Galargues
Galargues [ga.laÊ.ÉŁÉ] (en occitan est [ga.'lar.ÉŁÉs]) une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.
Galargues | |
L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | HĂ©rault |
Arrondissement | Montpellier |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lunel |
Maire Mandat |
Denis Devriendt 2020-2026 |
Code postal | 34160 |
Code commune | 34110 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Galargois |
Population municipale |
743 hab. (2020 ) |
Densité | 65 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 46âČ 17âł nord, 4° 01âČ 19âł est |
Altitude | 54 m Min. 29 m Max. 257 m |
Superficie | 11,43 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Lunel |
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la BĂ©novie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique. Ses habitants sont appelĂ©s les Galarguois et les Galarguoises.
Galargues est une commune rurale qui compte 743 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
GĂ©ographie
Galargues est un village situé dans les garrigues à 21 km au nord-est de Montpellier, 14 km au nord-ouest de Lunel et 28 km à l'ouest-sud-ouest de Nßmes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Drezery », sur la commune de Saint-DrĂ©zĂ©ry, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 768,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et Ă 17 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 15,5 °C pour 1991-2020[12].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais »[14], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[15].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[16] : l'« aven du Mounmaou » (280 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Gard et deux dans l'HĂ©rault[17] et la « plaine de Campagne » (1 681 ha), couvrant 6 communes dont trois dans le Gard et trois dans l'HĂ©rault[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [16] : les « plaines et garrigues du Nord MontpelliĂ©rais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'HĂ©rault[19].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Galargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [20] - [I 1] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (51,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (50,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (42,1 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (39,7 %), forĂȘts (11,5 %), zones urbanisĂ©es (4,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Galargues est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la BĂ©novie. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2002, 2003 et 2014[25] - [23].
Galargues est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 68,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 301 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 301 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Galargues est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[29].
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 285 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 734 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 220 âŹ[I 4] (20 330 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,5 % | 10,9 % | 7,8 % |
DĂ©partement[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 488 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7 % d'actifs (70,9 % ayant un emploi et 7,8 % de chÎmeurs) et 21,3 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 125 emplois en 2018, contre 135 en 2013 et 124 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 348, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,7 %[I 10].
Sur ces 348 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
64 établissements[Note 12] sont implantés à Galargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 64 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 6 | 9,4 % | (6,7 %) |
Construction | 18 | 28,1 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 16 | 25 % | (28 %) |
Information et communication | 1 | 1,6 % | (3,3 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 1 | 1,6 % | (3,2 %) |
Activités immobiliÚres | 2 | 3,1 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 12 | 18,8 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 7,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 3 | 4,7 % | (8,1 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 64 entreprises implantées à Galargues), contre 14,1 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30] :
- SARL Reseaux Divers Languedociens, travaux de terrassement courants et travaux prĂ©paratoires (2 374 kâŹ)
- LC Partner, autres intermĂ©diaires du commerce en produits divers (274 kâŹ)
- Lou Distribution, autres intermĂ©diaires du commerce en produits divers (86 kâŹ)
- LC Entreprise, fonds de placement et entitĂ©s financiĂšres similaires (73 kâŹ)
- Lou'krys, commerce de gros (commerce interentreprises) d'articles d'horlogerie et de bijouterie (54 kâŹ)
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 30 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă 28 en 2000 puis Ă 27 en 2010[33] et enfin Ă 26 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 13 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[34] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 416 ha en 1988 Ă 277 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a baissĂ©, passant de 14 Ă 11 ha[33].
Histoire
Lors de la RĂ©volution française, les citoyens de la commune se rĂ©unissent au sein de la sociĂ©tĂ© rĂ©volutionnaire, baptisĂ©e « sociĂ©tĂ© populaire des sans-culottes » en lâan II[35].
Politique et administration
Depuis le 1er janvier 2013, la commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lunel. Jusqu'alors, elle faisait partie de la communauté de communes Ceps et Sylves.
DĂ©mographie
Au dernier recensement, la commune comptait 743 habitants.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise de l'Assomption-de-Notre-Dame de Galargues.
- La croix de mission qui la jouxte.
- C"est d'abord une Croix de mission consacrĂ©e au SacrĂ©-CĆur de JĂ©sus. Un beau travail de croix en fer forgĂ© sur le fĂ»t de laquelle sont reprĂ©sentĂ©s, en partie basse, un Arbre de JessĂ© et les Armes du Christ, en partie haute le Triomphe de l'Eucharistie et le Titulus crucis, INRI. Au croisement le SacrĂ© CĆur, sur les croisillons, les palmes de saintetĂ©, symbole d'adoration du Christ. La lanterne du croisillon de gauche, symbolise la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s et le Jugement dernier car c'est le croisillon sur lequel on attachait une lanterne pour signaler un dĂ©cĂšs suspect lors de la grande Ă©pidĂ©mie de peste qui ravagea le Languedoc dans les annĂ©es 1630.
- Ensuite, le revers de la croix, consacrĂ© Ă la Vierge Marie comme c'est l'usage ; de fervents catholiques ont mĂȘme ajoutĂ© une petite statue de la Vierge, au pied de la croix. Mais dans l'urgence, elle a Ă©tĂ© transformĂ©e en monument aux morts des deux guerres mondiales. Ironie de l'histoire, les drapeaux français ont Ă©tĂ© fixĂ©s au sommet de l'arbre de JessĂ©, une vivante illustration de l'alliance « du sabre et du goupillon »[39], en somme.
- Croix de mission.
- Monument aux morts.
- Carte postale de l'avenue de SommiÚres (fin XIX - début XXe siÚcle).
HĂ©raldique
Blason | D'azur Ă Notre-Dame d'argent, la dextre sur la poitrine. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Galargues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Galargues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Galargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Galargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Galargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Galargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« aven du Mounmaou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Galargues », sur Géorisques (consulté le )
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- « Le sabre et le goupillon » dans le Wiktionnaire
Voir aussi
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Galargues (1620-1810) [0,43 ml]. Cote : 110 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :