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Les Billanges

Les Billanges [le bilɑ̃ʒ] (Los Bilanges en occitan) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Les Billanges
Les Billanges
L'église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Les Billanges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Manuel Perthuisot
2020-2026
Code postal 87340
Code commune 87016
DĂ©mographie
Gentilé Billangeots
Population
municipale
287 hab. (2020 en diminution de 5,9 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 57â€Č 53″ nord, 1° 32â€Č 03″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 451 m
Superficie 22,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ambazac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Les Billanges
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    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune des Billanges fait partie des monts d'Ambazac, et borde la rive droite du Taurion qui lui sert de limite sud-est.

    Communes limitrophes

    Situation de la commune des Billanges par rapport aux communes voisines.
    Situation de la commune des Billanges en Haute-Vienne.

    Lieux-dits

    • L'Age, sur le territoire duquel se trouve Majaurde, autrefois propriĂ©tĂ© dĂ©pendante des moines de Grandmont, rĂ©sidant Ă  TrĂ©zin[2] ;
    • le Bas Breuil ;
    • la Bergerie ;
    • la Besse ;
    • la Betoulle ;
    • le Bois ;
    • Chantegros. Une sĂ©pulture gallo-romaine y est dĂ©couverte en 1901 au lieu-dit les Blanchaux[2] ;
    • le ChĂątelard ;
    • les Égaux ;
    • Entrecolles ;
    • la Gance ;
    • le Gouteix ;
    • les Lilas, oĂč se trouve un pont sur le Taurion[2] ;
    • Lignac ;
    • Maisonnieux ;
    • la Nouaille ;
    • le PĂ©chereau ;
    • Perrassades ;
    • la Planche ;
    • Ponchale ;
    • le Puy Rebourg ;
    • le Rat ;
    • TrĂ©zin ; Ă  l'emplacement du village Ă©tait une chapelle de l'ordre disparu de Grandmont ;
    • Virareix.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 065 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Leger la Montagne_sapc », sur la commune de Saint-LĂ©ger-la-Montagne, mise en service en 1998[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 415,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  25 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Billanges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (62,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,4 %), prairies (12,7 %), terres arables (5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,3 %), eaux continentales[Note 8] (0,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune des Billanges est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Billanges.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 19,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de la Creuse et prĂ©sentant une hauteur de digue de 20,5 m et une capacitĂ© maximale de retenue d’eau de 21,4 millions de m3. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune des Billanges est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[28].

    Toponymie

    Le nom des Billanges a d'abord Ă©tĂ© Albillus, devenant Albillanicos, puis Aubillanges en 1273. Sous l'ancien rĂ©gime le territoire des Billanges fait partie de l'Ă©lection de Bourganeuf[2]. Le nom de la commune se prononce traditionnellement [bilɑ̃ʒ] mais depuis la fin du 20e siĂšcle, la plupart des gens, influencĂ©s par le double -l de la graphie adoptĂ©e par l'administration, prononcent [bijɑ̃ʒ].

    Histoire

    Le chemin de pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (GR 654D ou via Lemovicensis), en provenance de ChĂątelus-le-Marcheix, passe par le bourg des Billanges. Il se poursuit ensuite vers Saint-Laurent-les-Églises oĂč il traverse le Taurion par le pont du Dognon.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1871 1874 Jean Marcheix Républicain cultivateur
    mars 1876 1878 Jean Marcheix RĂ©publicain cultivateur
    mai 1900 mai 1908 Jules Fiacre Marcheix RĂ©publicain fils de Jean Marcheix
    mai 1926 mars 1932 Louis Brunetaud
    octobre 1939 juin 1941 Louis Beaudisson[30] - tailleur
    mars 1971 septembre 1987 Marcel RoyĂšre PCF
    octobre 1987] mars 1989 Henri Japaud PCF
    mars 1989 mars 2001 Philippe Couderc PCF
    mars 2001 En cours Manuel Perthuisot[31]

    Population et société

    DĂ©mographie

    Ses habitants sont appelés les Billangeots[32].


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 287 habitants[Note 11], en diminution de 5,9 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7057206879299359311 025970979
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9619251 0019951 0391 0091 0861 0651 095
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0791 0891 067903797804742616594
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    515464382313285288301310291
    2020 - - - - - - - -
    287--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    La cure dĂ©pend de l'archiprĂȘtĂ© de BĂ©nĂ©vent, dans le diocĂšse de Limoges. Sa fĂȘte patronale est celle de la nativitĂ© de la Sainte-Vierge. Le presbytĂšre des Billanges est vendu comme bien national le [37]. Le pape Nicolas IV, dans une bulle datĂ©e du , accorde des indulgences pour l'Ă©glise Sainte-Marie des Billanges.

    L'Ă©vĂȘque de Limoges a toujours nommĂ© les curĂ©s des Billanges.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle possÚde deux précieux reliquaires[38] - [39], qui lui ont été attribués le , lors de la distribution des reliques de Grandmont.
    Le premier est une Ɠuvre d'orfĂšvrerie reprĂ©sentant saint Étienne de Muret, le second en bois et argent renferme une relique de saint FĂ©licien[2].
    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2005[40].
    • Vestiges gallo-romains Ă  Virareix et au Maisonnieux.
    • ChĂąteau des Égaux.
    • Pont des Lilas.
    • Chapelle du prieurĂ© grandmontain de Trezin, fondĂ©e en 1205 par Aimery VI de Rochechouart et son Ă©pouse, transformĂ©e en grange Ă  la RĂ©volution et dĂ©truite en 1905[2].
    • Vestiges du ChĂątelard.

    HĂ©raldique

    Blason de Les Billanges Blason
    D'azur au buste de Saint Étienne d’or.
    DĂ©tails
    Le blason des Billanges reprĂ©sente le buste de saint-Étienne de Muret, fondateur de l'ordre de Grandmont dont l'abbaye se trouvait Ă  Grandmont. L'Ă©glise des Billanges a reçu deux reliquaires de l'abbaye en 1790.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Les Billanges au fil du temps, 253 p., 2013.
      Monographie, Ă©ditĂ© par la mairie, sur la culture locale, le patrimoine, la dĂ©mographie, l'histoire, la gĂ©ographie, des personnalitĂ©s originaires des Billanges, des mariages, des manifestations culturelles, festives et sportives, des migrants limousins, du chĂąteau des Égaux, des familles de Bony de Lavergne, des activitĂ©s anciennes et des souvenirs liĂ©s Ă  celles-ci, de l'enseignement, des liens avec la Seconde Guerre mondiale, de la faune et de la flore, etc.
    • AndrĂ© Lecler, Dictionnaire historique et gĂ©ographique de la Haute-Vienne, 1920-1926, Ducourtieux, Limoges.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[26].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sur GĂ©oportail
    2. André Lecler, ibid.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Les Billanges et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Les Billanges et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune des Billanges », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. Article R214-112 du code de l’environnement
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    29. (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
    30. Nommé président de la délégation spéciale des Billanges par décret présidentiel du 16 octobre 1939 sur proposition du ministre de l'intérieur Albert Sarraut, à la suite de la suspension des conseils municipaux jusqu'à la cessation des hostilités. Le président de la délégation remplit les fonctions de maire.
    31. (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
    32. (fr) « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Archives départementales de la Haute-Vienne, série Q, liasse 150, no 298.
    38. « Statue-reliquaire de la Vraie Croix : diacre dit saint Etienne de Muret », notice no PM87000040, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    39. « Bras-reliquaire dit de saint Félicien », notice no PM87000041, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    40. « Eglise de la Nativité de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00100252, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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