Marnay (Vienne)
Marnay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Marnay | |||||
Ferme ancienne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Clain | ||||
Maire Mandat |
Christian Chaplain 2020-2026 |
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Code postal | 86160 | ||||
Code commune | 86148 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marnaisiens[1] | ||||
Population municipale |
713 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 23âČ 49âł nord, 0° 20âČ 36âł est | ||||
Altitude | 120 m Min. 96 m Max. 144 m |
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Superficie | 45,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vivonne | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.marnay.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Communes limitrophes
Hydrographie
Dans la bourg de Marnay coule la ClouĂšre[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La FerriĂšre Airoux_sapc », sur la commune de La FerriĂšre-Airoux, mise en service en 1990[9] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 771,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Marnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (73,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forĂȘts (27,1 %), prairies (12,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,7 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,6 %), zones urbanisĂ©es (0,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Marnay est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la ClouĂšre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[24] - [22].
Marnay est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2014, le deuxiĂšme plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2015-2024[25]. Les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement sont dĂ©finies dans un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [Note 8] - [26], celles relatives Ă l'emploi du feu et au brĂ»lage des dĂ©chets verts le sont dans un arrĂȘtĂ© permanent du [27] - [28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[29]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[30]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[31]. 99,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [32].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].
Toponymie
Le nom du village est attesté sous la forme Matriniaco en 938 - 939[33].
De lâanthroponyme gallo-romain Maternus[33] ou Matrinius (dĂ©rivĂ© du gaulois matir « mĂšre » auquel se superpose le latin mater), suivi du suffixe de localisation et de propriĂ©tĂ© -(i)acum[33], d'origine gauloise.
Histoire
Durant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs opĂ©rations pick up ont eu lieu au nord du village de MĂ©delle, mais sur la commune dâAslonnes[34].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
DĂ©mographie
En 2020, la commune comptait 713 habitants.
En 2008, selon lâInsee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 13 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Ăconomie
Selon la direction RĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[38], il n'y a plus que 30 exploitations agricoles en 2010 contre 35 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont paradoxalement augmentĂ© de 9 % et sont passĂ©es de 2 628 hectares en 2000 Ă 2 867 hectares en 2010 dont 666 sont irrigables[38]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible dâexploitations. Cette tendance est conforme Ă lâĂ©volution constatĂ©e sur tout le dĂ©partement de la Vienne puisque de 2000 Ă 2007, chaque exploitation a gagnĂ© en moyenne 20 hectares[39].
48 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 24 % pour les oléagineux (colza pour 87 % de la surface et un peu de tournesol), 15 % pour le fourrage et 6 % restent en herbes. En 2000, trois hectares (deux en 2010) étaient consacrés à la vigne[38].
Huit exploitations en 2010 (contre quinze en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (921 tĂȘtes en 2010 contre 1 190 en 2000). sept exploitations en 2010 (contre treize en 2000) abritent un Ă©levage d'ovins (678 tĂȘtes en 2010 contre 1 036 tĂȘtes en 2000)[38]. Cette Ă©volution est conforme Ă la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau dâovins, exclusivement destinĂ© Ă la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă 2007[40]. L'Ă©levage de volailles a connu une baisse: 413 tĂȘtes en 2000 rĂ©partis sur seize fermes contre 208 tĂȘtes en 2010 rĂ©partis sur onze fermes[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre de Marnay. DĂ©diĂ©e Ă Saint Pierre, lâĂ©glise est en partie romane, façade, murs de la nef et abside. La façade prĂ©sente un portail cĂŽtĂ© nord avec deux voussures brisĂ©es reposant sur des chapiteaux Ă palmettes. Les contreforts posĂ©s a posteriori empiĂštent sur le portail rĂ©vĂ©lant que cet Ă©difice a dĂ» ĂȘtre stabilisĂ©. De ce fait, la fenĂȘtre est du cĂŽtĂ© sud, tandis qu'en partie haute le mur pignon est d'Ă©poque moderne. Une corniche ornĂ©e d'entrelacs reposant sur des modillons du XIIe siĂšcle sĂ©pare les deux niveaux. On y voit du nord au sud une chouette, un joueur de viĂšle, ce qui semble ĂȘtre un acrobate (sculpture mutilĂ©e), un couple s'enlaçant et plus Ă l'est des modillons ornĂ©s de masques. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[41]. L'intĂ©rieur est sobre. La nef unique est Ă©clairĂ©e par des baies prĂ©sentant des vitraux fabriquĂ©s entre 1888 et 1891 dans les ateliers de L. Lobin, vitrailler de Tours. Ils comportent des armoiries de gĂ©nĂ©reux donateurs. Le vitrail d'axe du chĆur reprĂ©sente un Saint Pierre, patron de l'Ă©glise (1885). Dans le bras gauche du transept, au mur nord, un Saint Louis avec la Couronne d'Ă©pines dont il fit l'acquisition et pour laquelle il fit construire la Sainte Chapelle Ă Paris. Dans le bras droit du transept, au mur est, Sancta Agnes, « Sainte AgnĂšs » (1891) et au mur sud, la Vierge dans une mandorle, les pieds sur un croissant de lune (1888). Dans la nef, au nord, le vitrail prĂ©sente un Saint Jean-Baptiste (1889) et au mur ouest, on voit dans un mĂ©daillon un prĂȘtre en Ă©tole et surplis, agenouillĂ© (1889).
