Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Goussaud

Saint-Goussaud (Sent Gossaud en occitan, prononcé Sèn Goussao) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Goussaud
Saint-Goussaud
Saint-Goussaud, vue du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg
Maire
Mandat
Sophie Simon
2020-2026
Code postal 23430
Code commune 23200
Démographie
Gentilé Gonsaldiens, Gonsaldiennes
Population
municipale
166 hab. (2020 en diminution de 4,05 % par rapport à 2014)
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 29″ nord, 1° 34′ 44″ est
Altitude Min. 377 m
Max. 694 m
Superficie 24,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Bourg
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Goussaud
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Goussaud
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Voir sur la carte topographique de la Creuse
Saint-Goussaud
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Goussaud

    Ses habitants sont appelés Gonsaldiens et Gonsaldiennes.

    Géographie

    Localisation

    Elle est à peu près équidistante des villes de Limoges et Guéret, soit à environ 40 km (par la route) de l'une et l'autre.

    Elle est limitrophe à l'ouest du département de la Haute-Vienne.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Paysage près de Saint-Goussaud

    La commune de Saint-Goussaud est située à l'est des monts d'Ambazac, au cœur des monts de la Marche, dans la partie que l'on nomme traditionnellement monts de Saint-Goussaud.

    Saint-Goussaud abrite le deuxième sommet des monts d'Ambazac, le puy de Jouer (ou mont Jouer), qui culmine à 694 mètres. Le bourg est quant à lui situé à environ 660 mètres d'altitude.

    La relative rudesse du climat et l'enclavement qui en découle l'hiver donnent à Saint-Goussaud un caractère davantage montagnard qu'aux communes creusoises des alentours comme Mourioux-Vieilleville, Marsac ou Saint-Pierre-Chérignat. Cela se ressent notamment dans l'architecture locale et dans certaines traces de la vie passée, comme les loges en pierre sèche qui abritaient les bergers en cas de mauvais temps.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 306 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Benevent_sapc », sur la commune de Bénévent-l'Abbaye, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 027,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Goussaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), prairies (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Goussaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Goussaud.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 200 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 66 sont en en aléa moyen ou fort, soit 33 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Goussaud est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

    Histoire

    Carte postale de la lanterne des morts vers 1910.

    Origines

    Les origines de Saint-Goussaud sont gallo-romaines, comme en témoignent les vestiges (ruines d'un temple et d'un théâtre) que l'on peut voir sur le Puy-de-Jouer (694 m)[26]. Longtemps, se référant à un cadastre où des parcelles étaient répertoriées sous le nom de "Prataury", on a cru pouvoir identifier ce site avec celui de l'antique Praetorium mentionnée sur la carte de Peutinger. Ce n'est pas le cas[27]. Il s'agissait d'un sanctuaire de hauteur, principalement fouillé par l'abbé Dercier entre 1901 et 1920, et sur lequel on ne sait pas grand-chose.

    Au VIIe un disciple de saint Priest, évêque de Clermont, Gonsaldus (d'où le nom de la commune), devenu berger, y aurait installé son ermitage. Après sa mort, en 689, un culte populaire s'est développé sur les lieux de son tombeau. On invoquait le saint homme pour la protection du bétail[28].

    Maçons migrants

    Comme de nombreuses communes creusoises, Saint-Goussaud a fourni durant des siècles un nombre important de maçons de la Creuse. Certains se sont définitivement établis dans les régions de Paris, Lyon ou encore Reims comme ouvriers ou comme entrepreneurs, notamment au XIXe siècle. Les maçons de Saint-Goussaud allaient en grande majorité travailler en Île-de-France, dans l'Aisne et dans la Marne[29].

    Politique et administration

    Canton

    Saint-Goussaud appartient au canton du Grand-Bourg, dix-sept communes et 7 000 habitants, depuis le redécoupage cantonal de 2014.

    Les conseillers départementaux du Grand-Bourg sont Annie Chambereau et Bertrand Labar (Droite-Centre)14. depuis les dernières cantonales de 2015.

    Département

    Le département de la Creuse a été créé à la Révolution en 1790 en application de la loi du , essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche.

    Depuis 2015, le conseil départemental de la Creuse est présidé par Valérie Simonet (LR)15.

    Intercommunalité

    Le canton du Grand-Bourg est tout entier compris dans la communauté de communes Monts et vallées Ouest Creuse, avec les cantons de la Souterraine et de Dun-le-Palestel.

    Monts et vallées Ouest Creuse a été créée à la suite du redécoupage des intercommunalités de la loi NOTRe en 2017. Elle est présidée depuis par Étienne Lejeune (PS)16.

    Circonscription législative

    Saint-Goussaud appartient à l'unique circonscription de la Creuse, composée de tous les cantons de la Creuse depuis les élections législatives de .

