Lamothe-Landerron
Lamothe-Landerron est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Lamothe-Landerron | |||||
La mairie (janv. 2010). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Sébastien Goudenèche 2021-2026 |
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Code postal | 33190 | ||||
Code commune | 33221 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lamothais | ||||
Population municipale |
1 132 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 123 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 33′ 33″ nord, 0° 03′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 106 m |
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Superficie | 9,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Marmande (banlieue) |
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Aire d'attraction | Marmande (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
Située dans l'extrême est de l'Entre-deux-Mers en limite du département de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 70 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 27 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 8,5 km à l'est-sud-est de La Réole, ancien chef-lieu de canton[1].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes en sont Saint-Martin-Petit (Lot-et-Garonne) à l'est, Jusix (Lot-et-Garonne) au sud, Mongauzy à l'ouest et Saint-Michel-de-Lapujade au nord.
Communications et transports
La commune est traversée par la route départementale D 1113, ancienne route nationale 113 qui mène, vers l'ouest, à Mongauzy puis La Réole et, vers l'est, à Sainte-Bazeille et, au-delà , à Marmande.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès no 4, dit de La Réole, est distant de 20 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 33 km vers le sud-ouest.
Elle est desservie par une gare SNCF sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Duras », sur la commune de Duras, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 803,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Lamothe-Landerron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marmande, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[18] et 28 319 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,4 %), zones urbanisées (16,4 %), forêts (8,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lamothe-Landerron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Medier et le ruisseau du Loup. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2009, 2018 et 2021[26] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 539 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 539 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Grandval, un ouvrage sur la Truyère de classe A[Note 7] soumis à PPI et disposant d'une retenue de 270,6 millions de mètres cubes[30]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].
Toponymie
Le nom de « Lamothe » a pour origine le terme gascon « mòta » en graphie dite classique (« mote » en graphie moderne) provenant lui-même du mot latin mota et qui désigne une colline ou un édifice sur une colline[32].
Le nom de « Landerron » provient de celui d’une baronne, Landron[33].
Le nom de la commune est La Mòta de Landeron en gascon.
Ses habitants sont appelés les Lamothais[34].
Histoire
En 1656, Charles François de Lur de Salusses, marquis de Lur, propriétaire de la maison de Montaigne, est aussi seigneur et baron de La Mothe de Landerron[35].
En 1789, le comte de Galard-Béarn, baron de Lamothe-Landerron, est répertorié parmi les membres de l'ordre de la noblesse pour la sénéchaussée de Castelmoron[36].
À la Révolution, les paroisses Saint-Martin-de-Serres et Saint-Albert forment la commune de Lamothe-Landerron[37].
Politique et administration
Intercommunalité
Le , la Communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Lamothe-Landerron s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2020, la commune comptait 1 132 habitants[Note 8], en diminution de 3,5 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Église Saint-Martin (Saint-Martin-de-Serres selon Jacques Gardelle[43]) a été construite au XIIe siècle et remaniée au XVIe siècle ; elle est inscrite[44] à l'inventaire des monuments historiques depuis 1925.
- Dans l'ouest de la commune se trouve l'église Saint-Albert.
- L'église Saint-Martin (janv. 2010)
- Le clocher de l'église Saint-Martin (janv. 2010)
- L'église Saint-Albert, à l'ouest du bourg (janv. 2010)
- La gare (août 2011)
- Lavoir à l'abandon (août 2011)
- Le monument aux morts dans le bourg (janv. 2010)
Personnalités liées à la commune
- Paul Laffargue, producteur de cinéma, né dans la commune.
Héraldique
Blason | De gueules à deux masses de billard d'argent posées en chevron, les extrémités passées en sautoir, accompagnées de trois rencontres de biche [?] du même[46]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lamothe-Landerron », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats du recensement de la population de Lamothe-Landerron - Insee
- Lamothe-Landerron sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 58,8 km pour Bordeaux, 24,1 km pour Langon et 7,6 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 3 juillet 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Duras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lamothe-Landerron et Duras », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Duras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lamothe-Landerron et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Marmande », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Lamothe-Landerron », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lamothe-Landerron », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Grandval », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France,vol. 1, Lib. Droz, 1998, 1852 p., p. 84, consulté le 9 août 2010.
- Lamothe-Landerron sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 28 août 2014.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 3 juillet 2011.
- Collectif, Michel de Montaigne - Son Origine, sa Famille, p. 329, consulté le 9 août 2010.
- Louis de La Roque & Édouard de Barthélemy, Catalogue des gentilshommes de Guienne, Agénois et Bazadois qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789, Lib. E. Dentu & Aug. Aubry, 1865, 56 p., p. 18, consulté le 9 août 2010.
- Historique des communes, p. 27, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
- Commune de Lamothe-Landerron sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 3 juillet 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 188-190 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
- « Inscription de l'église Saint-Martin », notice no PA00083581, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 9 août 2010.
- Site web du Dynamic Moto Club Lamothais, consulté le 27 janvier 2010.
- « 33221 Lamothe-Landerron (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).