- Dans la campagne, sur le coteau à proximité du lieudit Trancart, se trouve le Bitochon. Ce monument phallique sert de cheminée à une chambre troglodytique.
Avant d'arriver au bourg de Marnay, sur le cÎté de la route départementale D 742, il est possible de voir une stÚle érigée à la mémoire d'un résistant, fusillé le .
- ChĂąteau de La Touche.
- Puits couvert, voisin de la ferme de La GrimaudiĂšre.
- Le Bitochon, cheminĂ©e dâun lieu de rendez-vous galants troglodytiques.
- Foire aux produits du terroir : Elle se déroule le deuxiÚme dimanche d'octobre de chaque année. Fondée dans les années 1970, elle attire des centaines de visiteurs, venus acheter des produits locaux présentés par les éleveurs, producteurs, artisans d'arts et métiers, associations...
Personnalités liées à la commune
Robert Rouillon (1923-2011) a Ă©tĂ© maire de la commune pendant 4 mandats (1970-1994). Durant ses annĂ©es en tant que maire, il a travaillĂ© sans relĂąche pour amĂ©liorer la vie de ses concitoyens et pour faire progresser la ville. Il a mis en place des projets importants, tels que la construction d'une salle des fĂȘtes, l'entretien des infrastructures... Avec son expĂ©rience d'exploitant agricole, Robert Rouillon a Ă©tĂ© l'un des premiers Ă comprendre le potentiel des produits en circuit court, dans une pĂ©riode de mondialisation et de production de masse. Il a mis en avant les produits locaux et les petits producteurs, souvent nĂ©gligĂ©s face Ă la domination des grandes firmes. C'est sous son initiative que la commune a mis en place la "Foire aux produits du terroir" toujours programmĂ©e aujourd'hui. Son Ă©pouse, Marie-Annick, nĂ©e Vadier (1936-2009), est une des rares femmes diplĂŽmĂ©e en France (annĂ©es 1950), Ă l'universitĂ© Sorbonne Paris. SecrĂ©taire de mairie et correspondante pour les journaux Centre-Presse et La Nouvelle RĂ©publique, elle a Ă©tĂ© un soutien indĂ©fectible. CultivĂ©e, proche des habitants elle a Ă©tĂ© un atout majeur dans ses rĂ©Ă©lections et dans la rĂ©alisation de sa politique.
Robert Rouillon a été un membre actif de l'association des anciens combattants de la vienne. Durant la durant la Seconde Guerre mondiale, pour la libération de son pays, il était un jeune résistant dans le maquis « Joël ». Il s'est engagé dans la 1re armée et a participé à la campagne Rhin et Danube sous le commandement du général de Lattre de Tassigny. En remerciment, Robert Rouillon, a été décoré chevalier de l'Ordre national du mérite.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le brĂ»lage des dĂ©chets verts Ă lâair libre ou Ă lâaide dâincinĂ©rateurs individuels est interdit toute lâannĂ©e et sur lâensemble du dĂ©partement de la Vienne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Pierre Rossignol, Bernard Balusseau, Louis Vibrac, Le Horst, une histoire naturelle et humaine., Geste Ă©ditions, La CrĂšche, 2014, 165 p., (ISBN 978-2-36746-262-2).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Marnay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 71-76.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste â EnquĂȘte Structure 2007
- Agreste â Bulletin no 12 de mai 2013
- « Ăglise paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )