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Gorron

Gorron est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 2 543 habitants[Note 1].

Gorron
Gorron
La mairie.
Blason de Gorron
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Bocage Mayennais
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Marc Allain
2020-2026
Code postal 53120
Code commune 53107
Démographie
Gentilé Gorronnais
Population
municipale
2 543 hab. (2020 en diminution de 4,58 % par rapport à 2014)
Densité 178 hab./km2
Population
agglomération
2 592 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 42″ nord, 0° 48′ 46″ ouest
Altitude Min. 147 m
Max. 208 m
Superficie 14,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gorron
(ville isolée)
Aire d'attraction Gorron
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Gorron
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gorron
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Gorron
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Gorron
Liens
Site web www.gorron.org

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.

    Géographie

    La commune est au nord-ouest du Bas-Maine, traversée par la Colmont, un affluent droit de la Mayenne. Son bourg est à 17 km au nord-est d'Ernée, à 22 km au nord-ouest de Mayenne, à 27 km au sud-ouest de Domfront, à 30 km au sud de Mortain et à 32 km à l'est de Fougères[2].

    La ville est construite sur les dernières assises granitiques du Massif armoricain, au carrefour des marches de la Bretagne et de la Normandie.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault, mise en service en 1994[11] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 874 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 67 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[15], à 10,9 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Gorron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gorron, une unité urbaine monocommunale[21] de 2 560 habitants en 2017, constituant une ville isolée[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gorron, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35 %), terres arables (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones urbanisées (16,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Gorran en 1154 et 1185[28], Gorram en 1198[28] et de Gorren en 1198[29], Le toponyme peut être issu du manceau gor, « barrage sur une rivière Â»[28], ou d'un anthroponyme germanique tel que Gurandus[29].

    Le gentilé est Gorronnais.

    Histoire

    L’existence de Gorron apparaît dès le XIe siècle. Vers 1064, elle était assiégée et prise par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie. Sa cure est mentionnée, vers 1082, sous le nom d’Apud Gorronum. À cette date, Robert de Mortain, comte de Mortain, et demi-frère de Guillaume le Conquérant, et Mathilde, sa femme, donnaient « la moitié de l'église, des péages et des cans, du four et du moulin de Gorron» pour la fondation d'une prébende de leur chapitre de Mortain. En 1135, Geoffroy Plantagenet restituait cette paroisse à Juhel II de Mayenne. Juhel III de Mayenne dut par la suite, céder aux prétentions d'Henri II, roi d'Angleterre, celui-ci revendiquant en 1162. En 1171, la ville reçut la visite de ce souverain qui vint rencontrer les légats du pape et échanger des baisers de paix dans son château de Gorron. Gorron serait passée par suite de partages et d'alliances, à la famille de Vendôme (vers 1272) puis à la famille du Merle par suite du mariage vers 1380 de Marguerite de Vendôme avec Jean du Merle, baron de Messei[30]. Qualifiée de châtellenie en 1403, la seigneurie de Gorron fut titrée de baronnie en 1528. Mais à cette époque, la forteresse avait déjà subi les ravages des guerres anglaises, l'aveu de 1403 ne mentionnant plus que "la place d'un chastel ou manolr ancien, la place d'un autre hébergement assis en ville ; le grand et le petit estang ; deux moulins à bled, un moulin à drap… En 1490, la guerre de Bretagne occasionna à nouveau des troubles et des pillages dans la petite ville. Faute du paiement d'une imposition de 600 livres, les Huguenots de Domfront vinrent l'incendier en 1574. Puis en 1592, des bandes anglaises signèrent leur passage par de nouvelles dévastations.

    Dans les vieux dictionnaires, on peut noter que Gorron était associée à la fabrication des andouilles et des sabots. Vers 1403, on y aurait trouvé des fabriques de sabots, de tissus et de coton et des tanneries d'où ont découlé les industries liées à la chaussure, ces industries qui ont fait la notoriété de cette région. Au cours des siècles, elles se sont transformées en petites industries métallurgiques, en industries du bois, des meubles et des plastiques. Gorron fut également un centre d'exploitation de granite : bon nombre de vieilles maisons ont été construites avec le granite de Gorron.

    Le , Gorron créa une milice bourgeoise chargée du maintien de l'ordre. Cette milice dut réprimer les émeutes qui se reproduisaient journellement aux halles, un lieu où la municipalité défendit d'entrer avec les « bâtons de meslier Â» restés célèbres aux marchés du mercredi.

    Un train dans la vallée vers Gorron au début du XXe siècle.

    Cette période tourmentée connaît de nombreuses incursions des Chouans. De juillet 1795 à juillet 1797, on signale de nombreuses escarmouches entre la garnison de Gorron et les Chouans de Louis de Frotté. Le , 3 000 Chouans menacèrent d'attaquer la commune qui ne comptait alors que 50 militaires, 100 hommes de la colonne mobile et 200 gardes nationaux. Elle eut à supporter une attaque beaucoup plus sérieuse et plus violente le . Ce jour-là, 700 hommes la menacèrent de sept à huit heures du matin.

