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La Celle-Dunoise

La Celle-Dunoise (La Cele de Dun en occitan marchois) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

La Celle-Dunoise
La Celle-Dunoise
Vue d'ensemble du pont et de la partie ancienne de La Celle-Dunoise
Blason de La Celle-Dunoise
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Dunois
Maire
Mandat
Jacques-André Boquet
2021-2026
Code postal 23800
Code commune 23039
DĂ©mographie
Population
municipale
537 hab. (2020 en diminution de 1,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 18 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 18â€Č 38″ nord, 1° 46â€Č 15″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 392 m
Superficie 29,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dun-le-Palestel
LĂ©gislatives Circonscription unique
Localisation
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La Celle-Dunoise
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Liens
Site web lacelledunoise.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  environ 20 kilomĂštres au nord-ouest de GuĂ©ret.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune s'Ă©tend de part et d'autre de la Grande Creuse et comporte 38 hameaux, Ă©carts ou lieux-dits.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 928 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bonnat », sur la commune de Bonnat, mise en service en 1970[7] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 859,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « ChĂąteauroux DĂ©ols », sur la commune de DĂ©ols, dans le dĂ©partement de l'Indre, mise en service en 1893 et Ă  58 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  11,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Celle-Dunoise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de GuĂ©ret, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (80 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (40,4 %), prairies (36,1 %), forĂȘts (18,3 %), terres arables (3,1 %), zones urbanisĂ©es (1,4 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Celle-Dunoise est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Celle-Dunoise.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 25 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (33,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 568 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 198 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 35 %, Ă  comparer aux 25 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 8] soumis Ă  PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mĂštres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de La Celle-Dunoise est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[28].

    Toponymie

    La Celle en 1793, La Celle-Dunois en 1801[29].

    Son nom fait référence au pays "Dunois" (ainsi nommé en référence à Dun-le-Palestel, l'antique Dunum), comme celui d'autres communes (BussiÚre-Dunoise, Saint-Sulpice-le-Dunois).

    Le nom de la localitĂ© est mentionnĂ© sous les formes latinisĂ©es Ecclesia de Cella en 1154, Prior de Cella en 1216, Ecclesia de Cella dunensi en 1339 qui montre que l'adjectif dunoise (latinisĂ© en dunensi) est dĂ©jĂ  attestĂ© au Moyen Âge[30] - [31].

    Les mot Celle et Cela en toponymie signifient « cellule, ermitage, dépendance d'un monastÚre » tant en langue d'oïl qu'en occitan qui est parlé localement. Ici il s'agit du terme occitan générique Cela qui a été francisé, généralement en Celle dans les noms de lieux[32]. En marchois, dialecte qui est parlé sur place le « a » final occitan n'existant pas il est remplacé par un « e » muet comme en français[33]. La Cela en ancien occitan devient donc La Cele en marchois moderne, facilitant la francisation en La Celle.

    Histoire

    La Celle-Dunoise a des origines gallo-romaines, comme en témoignent différents vestiges découverts sur le territoire de la commune. Elle se situe sur le tracé d'une ancienne voie gallo-romaine venant d'Aigurande (Equoranda), qui bifurquait à Chambon-Sainte-Croix (Cambo), passait par le hameau de Puy-Manteau, traversait la Creuse à Cella, pour rejoindre ensuite Salagnac (Salaniacum), Saint-Goussaud et enfin Limoges (Augustoritum).

    Un chĂąteau fort y avait Ă©tĂ© Ă©difiĂ© au XIIe siĂšcle. Il fut dĂ©truit vers 1500. Il appartenait Ă  la famille de La Celle, citĂ©e pour la premiĂšre fois au milieu du XIe siĂšcle, l’une des plus puissantes de la Marche au Moyen Âge. Il n'en subsiste rien aujourd'hui.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Jean-Marie Sachet
    mars 2014 novembre 2021 Claude Landos SE Docteur en médecin générale
    décembre 2021 En cours Jacques-André Boquet SE

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[34].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 537 habitants[Note 9], en diminution de 1,83 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8211 7271 5081 8481 8581 9141 9531 9761 995
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9351 8421 8581 7761 9021 8201 8801 8001 740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6661 6071 5491 3501 2821 2301 1921 0951 005
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    898880732668589598610606607
    2014 2019 2020 - - - - - -
    547541537------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    On y trouve un cabinet mĂ©dical, neuf artisans Ɠuvrant essentiellement dans le secteur du bĂątiment (couverture, plomberie-chauffage, Ă©lectricitĂ©, menuiserie, etc.), un salon de coiffure, deux restaurants-bars et un petit magasin de produits alimentaires locaux. La commune est le siĂšge social d'une cartonnerie dont les ateliers se situent Ă  Bonnat[38]. Quatre artistes peintres ou crĂ©ateurs d'objets d'art ou de bijoux sont Ă©galement installĂ©s Ă  La Celle-Dunoise. L'Ă©cole primaire fonctionne dans le cadre d'un accord avec la commune limitrophe de Saint-Sulpice-le-Dunois.

    Un camping et des chalets en location permettent d'accueillir l'été des touristes à l'intention desquels ont été aménagés deux courts de tennis ainsi qu'une baignade sur la rive gauche de la Creuse.

    Culture locale et patrimoine

    La Creuse et l'ancien moulin.
    L'Ă©glise Saint Pierre-Ăšs-Liens.

