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Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie est l'organe exécutif de la collectivité sui generis française de Nouvelle-Calédonie.

Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie
Histoire
Fondation
Organisation
Président

Sa composition, son mode de fonctionnement et ses attributions sont définis par le chapitre III du Titre III de la loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie du , née de l'accord de Nouméa de 1998. Étant donné que sa composition reflète celle du Congrès et que son mode de fonctionnement incite au dépassement des antagonismes partisans, il est parfois appelé « gouvernement collégial ». Ses membres élisent en leur sein, au début de chaque mandat, un président et un vice-président, le premier étant traditionnellement issu des rangs des partis opposés à l'indépendance quand le second au contraire provient généralement des formations indépendantistes.

PrĂ©cĂ©demment, le pouvoir exĂ©cutif Ă©tait exercĂ© principalement par le Haut-commissaire de la RĂ©publique en Nouvelle-CalĂ©donie, dĂ©lĂ©guĂ© du gouvernement, reprĂ©sentant de l'État dans le territoire, ceci malgrĂ© l'existence par le passĂ©, de 1956 Ă  1989, de « conseils de gouvernement Â» (de 1956 Ă  1984), d'un « gouvernement du territoire Â» (de 1984 Ă  1985) puis de « conseils exĂ©cutifs Â» (de 1984 Ă  1989). Depuis l'accord de NoumĂ©a, le Haut-commissaire est cantonnĂ© dans ses fonctions de reprĂ©sentation de l'État français et d'exercice des compĂ©tences de celui-ci (notamment en matière de sĂ©curitĂ© civile gĂ©nĂ©rale, Ă  l'instar d'un prĂ©fet dĂ©partemental ou rĂ©gional).

L'actuel gouvernement, élu le , n'est entré officiellement en fonction que le à minuit[1] - [2], soit une semaine après avoir élu un président, Louis Mapou (premier président du gouvernement indépendantiste), le , avant de désigner Isabelle Champmoreau comme vice-présidente et de répartir les secteurs d'animation et de contrôle le . Entretemps, le précédent gouvernement, lui-même élu le après les élections provinciales du mais pleinement efficient uniquement à partir du jusqu'à la démission collective de ses membres issus de l'Union calédonienne le , présidé par Thierry Santa et vice-présidé par Gilbert Tyuienon, assure la gestion des affaires courantes.

L'Hôtel du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie (service de la présidence et des différents secteurs animés et contrôlés par les membres du gouvernement) est situé dans l'immeuble dit « Le Lys rouge » à l'angle des rues Gallieni et Anatole-France du centre-ville de Nouméa, entre le quai Jules-Ferry du port et l'Hôtel de ville.

Élection et composition

Élection

Le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie est élu par le Congrès de la Nouvelle-Calédonie, l'assemblée délibérante locale, à bulletin secret au début de chaque mandature (qui dure 5 ans) ou dès qu'un gouvernement démissionnaire doit être remplacé.

Le Congrès de la Nouvelle-Calédonie définit tout d'abord par une délibération le nombre de membres que comprendra le gouvernement, nombre compris entre 5 et 11. Ensuite, il procède à l'élection de ces membres, dans les 21 jours qui suivent la première séance du mandat en cours de l'assemblée ou dans les 15 jours après la démission du gouvernement, et doit réunir pour l'occasion un quorum de 3/5 de ses membres. Les membres du gouvernement sont alors élus à la proportionnelle, selon la règle de la plus forte moyenne sans adjonction ni suppression, chaque groupe politique constitué au Congrès pouvant présenter une liste comprenant autant de personnes que le nombre de membres que doit comporter le gouvernement, plus trois.

Au plus tard 5 jours après leur élection, les membres du gouvernement se réunissent pour désigner parmi eux un président et un vice-président.

DĂ©mission

Le gouvernement est démissionnaire lorsque :

La démission d'un gouvernement est présentée par le président de celui-ci au président du Congrès, qui en donne acte et en informe le Haut-commissaire de la République Entre la démission effective et l'élection du nouvel exécutif, le gouvernement démissionnaire assure la gestion des affaires courantes.

La démission, le décès ou l'empêchement d'exercer ses fonctions de tout membre du gouvernement n'entraîne pas la chute de celui-ci (sauf s'il s'agit du président). Dans ce cas, ce membre est remplacé par son suivant de liste.

Limitation du cumul de mandats

La fonction de membre du gouvernement est incompatible avec celles de :

Mode de fonctionnement et attributions

RĂ©unions du gouvernement

L'hĂ´tel du gouvernement, ici au centre.

Le gouvernement se réunit normalement de manière hebdomadaire, généralement le mardi ou le mercredi. Des réunions hebdomadaires peuvent avoir lieu à la demande du président du gouvernement ou du Haut-commissaire de la République. Celui-ci assiste de plein droit à toutes les réunions du gouvernement, et il a le droit d'y prendre la parole quand il le souhaite, sans qu'il puisse participer aux votes.

Toute réunion du gouvernement est présidée par le président du gouvernement, remplacé, s'il est absent, par le vice-président et, à défaut, par l'un des membres du gouvernement désigné par ses pairs.

L'ordre du jour d'une réunion est fixé par le président du gouvernement, qui en informe au moins 48 heures à l'avance le Haut-commissaire de la République. Ce dernier peut également demander que des questions relevant de la compétence de l'État soient inscrites à cet ordre du jour.

Les réunions ne sont pas publiques, et ses participants sont tenus au secret des faits et éléments qui y ont été révélés. Toutefois, chaque réunion fait l'état d'un communiqué de presse officiel servant de compte-rendu[4].

Les décisions prises par le gouvernement lors de ces réunions le sont au moins à la majorité de ses membres. En cas d'égalité des voix en faveur ou contre une proposition, le vote du président tranche.

L'exécutif et l'initiative des lois de pays

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie dirige l'exécutif de la collectivité de Nouvelle-Calédonie : sa première fonction est d'exécuter les délibérations et les lois du pays votées par le Congrès de la Nouvelle-Calédonie. Le gouvernement prépare les délibérations du Congrès de la Nouvelle-Calédonie. Il est également responsable avec ce dernier de la préparation des lois de pays, puisqu'il peut décider de présenter au vote du Congrès des projets de loi du pays. Il peut se prononcer quoi qu'il arrive sur tous les projets ou propositions de lois du pays, de même que sur les projets de délibération des Assemblées de Province concernant la mine. Enfin, il prépare la codification des lois du pays et de la réglementation édictée par la Nouvelle-Calédonie.

La direction de l'administration néo-calédonienne

L'administration publique de la collectivité relevant de sa compétence, le gouvernement fixe :

  • les modalitĂ©s d'application de la rĂ©munĂ©ration des fonctionnaires dĂ©pendants de la collectivitĂ© de Nouvelle-CalĂ©donie et des collaborateurs du gouvernement,
  • la crĂ©ation des charges, la nomination des officiers publics et de confĂ©rer l'honorariat,
  • l'organisation des services de la Nouvelle-CalĂ©donie,
  • la nature et les tarifs des prestations des services publics de la Nouvelle-CalĂ©donie,
  • la conclusion des conventions avec les concessionnaires, dĂ©lĂ©gataires de services publics et fermiers,
  • nomme et met fin aux fonctions du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du gouvernement, des directeurs, chefs de service, directeurs d'offices, directeurs d'Ă©tablissements publics de la collectivitĂ©, et les reprĂ©sentants de la Nouvelle-CalĂ©donie auprès des offices, Ă©tablissements publics et sociĂ©tĂ©s.

La gestion des biens et du domaine public

Le gouvernement est l'usufruitier du patrimoine foncier, immobilier, mobilier et financier appartenant à la Nouvelle-Calédonie, ce qui implique de déterminer :

  • l'exĂ©cution ou l'exploitation des travaux publics de la Nouvelle-CalĂ©donie, et les servitudes administratives au profit du domaine ou des ouvrages publics,
  • la gestion des biens de la collectivitĂ©,
  • le placement des fonds libres de la Nouvelle-CalĂ©donie en valeurs d'État ou en valeurs garanties par l'État, l'Ă©mission d'emprunts de la collectivitĂ©,
  • les dons et legs au profit de la Nouvelle-CalĂ©donie,
  • les conditions de prĂŞts ou d'avals.

Les attributions particulières du président

La présidente Cynthia Ligeard (à gauche) et le membre du gouvernement Anthony Lecren (à droite), de part et d'autre de la ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop lors de la Conférence des Nations unies pour les petits États insulaires en développement tenue aux Samoa en .

Outre le fait qu'il préside les réunions du gouvernement et en fixe l'ordre du jour, le président du gouvernement :

  • reprĂ©sente la Nouvelle-CalĂ©donie :
    • en justice : il intente les actions de la Nouvelle-CalĂ©donie ou la dĂ©fend.
    • auprès des autoritĂ©s nationales ou Ă©trangères.
    • auprès des institutions locales, notamment le Congrès.
  • dirige l'administration au nom du gouvernement :
    • nomme aux emplois publics nĂ©o-calĂ©doniens,
    • ordonnateur des dĂ©penses et prescrit l'exĂ©cution des recettes,
    • signe tous les contrats au nom de la Nouvelle-CalĂ©donie, tout en pouvant dĂ©lĂ©guer sa signature au secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, aux directeurs ou chefs de service du gouvernement,
    • s'assure de la publication au journal officiel de la Nouvelle-CalĂ©donie de toutes les dĂ©cisions du gouvernement.

