Hotonnes
Hotonnes est une ancienne commune française, intégrée avec Le Grand-Abergement, Le Petit-Abergement et Songieu au Haut-Valromey situé dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Le site est dans la région naturelle du Haut-Bugey, au sud du plateau de Retord et accueille une station de ski « Les Plans d'Hotonnes », particulièrement renommée pour son stade de biathlon.
Hotonnes | |
Église Saint-Romain. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes |
DĂ©partement | Ain |
Arrondissement | Nantua |
Commune | Haut Valromey |
Statut | Commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Daniel Bailly 2020-2026 |
Code postal | 01260 |
Code commune | 01187 |
DĂ©mographie | |
Population | 272 hab. (2018 ) |
Densité | 9,5 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 45° 59′ 51″ nord, 5° 41′ 42″ est |
Altitude | Min. 636 m Max. 1 338 m |
Superficie | 28,7 km2 |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Plateau d'Hauteville |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Haut Valromey |
Localisation | |
GĂ©ographie
Localisation
Cette commune du Haut-Bugey se situe à la limite sud du plateau de Retord ; elle appartient à la région historique du Valromey qui participe à la transition géographique entre Bas-Bugey et Haut-Bugey.
Communes limitrophes
Climat
Le Haut-Bugey connait des étés chauds propres à un climat semi-continental[2], propices à la culture de certains cépages, mais avec des précipitations importantes. Les hivers sont marqués par l'influence montagnarde, un peu adoucis par les dernières influences océaniques venant buter sur les montagnes, apportant des précipitations importantes au pied des reliefs.
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Oyonnax recueillies en 2007. Cette station météo est située à environ 30 km d'Hotonnes, à « vol d'oiseau » :
Mois | Jan. | Févr | Mars | Avr. | Mai | Juin | Jui. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures maximales moyennes (°C) | 3 | 6 | 9 | 13 | 18 | 22 | 24 | 24 | 21 | 14 | 8 | 4 | |
Températures minimales moyennes (°C) | -2 | -1 | 1 | 3 | 7 | 11 | 12 | 11 | 9 | 6 | 2 | -1 | |
Températures moyennes (°C) | 1 | 2 | 5 | 9 | 13 | 17 | 19 | 18 | 15 | 10 | 5 | 2 | |
Précipitations (hauteur moyenne en mm) | 74 | 74 | 74 | 61 | 71 | 84 | 66 | 79 | 79 | 74 | 89 | 81 | |
Source : Météo France et Météo123[3] |
Relief et géologie
Le dénivelé de la commune est particulièrement important ; en effet, il varie entre 636 m et 1 338 m[4].
Hydrographie
On dénombre plusieurs cours d'eau à Hotonnes[5] ; le Séran[6] et certains de ses affluents : le ruisseau Le Chevrier long de 4,8 km[7], le ruisseau de la Rivoire long de 2,3 km[8], le ruisseau de la Berne long de 1,8 km[9] et le ruisseau de Bernand[10] long de 1,2 km.
Voies routières
La commune est desservie par plusieurs départementales : la route départementale D39 permet de rallier Le Grand-Abergement et la station de ski ; la D54 et la D9a desservent également le bourg d'Hotonnes.
Urbanisme
Logement
En 2007, le nombre total de logements dans la commune était de 303[11] (contre 150 en 1968, soit un doublement du nombre de logements en 40 ans). Parmi ces logements, 45,3 % étaient des résidences principales, 44,9 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants.
Ces logements étaient pour une part de 66,4 % de maisons individuelles et 32,9 % d'appartements. La proportion d'habitants propriétaires de leur logement était de 66,0 %[11].
Toponymie
L'origine du toponyme est incertaine. Une hypothèse la présente comme issue d´un nom de domaine gallo-romain villa Othona ou villa Ottona, par féminisation d´un anthroponyme Othonus ou Ottonus[12].
Une autre hypothèse présente le toponyme comme issu d'un hydronyme, à l'instar de nombreux toponymes dans les alpages du Valais[13] : la construction du mot proviendrait de hod (signifiant rive) et de onnes (valant on) signifiant eau[14].
