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Saint-Hilaire-de-la-Noaille

Saint-Hilaire-de-la-Noaille est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Hilaire-de-la-Noaille
Saint-Hilaire-de-la-Noaille
La mairie (fév. 2010)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Didier Lecourt
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33418
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Hilairois
Population
municipale
376 hab. (2020 en diminution de 1,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 36â€Č 07″ nord, 0° 00â€Č 09″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 130 m
Superficie 11,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La RĂ©ole
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du RĂ©olais et des Bastides
LĂ©gislatives DouziĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-de-la-Noaille
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Saint-Hilaire-de-la-Noaille
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Saint-Hilaire-de-la-Noaille
Liens
Site web https://www.sainthilairedelanoaille.fr

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    BordĂ©e au nord par le Dropt, la commune se trouve dans l'Entre-deux-Mers, Ă  64 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  24 km Ă  l'est-nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  km au nord-est de La RĂ©ole, chef-lieu de canton[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Roquebrune, FossĂšs-et-Baleyssac, Loubens, Mongauzy, Montagoudin, La RĂ©ole et Saint-SĂšve.

    Les communes limitrophes en sont Roquebrune au nord-est, FossĂšs-et-Baleyssac Ă  l'est, Mongauzy au sud-est sur moins d'un km, Montagoudin au sud, La RĂ©ole au sud-ouest, Saint-SĂšve Ă  l'ouest et Loubens au nord-ouest sur moins de deux km.

    Communes limitrophes de Saint-Hilaire-de-la-Noaille
    Loubens Roquebrune
    Saint-SĂšve Saint-Hilaire-de-la-Noaille FossĂšs-et-Baleyssac
    La RĂ©ole Montagoudin Mongauzy

    Voies de communication et transports

    La principale voie de communication routiÚre traversant la commune, entre bourg et église, est la route départementale D668, ancienne route nationale 668 qui relie La Réole au sud-ouest à Monségur au nord-est via Roquebrune ; la route départementale D129 traverse également le bourg, menant à Saint-SÚve au nord-ouest et vers FossÚs-et-Baleyssac et Montagoudin au sud-est.

    L'accĂšs le plus proche Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 4, dit de La RĂ©ole, distant de 13 km par la route vers le sud-sud-ouest.
    L'accĂšs no 1, dit de Bazas, Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  31 km vers le sud-sud-ouest.
    L'accĂšs le plus proche Ă  l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'Ă©changeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe Ă  45 km vers le nord-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 5,5 km par la route vers le sud-ouest, de La RĂ©ole sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Aquitaine.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 810 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 809,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le dĂ©partement de la Dordogne, mise en service en 1988 et Ă  47 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-de-la-Noaille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La RĂ©ole, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (76,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48,2 %), forĂȘts (23,2 %), cultures permanentes (15,2 %), prairies (12,1 %), terres arables (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-de-la-Noaille est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Hilaire-de-la-Noaille.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 176 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 176 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2000 et 2009, par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    Le nom de la commune vient du saint Ă©ponyme, Ă©vĂȘque de Poitiers vers 350, trĂšs populaire dans la rĂ©gion, et du latin novalia, qui dĂ©signe une « terre nouvellement dĂ©frichĂ©e », Ă©voquant l’action menĂ©e par les moines bĂ©nĂ©dictins de La RĂ©ole aux Xe et XIe siĂšcles[24].

    En gascon, le nom de la commune est Sent Ilari de la Noalha.

    Les habitants sont appelés les Saint-Hilairois[25].

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Hilaire-de-la-Noaille forme la commune de Saint-Hilaire-de-la-Noaille[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1990 mars 2014 Louis NĂ©gro
    mars 2014 En cours Didier Lecourt ContremaĂźtre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Saint-Hilaire-de-la-Noaille s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 376 habitants[Note 7], en diminution de 1,57 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    516487483478424442426410407
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384405392389356363342326342
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    353362393340381357406392397
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    329316296271291305355362374
    2017 2020 - - - - - - -
    381376-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le portail inscrit de l'Ă©glise Saint-Hilaire (fĂ©v. 2010)
      Le portail inscrit de l'église Saint-Hilaire (fév. 2010)
    • L'Ă©glise Saint-Hilaire (fĂ©v. 2010)
      L'église Saint-Hilaire (fév. 2010)
    • Le chĂąteau (fĂ©v. 2010)
      Le chùteau (fév. 2010)
    • Le monument aux morts prĂšs de la mairie (fĂ©v. 2010)
      Le monument aux morts prÚs de la mairie (fév. 2010)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 52,9 km pour Bordeaux, 20,7 km pour Langon et 3,7 km pour La RĂ©ole. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 13 aoĂ»t 2011.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-de-la-Noaille et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-de-la-Noaille et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Hilaire-de-la-Noaille », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. Saint-Hilaire-de-la-Noaille sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 3 mars 2015.
    25. Noms des habitants sur le site habitants.fr,consulté le 28 février 2015.
    26. Historique des communes, p. 52, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Notice MH de l'église », notice no PA00083751, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 13 août 2011.
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