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Mongauzy

Mongauzy (Mont Gausir en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Mongauzy
Mongauzy
L'hôtel de ville (juil. 2009).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Clara Delas
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33287
Démographie
Gentilé Mongauzyns
Population
municipale
599 hab. (2020 en diminution de 0,83 % par rapport à 2014)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 05″ nord, 0° 02′ 05″ est
Altitude Min. 13 m
Max. 110 m
Superficie 6,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Marmande
(banlieue)
Aire d'attraction La Réole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Mongauzy
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Mongauzy
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Mongauzy
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Mongauzy
Liens
Site web www.mongauzy.fr

    Ses habitants sont appelés les Mongauzyns[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Mongauzy se situe dans l'extrême est du département, en limite du département voisin de Lot-et-Garonne, au nord (rive droite) de la Garonne, à 67 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 25 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 6,5 km à l'est-sud-est de La Réole, ancien chef-lieu de canton[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Fossès-et-Baleyssac au nord-est, Saint-Michel-de-Lapujade à l'est, Lamothe-Landerron au sud-est, Jusix (Lot-et-Garonne) à l'extrême sud-sud-est sur environ 700 m, Bourdelles au sud-ouest, Montagoudin à l'ouest et Saint-Hilaire-de-la-Noaille au nord-ouest.

    La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 1113, ancienne route nationale 113 qui mène à Montagoudin et La Réole vers l'ouest et à Lamothe-Landerron et Marmande vers l'est.
    L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès Sortie 4 La Réole est distant de 12 km par la route vers le sud-ouest.
    L'accès Sortie Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 31 km vers le sud-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante d'un km par la route vers l'est, de gare de Lamothe-Landerron sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. La gare de La Réole présentant plus de trafic se trouve à 5,5 km par la route vers l'ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 809 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 47 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Mongauzy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marmande, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[19] et 28 319 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,4 %), cultures permanentes (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (6,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mongauzy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Medier. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2000, 2009, 2018 et 2021[27] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[28]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mongauzy.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 290 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Grandval, un ouvrage sur la Truyère de classe A[Note 7] soumis à PPI et disposant d'une retenue de 270,6 millions de mètres cubes[32]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

    Histoire

    Seigneurie de La Mothe-Mongauzy.

    À la Révolution, la paroisse Saint-Jean de Mongauzy forme la commune de Mongauzy. La paroisse Saint-André-du-Garn forme la commune de Saint-André-du-Garn. Le , la commune de Saint-André-du-Garn est rattachée à celle de Mongauzy[34], soit une augmentation de population de 186 habitants (recensement de 1962)[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1837 1870 Morrat
    …
    mars 2008 En cours Clara Delas[36] PS Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Mongauzy s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 599 habitants[Note 8], en diminution de 0,83 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    618479596553512513542592508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    555552534523519512511482501
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    477490466402407411431432406
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    406555538537531568579580604
    2017 2020 - - - - - - -
    595599-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Jean, à proximité de la route départementale D 1113, date des XIe et XIIIe siècles ; elle est inscrite au titre des monuments historiques et protégée depuis 1925[41].
    • Église Saint-André de Saint-André-du-Garn. L'ancienne commune de Saint-André-du-Garn possède sa propre église sur les hauteurs au nord de Mongauzy.
    • Le château de la Providence sur l'ancienne commune de Saint-André-du-Garn
    • Le château de la Providence (vers 1900)
      Le château de la Providence (vers 1900)
    • L'église Saint-Jean (juil. 2009).
      L'église Saint-Jean (juil. 2009).
    • Le clocher-mur de l'église Saint-Jean (juil. 2009).
      Le clocher-mur de l'église Saint-Jean (juil. 2009).
    • L'église de Saint-André-du-Garn (janv. 2010).
      L'église de Saint-André-du-Garn (janv. 2010).
    • Le monument aux morts dans le cimetière près de l'église Saint-Jean (juil. 2009).
      Le monument aux morts dans le cimetière près de l'église Saint-Jean (juil. 2009).
    • Le monument aux morts de Saint-André-du-Garn (janv. 2010).
      Le monument aux morts de Saint-André-du-Garn (janv. 2010).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 28 juin 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 56,9 km pour Bordeaux, 22,5 km pour Langon et 5,7 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 28 juin 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Mongauzy et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Mongauzy et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Marmande », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques près de chez moi - commune de Mongauzy », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mongauzy », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. Article R214-112 du code de l’environnement
    32. « barrage de Grandval », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    34. Historique des communes, p. 35, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-André-du-Garn », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    36. Commune de Mongauzy sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 28 juin 2011.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Inscription MH de l'église Saint-Jean », notice no PA00083635, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 27 janvier 2010.
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