Enfin, une troisième hypothèse suggère l'origine augustana (« montagne du mois d’août ») c'est-à -dire le « lieu où l'on mène paître les bêtes l'été »[13].
Histoire
Antiquité
Peu de sources attestent d'une présence gallo-romaine sur le territoire même d'Hotonnes, néanmoins de nombreux édifices gallo-romains ont été découverts dans la proche région d'Hotonnes ; à titre d'exemple l'aqueduc romain de Vieu datant probablement de la seconde moitié du IIe siècle est situé à environ 10 km d'Hotonnes, à « vol d'oiseau ». À proximité de Vieu toujours, des photos aériennes ont permis de déceler qu'un théâtre gallo-romain se trouvait le long de la voie romaine[15].
Moyen Ă‚ge
Au Moyen Âge, Hotonnes appartient au Valromey qui, comme le pays de Vaud, sera acquis par Amédée VI de Savoie, après la signature avec la France, du Traité de Paris en 1355, fixant les limites du Duché de Savoie et du Dauphiné.
Renaissance
Le , le traité de Lyon rattache le Valromey, et donc le village d'Hotonnes, à la France. Ce traité entre le duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie et le roi Henri IV de France intègre également à la France, la Bresse, le Bugey (à l'époque, explicitement distingué du Valromey) et le pays de Gex. Seigneur de Châteauneuf et de Virieu, Honoré d'Urfé doit prêter allégeance à son nouveau suzerain, le roi de France. Devant le représentant du roi, le , Honoré d'Urfé donne l'aveu et le dénombrement de ses seigneuries de Châteauneuf, de Virieu-le-Grand et de Senoy. Par la suite, ces trois seigneuries sont regroupées dans le comté de Valromey.
Seconde Guerre mondiale
L'un des camps des maquis de l'Ain et du Haut-Jura, le « camp du Pré-Carré » était situé à Hotonnes (au nord du bourg). Ce camp créé par Jean-Pierre De Lassus a compté jusqu'à cinquante hommes[16]. Jean-Pierre de Lassus (dit Legrand) témoigne ainsi de l'activité du Pré-Carré :
- « Au printemps de 1943, le maquis bien armé que j'avais constitué dépendait des forces de l'armée secrète, dont, dans ce département, le colonel Romans était le chef et mon camarade de promotion de Saint-Cyr; Girousse, l'adjoint. Le je participais, à la tête de mes maquisards, au défilé militaire d'Oyonnax. La ville avait été isolée téléphoniquement du reste du département. Le colonel Romans et les autorités régionales déposaient une gerbe au monument aux morts : « Les vainqueurs de demain à ceux de 14-18 », pendant que 120 maquisards, en tenue impeccable, rendaient les honneurs. »[16]
Époque contemporaine
Le , Hotonnes fusionne avec Le Grand-Abergement, Le Petit-Abergement et Songieu pour former la commune nouvelle de Haut Valromey dont la création est actée par un arrêté préfectoral du [17].
Politique et administration
Élections nationales
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002[18]: 87,11 % pour Jacques Chirac (RPR), 12,89 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 74,80 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007[19]: 49,77 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 50,23 % pour Ségolène Royal (PS), 85,71 % de participation.
- Élection présidentielle de 2012: 46,89 % pour François Hollande (PS), 53,11 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 79,42 % de participation.
Élections municipales
La commune ayant moins de 3 500 habitants l'Ă©lection des conseillers municipaux est au scrutin majoritaire[20] plurinominal Ă deux tours, avec panachage :
- au premier tour, des candidats sont élus s'ils ont obtenu la majorité absolue et le vote d'au moins le quart des électeurs inscrits[21] ;
- au second tour, la majorité relative suffit. Les listes ne sont pas obligatoires. Les suffrages sont comptabilisés individuellement, et le panachage est autorisé.
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres.
