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Saint-Vivien-de-Monségur

Saint-Vivien-de-Monségur (Sent Vivian de Montsegur en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Vivien-de-Monségur
Saint-Vivien-de-Monségur
La mairie (août 2010).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Philippe Moute
2020-2026
Code postal 33580
Code commune 33491
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Viviennais
Population
municipale
395 hab. (2020 en augmentation de 8,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 37â€Č 01″ nord, 0° 06â€Č 28″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 131 m
Superficie 15,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du RĂ©olais et des Bastides
LĂ©gislatives DouziĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Vivien-de-Monségur
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Saint-Vivien-de-Monségur
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Saint-Vivien-de-Monségur
Liens
Site web www.saint-vivien-de-monsegur.com/

    Ses habitants sont appelés les Saint-Viviennais[1].

    GĂ©ographie

    La commune se trouve Ă  75 km Ă  l'est-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  35 km Ă  l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et Ă  4,5 km au sud-sud-est de MonsĂ©gur, chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes en sont Cours-de-Monségur au nord-est, Saint-Géraud à l'est, Castelnau-sur-Gupie au sud-est (ces deux derniÚres communes sont Lot-et-Garonnaises), Saint-Michel-de-Lapujade au sud-ouest, Sainte-Gemme à l'ouest et Monségur au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Saint-Vivien-de-Monségur
    Monségur Cours-de-Monségur
    Sainte-Gemme Saint-Vivien-de-Monségur Saint-Géraud
    (Lot-et-Garonne)
    Saint-Michel-de-Lapujade Lagupie
    (Lot-et-Garonne), sur 50 m
    Castelnau-sur-Gupie
    (Lot-et-Garonne)

    La principale voie de communication routiÚre est la route départementale D230 qui traverse le bourg et mÚne à Monségur vers le nord-ouest et, vers le sud, soit vers Mongauzy au sud-ouest, soit vers Sainte-Bazeille (Lot-et-Garonne) au sud ; le bourg est également traversé par la route départementale D124 qui mÚne à Sainte-Gemme à l'ouest et à Taillecavat (Lot-et-Garonne) au nord-est et par l'une de ses extensions, la route départementale D124e4 en direction de Saint-Géraud (Lot-et-Garonne).

    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 4 La RĂ©ole qui se situe Ă  22 km vers le sud-ouest.
    L'accĂšs Sortie 1 Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  45 km vers le sud-ouest.
    L'accĂšs Sortie 12 Montpont le plus proche Ă  l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) se situe Ă  48 km vers le nord.

    La gare SNCF la plus proche est celle de La RĂ©ole, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, situĂ©e Ă  15,5 km au sud-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 801 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Duras », sur la commune de Duras, mise en service en 1962[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 803,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le dĂ©partement de la Dordogne, mise en service en 1988 et Ă  40 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vivien-de-Monségur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (83,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (50,3 %), cultures permanentes (17,2 %), forĂȘts (16,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Vivien-de-MonsĂ©gur est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vivien-de-Monségur.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 203 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 203 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2018, par la sécheresse en 1989, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Vivien de Boissan forme la commune de Saint-Vivien. En 1913, la commune de Saint-Vivien devient Saint-Vivien-de-MonsĂ©gur[26] - [27] pour faire le distinguo avec les deux autres Saint-Vivien du dĂ©partement de la Gironde (Saint-Vivien-de-Blaye prĂ©cisĂ© en 1910 et Saint-Vivien-de-MĂ©doc prĂ©cisĂ© en 1923).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 ? GĂ©rard Louis
    mars 2001 mars 2014 Laurent Cadic
    mars 2014 En cours Philippe Moute Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la Communauté de communes du Monségurais ayant été supprimée, la commune de Saint-Vivien-de-Monségur s'est retrouvée intégrée à la Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 395 habitants[Note 6], en augmentation de 8,22 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    780696774919902876855903824
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    751780782394671621610580582
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    560566563488488505507493483
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    482453359321360370375376382
    2014 2019 2020 - - - - - -
    365383395------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Vivien (aoĂ»t 2010)
      L'église Saint-Vivien (août 2010)
    • Chevet et clocher de l'Ă©glise Saint-Vivien (aoĂ»t 2010)
      Chevet et clocher de l'église Saint-Vivien (août 2010)
    • Porte latĂ©rale et porche de l'Ă©glise Saint-Vivien (aoĂ»t 2010)
      Porte latérale et porche de l'église Saint-Vivien (août 2010)
    • Le monument aux morts sur la place devant l'Ă©glise (aoĂ»t 2010)
      Le monument aux morts sur la place devant l'église (août 2010)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants dela commune sur habitants.fr, consulté le 26 mai 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 59,4 km pour Bordeaux, 29,1 km pour Langon et 4,4 km pour MonsĂ©gur. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 26 mai 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Duras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Vivien-de-Monségur et Duras », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Duras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Vivien-de-Monségur et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Vivien-de-Monségur », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. Historique des communes, p. 61, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 8 avril 2013.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Inscription de l'église », notice no PA00083814, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 26 mai 2011.
    33. « Images de l'église », base Mémoire, ministÚre français de la Culture, consulté le 26 mai 2011.
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