Annay (Pas-de-Calais)
Annay[1], parfois appelée Annay-sous-Lens, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Annay | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Yves Terlat 2020-2026 |
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Code postal | 62880 | ||||
Code commune | 62033 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Annaysiens | ||||
Population municipale |
4 477 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 034 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 51″ nord, 2° 52′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 21 m Max. 44 m |
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Superficie | 4,33 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lens | ||||
Législatives | 3e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | annaysouslens.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Annaysiens.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].
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Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le site du cavalier du terril no 98 d'Estevelles au terril d’Harnes, d’une superficie de 71 hectares et d'une altitude variant de 21 à 122 mètres. Le site est constitué, au nord, par le terril d'Estevelles de forme trapézoïdale, et, au sud, par le terril d’Harnes de forme conique. Les deux terrils sont reliés par un cavalier, ancienne voie ferrée, ces cavaliers sont très souvent transformés en sentier de randonnée et certains font partie de la trame verte et bleue[4].
Urbanisme
Typologie
Annay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[8] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille - Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,9 %), zones urbanisées (38,8 %), forêts (9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,3 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aldnais entre 955-981 (ch. de Saint-Pierre de Gand, n° 25), Aldnai en 966 (annales Sancti Petri Blandin., p. 90), Adnais en 972 (Mir., t. II, p. 941), Altnai en 1037 (ch. de Saint-Pierre de Gand, n° 119), Aldnaidis en XIe siècle (annales S. Petri Blandin., p. 25), Alnai en 1198 (abb. d’Hénin, d. 1), Alnetum en 1204 (Miræus, t. III, p. 367), Ausnay en 1214 (cart. de la Brayelle, f° 274), Aunay en 1218 (ch. de Saint-Pierre de Gand, n° 447), Annai en 1254 (cart. de Marœuil, f° 121 v°), Ausnai en 1261 (censier d’Arr., f° 46), Annet en 1269 (chap. de Saint-Barthél. de Béthune), Augnoi en 1282 (cart. d’Art., A. 1, f° 9 r°), Oisnay en 1329 (cart. des chartrses de Gosnay, t. II, f° 7 r°), Annoy en 1399 (arch. du Nord, B. 1299), Alnay en 1460 (ch. de Saint-Pierre de Gand, n° 1834)[15].
Cette commune est parfois appelée Annay-sous-Lens.
Histoire
Jusqu'à la Révolution, le village forme avec ceux de Harnes et Loison, un comté qui dépend de l'abbaye Saint-Pierre de Gand. Son histoire est intimement liée à celle de ce comté. Celui-ci, faisant enclave dans le bailliage de Lens, dépend pendant 826 ans du monastère flamand (abbaye de Gand) qui confie la garde et la protection de ses biens de 864 à 1191 aux comtes de Flandre. Le premier est Eustache II, père de Godefroy de Bouillon.
L'origine du nom Annay s'explique par les nombreux marécages qui composaient jadis la région. En effet, Aunai ou Aulnaie signifie un lieu planté d'aulnes ou aunes. Ce sont des arbres de la famille des cupulfères qui croissent dans des lieux humides. Annay fut visitée et sans doute habitée d'abord par les Celtes puis les Romains. Il est compris dans l'ancien pays de Scribiu ou pays de l'Escrebieux. Elle a été ravagée ainsi que sa région par les barbares vandales vers l'an 409.
En 407, Annay est ravagée par une bande de barbares qui séjourne à Pont-à -Vendin. Par sa situation géographique Annay a souffert des toutes les guerres qui désolèrent la contrée. Les rixes entre les habitants étaient fréquentes. Le village était très souvent incommodé et harcelé par les troupes en campagne qui lui causèrent de grands dommage.
En 1196, est fondée sur le territoire d'Annay l'abbaye de la Brayelle.
En 1303, Annay est incendiée deux fois par les Flamands qui venaient de battre les Français à Courtrai.
Après que Turenne y fasse camper ses troupes en 1656, le village jouit jusqu'à la guerre de Succession d'Espagne, d'un repos nécessaire. À la fin de 1706, un fort est construit dans les marais d'Annay par les habitants, d'après les prescriptions du sieur Mortagne. En 1709, le maréchal de Villars place son quartier général en ce village, où campe son armée. S'étant ensuite porté vers le Scarpe, il y laisse une partie de ses troupes sous les ordres du comte d'Artagnan. Heureusement la paix d'Utrecht met fin à la guerre. En cette même année les derniers Huguenot de Annay quittent la France pour se réfugier dans le Sud-Est de la Hollande, notamment en Groede, dans le "West-Zeeuws-Vlaanderen" qui fait part de la province de Zélande. Cette famille de paysans, les Cysoing (devenu Suwijn), originaires du village de Cysoing, consistait de 11 personnes. (Annales généalogiques de Middelburg en Zélande).
Pendant la Terreur, deux cultivateurs d'Annay, le maire et son frère, accusés d'avoir avili la société populaire de la commune et dilapidé les meubles de l'église, sont arrêtés, mais ils trouvent grâce devant le tribunal révolutionnaire. Il n'en est pas de même de la dernière abbesse du monastère d'Annay. Déclarée coupable d'avoir soustrait les meubles de l'abbaye et de s'être apitoyée sur le sort des prêtes déportés, elle est condamnée à mort et guillotinée.
Dans l'histoire d'Annay on relève l'existence sur son territoire d'un asile, de deux fabriques de sucre, d'une fabrique de chicorée, de trois brasseries et de deux briqueteries.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Annay se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Lens.
Commune et intercommunalités
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Lens.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[19].
Population et société
Démographie
Ses habitants sont appelés les Annaysiens[20].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2020, la commune comptait 4 477 habitants[Note 6], en augmentation de 6,6 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 123 hommes pour 2 254 femmes, soit un taux de 51,5 % de femmes, égal au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 1816 ménages fiscaux qui comprennent 4574 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 7] de 19 330 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros. La part des ménages fiscaux imposés est de 48 % (57,6 % en France métropolitaine)[27] - [28].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Un Camus-haut, vestige d'une cité bien plus grande bâtie pour les mineurs de la fosse no 24 - 25, a été classé le au patrimoine mondial de l'Unesco[29].
- L'église Saint-Amé date de 1958.
- L'ancienne abbaye de la Brayelle.
- Le monument aux morts[30].
Héraldique
Blason | Tranché: au 1) d’argent ondé de sable et au 2) de gueules, à la cotice d’azur chargé de six fleurs de lys d’or posées à plomb brochant sur la partition. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Annay », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Annay » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l’ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
Références
- « Code officiel géographique », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de la Deule (E3--021-) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « ZNIEFF 310014027 - Site du cavalier du terril no 98 d'Estevelles au terril d’Harnes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- « Annay-sous-Lens: pour Yves Terlat, maire depuis mars, «il faut redonner envie aux Annaysiens de venir à la mairie» : Premier mandat pour Yves Terlat. Le maire veut impulser un nouveau rythme dans la gestion de commune : le sien, qu’il veut en décalage total avec celui de l’équipe sortante. Sa priorité : renouer des liens de confiance avec les Annaysiens. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Annay (62033) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur https://whc.unesco.org/, Unesco .
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).