Lors du scrutin de 2008 il y a eu un seul tour (onze élus au premier tour), Jacques Vincent-Falquet a été élu conseiller municipal au premier tour avec le cinquième total de 161 voix (83,4 % des exprimés), il a ensuite été élu maire par le conseil municipal. Le taux de participation a été de 71,75 %[22].
Lors du scrutin de 2014, il y a eu un seul tour (onze élus au premier tour). Jean-Louis Genessay a été élu conseiller municipal au premier tour avec le septième total de 107 voix (59,11 % des exprimés), il a ensuite été élu maire par le conseil municipal. Le taux de participation a été de 68,91 %[23]
Administration municipale
Le conseil municipal était composé de onze conseillers, dont le maire et ses trois adjoints.
Liste des maires
Politique environnementale
La commune d'Hotonnes est partie prenante de la politique de développement durable menée par la communauté de communes du Valromey à laquelle elle appartient. Cette politique implique les deux actions suivantes[24] relative à l'aménagement du territoire :
- « Mise en œuvre et suivi d'une charte de développement du Pays du Bugey »[24];
- « Conduite d'études portant sur l'aménagement rural »[24].
Une partie de la commune d'Hotonnes se trouve dans la zone « Plateau de Retord et chaîne du Grand Colombier » appartenant au réseau de sites naturels ou semi-naturels Natura 2000, cela au titre de zone spéciale de conservation[25] - [26].
En 2009, la commune d'Hotonnes a accédé à la première fleur dans le cadre du Concours des villes et villages fleuris[27].
La commune fait partie du syndicat mixte du bassin versant du SĂ©ran.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2018, la commune comptait 272 habitants[Note 2], en diminution de 9,33 % par rapport Ă 2012 (Ain : +5,07 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,3 %) est en effet légèrement supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,4 %). À l'opposé des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est inférieure à la population masculine. Le taux (49,0 %) est inférieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
Enseignement
La commune est dotée d'une école primaire, située au 10, rue Croix.
Manifestations culturelles et festivités
Début janvier, a lieu aux « Plans d'Hotonnes », la fête de la raquette à neige[34]. En mai, chaque année, est organisé à Hotonnes, un vide-grenier[35]. Enfin, Le deuxième dimanche d'octobre, a lieu la vogue[36].
Santé
Au , aucun praticien en médecine générale n'est installé dans la commune. Des médecins sont installés dans les communes voisines d'Hauteville-Lompnes, de Champagne-en-Valromey et d'Artemare. La pharmacie la plus proche est située à Champagne-en-Valromey.
Sports d'hiver
Le relief particulier du territoire de la commune lui permet d'accueillir, une station de ski, « Les Plans d'Hotonnes »[37]. Le lieu est notamment utilisé pour le ski alpin et surtout pour le ski de fond et le biathlon[38] ; en effet, la station est dotée d'un stade de biathlon. Les championnes Corinne Niogret et Sandrine Bailly, toutes deux nées dans le Bugey, s'entraînaient régulièrement à Hotonnes[38]. De plus, Delphyne Burlet, elle aussi biathlète de haut-niveau a grandi et habite à Hotonnes.
Cyclisme
En 2002, la 18e étape du Tour de France, entre Cluses et Bourg-en-Bresse, passe à Hotonnes, entre le kilomètre 102 et le kilomètre 119 de l'étape[39].
En 2016, la 15e étape du Tour de France, entre Bourg-en-Bresse et Culoz, passera à Hotonnes au kilomètre 86,5 de l'étape[40].
MĂ©dias
Le journal Le Progrès propose une édition quotidienne consacrée à la région du Bugey. Citons également Voix de l'Ain, un hebdomadaire qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain dont celle de Hotonnes. Enfin, la municipalité édite un journal d'informations, nommé Le petit Tiak.
La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.
Cultes
Le culte catholique est pratiqué, les célébrations ont lieu dans l'église Saint-Romain, située 9, rue Croix. Hotonnes est dans le groupement paroissial Champagne qui dépend du diocèse de Belley-Ars dans l'archidiocèse de Lyon[41].