    En 1886, on créa un syndicat du hannetonnage qui détruisit, pendant la campagne du 9 mai au 12 juin 1887, 75 000 kilos de hannetons…

    Le bourg fut desservi, de 1901 à 1947, par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux de la Mayenne reliant Landivy à Mayenne. La ligne de Mayenne à Landivy fut ouverte sur la section comprise entre Landivy et Mayenne-Saint-Baudelle via Gorron le . La section entre Mayenne-Saint-Baudelle et Mayenne-Échange ne fut ouverte que le . La section Landivy - Gorron ferma avant la Seconde Guerre mondiale. Le viaduc de Mayenne situé sur la section de Mayenne-Saint-Baudelle à Mayenne-Échange fut bombardé en 1944. En 1947, la section de Gorron à Mayenne-Saint-Baudelle ferma, marquant la fin des chemins de fer secondaires à voie métrique en Mayenne.

    En 1902, la gare de Gorron avait accueilli 22 022 voyageurs[31].

    Héraldique

    Armes de Gorron

    Les armes de la commune de Gorron se blasonnent ainsi :
    D'argent aux trois têtes de loup de sable[32].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 ? Gonnet de Bois-Roger curé
    1791 ? Gaspard Berrier
    1798 ? Gaspard Boulard président de l'administration cantonale
    1800 1807 Lefaux
    1807 1811 Jean-Charles Bignon
    1816 1821 Garnier
    1821 1850 César-Pierre Ledauphin-Blinière
    1855 1870 Louis Péan-Launay
    1870 1884 Auguste Lemarchand
    1884 1896 Maurice Le Ray, duc d'Abrantès[34] Monarchiste Secrétaire d'ambassade
    Conseiller général du canton de Gorron (1871-1900)
    1896 1900 Lemarchand
    1900 1905 Gendron
    1905 1906 Charles Daniel Indépendant nationaliste Docteur, sénateur de la Mayenne
    1906 1907 Bouessée
    1907 1908 Charles Daniel Indépendant nationaliste Docteur, sénateur de la Mayenne
    1908 ? Fouilleul
    1938 1948
    (décès)
    Lucien Dollé
    1948 1952
    (démission)
    Fernand Maret DVD Directeur d’assurances, conseiller général (1955 → 1973)
    1952 mars 1989 Maurice Dufour DVD Pharmacien, conseiller général (1973 → 1985)
    mars 1989 juin 1995 Jean Corbeau DVD Vétérinaire, conseiller général (1985 → 1998)
    juin 1995[35] En cours Jean-Marc Allain[36] DVD
    (app. LREM)
    Conseil en gestion, conseiller général (1998 → 2011) puis départemental (depuis 2015)

    Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et quatre adjoints[37].

    Population et société

    Gorron, ville mayennaise au carrefour des marches de la Bretagne et de la Normandie.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

    En 2020, la commune comptait 2 543 habitants[Note 8], en diminution de 4,58 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0221 8802 1902 1102 2282 4372 3512 3562 430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6212 6872 6892 6692 7872 8562 7812 7302 557
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5512 3812 3772 0612 2532 3842 2322 3212 207
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 3212 4002 5112 8252 8372 8942 7592 7442 702
    2017 2020 - - - - - - -
    2 5602 543-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Fabrication de chaussures.
    • Industrie agro-alimentaire : fabrication de cuves pour les élevages laitiers SERAP Industries, pépiniéristes…

    Lieux et monuments

    Menhir de la Roche, Gorron ; photographie de 1907
    • Église sous le vocable de saint Martin, vit sa reconstruction de 1868 à 1874, sur les plans de monsieur Théberge, architecte à Avranches. Par la suite, les plans subirent une modification ; sur un devis de 165 000 francs, 106 900 F furent souscrits dans la commune.
    • Fontaine (passage des Prés).
    • Hôtel de ville.
    • Chapelle Notre-Dame-du-Bignon.
    • Chapelle Saint-Étienne.
    • Menhir de la Roche, classé au titre des Monuments historiques depuis le [42].

    Activité et manifestations

    Sports

    Un hippodrome — qui n'existe plus de nos jours — y fut fondé en 1875. Gorron a été la première commune de la Mayenne à posséder une piscine en 1914.

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 65
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Saint-Fraimbault - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Gorron et Saint-Fraimbault », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Saint-Fraimbault - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Gorron et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Gorron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 844.
    30. Cf. Abbé Angot, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, 1900-1980.
    31. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
    32. « GASO, la banque du blason - Gorron Mayenne » (consulté le ).
    33. Les maires de Gorron
    34. Maurice Le Ray (1846-1900), secrétaire d'ambassade est devenu en raison de son mariage avec Jeanne Junot d'Abrantès, 4e duc d'Abrantès, par décision impériale du 6 octobre 1869.
    35. « Le maire Jean-Marc Allain brigue un troisième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. Réélection 2014 : « Jean-Marc Allain a été élu pour un 4e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. « Gorron (53120) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Menhir de la Roche », notice no PA00109510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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