    Le député de cette circonscription est Jean-Baptiste Moreau (LREM)17, élu lors des dernières législatives de juin 2017.

    Région

    La Région Nouvelle-Aquitaine a remplacé la Région Limousin au , plaçant le Grand-Bourg à 270 kilomètres et 3 h 15 de sa préfecture de Région, Bordeaux (contre 40 kilomètres et 45 minutes, pour Limoges précédemment)18.

    Maire

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Jean-Marie Richard
    mars 2008 2014 Patrick Dourdy
    mars 2014 En cours Bernard Leroudier SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 166 habitants[Note 7], en diminution de 4,05 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1251 1221 1071 0971 0261 0361 0871 0251 108
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1731 0901 0991 0381 0681 0581 0911 1281 089
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1041 0731 005814788693635551506
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    407353285271238213212210199
    2015 2020 - - - - - - -
    163166-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jusqu'aux années 1910, la commune de Saint-Goussaud comptait plus de 1000 habitants (1005 habitants en 1911). Victime de la première Guerre mondiale puis de l'exode rural comme beaucoup de communes creusoises, sa population a chuté d'environ 80 % en un siècle.

    Lieux et monuments

    L'église de Saint-Goussaud date de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1973[34]. La chapelle nord a été édifiée au XVe siècle et le chevet a été remanié au XVIe siècle[35]. Parmi le mobilier, une statue en bois du XVIIIe siècle, figurant saint Goussaud, avec un petit bœuf dans lequel il est d'usage de piquer des épingles pour invoquer la protection du saint homme.

    La formule populaire locale dit :

    Doua vei per an nous van a Saint-Goussaud

    Li fa la devouci per notre gros betiaou

    Las fillas lou garçous li van de lour couta

    Li piqua de l'épinga par lou fa marida

    (Deux fois par an nous allons à Saint-Goussaud, y faire la dévotion pour notre gros bétail, Les filles et les garçons y vont de leur côté y piquer des épingles pour se faire marier). L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1973[36].

    Non loin de l'église, on remarque une lanterne des morts (XIIe siècle), haute de 5,50 mètres, rapportée de l'ancien cimetière. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1914[37].

    En aval du puy de Jouer se trouve la tourbière de Friaulouse, dans laquelle peuvent être observées de nombreuses espèces de fleurs, d'oiseaux et d'insectes.

    Sur le Puy de Jouer se trouvent les vestiges d'un théâtre et d'un temple gallo-romain inscrits et classés au titre des monuments historiques en 1984[38].

    • Statue de Saint Goussaud et son petit bÅ“uf
      Statue de Saint Goussaud et son petit bœuf
    • La lanterne des morts
    • Le théâtre gallo-romain du Puy de Jouer
      Le théâtre gallo-romain du Puy de Jouer
    • Loge en pierre sèche, près de Saint-Goussaud
      Loge en pierre sèche, près de Saint-Goussaud
    • La source du Rivalier à Saint-Goussaud
      La source du Rivalier à Saint-Goussaud

    Lieux-dits

    La commune de Saint-Goussaud regroupe seize villages dispersés autour du bourg, dans un paysage très vallonné : Bossabut, Champégaud, Le Châtain, La Chatenède (parfois Chatenaide ou Chateneide)[Note 8], Le Crocq, La Feyte, Le Fieux, Friaulouse, Les Gabiauds, Lavaud, Millemilanges, Redondessagne, La Ribière, La Roche, Séjoux, La Verdenne.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Sur les cartes IGN, on trouve La Chatenaide. Ce village a appartenu aux Hospitaliers de la commanderie de Paulhac tout comme le village voisin de Villechabrolle[39].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Benevent_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Goussaud et Bénévent-l'Abbaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Benevent_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Goussaud et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Goussaud », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Goussaud », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    26. Connu au XIIe siècle sous le nom de Podium sancti Gonsaldi
    27. Dominique Dussot, La Creuse. (Carte archéologique de la Gaule. 23), Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1989, art. « Saint-Goussaud »
    28. Abbé André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Limoges, Ducourtieux, 1902 (Laffitte Reprints, 2000), p. 634.
    29. D'après le site de généalogie http://www.migrants-limousin.fr
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Eglise Saint-Goussaud », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    35. Louis Lacrocq, Les églises de France. Creuse, Paris, Letouzey et Ané, 1934, p. 142.
    36. Notice no PA00100165, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00100166, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Notice no PA00100167, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 132, lire en ligne sur Gallica ; Andrée Louradour, « La commanderie de Paulhac », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. 36, fasc. 3,‎ , p. 495, lire en ligne sur Gallica
      Le commandeur de Paulhac était seigneur en toute justice de « La Chastanède et de Ville-Chabrolle en peïs de Poitou ».
      .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.