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Gizay

Gizay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Gizay
Gizay
ChĂąteau de Chambonneau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Jean-Yves Grassien
2020-2026
Code postal 86340
Code commune 86105
DĂ©mographie
Gentilé Gizayens
Population
municipale
363 hab. (2020 en diminution de 12,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 17 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 26â€Č 28″ nord, 0° 25â€Č 30″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 138 m
Superficie 20,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vivonne
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Gizay
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Gizay
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Gizay
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Gizay

    Ses habitants sont appelés les Gizayens[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Petite commune Ă  20 km au sud est de Poitiers.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    Le point culminant se situe sur la route des Cartes (commune de la Villedieu-du-Clain) au sud de la Chavignerie avec une altitude de 137 m.

    Paléontologie

    Aucune étude n'a encore été faite sur ce sujet. On peut y trouver des coraux (Isastrea bernardiana), des oursins irréguliers (Clypeus plotii, Icoctycus), des lys de mer (isocrinidés), des brachiopodes (térébratules), des lamellibranches (Alectronia), des rostres de belemnites,(Holcobelus munieri), et de rares morceaux de spongiaires, datant du Jurassique moyen, (Bajocien supérieur)(découverte amateur).

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 770 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Vernon », sur la commune de Vernon, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 792,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă  18 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Gizay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (69,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), forĂȘts (27,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,1 %), prairies (2,8 %), zones urbanisĂ©es (1,6 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Gizay est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque nuclĂ©aire[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Miosson. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[23] - [21].

    Gizay est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2014, le deuxiĂšme plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2015-2024[24]. Les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement sont dĂ©finies dans un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [Note 8] - [25], celles relatives Ă  l'emploi du feu et au brĂ»lage des dĂ©chets verts le sont dans un arrĂȘtĂ© permanent du [26] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gizay.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[28]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[29]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[30]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [31].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Risque technologique

    La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Civaux, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 10]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 11] - [32] - [33].

    Histoire

    GrĂące au travail d'archĂ©ologie aĂ©rienne de Christian Richard, la villa gallo-romaine de Gisiacum a pu ĂȘtre dĂ©couverte. N'ayant pas encore Ă©tĂ© prospectĂ©e, elle est la plus importante du Sud de Poitiers.

    De la mĂȘme pĂ©riode historique, il existe Ă©galement un camp romain Ă  l'est du chĂąteau de Chambonneau, un atelier mĂ©tallurgique sur le lieu-dit de Courcelles et un ferrier Ă  l'ouest des Communaux. De plus, une voie romaine, passant par un axe NNO/SSE, est observable sur les vues aĂ©rienne entre le Petit Chambonneau et la BaudonniĂšre.

    Sous l'Ancien RĂ©gime, le territoire actuel de la commune contenait plusieurs fiefs et mĂȘme des arriĂšre-fiefs.

    Le roi Jean II le Bon a passĂ© son premier repas de captivitĂ© au chĂąteau de Chambonneau et y a peut-ĂȘtre dormi quand il fut fait prisonnier des Anglais le 19 septembre 1356 (Bataille de Poitiers - NouaillĂ©-Maupertuis).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Jean HĂ©rault
    mars 2008 Jean-Yves Grassien[34]

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    DĂ©mographie

    En 2020, la commune de Gizay comptait 363 habitants. À partir du XXIe siĂšcle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations. La densitĂ© de population de la commune est de 18 hab./km2. Celle du dĂ©partement est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    313296377292424477448428430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    444447473455469472483495481
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    463511508424367338346354348
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    300272266285328370382384402
    2017 2020 - - - - - - -
    377363-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 18 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[37], il n'y a plus que 15 exploitations agricoles en 2010 contre 17 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont diminuĂ© et sont passĂ©es de 1 462 hectares en 2000 Ă  1 403 hectares en 2010. 39 % sont destinĂ©es Ă  la culture des cĂ©rĂ©ales (blĂ© tendre essentiellement mais aussi orges et maĂŻs), 17 % pour les olĂ©agineux (colza et tournesol), 30 % pour le fourrage et 3 % restent en herbes. En 2010, un hectare (comme en 2000) est consacrĂ© Ă  la vigne[37].

    Neuf exploitations en 2010 (contre dix en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (711 tĂȘtes en 2010 contre 581 tĂȘtes en 2000). Sept exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un Ă©levage d'ovins en fort rĂ©gression (339 tĂȘtes en 2010 contre 1 251 tĂȘtes en 2000)[37]. Cette Ă©volution est conforme Ă  la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destinĂ© Ă  la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă  2007[38]. L'Ă©levage de volailles reprĂ©sente 522 tĂȘtes en 2010 (792 en 2000) rĂ©partis sur huit fermes (16 en 2000). L'Ă©levage de chĂšvres a disparu en 2010 (717 tĂȘtes sur cinq fermes en 2000)[37].

    DĂ©veloppement durable

    La commune accueille l'une des cinq installations de stockage de dĂ©chets non dangereux d'une capacitĂ© de 80 000 tonnes. La capacitĂ© des cinq sites Ă©tait de 474 000 tonnes en 2011[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le brĂ»lage des dĂ©chets verts Ă  l’air libre ou Ă  l’aide d’incinĂ©rateurs individuels est interdit toute l’annĂ©e et sur l’ensemble du dĂ©partement de la Vienne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    11. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Vernon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Gizay et Vernon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Vernon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Gizay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Gizay », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la prĂ©fecture de la Vienne, (consultĂ© le )
    25. « ArrĂȘtĂ© relatif aux obligations de dĂ©broussaillement - Vienne », sur le site de la prĂ©fecture de la Vienne, (consultĂ© le )
    26. « RÚglement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
    27. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la prĂ©fecture de la Vienne (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gizay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    32. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    34. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    38. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    39. Rapport de l’AREC – La gestion des dĂ©chets mĂ©nagers en Vienne – Recueil des donnĂ©es – AnnĂ©e 2011
    40. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//IA00045024
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