Givenchy-en-Gohelle
Givenchy-en-Gohelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Givenchy-en-Gohelle | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Pierre Senechal 2020-2026 |
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Code postal | 62580 | ||||
Code commune | 62371 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Givenchyssois | ||||
Population municipale |
2 003 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 337 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 37″ nord, 2° 46′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 148 m |
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Superficie | 5,95 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Liévin | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-de-givenchy.com | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
La ville se trouve dans l'arrondissement d'Arras et se situe dans la banlieue de Liévin (arrondissement de Lens).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :
- la forêt domaniale de Vimy, le coteau boisé de Farbus et le bois de l’Abîme. Ce site présente de nombreux boisements et des points de vue sur la plaine de la Gohelle et le bassin minier. Plusieurs vestiges de la Première Guerre mondiale, comme les trous de bombes et les tranchées, sont encore visibles[1] ;
- le terril 75 d'Avion (de Pinchonvalles) qui, avec 75 ha, est le deuxième terril d'Europe pour la surface occupée[2].
Urbanisme
Typologie
Givenchy-en-Gohelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[6] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,3 %), forêts (16,6 %), zones urbanisées (14,7 %), prairies (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Juvenchii (1070) ; Juviniacum (1104) ; Juvenci in Gauharia (1154-1159) ; Jevenci in Gauharia (1171) ; Juvenchi (1220) ; Gievenci in Gauheria (1226) ; Givenchy (1329) ; Gievenchi (xive siècle) ; Givenchy-en-le-Gohelle (1429) ; Gyvenchy (1643)[13].
La Gohelle est un petit pays traditionnel du département du Pas-de-Calais faisant partie de l'Artois, la ville de Lens est considérée comme son point central[14]. Hypothétiquement, le nom pourrait venir du vieil allemand « göll », qui signifie « stérile »[15], du mot, bas-latin, Gauharia signifiant « région couverte de taillis ».
Histoire
Le village de Givenchy a été complètement détruit lors de la Première Guerre mondiale, dès 1914.
Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement d'Arras pour intégrer l'arrondissement de Lens[16].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Givenchy-en-Gohelle se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Lens (à 7,5 km).
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin, qui rassemble 36 communes (Ablain-Saint-Nazaire, Acheville, Aix-Noulette, Angres, Annay, Avion, Bénifontaine, Billy-Montigny, Bouvigny-Boyeffles, Bully-les-Mines, Carency, Éleu-dit-Leauwette, Estevelles, Fouquières-lès-Lens, Givenchy-en-Gohelle, Gouy-Servins, Grenay, Harnes, Hulluch, Lens, Liévin, Loison-sous-Lens, Loos-en-Gohelle, Mazingarbe, Méricourt, Meurchin, Noyelles-sous-Lens, Pont-à -Vendin, Sains-en-Gohelle, Sallaumines, Servins, Souchez, Vendin-le-Vieil, Villers-au-Bois, Vimy et Wingles) pour une population totale d'un peu moins de 250 000 habitants.
Circonscriptions administratives
La commune fait partie du canton de Liévin (à 4 km).
Liste des maires
Équipements et services publics
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Givenchyssois[22].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2020, la commune comptait 2 003 habitants[Note 4], en augmentation de 0,5 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 949 hommes pour 1 041 femmes, soit un taux de 52,31 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Les églises
Comme bien d'autres églises de la région, l'église de Givenchy-en-Gohelle fut fondée à l'époque mérovingienne comme en témoigne son vocable de saint Martin. Contrairement à l'édifice actuel, la première église était située sur les monts, à flanc de coteau et plus précisément en bordure de l'actuelle rue Renan.
Pillée et ruinée à plusieurs reprises lors des campagnes militaires des XIVe et XVe siècles, elle fut restaurée à la fin du XVe siècle. Flanquée d'une tour-clocher aux puissants contreforts, elle assurait la surveillance aux abords de la paroisse et la tradition rapporte que cette tour protégeait l'entrée d'un souterrain (carrière de craie).
À la Révolution, l'église ne cessait de se délabrer, petite, ne comportant qu'une seule nef, mal éclairée, elle ne convenait plus à la population devenue nombreuse. Le à 16 h la nef s'écroula, il n'y eut aucune victime. Le maire décida alors de la raser mais le curé et les paroissiens s'y opposèrent et se regroupèrent dans le petit chœur.
En 1871, la vieille tour-clocher s'effondra, il fallait donc procéder à la reconstruction d'une nouvelle église. Afin de réunir Givenchy et le hameau Givenchisel, l'église fut reconstruite au lieu-dit la Chapelle au milieu des terrains agricoles. De style néogothique, elle fut construite entre 1871 et 1873. En 1874, on construisit le cimetière derrière l'église. Elle fut détruite lors de la Première Guerre mondiale.
L'église Saint-Martin fut à nouveau reconstruite au même emplacement et sur des plans identiques à la précédente. La reconstruction débuta en 1924, cependant les travaux furent arrêtés en à la suite de la faillite de l'entrepreneur Société régionale d'entreprise de la Seine. Ils reprirent seulement en 1931.
L'église fut inaugurée le par monseigneur Dutoit, évêque d'Arras.
Elle possède deux cloches :
- la grosse cloche Marie Henriette Alfreda Thérèse Ghislaine fut baptisée le par monseigneur Dutoit, elle pèse 850 kg et donne le fa # (fondeur Wauthy à Douai) ;
- la petite cloche Aloyii Arsenii Victoris Joannis Francisci, Petri, Pauli, Marcelii, Hippolyti (Eloi Arsène Victor Jean François, Pierre, Paul, Marcel, Hippolyte) daterait de 1870 (provient de l'église provisoire). Elle pèse 350 kg et donne le mi bémol (fondeur P. Drouot à Douai). L'église fait partie de la nouvelle paroisse Notre-Dame des collines d'Artois dans le diocèse d'Arras.
Le Mémorial canadien de Vimy
C'est sur le territoire de Givenchy-en-Gohelle que se trouve le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens. Les deux pylônes, représentant le Canada et la France, culminent 27 mètres au-dessus de la base du monument. En raison de l'altitude du site, la figure la plus élevée - l'allégorie de la paix - domine la plaine de Lens d'environ 110 m.
Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au Canada par la France en 1922. Cela en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la « Grande Guerre » et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'.
En s'avançant à l'avant du monument, on peut remarquer une statue de femme voilée, tournée vers l'est, vers l'aube d'un nouveau jour. Elle représente le Canada, une jeune nation, pleurant ses fils tombés au combat. La crête de Vimy est aujourd'hui boisée, chaque arbre a été planté par un Canadien et symbolise le sacrifice d'un soldat.
Les pierres calcaires choisies par Walter Allward viennent de Croatie. Elles sont montées sur une structure en béton. Les pierres d'origine s'étant abîmées avec le temps, des travaux de restauration ont été entrepris en 2005 et se sont achevés en 2007. La reine Élisabeth II a participé à l'inauguration le .
Mémorial de la Division marocaine
Un monument édifié en , sur le plateau de Vimy, en face du mémorial canadien, rend hommage à la Division marocaine et aux centaines de milliers de soldats étrangers engagés pour la France pendant la Grande Guerre[29].
Autres lieux et monuments
- Le monument aux morts[30].
- Les mottes du Catel et de Boulant, sous lesquelles sont creusés des souterrains[31].
Gastronomie
La commune de Givenchy-en-Gohelle présente la particularité d'avoir planté de nouveau de la vigne (chardonnay et pinot gris). Les premières vendanges ont eu lieu en 2000.
Héraldique, logotype et devise
Blason | D'argent à trois merlettes de sable rangées en barre ; au franc canton de gueules[32].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « ZNIEFF 310013754 - Forêt domaniale de Vimy, coteau boisé de Farbus et bois de l’Abîme », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007231 - Le terril 75 d'Avion (de Pinchonvalles) », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Mém. Arras 1889, p. 165.
- Mém. Arras 1889, p. 167.
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
- Édouard Wayolle, « Bilan des maires: à Givenchy-en-Gohelle, malgré les contretemps, Robert Mieloch reste ambitieux pour sa commune : Robert Mieloch, à la tête du bourg de Givenchy-en-Gohelle depuis trente ans, compte se représenter aux élections municipales de 2014. Quel bilan tirer de son dernier mandat ?» », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Clément Landouzy, « Pierre Sénéchal, maire de Givenchy: « Je travaille pour mon village, pas pour la gloire ! » : Depuis quelques semaines, la commune de Givenchy a changé d’ère : Pierre Sénéchal a succédé à Robert Mieloch qui était installé dans le fauteuil de maire. Sa victoire, son nouveau rôle, ses projets… Entretien avec le nouveau maire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Givenchy-en-Gohelle (62371) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Maxime Pedrero, « Givenchy-en-Gohelle : le maire veut sauver le monument à la mémoire de la division marocaine : Passionné depuis des années des lieux de mémoire qui entourent son village, Pierre Sénéchal s’est donné pour mission de sauver l’un d’entre eux de l’oubli, le monument à la division marocaine. Un édifice soulignant la mémoire de centaines de milliers de soldats étrangers tombés pour la France », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 355.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).