L'animation et le contrĂ´le des secteurs de l'administration

Selon l'article 128 de la loi organique : « Le gouvernement est chargé collégialement et solidairement des affaires de sa compétence », ce qui signifie que toutes les décisions sont prises à la majorité de ses membres puis défendues par l'ensemble du gouvernement, ses membres n'ont donc pas de responsabilités particulières dans des domaines précis et ne portent donc pas le nom de « ministres » comme en Polynésie française.

Toutefois, le gouvernement récemment élu divise, lors de sa première réunion, ses champs de compétence en un certain nombre de « secteurs » qui sont ensuite répartis entre ses membres, chacun d'entre eux étant ainsi chargé « d'animer et de contrôler » un ou plusieurs de ces secteurs (Article 130 de la loi organique). Ce sont généralement :

  • Dans le domaine Ă©conomique et financier :
    • Économie gĂ©nĂ©rale,
    • Mines,
    • Commerce extĂ©rieur,
    • Droit commercial (depuis ),
    • Douanes,
    • Agriculture, Ă©levage et pĂŞche,
    • Économie numĂ©rique,
    • Finances,
    • FiscalitĂ©,
    • Budget.
  • Dans le domaine social :
    • Affaires sociales et solidaritĂ©,
    • Protection sociale,
    • SantĂ©,
    • Handicap,
    • Travail et emploi,
    • Dialogue social,
    • Condition fĂ©minine,
    • Politique de la famille.
  • Dans le domaine de l'Ă©quipement et des transports :
    • Transport aĂ©rien international,
    • Transport aĂ©rien domestique,
    • Transports terrestres,
    • Transports maritimes,
    • SĂ©curitĂ© routière,
    • Police et sĂ©curitĂ© maritimes intĂ©rieures (Ă  partir de ),
    • Police et sĂ©curitĂ© aĂ©riennes intĂ©rieures (Ă  partir de ),
    • Infrastructures publiques,
    • Logement,
    • AmĂ©nagement foncier,
    • SchĂ©ma d'AmĂ©nagement et de DĂ©veloppement de Nouvelle-CalĂ©donie,
    • Communications,
    • Énergie.
  • Dans le domaine culturel, Ă©ducatif et ludique :
  • Dans le domaine environnemental :
    • Écologie,
    • DĂ©veloppement durable,
    • Gestion et conservation des ressources naturelles, biologiques et non biologiques de la ZEE.
  • Dans le domaine administratif, institutionnel, juridictionnel et civique :
    • Affaires coutumières,
    • CitoyennetĂ©,
    • Fonction publique,
    • Simplification administrative et modernisation de l'administration,
    • Suivi des transferts de compĂ©tences,
    • Protection judiciaire de l'enfance et de la jeunesse (Ă  partir de ),
    • Droit civil, de l'urbanisme et des assurances (Ă  partir de ),
    • SĂ©curitĂ© civile (Ă  partir de ),
    • Service civique (projet de mise en place Ă  partir de 2014, officialisĂ© progressivement Ă  partir de 2016).
  • Dans le domaine diplomatique (compĂ©tences gĂ©nĂ©ralement non explicitĂ©es et contrĂ´lĂ©es directement par le prĂ©sident) :
    • Relations extĂ©rieures,
    • CoopĂ©ration rĂ©gionale.

Le gouvernement peut également confier à certains de ses membres la tâche de se charger des relations avec certaines institutions de la Nouvelle-Calédonie : le Congrès, le Sénat coutumier, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) ou encore les provinces, les communes ou les conseils coutumiers. Un membre du gouvernement peut également servir de porte-parole de l'exécutif (initiée en 2009, cette fonction a depuis toujours été distribuée à l'un des membres).

Enfin, d'autres dossiers, sortant en principe du champ de compétence absolu de la Nouvelle-Calédonie mais où celle-ci est tout de même amenée à intervenir ou à se prononcer, peuvent être distribués à certains membres du gouvernement. Dans l'actuel exécutif, il s'agit notamment de la Communication audiovisuelle (au sujet de laquelle le gouvernement est consulté par le Haut-commissariat ou le CSA, compétents en la matière, il s'agit surtout de suivre la création de nouvelles chaînes dans le cadre de la TNT ou de nouvelles stations de radio), de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, des Questions monétaires (notamment en ce qui concerne le débat sur le passage ou non à l'euro) et de Crédit ou encore des Zones de développement prioritaires (ZODEP).

Administration

L'administration gouvernementale de la Nouvelle-Calédonie est composée du secrétariat général, de directions sectorielles et de services mixtes cogérés par l'État et la Nouvelle-Calédonie. À cela, il faut rajouter les offices et établissements publics placés sous la tutelle du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie.

Le secrétariat général du gouvernement

Le secrétariat général est à l'origine composé du secrétaire général, du ou des secrétaires généraux adjoints et du ou des directeurs généraux des services, tous trois nommés par arrêté du gouvernement, qui met également fin à leurs fonctions.

L'arrêté du gouvernement du prévoit un secrétaire général du gouvernement assisté de secrétaires généraux adjoints.

Le secrétariat général comprend en outre les chargés de mission auprès du gouvernement, le service de la coordination administrative et des institutions, le service intérieur du gouvernement et un secrétariat.

Secrétaire général

Le secrétaire général assure la continuité de l'administration néo-calédonienne et peut avoir délégation de signature du président de l'exécutif. Il coordonne les actions des différents services administratifs, techniques et/ou opérationnels, assure la communication et la liaison entre les différents membres du gouvernement et représente le gouvernement dans certains établissements ou offices publics dépendant de ce dernier.

Depuis 1999, les secrétaires généraux du gouvernement ont été :

Secrétaire général adjoint du gouvernement

Le secrétaire général était à l'origine secondé par un secrétaire général adjoint, qui le remplaçait en cas d'incapacité ou d'empêchement. Le , il est fait également directeur général des services, tandis qu'un deuxième poste de secrétaire général adjoint (exerçant les fonctions de directeur général délégué des services jusqu'au , de second directeur général des services par la suite) est créé le . Les postes de secrétaires généraux adjoints sont supprimés le et remis en place le .

Depuis 1999, les secrétaires généraux adjoint du gouvernement ont été :

  • - : Patrick Jamin,
  • - : Armand Leder (par intĂ©rim jusqu'au ),
  • - : Jules Hmaloko (directeur gĂ©nĂ©ral dĂ©lĂ©guĂ© des services jusqu'au , ensuite directeur gĂ©nĂ©ral des services Ă©galement).
  • (par intĂ©rim jusqu'au ) - : Gildas Lebret (« moyens, Ă©conomie et finances »), Samuel Hnepeune (« amĂ©nagement et dĂ©veloppement »), LĂ©on Wamytan (« affaires sanitaires, sociales et rurales, culture et affaires coutumières »), Bernard ChĂ©rioux (« emploi, formation, Ă©ducation, jeunesse et sports »), Alain Swetschkin (Ă©galement secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral par intĂ©rim, « Ă©tablissements publics de la Nouvelle-CalĂ©donie »),
  • - : Gildas Lebret (« moyens, Ă©conomie et finances »), Claude Constans (« amĂ©nagement et dĂ©veloppement »), LĂ©on Wamytan (« affaires sanitaires, sociales et rurales, culture et affaires coutumières »), Bernard ChĂ©rioux (« emploi, formation, Ă©ducation, jeunesse et sports »), Alain Swetschkin (Ă©galement secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral par intĂ©rim, « Ă©tablissements publics de la Nouvelle-CalĂ©donie »),
  • - : Charley Darbousset (« moyens, Ă©conomie et finances », par intĂ©rim), Claude Constans (« amĂ©nagement et dĂ©veloppement »), LĂ©on Wamytan (« affaires sanitaires, sociales et rurales, culture et affaires coutumières »), Bernard ChĂ©rioux (« emploi, formation, Ă©ducation, jeunesse et sports »), Alain Swetschkin (Ă©galement secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral par intĂ©rim, « Ă©tablissements publics de la Nouvelle-CalĂ©donie »),
  • - : Charley Darbousset (« moyens, Ă©conomie et finances », par intĂ©rim), LĂ©on Wamytan (« affaires sanitaires, sociales et rurales, culture et affaires coutumières »), Alain Swetschkin (Ă©galement secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral par intĂ©rim, « Ă©tablissements publics de la Nouvelle-CalĂ©donie »),
  • - : Charley Darbousset (« moyens, Ă©conomie et finances », par intĂ©rim), LĂ©on Wamytan (« affaires sanitaires, sociales et rurales, culture et affaires coutumières »).

Directeur général des services

Le poste de directeur général des services de la Nouvelle-Calédonie est créé par l'arrêté gouvernemental du , et est exercé à l'origine, jusqu'au , par le secrétaire général adjoint. Il assiste le secrétaire général pour ce qui est de la coordination des différentes directions et services de l'administration néo-calédonienne, et le remplace en cas d'empêchement ou d'incapacité.

Le , le poste de directeur général délégué des services est créé, mais supprimé au profit d'un second poste de directeur général des services le . L'arrêté du supprime le poste de secrétaire général adjoint, ses attributions étant reprises par les directeurs généraux de service, lesquels voient leurs attributions précisées : le premier étant chargé des questions relatives au commerce extérieur, à la formation professionnelle et à l'emploi, à la fonction publique, au travail, aux problèmes sociaux, aux archives et de tous les dossiers à dominance juridique ; le second de celles relatives à l'enseignement, à la recherche, au logement, aux infrastructures, à la jeunesse et aux sports, à la météorologie, aux transports terrestres et à l'informatique.

