siècle. Sept autres moulins furent érigés plus tard, au cours des siècles[31].
C'est en 1348, lors de la Peste Noire, que l'église actuelle est édifiée, s'adossant à la chapelle dédiée à saint Jean-Baptiste et entraînant la disparition de la chapelle romane. Au XVIe siècle, des fortifications y sont ajoutées, et les rénovations du XIXe siècle lui donnent son aspect actuel[28].
Héraldique
Blason | D’or au mont de sinople sommé d’un créquier du même, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys du champ. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Pexiora faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33]. En 2020, la commune comptait 1 241 habitants[Note 7], en diminution de 2,82 % par rapport à 2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 463 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 131 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 490 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,3 % | 9 % | 13,3 % |
Département[I 7] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 731 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (64,9 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 167 emplois en 2018, contre 162 en 2013 et 137 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 481, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5 %[I 10].
Sur ces 481 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 90 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
98 établissements[Note 10] sont implantés à Pexiora au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 98 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 36 | 36,7 % | (8,8 %) |
Construction | 10 | 10,2 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 20 | 20,4 % | (32,3 %) |
Activités immobilières | 2 | 2 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 11 | 11,2 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 8 | 8,2 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 11 | 11,2 % | (8,8 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,7 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 98 entreprises implantées à Pexiora), contre 8,8 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[36] :
- Setab TRPT Besombes J & Fils, transports routiers de fret interurbains (296 k€)
- Papoul Reparation, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (290 k€)
- Yves Izard - Travaux Agricoles, activités de soutien aux cultures (183 k€)
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[37] - [Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 6].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 20 en 2000 puis à 15 en 2010[39] et enfin à 16 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[40] - [Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 048 ha en 1988 à 1 715 ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 107 ha[39].
Enseignement
Pexiora fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture
- MJC de Pexiora.
- médiathèque intercommunale.
- "Les Joyeux Cantaires", chorale d'hommes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le monument aux morts, construit en mémoire des soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale. Il fut inauguré le .
- Le territoire du village est traversé par le canal du Midi. Son écluse est l'écluse de Tréboul, du nom de la rivière qui coule à proximité.
- Trois des huit moulins à vent du village subsistent encore aujourd'hui. Deux sont ouverts au public et appartiennent à la commune. Le dernier est situé dans une propriété privée.
- Église Saint-Blaise de Pexiora.
Vue d'ensemble des deux moulins Vue d'un des deux moulins
Personnalités liées à la commune
- Bernard Cadenat (1853 -1930) maire de Marseille de 1910 à 1912, est né à Pexiora.
- Olivier de Termes (1200 -1274), seigneur de Termes et de Pexiora.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Pexiora » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Pexiora » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pexiora » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pexiora » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pexiora » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de Pexiora », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le canal du Midi »
- Sandre, « le ruisseau de Tréboul »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Histoire de Pexiora et de son église », Guide des Journées du Patrimoine à Pexiora,‎ date inconnue
- « Chapelle de la commanderie de Puysubran, église paroissiale Saint-Blaise », sur base Mérimée
- « chapelle de la commanderie de Puysubran, église paroissiale Saint-Blaise », sur base Mérimée
- « Les moulins de Pexiora », Guide des Journées du Patrimoine à Pexiora,‎ date non indiquée
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Pexiora », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pexiora - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).