    Lieux et monuments

    • L'ensemble de la vallĂ©e de la Creuse, Ă  laquelle appartient La Celle-Dunoise, est classĂ©e comme site Natura 2000.
    La Creuse dĂ©crit une ample courbe, au milieu de laquelle la diagonale de la chaussĂ©e d’un ancien moulin forme une cascade dont les bouillonnements vont se perdre sous les arches d’un pont dont les origines se situent au XIVe siĂšcle (il fut entiĂšrement refait en 1891 Ă  partir du plan originel).
    Située dans la partie la plus ancienne du village, surplombe la riviÚre. Elle est placée sous le vocable de saint Pierre-Ús-Liens.
    À l'origine, elle Ă©tait sans doute « un Ă©difice Ă  vaisseau unique avec chƓur Ă  trois ou cinq pans[39] ». Le portail ouest (XIIIe) est de facture typiquement limousine. Sur le mur extĂ©rieur Nord, l’ancien portail polylobĂ© a Ă©tĂ© murĂ© ; remarquer une porte en accolade de style flamboyant (dĂ©but du XVIe).
    Contre le mur extĂ©rieur Sud, une « pierre des morts[40] » n’est autre qu’un cippe gallo-romain rĂ©utilisĂ©. La façade occidentale et la premiĂšre travĂ©e de la nef ont Ă©tĂ© reconstruites en 1864 sur les plans de l'architecte dĂ©partemental Masbrenier[41]. La petite tourelle situĂ©e au nord ne serait pas un vestige de fortification ; on suppose qu’il pouvait s’agir d’un pigeonnier.
    À l’intĂ©rieur, on verra notamment des chapiteaux sculptĂ©s figurant des animaux. La chapelle sud, flamboyante, est consacrĂ©e Ă  la Vierge. Elle fut consacrĂ©e en 1455 par Michel de Montbrun, Ă©vĂȘque de Nicosie, coadjuteur de l'Ă©vĂȘque de Limoges[42].
    Le portail et l’abside de l'Ă©glise sont classĂ©s au titre des Monuments historiques le , les parties non protĂ©gĂ©es Ă©tant inscrites au titre des Monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [43].
    • Sur la route de Saint-Sulpice-le-Dunois, Ă  la sortie de la Celle-Dunoise, sur la gauche, on aperçoit, creusĂ©e dans le rocher, l'entrĂ©e de la galerie d'une ancienne mine d'or (accĂšs interdit). Elle abrite des chauve-souris, espĂšce protĂ©gĂ©e.
    • Le barrage de l'Âge, sur la Grande Creuse, a Ă©tĂ© mis en service en 1982. Haut de prĂšs de 20 mĂštres, il appartient Ă  EDF.

    Cartes postales anciennes

    Personnalité liée à la commune

    • Louis Lacrocq (1868-1940), avocat, Ă©rudit, ancien prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© des sciences naturelles et archĂ©ologiques de la Creuse, auteur de nombreux articles sur l'archĂ©ologie gallo-romaine et l'architecture religieuse du dĂ©partement.

    HĂ©raldique

    Blason de La Celle-Dunoise Blason
    D'argent à une aigle de sable, becquée et membrée d'or[44].
    DĂ©tails
    Armes de la famille de La Celle.

    Utilisé par la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Louis Lacrocq, Monographie de La Celle-Dunoise, Guéret, Lecante, 1929 (réédition en 1982)[45].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[25].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Notes

      Références

      1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
      2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
      5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station Météo-France Bonnat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre La Celle-Dunoise et Bonnat », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Bonnat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre La Celle-Dunoise et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
      16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
      19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
      20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de La Celle-Dunoise », sur Géorisques (consulté le )
      21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
      22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
      23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Celle-Dunoise », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
      25. Article R214-112 du code de l’environnement
      26. « barrage de Confolent », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
      27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
      28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
      29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
      30. André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Limoges, Ducourtieux, 1902 (Laffitte reprints, 2000), p. 104.
      31. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, librairie Droz (Lire en ligne)
      32. Ernest NĂšgre, Op. cit.
      33. Jean-Pierre Baldit, « Quelle graphie utilisĂ©e pour le marchois ? », Patois et chansons de nos grands-pĂšres marchois. Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon (dir. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, GĂ©rard Guillaume), Paris, Éditions CPE,‎ , p. 84-87 (ISBN 9782845038271).
      34. Site des villes et villages fleuris, consulté le .
      35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      38. Site de l'entreprise
      39. Monuments historiques du Limousin, 1985-1995. 10 ans de protection, Limoges, Association Culture et patrimoine en Limousin, 1995, p. 36.
      40. Dans le Limousin, une ancienne tradition voulait que l'on dépose les cercueils devant les églises sur des « pierres des morts ». Le curé bénissait alors le cercueil, comme pour donner au défunt « l'entrant » dans l'église, autrement dit dans la demeure du PÚre.
      41. Monuments historiques du Limousin, 1985-1995, Ibid.
      42. André Lecler, Ibid.
      43. « Église Saint-Pierre-Ăšs-Liens », notice no PA00100026, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
      44. « 23039 La Celle-Dunoise (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
      45. Cet ouvrage fit l'objet d'un compte rendu Ă©logieux de la part de Marc Bloch dans la revue Les Annales :
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