Économie
En 2009, par arrêté du Premier Ministre, la commune d'Hotonnes a été classée commune en zone de revitalisation rurale[42].
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, selon l'enquĂŞte de l'Insee[11], les revenus moyens nets par foyer Ă©taient en 2008 de l'ordre de 19 582 euros par an. 47,9 % des foyers fiscaux de la commune Ă©taient alors imposables.
En 2008 toujours, le revenu fiscal médian par ménage[Note 3] était de 17 848 €, ce qui plaçait Hotonnes au 13 302e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[43].
Emploi
En 2007, la population d'Hotonnes se répartissait[11] ainsi : 76,1 % d'actifs, ce qui est nettement supérieur au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, et 25,1 % de retraités, un chiffre supérieur au 18,2 % national.
En 2007 toujours, le taux de chĂ´mage Ă©tait de 6,5 % contre 3,2 % en 1999[11].
Une agence Pôle emploi pour la recherche d'emploi est localisée à Belley à 26 km à « vol d'oiseau » d'Hotonnes.
Entreprises et commerces
Au , Hotonnes comptait 56 établissements[11] : 6 étaient spécialisés dans une activité industrielle, 2 dans la construction, 29 dans le commerce 15 en agriculture et 4 étaient relatives au secteur administratif.
En 2010, six entreprises ont été créées sur le territoire dont cinq sous le régime auto-entrepreneur[11].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Musée de la flore et de la faune du Haut-Bugey.
- Statue de la Vierge Marie.
- Église Saint-Romain du XVIe siècle.
- Une stèle située à Hotonnes (aux « Plans d'Hotonnes ») rend hommage aux maquis de l'Ain et en particulier à Richard Heslop, agent secret britannique du Special Operations Executive.
- Le Puits des Tines se trouve sur le territoire communal.
- Vue du village et de l'Ă©glise Saint-Romain
- Statue de la Vierge Marie d'Hotonnes
Le loup Ă Hotonnes
Des récits du XVIIIe...
Dans les registres paroissiaux de la commune des années 1741 à 1742[44], sont signalées de sauvages attaques de loups qui auraient tué « beaucoup d'enfens dans la montagne » [sic] dans la seule paroisse d'Hotonnes et auraient « depuis le village des cule jusqu'au Grand Abergement (...) tué ou blessé plus de cinquante personnes... » [sic].
À noter que l'auteur Paul Sébillot retranscrit dans son ouvrage « Contes des provinces de France » (paru pour la première fois, en 1884) un conte du folklore local intitulé « Le renard de Bassieu et le loup d'Hotonnes ». Ce conte avait été recueilli par Aimé Vingtrinier[45].
... aux conséquences contemporaines sur l'agriculture locale
Si le loup avait disparu du département de l'Ain depuis les années 1950[46], sa réapparition parait effective depuis les années 2000, notamment au travers des dégâts causés à l'élevage, en particulier à Hotonnes. En effet, entre le et le , environ 70 brebis d'un troupeau en pâturage sur le territoire de la commune, sont égorgées par des loups[47] - [48]. Depuis 2004, des mesures de protection des troupeaux ont été mises en place comme par exemple l'utilisation de « parcs de regroupement mobile électrifié » et de « chiens de protection »[49].
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune de Hotonnes bénéficie du label « ville fleurie » avec « 1 fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[50].
Personnalités historiques
- Aimé Favre (1722 - 1810) : ecclésiastique, curé d'Hotonnes en 1751 et député du clergé aux États généraux en représentation du bailliage du Bugey et du Valromey ;
- Jean-Pierre De Lassus (1914 - 2010) : résistant des maquis de l'Ain et du Haut-Jura ; le camp de maquisards qu'il dirigea était à Hotonnes ;
Personnalités sportives
- Delphyne Burlet (1966 - ) : ancienne biathlète française, elle a grandi et habite à Hotonnes, où elle a été membre du Conseil municipal de 2008 à 2014 ;
- Corinne Niogret (1972 - ) et Sandrine Bailly (1979 - ) : toutes deux anciennes biathlètes françaises s'entraînaient régulièrement à Hotonnes.
Références dans la littérature
Dans son célèbre livre, Physiologie du goût, Jean Anthelme Brillat-Savarin décrit une journée de chasse qui se déroule aux Plans d'Hotonnes. L'auteur prend cet exemple pour décrire le phénomène de la soif et l'influence du vent sur celle-ci. Il fait notamment référence à la ferme de La Tour où il dîne et passe la nuit avec ses compagnons de chasse[51].
Pour approfondir
Bibliographie
- Henri Gaidoz et Paul Sébillot, La France Merveilleuse et légendaire : Blason populaire de la France, Paris, Librairie Léopold Cerf, , 391 p. (lire en ligne), p. 108.
- Paul Sébillot, La France Merveilleuse et légendaire : Contes des Provinces de France, Paris, , 332 p. (ISBN 978-1-103-62838-4, lire en ligne) (inclut le conte « Le Renard de Bassieu et le loup d'Hotonnes », p. 320).
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Toutefois, l'usage du gentilé Tiak ou Tiaque est observé localement. D'ailleurs, le périodique de la municipalité porte le nom, Le petit Tiak.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Revenu fiscal médian par ménage : 50 % des ménages déclarent fiscalement moins que cette donnée (foyers non imposables inclus) ; 50 % des ménages déclarent fiscalement plus que cette donnée.
Références
- « Nom des habitants des communes françaises, Hotonnes », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Selon le WWF et la National Geographic, le climat semi-continental (appelé aussi climat océanique dégradé) correspond à l'écorégion terrestre Western European broadleaf forests (forêt de feuillus de l'Europe occidentale). Source : WWF Wildfinder.
- Base de données météo par Météo123 (À Oyonnax) et Météo France.
- « Carte géologique d'Hotonnes » sur Géoportail.. Consulté le 20 juin 2011.
- « Recherche relative à Hotonnes », sur SANDRE.
- « Fiche du Séran », sur SANDRE.
- « Fiche du ruisseau le Chevrier », sur SANDRE.
- « Fiche du ruisseau de la Rivoire », sur SANDRE.
- « Fiche du ruisseau de la Berne », sur SANDRE.
- « Fiche du ruisseau de Bernand », sur SANDRE.
- « Statistique INSEE de Hotonnes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs », sur le site personnel d'Henry Suter (consulté le ).
- Anne-Marie Vurpas et Claude Michel, Noms de lieux de l'Ain, Bonneton, , p. 176-177.
- la Société archéologique et historique des Côtes-du-Nord, Mémoires : Société Archéologique et Historique des Côtes-du-Nord, t. 5, Société archéologique et historique des Côtes-du-Nord (lire en ligne), p. 114.
- André Buisson, Carte archéologique de la Gaule : 01. Ain, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres / Ministère de la culture / Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche / diff. Fondation maison des sciences de l'homme, , 190 p. (ISBN 2-87754-046-4, lire en ligne), p. 70.
- « Jean-Pierre De Lassus », sur le site des maquis de l'Ain (consulté le ).
- Laurent Touvet, « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Haut Valromey », sur ain.gouv.fr,
- Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 20/06/2011.
- Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 20/06/2011.
- Source : art L. 252 du code Ă©lectoral.
- Source : art L. 253 du code Ă©lectoral.
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- « Le loup dans l'ain », sur Site personnel Jappaloup Évasion (consulté le ) .
- Estelle Cintas, « Quand le loup menace l'existence d'un élevage, numéro 3030 », sur le site du magazine La France agricole, (consulté le ).
- Laurent Guigon, « Le département de l'Ain, nouveau territoire de chasse du loup », Le Monde,‎ (lire en ligne).
- « Découverte d'un loup mort dans l'Ain », sur le site du journal hebdomadaire Voix de l'Ain, (consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Jean Anthelme Brillat-Savarin, Physiologie du goût, ou méditations de gastronomie transcendante, Paris, Gabriel de Gonet, , 416 p. (lire en ligne), p. 108-111