Saint-Michel-de-Lapujade
Saint-Michel-de-Lapujade est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Michel-de-Lapujade | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Christian Malandit-Sallaud 2020-2026 |
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Code postal | 33190 | ||||
Code commune | 33453 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lapujadais | ||||
Population municipale |
217 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 57″ nord, 0° 04′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 122 m |
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Superficie | 7,47 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | La Réole (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Lapujadais[1].
Géographie
Située dans l'extrême est de l'Entre-deux-Mers en limite du département de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 72 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 29 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 10 km à l'est de La Réole, chef-lieu de canton[2].
La commune est aujourd'hui composée de deux villages, Saint-Michel et Lorette, distants de deux kilomètres, ayant chacun leur église, leur cimetière et, autrefois, leur école.
Communes limitrophes
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Communications et transports
La commune est traversée, en dehors du bourg proprement dit, par la route départementale D230 qui relie Mongauzy au sud-ouest à Saint-Vivien-de-Monségur au nord-est.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 dont l'accès no 4, dit de La Réole, est distant de 22 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 35 km vers le sud-ouest.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 9,5 km vers l'ouest, de La Réole sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Duras », sur la commune de Duras, mise en service en 1962[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 803,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 44 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Michel-de-Lapujade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,1 %), terres arables (24 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (18,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Michel-de-Lapujade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[24]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 109 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 109 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2018, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
L'origine étymologique du nom de la commune est l'archange éponyme et pujada qui signifie puy, colline : la « pujade » ou le « puch » évoquent la hauteur du relief caractérisant cette partie de la commune, à l'extrémité est.
En gascon, le nom de la commune est Sent Miquèu de la Pojada.
Histoire
À la Révolution, la paroisse annexe Saint-Michel-Lapujade (de Saint-Jean de Mongauzy) est démembrée pour former les communes de Lapujade et de Saint-Michel. Le , la commune de Lapujade est rattachée à celle de Saint-Michel. Le , la commune de Saint-Michel devient Saint-Michel-de-Lapujade[27] - [28].
Politique et administration
Intercommunalité
Le , la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Saint-Michel-de-Lapujade s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2020, la commune comptait 217 habitants[Note 7], en augmentation de 1,4 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Viticulture : Entre-deux-mers (AOC)
Comme dans nombre de campagnes, la mécanisation de l'agriculture a réduit le nombre d'emplois disponibles sur place. Les bassins d'emplois de La Réole, chef-lieu du canton, et de Marmande, dans le département voisin, concentrent l'essentiel des entreprises.
La viticulture propose encore quelques emplois essentiellement saisonniers.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Michel, située au cœur du bourg, de fondation romane, a été construite en appareil au XIIe siècle avec une nef à charpente lambrissée, remaniée au XVe siècle par l'ajout d'une seconde nef voûtée au sud puis XVIIe siècle et restaurée au XIXe siècle ; elle abrite plusieurs autels et retables remarquables et est inscrite[32] - [33] à l'inventaire des monuments historiques depuis 1925.
- Le chœur comporte une travée droite avec voûte en berceau, puis un sanctuaire voûté en cul-de-four. Des fenêtres éclairent cette partie de l'édifice, dont l'un des chapiteaux est sculpté d'une sirène à deux queues largement écartées. Cette représentation de la séduction, du mal et de la luxure est encadrée de têtes monstrueuses.
- La façade occidentale est surmontée d'un clocher mur percé de deux baies en plein cintre.
- La cloche datée de 1556 est l'une des plus anciennes du secteur.
- L'église Notre-Dame-de-Lorette se situe dans un écart appelé Lorette, sur cette route départementale D230, écart situé à cheval sur les territoires communaux de Saint-Michel-de-Lapujade et de Saint-Martin-Petit en Lot-et-Garonne. Cette église a été bâtie sur l'emplacement d'une chapelle que fit construire Aliénor d'Aquitaine, après le XIIIe siècle, en commémoration d'une apparition de la Vierge survenue en 1150 à deux jeunes bergers[34] - [35].
- Pendant la Révolution, elle est vendue comme bien national. En 1830, alors que la fréquentation diminue, l'abbé Dupuch entreprend la restauration de l'édifice. En 1864, la nouvelle église est bâtie sous l'impulsion du cardinal Donnet et du comte O'Kelly, propriétaire du château de Lamothe.
- Sur la route départementale D230 (Mongauzy-Saint-Vivien-de-Monségur), un monument aux morts a été dressé en souvenir de l'attaque[36] subie le par le maquis de Lorette fondé par Daniel Faux et son épouse en [37].
- L'église Saint-Michel dans le bourg (fév. 2010)
- L'intérieur de l'église Saint-Michel (fév. 2010)
- L'église Notre-Dame-de-Lorette (mars 2010)
- Le monument aux morts de la Résistance (mars 2010)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Michel-de-Lapujade », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats du recensement de la population de Saint-Michel-de-Lapujade sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Saint-Michel-de-Lapujade sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 24 juin 2011.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 58,5 km pour Bordeaux, 25,5 km pour Langon et 8,3 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 24 juin 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Duras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Lapujade et Duras », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Duras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Lapujade et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Michel-de-Lapujade », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Michel-de-Lapujade », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Historique des communes, p. 56, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Classement de l'église Saint-Michel », notice no PA00083790, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 juillet 2010.
- « Images de l'église Saint-Michel », base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 29 juillet 2010.
- L'église Notre-Dame de Lorette sur Comité régional du tourisme Aquitaine, consulté le 29 juillet 2010.
- Charles Denis William O'Kelly Farrell, « La fontaine d'Esther : notice sur l'antique chapelle de Notre-Dame-de-Lorette de la Pujade, ou de la Colline, de fondation royale, arrondissement de La Réole (Gironde) », sur Google books, Impr. Th. Henrion, (consulté le ).
- Dominique Lormier, Bordeaux brûle-t-il ? ou La Libération de la Gironde, 1940-1945, 1998, 72 p., p. 97, consulté le 29 juillet 2010.
- Dominique Lormier, Bordeaux brûle-t-il ? ou La Libération de la Gironde, 1940-1945, 1998, 72 p., p. 95, consulté le 29 juillet 2010.