À compter de la création de la direction générale des services le , il n'existe plus qu'un seul directeur général des services qui n'est plus placé sous la responsabilité du secrétaire général mais directement sous celle du président du gouvernement. Les fonctions de secrétaire général et de directeur général des services sont de nouveau cumulées depuis 2009.

Depuis 2000, les directeurs généraux des services ont été :

Directeur des services administratifs et opérationnels

Lors de la création de la direction générale des services le , il est créé en son sein un poste de directeur des services administratifs et opérationnels. Ce poste disparait avec la nouvelle organisation adoptée le .

Du au : Léon Wamytan (par intérim jusqu'au ).

Directions administratives du gouvernement

Au nombre de 18, elles ont toutes à leur tête un directeur nommé par arrêté du gouvernement, qui peut aussi mettre fin à leur fonction. Elles sont chargées de la gestion des dossiers dans chacun des secteurs de compétence du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie.

Direction des affaires Ă©conomiques (DAE)

Elle intervient pour les compétences territoriales de la réglementation des prix, de la concurrence, de la répression des fraudes et de la réglementation des professions commerciales. Elle participe à la définition et à la mise en œuvre des actions économiques sur le territoire et assure la gestion des régimes d'aides à la production locale (taxe conjoncturelle, régimes fiscaux privilégiés pour les entreprises de production et l'hôtellerie, régimes des ventes détaxées duty free, entre autres). Elle a été créée par une délibération de l'Assemblée territoriale du , son organisation étant remaniée plusieurs fois depuis notamment par l'arrêté du . Elle siège au 7 rue du général Gallieni, entre le centre-ville et le port de Nouméa, dans un bâtiment en briques de 1885 qui a abrité successivement avant-elle les locaux de l'administration pénitentiaire puis ceux du service des Douanes. Elle est dirigée depuis par Éric Backès, et comprend :

  • anciennement le Bureau de la concurrence qui contrĂ´le les pratiques anticoncurrentielles, les pratiques restrictives de concurrence, les concentrations, ainsi que le contrĂ´le des opĂ©rations de concertation et de l’accroissement des surfaces commerciales ..., jusqu'Ă  ce que ces responsabilitĂ©s soient reprises par un organisme indĂ©pendant, l'AutoritĂ© de la concurrence de la Nouvelle-CalĂ©donie, crĂ©Ă© en 2018.
  • un(e) ChargĂ©(e) de mission auprès de la direction « Ă©tudes juridiques et contentieux ».
  • le Service des affaires administratives et financières : gère le budget, le secrĂ©tariat, les ressources humaines et toutes affaires administratives internes Ă  la direction.
  • le PĂ´le consommation et prix qui comprend deux services :
    • le Service de la protection du consommateur, avec son chef de service, son adjoint et le bureau de la consommation (protection Ă©conomique et physique du consommateur).
    • le Service des prix avec le bureau de l'Observatoire des prix (ODP) gĂ©rĂ© par la Nouvelle-CalĂ©donie depuis 2013, et le bureau de contrĂ´le des prix.
  • le PĂ´le des actions Ă©conomiques, avec trois services :
    • le Service de l'enregistrement des entreprises qui fusionne en 2020 les anciens Service du registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s (gĂ©rĂ© depuis le en consĂ©quence du transfert Ă  la Nouvelle-CalĂ©donie de la compĂ©tence en matière de droit civil et commercial le ) et le Service de l'accompagnement des entreprises (avec le bureau des professions rĂ©glementĂ©es qui donne l'agrĂ©ment et assure le contrĂ´le des pratiques de certaines professions, et le bureau du contrĂ´le des assurances).
    • le Service du marchĂ© intĂ©rieur et des investissements (anciennement, jusqu'en 2020, Service de la promotion des filières et de la prospectivitĂ©), chargĂ© de la rĂ©alisation d'Ă©tudes et enquĂŞtes statistiques concernant les affaires Ă©conomiques, des filières innovantes, du suivi du prĂŞt Ă  taux zĂ©ro mis en place au , du secrĂ©tariat du comitĂ© de pilotage des Zones de dĂ©veloppement prioritaires (ZODEP) et du Fonds de garantie pour le dĂ©veloppement des terres coutumières, des signes de qualitĂ© ...
  • l'antenne dĂ©centralisĂ©e de la direction Ă  KonĂ©.

Direction des affaires juridiques (DAJ)

Elle gère les questions juridiques propre au gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, et siège également dans l'immeuble Jacques-Iekawé, à Nouméa, qu'elle partage avec la DRHFP-NC et le SCAI. Elle a été créée par un arrêté du à la suite de la scission de l'ancienne direction des affaires administratives et juridiques (DAAJ). Dirigée par le par Matcha Iboudghacem, elle comprend, outre le secrétariat de direction :

  • la Section de la documentation : gestion du patrimoine documentaire, juridique ou gĂ©nĂ©ral, de la direction (ouvrages, pĂ©riodiques, abonnements internet).
  • le Service d'Ă©tudes, de lĂ©gislation et du contentieux : dont le chef de service, David Ginocchi, est Ă©galement directeur adjoint de la DAJ, il rĂ©alise des Ă©tudes et consultations juridiques, gère le contentieux impliquant le gouvernement dans tous les domaines Ă  l'exception du contentieux fiscal ou celui de la fonction publique, et c'est lui qui Ă©tudie et Ă©labore les projets de texte Ă  soumettre aux autoritĂ©s de la collectivitĂ©.
  • le Service de lĂ©gistique et de diffusion du droit : elle collecte, fait l'inventaire, codifie, consolide, clarifie, simplifie et contrĂ´le l'applicabilitĂ© du droit applicable en Nouvelle-CalĂ©donie. Elle assure aussi l'administration fonctionnelle du site juridique du gouvernement (Juridoc.gouv.nc), et veille Ă  la conformitĂ© de la loi informatique et libertĂ©s.
  • le Service de la lĂ©gislation civile et commerciale : dont la chef de service par intĂ©rim est Ă©galement la directrice de la DAJ (Matcha Iboudghacem), crĂ©Ă©e le afin de prĂ©parer les transferts de compĂ©tences des droits civils et commerciaux (votĂ©s par la loi du pays du pour ĂŞtre effectifs au plus tĂ´t au ), d'Ă©laborer des premières rĂ©glementations et lĂ©gislations en la matière et pour la procĂ©dure civile et de rĂ©aliser des Ă©tudes juridiques dans ces secteurs.

Direction des achats, du patrimoine et des moyens (DAPM)

Elle gère les missions transversales d'appui et de soutien administratif et logistique pour le compte du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, de ses directions et de ses établissements publics. Elle siège au 1, bis, rue Unger à la Vallée du Tir, à la Vallée-du-Tir, en bordure de la Voie express n°1, aux côtés de la DIMENC et de la DITTT. Elle a été créée par un arrêté du sur la base essentiellement de la réorganisation de l'ancienne direction des affaires administratives (DAA), elle-même née de l'arrêté du scindant en deux la direction des affaires administratives et juridiques (DAAJ). Elle est dirigée par Camille KUPISZ et comprend :

  • le Service administratif et financier : il gère le budget et la comptabilitĂ© de la direction ainsi que du gouvernement dans son ensemble, ainsi que les ressources humaines et la logistique pour les services de la direction.
  • le Service immobilier : il coordonne les constructions publiques, la gestion et l'entretien du patrimoine bâti et la stratĂ©gie immobilière de la Nouvelle-CalĂ©donie.
  • le Service des achats et des marchĂ©s : il dĂ©finit la politique d'achats de la Nouvelle-CalĂ©donie, sa dĂ©clinaison opĂ©rationnelle et la rĂ©glementation des marchĂ©s publics.
  • le Service des moyens : il coordonne le parc de vĂ©hicules, la gestion centralisĂ©e du courrier et du mobilier, le soutien aux activitĂ©s du protocole, les travaux de maintenance et les accueils Ă  l'hĂ´tel du gouvernement ainsi que dans l'immeuble IĂ©kawĂ©.
  • le Service de l'imprimerie : il fabrique et diffuse le Journal officiel de la Nouvelle-CalĂ©donie (JONC), ainsi que tous les textes, dĂ©pliants et brochures Ă©ditĂ©es par l'une des administrations, institutions ou collectivitĂ©s de la Nouvelle-CalĂ©donie.

Direction des Affaires sanitaires et sociales (DASS)

Elle prépare les textes qui seront soumis au Congrès dans ses domaines d'attribution (santé et hygiène publique, protection sociale, professions médicales, paramédicales et sociales). Ainsi, elle assure la tutelle et le contrôle des établissements de santé (hôpitaux, cliniques et dispensaires, pharmacies, laboratoires), des organismes de sécurité sociale, surveille l'état de santé de la population (par la collecte et la diffusion de données statistiques dans ce domaine), assure la veille sanitaire et le contrôle sanitaire aux frontières, gère la politique et les campagnes de prévention, s'assure de la bonne distribution des médicaments, coordonne la formation des professionnels de santé et la protection judiciaire de l'enfance et de la jeunesse.

Créée par la délibération de l'Assemblée territoriale du , ses attributions et son organisation sont redéfinis à plusieurs reprises, notamment par un arrêté du , lui-même plusieurs fois remanié par la suite. Elle siège au 5, rue du général Gallieni, dans un immeuble voisin de la DAE au centre-ville de Nouméa. Elle est dirigée par Jean-Alain Course depuis le , elle comprend :

  • le Service de l'administration gĂ©nĂ©rale : gestion du budget, de la comptabilitĂ©, du secrĂ©tariat et du personnel de la direction.
  • la Cellule des statistiques : recueil des donnĂ©es concernant les attributions de la direction.
  • le Conseil du handicap et de la dĂ©pendance (CHD) qui assure l'octroi des aides, coordonne les mesures et les moyens de mise en Ĺ“uvre des politiques du handicap et de la dĂ©pendance, et Ă©labore les projets ainsi que le SchĂ©ma directeur du handicap.
  • le PĂ´le santĂ© qui comporte :
    • le Service de l'inspection de la santĂ© : chargĂ© de la planification, de l'organisation et de la carte sanitaire, du contrĂ´le et de la rĂ©glementation des activitĂ©s mĂ©dicales ou sanitaires des organismes, Ă©tablissements et professionnels de santĂ©, des liaisons avec les instances ordinales, de l'instruction des plaintes concernant les pratiques mĂ©dicales ou sanitaires.
    • le Service de la tutelle et de la planification hospitalière : chargĂ© de la planification de l'offre de soin dans le cadre de la carte sanitaire en lien avec le service prĂ©cĂ©dent, de la gestion et de la rĂ©glementation du statut des personnels hospitaliers, de la tutelle et de l'Ă©valuation administrative, technique et financière des Ă©tablissements hospitaliers.
    • la Cellule de l'inspection de la pharmacie : chargĂ© des affaires liĂ©es aux Ă©tablissements et produits pharmaceutiques (instruction des dossiers, contrĂ´le de l'application des lois et rĂ©glementations, inspection professionnelle, coordination des vigilances et liaisons avec les instances de l'ordre des pharmaciens).
    • le Service de la santĂ© publique : chargĂ© des affaires de santĂ© publique (surveillance, prĂ©vention dans le cadre des actions de l'Agence sanitaire et sociale et en lien avec les associations dans ce domaine, dont elle gère aussi les demandes de subventions, mise en Ĺ“uvre des politiques de santĂ©), du contrĂ´le sanitaire aux frontières, de la veille sanitaire, de la participation de la direction aux plans de secours (Ă  l'instar du plan Orsec), des conseils aux voyageurs en matière sanitaire (depuis 2012) et des affaires de santĂ©-environnement (application des lois et des rĂ©glementations, prĂ©ventions, missions d'expertise et liens avec les autres acteurs en matière de protection de la santĂ© publique vis-Ă -vis des risques environnementaux tels que pollutions de l'air ou de l'eau, la salubritĂ© des habitats, les dĂ©chets, les vecteurs de maladie, les rayonnements ou l'hygiène alimentaire).
  • le PĂ´le social :
    • le Service de la protection sociale : chargĂ© de la prĂ©paration, de l'Ă©laboration et de l'application des lois et rĂ©glementations en matière de protection sociale, de la tutelle et de l'Ă©valuation administrative, technique et financière des organismes de sĂ©curitĂ© sociale, de l'Ă©laboration des comptes de la santĂ©, de la rĂ©glementation pour les transports sanitaires terrestres et de l'instruction des demandes de subventions mĂ©dico-sociales.
    • le Service de la protection judiciaire de l'enfance et de la jeunesse : dotĂ© depuis 2007 de sa propre section administrative et financière, il est chargĂ© de rĂ©pondre aux besoins de l'instruction et de l'exĂ©cution des dĂ©cisions judiciaires concernant les mineurs prises au tribunal de première instance de NoumĂ©a et dans ses sections de Lifou et KonĂ©. Il gère ainsi cinq Ă©tablissements ou services spĂ©cifiques : le foyer d'accueil d'urgence et d'orientation (FAUO, maison d'enfants Ă  caractère social dont les locaux sont situĂ©s Ă  Nouville, en face de l'IUFM, il est mixte depuis 2012 et Ă©tait auparavant rĂ©servĂ© aux garçons) ; le service de l'hĂ©bergement diversifiĂ© - centre de jour (accueil, mixte depuis 2010 alors qu'il Ă©tait rĂ©servĂ© auparavant aux garçons, en ateliers techniques au Centre de jour pour favoriser la rescolarisation, Ă  quoi s'ajoute la gestion du placement en famille d'accueil des mineurs ainsi que, depuis 2010, la possibilitĂ© d'hĂ©bergement en studios de mineurs ou jeunes majeurs entre 16 et 21 ans ayant Ă©tĂ© placĂ©s) ; deux foyers d'action Ă©ducative (FAE, mixtes depuis 2010, rĂ©servĂ©s uniquement Ă  des garçons auparavant) Ă  Nouville (FAEN, voisin du FAUO) et Ă  PaĂŻta (FAEP) ; le Centre d'action Ă©ducative en milieu ouvert dans le quartier de l'Orphelinat Ă  NoumĂ©a.

Direction des affaires vétérinaires, alimentaires et rurales (DAVAR)

Elle prépare et met en œuvre la politique du Territoire pour la réglementation zoosanitaire et phytosanitaire (et assure donc le contrôle aux frontières dans ces domaines), l'hygiène et la santé publique vétérinaire, les statistiques intéressant la Nouvelle-Calédonie, portant sur l’agriculture, l’agroalimentaire et l’espace rural et la gestion de la ressource en eau du domaine public de la Nouvelle-Calédonie. Elle est créée par arrêté du , remplaçant alors l'ancienne direction de l'économie rurale (DER), et son organisation a été ensuite redéfinie par l'arrêté du . Son siège principal est au 209, rue Bénébig, dans le quartier du Haut-Magenta à Nouméa. Dirigée par Gérard FALON, elle comprend :

  • le Service administratif et financier (SAF) de la direction :
    • section comptabilitĂ© et logistique,
    • section ressources humaines et administration gĂ©nĂ©rale,
    • cellule informatique,
  • le Service de l'eau (SDE) :
    • cellule administrative,
    • antenne de KonĂ©,
    • pĂ´le protection de la ressource en eau (PRE) :
      • section gestion de l'eau et du domaine public fluvial,
      • cellule qualitĂ©,
    • pĂ´le mesure et Ă©tudes de la ressource en eau (MERE) :
      • section hydro-pluviomĂ©trie,
      • cellule applications et communication,
  • le Service des statistiques et des affaires rurales (SAR) :
    • pĂ´le Gestion des aides au secteur agricole et contrĂ´le (GASAC),
    • pĂ´le Statistiques et Ă©tudes rurales
  • le Service des laboratoires officiels vĂ©tĂ©rinaires, agroalimentaires et phytosanitaires de la Nouvelle CalĂ©donie (LNC), sur le site de Port-Laguerre Ă  PaĂŻta :
    • pĂ´le administratif :
      • cellule qualitĂ©-stocks-locaux,
      • cellule informatique,
    • pĂ´le technique :
      • section chimie :
        • unitĂ© chromatographie,
        • spectromĂ©trie d’absorption atomique,
        • unitĂ© physico-chimie,
      • section hygiène alimentaire :
        • unitĂ© microbiologie alimentaire,
        • unitĂ© microbiologie des eaux,
      • section santĂ© animale :
        • unitĂ© hĂ©matologie,
        • unitĂ© virologie,
        • unitĂ© biochimie,
        • unitĂ© microbiologie vĂ©tĂ©rinaire,
        • unitĂ© histologie,
        • unitĂ© biologie molĂ©culaire,
      • section immuno-sĂ©rologie,
      • section laverie 1,
      • section laverie 2,
      • section vĂ©tĂ©rinaire :
        • cellule aquaculture,
        • cellule d'appui vĂ©tĂ©rinaire : unitĂ© d'autopsie.
      • cellule matĂ©riel-mĂ©trologie.
  • le Service d'inspection vĂ©tĂ©rinaire, alimentaire et phytosanitaire (SIVAP), situĂ© sur le Port Autonome de NoumĂ©a :
    • bureau administratif et financier :
      • accueil et standard,
      • informatique,
    • pĂ´le sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments (SSA) :
    • pĂ´le biosĂ©curitĂ© :
      • section protection des vĂ©gĂ©taux (PV) : analyse de risque et inspection phytosanitaire,
      • section inspection voies maritimes et postales Ă  NoumĂ©a,
      • section inspection voies aĂ©riennes Ă  Tontouta,
      • section santĂ© animale : analyse de risque et inspection zoosanitaire,
      • section quarantaine animale : situĂ©e initialement Ă  Koutio sur une partie du terrain oĂą est construit depuis 2010 le MĂ©dipĂ´le de Koutio, Ă  la sortie nord de NoumĂ©a, dans la commune de DumbĂ©a, les nouveaux locaux de la Quarantaine Jean-Vergès sont inaugurĂ©s Ă  PaĂŻta en ,
      • cellule expertise technique.

Direction du Budget et des Affaires financières (DBAF)

Elle prépare et exécute le budget de la Nouvelle-Calédonie, prépare et élabore les comptes administratifs, contrôle et ordonnance les dépenses engagées, s'occupe du suivi de la dette, gère les subventions allouées et les dotations attribuées, prépare, gère et suit les dossiers du Fonds européen de développement, surveille et vérifie les régies de recettes et de dépenses, contrôle les établissements publics de la Nouvelle-Calédonie, assure le secrétariat et suit le fonds intercommunal de péréquation et les fonds de concours qui n’ont pas fait l’objet d’un texte particulier donnant compétence à un autre service. Elle réalise enfin les études et analyses relatives à la politique budgétaire et financière de la Nouvelle-Calédonie.

Elle siège dans l'immeuble situé au 17, avenue Paul Doumer, en face de l'immeuble Iékawé au centre-ville de Nouméa. Elle est dirigée par Sophie Garcia, qui est également chargée du contrôle des dépenses engagées par la Nouvelle-Calédonie, et comprend :

  • un secrĂ©tariat,
  • un contrĂ´leur de gestion (Anne-Christine Chimenti),
  • le Service du budget qui est chargĂ© de la gestion du cadre comptable, de l’élaboration et l’analyse des situations d’exĂ©cution, de la communication, des reports et virements de crĂ©dits ainsi que de la gestion des inscriptions budgĂ©taires pluriannuelles,
  • le Service de l'exĂ©cution budgĂ©taire qui est chargĂ© de la vĂ©rification des dĂ©penses et recettes, des mandats et des titres, du contrĂ´le des dĂ©penses engagĂ©es et du visa financier des actes, de la vĂ©rification des rĂ©gies, du suivi de la qualitĂ© comptable et du maintien des dĂ©lais de paiement, de la communication financière ainsi que de la gestion des tiers, il comprend trois sections et deux rĂ©gies :
    • section n°1,
    • section n°2,
    • section n°3,
    • rĂ©gie de recettes de NoumĂ©a,
    • rĂ©gie de recettes de Tontouta,
  • le Service des collectivitĂ©s locales et des Ă©tablissements publics qui est chargĂ© d’assurer le financement rĂ©glementaire des collectivitĂ©s territoriales et des Ă©tablissements publics ainsi que des reversements du budget de rĂ©partition. Il effectue le contrĂ´le financier des Ă©tablissements publics et rĂ©alise des analyses et suivis financiers divers. Il est organisĂ© en deux secteurs :
    • secteur des Ă©tablissements publics,
    • secteur des collectivitĂ©s territoriales,
  • le Service Support mĂ©tier qui assure une mission de soutien aux utilisateurs des plates-formes de gestion financière et des marchĂ©s publics, par le biais d'une hotline. Il identifie et conçoit les Ă©volutions des applications en rĂ©ponse aux contraintes rĂ©glementaires ou aux besoins Ă©mergents. Il garantit la cohĂ©rence et la qualitĂ© des applications. Ses actions s’étendent Ă  l’ensemble des collectivitĂ©s et Ă©tablissements publics de la Nouvelle-CalĂ©donie ainsi qu’aux entreprises.

Direction de la culture, de la condition féminine et de la citoyenneté de la Nouvelle-Calédonie (DCCFC-NC)

Elle coordonne et met en œuvre les compétences territoriales dans les domaines culturels, de la condition féminine et de la citoyenneté. Elle est créée par arrêté du à la suite de la scission de l'ancienne direction des affaires culturelles et coutumières (DACC). Elle siège depuis le au 21 bis, rue Georges Clemenceau, au centre-ville de Nouméa, dans le même îlot urbain que l'immeuble Jacques-Iekawé. Elle est dirigée par Régis Vendégou depuis le et comprend, outre le secrétariat de direction :

  • le Service des MusĂ©es et du Patrimoine : il gère le MusĂ©e de Nouvelle-CalĂ©donie (souvent encore appelĂ© « MusĂ©e territorial »), fondĂ© en 1971 et situĂ© au Quartier latin de NoumĂ©a, en face du Port Moselle, et est donc chargĂ© de l'acquisition et de l'inventaire d'Ĺ“uvres d'art, de la documentation, de la conservation, de la prĂ©sentation et de la promotion des collections publiques :
    • le dĂ©partement administratif.
    • le dĂ©partement MusĂ©e de Nouvelle-CalĂ©donie : il gère plus particulièrement le musĂ©e en lui-mĂŞme, ses collections, ses expositions, ses publications, ses animations, ses ateliers et sa documentation.
  • le Service des Archives : crĂ©Ă© en 1987 et situĂ© dans la presqu'Ă®le de Nouville Ă  NoumĂ©a, entre le Théâtre de l'Ă®le et le campus de l'UniversitĂ© de la Nouvelle-CalĂ©donie. Il gère la collecte, la conservation, le tri, le classement, l'inventaire et la communication des archives de la Nouvelle-CalĂ©donie :
    • le dĂ©partement administratif.
    • le dĂ©partement archivistique : il assure la gestion scientifique et physique des archives, de leur communication et de leur reproduction, des collectes et des Ă©liminations, des animations pĂ©dagogiques, de la recherche et de la valorisation des fonds.
  • la Mission de la condition fĂ©minine : chargĂ©e de coordonner les actions visant Ă  la dĂ©finition d'une politique dans le domaine de la condition fĂ©minine.
  • la Mission Ă  l'Observatoire de la condition fĂ©minine : chargĂ©e de prĂ©parer la mise en place de l'Observatoire de la condition fĂ©minine, dont la crĂ©ation a Ă©tĂ© actĂ©e en 2006, en concertation avec les associations actives dans ce domaine.
  • la Mission au patrimoine : chargĂ©e de conseiller la direction et le membre du gouvernement responsable des questions culturelles (DĂ©wĂ© Gorodey depuis 1999) en matière de politique de prĂ©servation, de rĂ©habilitation et de valorisation du patrimoine historique, architectural et immatĂ©riel de la Nouvelle-CalĂ©donie.
  • une ChargĂ©e d'action culturelle : chargĂ©e de conseiller la direction et le membre du gouvernement animant le secteur de la culture pour la promotion de la culture par des manifestations et des Ă©vĂ©nements, en lien avec les Ă©diteurs locaux ou les associations.
  • l'antenne dĂ©centralisĂ©e de KonĂ©.


Direction de l'Enseignement de Nouvelle-Calédonie (DENC)

Créée au moment du transfert de l'État au territoire de la compétence de l'enseignement primaire public à la rentrée 2007, elle élabore les programmes du primaire (sous réserve de la compétence des provinces pour leur adaptation en fonction des réalités culturelles et linguistiques. Cette compétence touche surtout l'histoire, la géographie et l'éducation civique, ainsi que la mise en place de cours de langues kanaks).

Elle assure la formation initiale et continue des maîtres de l’enseignement primaire public, ainsi que le contrôle pédagogique de l’enseignement primaire public, c’est-à-dire notamment de l’animation, de l’aide et de l’inspection pédagogiques dans les écoles publiques.

Elle est située au 19, avenue Foch, dans l'immeuble dit Foch, qu'elle partage avec la DFPC, en bordure de la place des Cocotiers au centre-ville de Nouméa. Dirigée par Yolande Verlaguet depuis , elle comprend :

  • le Service des affaires administratives, financières et de la communication :
    • la section accueil et traitement du courrier,
    • la section des affaires financières,
    • la section informatique et traitement de l'information,
    • la section traitement de donnĂ©es et divers dossiers pour le service,
  • le Service pĂ©dagogique :
    • le secrĂ©tariat,
    • les conseillers pĂ©dagogiques pour les Ă©valuations Grande section, CE1 et CM2 ; les mathĂ©matiques, les sciences et la technologie ; la maĂ®trise de la langue aux cycles 1, 2 et 3 ; la langue vivante anglaise ; l'Ă©ducation physique et sportive ; les techniques usuelles de l'information et de la communication (TUIC) et la technologie ; l'instruction sociale et civique ainsi que la culture humaniste ; les pratiques artistiques en arts visuels et en musique ;
    • les besoins Ă©ducatifs particuliers pour le CP et pour trois missions :
      • la mission illettrisme,
      • la mission projet Ă©ducatif de Nouvelle-CalĂ©donie,
      • la mission projet enseignement santĂ©,
  • les sept circonscriptions de l'inspection de l'enseignement primaire comprenant toutes un inspecteur ou une inspectrice de l'enseignement primaire, un ou une secrĂ©taire et des conseillers pĂ©dagogiques :

Direction de la Formation professionnelle continue (DFPC)

Elle est chargée de la préparation et de la mise en œuvre de la politique de formation professionnelle continue de la Nouvelle-Calédonie. Elle est située au 19, avenue Foch, dans l'immeuble dit Foch, qu'elle partage avec la DENC, en bordure de la place des Cocotiers au centre-ville de Nouméa. Dirigée par Philippe Martin depuis le , elle comprend :

  • le Service Certification, Audit et ContrĂ´le (SCAC) incluant :
    • la section ContrĂ´le et Audit (SCA)
    • la section Certification Professionnelle (SCP)
  • le Service Dispositifs et Programmes de Formation (SDPF) dĂ©coupĂ© comme suit :
    • la section Accompagnement des Parcours IndividualisĂ©s (SAPI)
    • la section Dispositif et Commandes Sectoriels (SDCS)
    • la section Gestion Administrative et Financière (SGAF)
  • le Service d'Appui (SAP) regroupant :
    • le responsable du système d'information,
    • un chargĂ© d'Ă©valuation,
    • un chargĂ© de communication,
    • un assistant logistique,
  • l'UnitĂ© des Services de l'Accompagnement et de l'Orientation (USAO) : regroupe une Ă©quipe de psychologues chargĂ©s du recrutement, du positionnement et du suivi des futurs stagiaires de la formation professionnelle continue en Nouvelle-CalĂ©donie,
  • une antenne dĂ©centralisĂ©e Ă  KonĂ©.

Direction de la gestion et de la réglementation des affaires coutumières (DGRAC)

Elle coordonne et met en Ĺ“uvre les compĂ©tences territoriales dans les domaines coutumiers, Ă  savoir sur le statut civil coutumier, des terres coutumières et des palabres coutumiers, ainsi que pour les relations administratives avec le SĂ©nat coutumier et les Conseils coutumiers. Elle est crĂ©Ă©e par arrĂŞtĂ© du Ă  la suite de la scission de l'ancienne direction des affaires culturelles et coutumières (DACC). Elle siège au 17, avenue Paul Doumer, dans le mĂŞme bâtiment que la direction de la rĂ©glementation et de l'administration gĂ©nĂ©rale (DIRAG) du haut-commissariat (dit « bâtiment des passeports Â» car contenant les services de la nationalitĂ© et des Ă©trangers), Ă  cĂ´tĂ© du vice-rectorat et en face de l'immeuble Jacques IekawĂ©, au centre-ville de NoumĂ©a. Elle est dirigĂ©e par Louis Waia depuis et comprend :

  • deux subdivisions administratives :
    • la cellule administrative et des moyens,
    • la cellule des Ă©tudes juridiques,
  • le Service des affaires foncières et coutumières (SAFC) : comporte le bureau des affaires coutumières (coordination, assistance et aide technique pour l'instruction et la centralisation des actes coutumiers et des activitĂ©s des officiers civils, sauf pour les affaires foncières) et celui des affaires foncières (s'occupe des affaires touchant aux terres coutumières). Y sont Ă©galement rattachĂ©s les officiers publics coutumiers, rĂ©partis dans les huit aires coutumières (entre un et trois selon les aires)
  • le Greffe de l'Ă©tat-civil coutumier : gestion des actes et registres d'Ă©tat-civil liĂ©s au statut civil coutumier, et des registres de recensement des tribus.
  • une antenne dĂ©centralisĂ©e Ă  KonĂ©.

Direction de l'Industrie, des Mines et de l'Énergie (DIMENC)

Elle assure pour le compte de l’État, de la Nouvelle-Calédonie et des trois provinces, le contrôle et la promotion de l’industrie en Nouvelle-Calédonie dans une perspective de développement durable. Elle est située au 1 ter, rue Unger, à la Vallée-du-Tir, en bordure de la Voie express n°1 et à côté de la DITTT ainsi que de la DAPM, à Nouméa. Dirigée par Victor Alonso depuis , elle comprend :

  • le Service administratif et financier.
  • le Service de l'industrie : il instruit les dossiers d’installations classĂ©es pour la protection de l’environnement et les surveille. Il contrĂ´le aussi les appareils Ă  pression, ainsi que l’utilisation des explosifs, et veille Ă  la qualitĂ© de l’air. Enfin, il participe Ă  la gestion des dĂ©chets en Nouvelle-CalĂ©donie.
  • le Service des mines et carrières : il promeut et contrĂ´le l’industrie extractive, mines et carrières, pour les aspects sĂ©curitĂ© du travail, respect de l’environnement et droit du travail.
  • le Service gĂ©ologie (SGNC) : structure publique crĂ©Ă©e en 2006 et spĂ©cialisĂ©e dans les connaissances et l'Ă©tude du sol et du sous-sol, fonctionnant avec un accompagnement du Bureau de recherches gĂ©ologiques et minières (BRGM).
  • le Service de l'Ă©nergie : il contrĂ´le les opĂ©rateurs Ă©nergĂ©tiques nĂ©o-calĂ©doniens, pĂ©troliers et Ă©lectriques et coordonne les programmes d’aide Ă  l’électrification rurale et Ă  la maĂ®trise de l’énergie.
  • le Service du Laboratoire d'analyses minĂ©rales.
  • une inspection des industries, mines et carrières Ă  l'antenne dĂ©centralisĂ©e de KonĂ©.

Elle assure aussi le secrétariat et la gestion du Fonds nickel créé en pour financer des programmes de réhabilitation des sites dégradés et soutenir le secteur minier en période de crise.

Direction des Infrastructures, de la Topographie et des Transports terrestres (DITTT)

Elle gère, coordonne et organise la politique locale en matière d'équipement, de topographie, de sécurité routière et de réseaux routiers. Elle est située au 1 bis, rue Unger, à la Vallée-du-Tir, en bordure de la Voie express n°1 et à côté de la DIMENC ainsi que de la DAPM, à Nouméa. Dirigée par Georges Selefen, elle comprend :

  • le Service des affaires administratives et financières, de l'informatique et de la rĂ©glementation :
    • bureau de l'informatique,
    • bureau des moyens,
    • bureau des affaires financières,
    • bureau des ressources humaines et du courrier,
  • le Service des routes : il gère, coordonne et contrĂ´le les opĂ©rations d'investissements de la Nouvelle-CalĂ©donie tant au niveau technique, administratif que financier, pour les infrastructures routières (les constructions publiques et l'entretien du patrimoine sont devenues en des attributions de la nouvelle DAPM) :
    • le pĂ´le des ouvrages d'arts,
    • le bureau de l'ingĂ©nierie routière,
    • le bureau de l'entretien et de l'exploitation.
  • le Service des phares et balises : il est chargĂ© de la signalisation maritime, du soutien naval de la Base hydrographique de la Nouvelle-CalĂ©donie et de la recherche scientifique dans le cadre de la mission ZONECO, il comprend :
    • le bureau de la logistique et des ateliers,
    • le bureau Ă©lectrotechnique,
    • le bureau vedette de travail,
    • le bureau baliseur.
  • le Service topographique : Ă©tablit et conserve les infrastructures primordiales de gĂ©odĂ©sie et de nivellement ainsi que la mise en place des stations GPS permanentes du rĂ©seau dĂ©nommĂ© BANIAN, rĂ©alise l'inventaire et la mise Ă  jour du parcellaire foncier de la Nouvelle-CalĂ©donie et assure la rĂ©daction des plans cartographiques de Nouvelle-CalĂ©donie aux Ă©chelles du 1:10000 et infĂ©rieures :
    • le pĂ´le clientèle,
    • le bureau de la gĂ©odĂ©sie et du nivellement,
    • le bureau de la cartographie,
    • le bureau du cadastre,
    • le bureau domanial.
  • le Service de la sĂ©curitĂ© et de la circulation routière (ancien « service des mines ») :
    • l'observatoire de la sĂ©curitĂ© routière,
    • le bureau du guichet unique (dĂ©livrance des permis de conduire et cartes grises),
    • le bureau de l'Ă©ducation routière,
    • le bureau des contrĂ´les,
    • le bureau des permis de conduire de Bourail.
  • une antenne dĂ©centralisĂ©e Ă  KonĂ©.

Direction de la Jeunesse et des Sports (DJS)

Elle développe ses missions dans le domaine du sport, de la vie associative, de la jeunesse et de la formation aux métiers du sport et de l’animation, assure l'encadrement juridique de ces domaines, coordonne les actions de formation et délivre les titres ou diplômes sportifs ou d'animation, gère les subventions allouées aux associations et participe à la préparation des Jeux du Pacifique de 2011. Elle est située au 23, rue Jean Jaurès, sur la place des Cocotiers au centre-ville de Nouméa. Dirigée par Pierre Forest depuis le , elle comprend :

  • le PĂ´le administration gĂ©nĂ©rale qui s'occupe des aspects administratifs, comptables et logistiques de la direction,
  • le PĂ´le Sport :
    • le bureau du financement du sport et du suivi des conventions d'objectifs,
    • le bureau du diagnostic, de l'analyse et du conseil (secteur sport) et de l'accompagnement des cadres techniques du sport,
    • le bureau de dĂ©claration des Ă©ducateurs et Ă©tablissements sportifs,
    • le bureau de la protection de la santĂ© des sportifs, de la lutte contre le dopage et du sport de haut niveau,
    • le responsable Ă©quipements et contrats de dĂ©veloppement,
    • le Centre mĂ©dico-sportif de Magenta,
    • les Cadres techniques des fĂ©dĂ©rations ou ligues sportives prĂ©sentes sur le territoire (natation, athlĂ©tisme, cricket, handisport, football, rugby, cyclisme, tennis de table, basketball, judo, voleyball, voile).
  • le PĂ´le Jeunesse :
    • le bureau des politiques Ă©ducatives territoriales,
    • le bureau de l'information, de l'expression, de l'initiative et de la mobilitĂ© des jeunes,
    • l'Observatoire et veille-analyse des questions de jeunesse,
    • un attachĂ© jeunesse et un conseiller socio-Ă©ducatif,
    • des assistantes administratives et financières.
  • le PĂ´le formation et certification : met en place, organise, contrĂ´le et certifie des formations et des examens dans les champs de la jeunesse, de l'Ă©ducation populaire et du sport, ainsi que le suivi de la valorisation des acquis de l'expĂ©rience (VAE).
  • un rĂ©fĂ©rent Ă  la Direction des sports et des loisirs de la Province des Ă®les LoyautĂ©s.
  • un rĂ©fĂ©rent pour l'Union nationale du sport scolaire (UNSS).

Direction des Ressources humaines et de la Fonction publique de Nouvelle-Calédonie (DRHFPNC)

Elle gère les 1 550 agents de la collectivité Nouvelle-Calédonie, assure le rôle de centre de gestion pour les 9 250 fonctionnaires territoriaux et communaux employés dans les administrations publiques de Nouvelle-Calédonie et élabore les textes en matière de fonction publique. Elle siège au 18, avenue Paul Doumer, dans l'immeuble dit Jacques Iekawé, au centre-ville de Nouméa, et qu'elle partage notamment avec la DAJ et le SCAI. Dirigée par Eloïse Nicolas depuis , elle comprend :

  • le PĂ´le Fonction publique' :
    • le Service de la gestion statutaires des fonctionnaires :
      • la section SG1,
      • la section SG2,
    • le Service des affaires juridiques et du dialogue social :
      • la section du conseil juridique,
      • la section Ă©laboration et expertise statutaire,
      • la section du dialogue social,
      • la cellule modernisation de la fonction publique,
    • le Service du support des ressources humaines et du recrutement :
      • la cellule du recrutement,
      • la cellule Ă©tudes,
      • la section des concours,
      • la section du système d'information des ressources humaines TiarhĂ©,
  • le PĂ´le Ressources humaines de la Nouvelle-CalĂ©donie :
    • le Service de la gestion des Ressources humaines :
      • la section NC1,
      • la section NC2,
      • la section NC3,
    • le Service du dĂ©veloppement des ressources humaines :
      • la section emploi,
      • la section formation et vie au travail,
    • le Service du budget et du contrĂ´le de gestion :
      • la section comptabilitĂ© et logistique.

Direction de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR)

Cette direction a été transférée du haut-commissariat de la République (et donc de l'État) au gouvernement de la Nouvelle-Calédonie le par le décret n° 2013-1250 du [5], dans le cadre du transfert de la compétence de la sécurité civile. Elle a pour mission d’assurer la sécurité des personnes, des biens et de l’environnement, avec tout particulièrement la prévention et l’information des populations sur les risques naturels et technologiques majeurs (surtout les cyclones tropicaux, les feux de brousse, mais aussi les éventuels tsunamis) ; la planification des risques et traitement des crises, à travers l’activation du Centre opérationnel ; l'enseignement du secourisme ; les actions de coopération régionale en cas de catastrophes naturelles, à savoir surtout dans le cadre de l'accord FRANZ ; le développement des centres d’incendie et de secours dans toutes les communes ; la sécurité des grands rassemblements. Elle est placée sous l'autorité directe du président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie. Elle siège initialement aux numéros 8 et 10 de la rue Jean-Baptiste Dézarnaulds au centre-ville de Nouméa, près de l'hôtel du haut-commissariat de la République, avant de déménager en dans le bâtiment N de l'ancien hôpital Gaston-Bourret, au 7 rue Paul-Doumer toujours au centre-ville. Elle est dirigée par le colonel hors-classe des sapeurs-pompiers Frédéric Marchi-Leccia depuis le . Elle comprend, outre son directeur, son directeur adjoint et son secrétariat, quatre services :

  • le Service Planification des risques technologiques et naturels :
    • le bureau de la planification ;
    • le bureau de la prĂ©vention ;
    • le bureau de la prĂ©vention des Ă©tablissements recevant du public (ERP), avec des prĂ©ventionnistes Ă  NoumĂ©a et Ă  KonĂ© ;
  • le Service d'assistance technique aux communes et aux acteurs de la sĂ©curitĂ© civile :
    • le bureau de l'assistance technique ;
    • le bureau du soutien mĂ©dical ;
  • le Service des opĂ©rations et de la gestion de la crise : organise et dĂ©veloppe le centre opĂ©rationnel gouvernemental :
    • le bureau des opĂ©rations ;
    • le bureau des transmissions et du plan de reprise informatique (PRI) ;
  • le Service Formation qui gère essentiellement le Centre de formation de la sĂ©curitĂ© civile situĂ© au 26, route de l'abattoir Ă  PaĂŻta. Il est Ă©galement chargĂ© de l’animation et de la coordination du rĂ©seau des associations et organismes qui concourent Ă  la formation en matière de secourisme, et de la validation des rĂ©fĂ©rentiels de formation :
    • le bureau de la formation des sapeurs pompiers ;
    • le bureau de la formation des acteurs de la sĂ©curitĂ© civile ;
    • le centre de formation de la sĂ©curitĂ© civile ;
  • une antenne dĂ©centralisĂ©e Ă  KonĂ©.

Direction des Services fiscaux (DSF)

Elle gère l’impôt sur le revenu dû par les personnes physiques, l’imposition à la contribution foncière, l’impôt sur le revenu des travailleurs indépendants, l’impôt sur les sociétés, l’imposition à la patente et les déclarations de TSS (Taxe de Solidarité sur les Services). Elle siège à l'Hôtel des Impôts, au 13, rue de la Somme, à proximité du port de Nouméa. Dirigée par Mickaël Jamet depuis , elle comprend :

  • la cellule du projet informatique « P@cifisc »,
  • la cellule des ressources humaines,
  • la cellule des Ă©tudes fiscales et statistiques,
  • la cellule des agrĂ©ments fiscaux,
  • la cellule du prĂ©contentieux,
  • le Service des moyens et de l'informatique (SMI) :
    • la section administrative et logistique,
    • la section traitement du courrier,
    • la section traitement des documents fiscaux,
  • le Service de la fiscalitĂ© professionnelle :
    • la section contrĂ´le des dossiers Ă  forts enjeux et des gĂ©rants de sociĂ©tĂ©s,
    • la section impĂ´ts sur les sociĂ©tĂ©s,
    • la section impĂ´ts sur le revenu (IR) 1,
    • la section IR2,
  • le Service de la fiscalitĂ© des particuliers :
    • la section contribution de sĂ©curitĂ© immobilière (CIS),
    • la section dĂ©claration nominative des salaires (DNS),
    • la section sociĂ©tĂ©s civiles immobilières (SCI),
    • la section contribution foncière,
    • la section IR1,
    • la section IR2,
  • le Service de la recette :
    • la section de la comptabilitĂ© et de la caisse,
    • la section enquĂŞtes et poursuites,
    • la section enregistrement,
    • la section recouvrement 1,
    • la section recouvrement 2,
  • le Service de contrĂ´le et d'expertise oĂą sont regroupĂ©s les vĂ©rificateurs,
  • le Service de la fiscalitĂ© immobilière (SFI),
  • le Service des impĂ´ts de KonĂ©,
  • le Service de la publicitĂ© foncière (SPF) :
    • la section accueil et comptabilitĂ©,
    • la section traitement des formalitĂ©s,
  • le Service du domaine :
    • le gestionnaire des successions vacantes,
  • le Service de la rĂ©gie locale des tabacs (SRLT) :
    • le bureau du rĂ©gisseur de caisse.

Direction du Travail et de l'Emploi (DTE)

Elle élabore et rend publiques les règles relatives au droit du travail en Nouvelle-Calédonie.

Elle contrôle le respect de la législation du travail, met en œuvre des politiques de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail.

Elle contribue à la promotion et à l’amélioration du dialogue social ainsi qu’à la prévention et au règlement des conflits du travail. Elle assure le suivi de la négociation collective, enregistre le dépôt officiel des accords collectifs de travail et prépare le cas échéant leur extension.

Elle met en œuvre la politique de l’emploi du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie visant notamment la promotion et la protection de l’emploi local.

Elle est située au 12, rue de Verdun, entre le port et le centre-ville de Nouméa. Dirigée par Magda Bonal-Turaud depuis (par intérim jusqu'en ), elle comprend :

  • le Service des relations de travail,
  • le PĂ´le administration gĂ©nĂ©rale et pilotage qui correspond au Service des affaires juridiques et de l'administration gĂ©nĂ©rale :
    • la section juridique :
      • le bureau Commission paritaire de l'emploi local,
      • le bureau Ressources humaines et dialogue social,
    • la section de l'administration numĂ©rique et des ressources documentaires,
    • la section de la gestion financière et des moyens,
  • le PĂ´le Travail :
    • le Service de l'inspection du travail :
      • le bureau de la coordination travail,
      • la section conseil du travail,
      • la section d'inspection 1 : transports, hĂ´tels-bars-cafĂ©s-restaurants (HBCR), santĂ©, commerce,
      • la section d'inspection 2 : risques industriels,
      • la section d'inspection 3 : bâtiments et travaux publics (BTP),
      • la section d'inspection 4 : Nord,
      • la section d'inspection 5 : Province Sud, Ducos, ĂŽles,
    • le Service PrĂ©vention des risques professionnels,
  • le PĂ´le Entreprises - Emploi :
    • le Service de l'animation et de la coordination des politiques de l'emploi,
    • la Section des mesures emploi - insertion.
  • une antenne dĂ©centralisĂ©e Ă  KonĂ©.
Le site de la DTSI à Ouémo, environné de mangroves.
Le site de la DTSI à Ouémo, environné de mangroves.

Direction des Technologies et des Services de l'Information (DTSI)

Elle s'occupe du développement, de la gestion et du contrôle des réseaux de télécommunication et des nouvelles technologies de l'information. Avant d'être une direction, elle était le Service des Méthodes Administratives et de l'Informatique (SMAI). Elle est située au 127 rue Arnold Daly, à Ouemo. Dirigée par Jean-Philippe Guilloux, directeur par interim depuis le , elle comprend :

  • le chargĂ© de mission pour la sĂ©curitĂ© des systèmes d’information auprès du gouvernement (RSSI),
  • le chargĂ© de mission Ă  la coordination technique (actuellement directeur par interim),
  • une cellule planification et mĂ©thodes (CPM),
  • le PĂ´le technique :
    • le Service des Ă©tudes : il garantit le bon fonctionnement des systèmes d’information du gouvernement, la prise en compte de la disponibilitĂ©, l’intĂ©gritĂ© et la confidentialitĂ© des donnĂ©es.
    • le Service des infrastructures : il garantit le bon fonctionnement de l’infrastructure des rĂ©seaux fĂ©dĂ©rateurs de la Nouvelle-CalĂ©donie, des systèmes d’information gĂ©rĂ©s, de la disponibilitĂ©, l’intĂ©gritĂ© et la confidentialitĂ© des donnĂ©es.
    • le Service de la gĂ©omatique et de la tĂ©lĂ©dĂ©tection : il est chargĂ© de mettre en place le SIG (Système d'Information GĂ©ographique) du gouvernement, de coordonner la production de donnĂ©es liĂ©es Ă  l’infrastructure spatiale, de constituer un pĂ´le de compĂ©tence et d’expertise dans le domaine et de proposer des actions d’information et de formation.
  • le PĂ´le ressources :
    • le Service administratif et financier : il est chargĂ© de la gestion administrative et de la comptabilitĂ© de la direction,
    • le Service Clients et moyens : il est chargĂ© de la communication, du centre de services et des aspects logistiques et d'assistance technique.

Rattaché au secrétaire général du gouvernement

  • le Service de l'amĂ©nagement et de la planification (SAP) : il est chargĂ©, en coordination avec les services compĂ©tents de l'État ou des autres collectivitĂ©s locales, de l'Ă©laboration du SchĂ©ma d'amĂ©nagement et de dĂ©veloppement de la Nouvelle-CalĂ©donie dit « NC 2025 » ou SAD-NC, du soutien Ă  l'Ă©laboration des schĂ©mas stratĂ©giques et de la coordination des contrats de dĂ©veloppement. CrĂ©Ă© en 2006, il siège au 25, avenue Foch, Ă  la limite des quartiers de l'Artillerie, de Port-Moselle et de l'Artillerie, et est dirigĂ© par FrĂ©dĂ©ric Guillard, aidĂ© d'une assistante, de quatre coordinateurs et d'un chef de projet Transport.
  • le Service de la coordination administrative et des institutions (SCAI) : il organise et gère la circulation du courrier et la coordination de l'action des diffĂ©rentes administrations de la collectivitĂ©, prĂ©pare les dossiers pour les rĂ©unions du gouvernement et assure la liaison avec les autres institutions. Il siège au 18, avenue Paul Doumer, dans l'immeuble dit Jacques-IekawĂ© qui fait face au vice-rectorat et au Haut-commissariat, au centre-ville de NoumĂ©a, qu'elle partage avec la DAJ et la DRHFP-NC. Son chef de service est Catherine GaliniĂ©, et il comprend trois bureaux :
    • le bureau des institutions (BI),
    • le bureau des Ă©trangers et des Ă©tablissements publics (BEEP),
    • le bureau du secrĂ©tariat et du courrier (BSC).
  • la Cellule Ă©conomie numĂ©rique de la Nouvelle-CalĂ©donie (Ă©conum) : placĂ©e sous l'autoritĂ© du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint chargĂ© des moyens, de l'Ă©conomie et des finances et crĂ©Ă©e en 2011, elle coordonne la mise en place de la politique en matière d'Ă©conomie numĂ©rique. Elle siège au 1, rue de la RĂ©publique, dans l'immeuble dit « OrĂ©gon », en face du quai Jules-Ferry au nord-ouest du centre-ville de NoumĂ©a, et est dirigĂ©e par Georges WapaĂ©. Outre son responsable et son assistant, il comprend deux chefs de projets (e-inclusion et web) et trois chargĂ©s de mission (Ă©conomie numĂ©rique, administration Ă©lectronique et budget et communication).
  • la Cellule MĂ©diation logement : confiĂ©e Ă  Muriel Malfar (par ailleurs conseillères municipale d'opposition sans Ă©tiquette Ă  DumbĂ©a, et militante associative de dĂ©fense de locataires de logements sociaux), elle a pour mission principale d’accompagner les rĂ©formes de la politique gĂ©nĂ©rale de l’habitat et de l’urbanisme en servant de mĂ©diatrice entre les locataires, les propriĂ©taires, les organismes de logements sociaux, les acteurs du BTP et les institutions.

Rattaché directement auprès du président du gouvernement

  • le Service de la coopĂ©ration rĂ©gionale et des relations extĂ©rieures (SCRRE) : fondĂ© en 2001 et rattachĂ© directement auprès du prĂ©sident du gouvernement de la Nouvelle-CalĂ©donie en 2011, il coordonne l'ensemble des actions administratives relevant de la compĂ©tence de la Nouvelle-CalĂ©donie en matière de diplomatie et de coopĂ©ration rĂ©gionale, dans le cadre des responsabilitĂ©s partagĂ©es avec l'État en la matière prĂ©vues par l'accord de NoumĂ©a et la loi organique de 1999. Il assure la reprĂ©sentation de la Nouvelle-CalĂ©donie lors des manifestations internationales ou rĂ©gionales, et organise de ce fait les dĂ©placements officiels des membres du gouvernement qui ont lieu dans ce cadre. Il siège au 12, route de l'Anse Vata, entre les quartiers du Trianon, du Faubourg-Blanchot et du Quartier-Latin Ă  NoumĂ©a, et est dirigĂ© par François Behue depuis 2020. Il est organisĂ© en quatre pĂ´les :
    • le PĂ´le de coopĂ©ration multilatĂ©rale dirigĂ© par Anne-Claire Goarant, qui coordonne l'action de la Nouvelle-CalĂ©donie au sein des organisations internationales et rĂ©gionales dont elle est membre (CommunautĂ© du Pacifique, Forum des Ă®les du Pacifique, Programme rĂ©gional ocĂ©anien de l’environnement, etc.).
    • le PĂ´le de coopĂ©ration bilatĂ©rale dirigĂ© par Marie-Paule Caruso, qui conduit et suit les actions de coopĂ©ration engagĂ©es avec les États et territoires du Pacifique.
    • le PĂ´le des affaires europĂ©ennes dirigĂ© par Peggy Roudaut (par ailleurs adjointe du responsable du service), qui conduit et suit la relation d'association de l'archipel Ă  l'Union europĂ©enne dans le cadre de son statut de Pays et territoire d'outre-mer (PTOM), Ă  savoir les enveloppes dĂ©diĂ©es Ă  la Nouvelle-CalĂ©donie du Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement (FED) ainsi qu'aux travaux de l'Association des pays et territoires d'outre-mer europĂ©ens (OCTA).
    • le PĂ´le de coopĂ©ration Ă©conomique et de commerce extĂ©rieur dirigĂ© par Sandrine Bellier, qui suit et peut mettre en Ĺ“uvre de manière opĂ©rationnelle des dossiers Ă©conomiques ou commerciaux, en lien avec les institutions, les organisations professionnelles et les opĂ©rateurs du secteur privĂ© pour lesquels elle assure une veille de la tenue de tout Ă©vĂ©nement Ă©conomique ou commercial dans la rĂ©gion. Il suit Ă©galement les accords de libre-Ă©change et de partenariats Ă©conomiques dans le Pacifique.
    • la cellule export dirigĂ© par Vincent MĂ©lani, qui met en Ĺ“uvre les actions de diplomatie Ă©conomique, assure la coordination entre les politiques publiques touchant Ă  l’export et fait le lien entre les diffĂ©rentes institutions, assure Ă©galement la promotion de la politique export et de la destination Ă©conomique Nouvelle-CalĂ©donie pour les partenariats/investissements.
    • sont enfin rattachĂ©s Ă  ce service les dĂ©lĂ©guĂ©s pour la Nouvelle-CalĂ©donie qui doivent ĂŞtre placĂ©s dans les ambassades de France en OcĂ©anie (le premier, Yves Lafoy, ayant Ă©tĂ© nommĂ© en en Nouvelle-ZĂ©lande, il est rejoints par quatre autres dĂ©lĂ©guĂ©s nommĂ©s et certifiĂ©s le : Rose Wete aux Fidji, Gaston Wadrawane au Vanuatu, CĂ©cilia Madeleine en Nouvelle-ZĂ©lande Ă  la place d'Yves Lafoy, pour sa part affectĂ© dĂ©sormais en Australie, et Alexandre Lafargue en Papouasie-Nouvelle-CalĂ©donie[6]).

Services mixtes État-Nouvelle-Calédonie

Six services sont chargés de compétences dépendant à la fois de l'État et de la Nouvelle-Calédonie. Ce sont :

  • la Direction de l'aviation civile (DAC),
  • la Direction de l'Agriculture, de la ForĂŞt et de l'Environnement (DAFE),
  • la Direction des Affaires maritimes (DAM), anciennement Service des affaires maritimes, Service de la marine marchande et des pĂŞches maritimes (AffMar),
  • la Direction rĂ©gionale des Douanes (DRDNC),
  • le Service de la mĂ©tĂ©orologie (METEO),
  • le Vice-rectorat (VR).

Historique des gouvernements

Les dates de fin de gouvernement données ici sont celles auxquelles les exécutifs ont donné leur démission. En vérité, chaque gouvernement reste officiellement en fonction jusqu'à l'élection de son successeur, chargé entretemps de la gestion des seules affaires courantes. Lorsqu'une seule date est donnée, cela signifie que le gouvernement en question a démissionné le jour même de son élection. Sont indiqués entre parenthèses les démissions (du président ou en bloc des membres d'une liste) qui, le cas échéant, ont entraîné la chute du gouvernement. Sinon, la raison de la fin de l'exécutif en place est la tenue d'une élection provinciale.

Références

Liens externes

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