Fresnoy-en-Thelle
Fresnoy-en-Thelle est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Fresnoy-en-Thelle | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | CC Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Marc Lamoureux 2020-2026 |
||||
Code postal | 60530 | ||||
Code commune | 60259 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
885 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 141 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 05″ nord, 2° 16′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 112 m |
||||
Superficie | 6,28 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Méru | ||||
Législatives | 3e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.fresnoy-en-thelle.fr/ | ||||
Géographie
Description
Fresnoy-en-Thelle, comme son nom le suggère, est un bourg périurbain du Pays de Thelle, un vaste plateau incliné vers le sud-ouest et délimité au nord par le Pays de Bray et au sud par la cuesta d’Île-de-France au-delà de laquelle s’étend le Vexin Français. Le Pays de Thelle se caractérise par de grandes plaines agricoles entaillées de vallées sèches ou actives plus ou moins profondes et parfois ponctuées de buttes sableuses.
Le territoire de Fresnoy-en-Thelle est caractérisé par le plateau interrompu par deux réseaux de vallées sèches (Vallée Margot, Fond du Caillouet et Les Grouettes), les unes dans la pointe nord et et les secondes dans la partie est du territoire communal. Son point le plus haut, à l'altitude 111 m., est situé au cœur du plateau agricole, en limite avec Neuilly-en-Thelle, et le point le plus bas à l'altitude 72 m. à la vallée sèche dénommée vallée Margot[1].
Louis Graves indiquait en 1842 que « Le territoire, de moyenne étendue, à circonscription rendue irrégulière par divers prolongemens vers Morangle, Neuilly et Bornel, constitue une plaine sèche, découverte, donnant naissance des ravins qui tendent à l'ouest vers la vallée de Lesche, et au sud vers celle de l'Oise.
Le chef-lieu qui touche à la limite de Neuilly-en-Thelle est formé de trois rues sinueuses dont le parcours est coupé par quelques mares suppléant à l'absence d'eau do source[2] ».
Communes limitrophes
Le territoire communal est bordé par 7 communes : Neuilly-en-Thelle, Mesnil-en-Thelle, Puiseux-le-Hauberger, Morangles, Belle-Église, Bornel et Chambly
Hydrographie
Il n'y a pas de cours d'eau dans le territoire communal.
Les eaux de pluie se dirigent pour la plupart vers l'Osse en passant par Chambly et Le Mesnil-en-Thelle. Toutefois, la Vallée Margot draine les eaux vers le ruisseau de la Gobette, un affluent de l’Esches, qui rejoint l'Oise à Persan[3].
Le village compte un puits qui atteint la nappe phréatique à 45 m[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontoise - Aero », sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[11] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 29 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Le territoire communal ne compte pas de ZNIEFF ou de zone Natura 2000. Toutefois, les bois, qui représentent environ 5 % du territoire[4] représentent un patrimoine écologique intéressant, et quatre ZNIEFF se trouvent à moins d'un kilomètre de la commune et concernent soit des massifs forestiers, soit des secteurs boisés au relief mouvementé (vallée sèche, coteau)[18].
Urbanisme
Typologie
Fresnoy-en-Thelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[24].
En 2000, la surface agricole utile (SAU) se répartit pour 489 hectares en terres labourables : 338 ha consacrés à la céréaliculture dont 233 ha à la culture du blé et 95 ha à la culture du maïs. Le fermage représente environ 407 hectares[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 355, alors qu'il était de 351 en 2014 et de 341 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 96 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 2,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fresnoy-en-Thelle en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,9 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Voies de communication et transports
La commune est traversé par plusieurs routes départementales qui contournent le village[27] :
- L'ancienne route nationale 329, devenue RD 929, reliant Neuilly-en-Thelle à Persan et Beaumont, met en communication la vallée du Thérain et celle de l’Oise. En 2003, on y comptait 5 000 véhicules/jour dont 10 % de poids-lourds.
- la RD 49 permet de rejoindre Chambly et supportait en 2003 un trafic de 2 000 véhicules/jour dont 3 % de poids-lourds.
Elle est tangentée à l'ouest par le tracé de l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001).
La station de chemin de fer la plus proche est la Gare de Bornel - Belle-Église située à 5 km environ et desservie par par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.
Toponymie
Le lieu était nommé Fraxinetum en 686 et Frenel au XVe siècle[4].
Fresnoy est un toponyme français, forme picarde du français frênaie, issu du latin fraxinetum.
Histoire
Moyen Âge
Louis Graves rapporte au XIXe siècle qu'on « prétend, mais sans preuve certaine, que ce lieu est celui nommé Fraxinetum donné à t'église de Saint-Germain-l'Auxerrois en 686 par Vandemir de Chanbly[2] »
Mathieu III, comte de Beaumont, vers 1185, donne aux moines du prieuré Saint-Léonor, fondé à Beaumont par ses ancêtres, des terres à Fresnoy ainsi que des droits féodaux[4].
La seigneurie de Fresnoy, d'origine ancienne, était comprise dans le comté de Beaumont-sur-Oise[2]
Temps modernes
La seigneurie est érigée en marquisat en 1652 en faveur d’Henri de Fresnoy, fils ainé de Charles, seigneur de Fresnois et Neuilly-en-Thelle, lieutenant des chevaux-légers de la reine Marie de Médicis[4] - [2].
Fresnoy appartient vers la fin du XVIIIe siècle à d’Avesne des Méloizes[4].
Époque contemporaine
En 1842, le village compte deux marnières. On y trouve une école. « Lea trois-quarts de la population travaillent au dévidage et à la filature de la soie »[2].
De 1879 à 1959, le village est desservi par la gare de Fresnoy-Morangles sur le chemin de fer de Hermes à Beaumont, un chemin de fer secondaire à voie métrique.
Horaires du service d'hiver 1936. Il faut une heure environ pour parcourir les 32 km de la ligne, avec la mise en place des autorails par la compagnie. |
Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, l'activité économique de la commune est notamment représentée par la fabrication de boutons en poils de chèvre et la passementerie[4].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Méru
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[30] - [31].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [32].
Liste des maires
Équipements et services publics
Eau et déchets
L'adduction d'eau est assurée en 2011 depuis un forage situé dans la vallée de la Gobette à Puiseux-le-Hauberger par un syndicat qui regroupe 10 communes et délègue l’entretien et l’exploitation du réseau à la Lyonnaise des Eaux par contrat d’affermage[37].
L'assainissement des eaux usées est réalisé en 2011 par le syndicat intercommunal du Plateau du Thelle qui regroupe 6 communes et exploite la station d'épuration du Mesnil-en-Thelle[38].
Toujours en 2011, la collecte des ordures ménagères est assurée par l'intercommunalité, qui a confié l'ensemble des collectes à la Société SEPUR[39].
Enseignement
Le village compte une école municipale, l'école de la Bretonnière, qui scolarise 103 élèves en 2016, ainsi qu'un centre périscolaire avec halte-garderie et cantine construit en 2013[4].
La plupart des élèves poursuivent leurs études au collège de Neuilly-en-Thelle et aux lycées de Chambly.
Équipements culturels
La commune dispose d’une bibliothèque[40].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2020, la commune comptait 885 habitants[Note 8], en diminution de 7,04 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Depuis 1936, la commune a connu trois phases de développement[44] :
- une baisse de la population liée à l'exode rural, jusqu'en 1968,
- une phase de fort développement de l'habitat, en raison de réalisation des vastes opérations de lotissements, notamment celle du Casse Lanterne, réalisée en plusieurs tranches, qui permet le doublement de la population entre 1975 et 1990.
- L'urbanisation se poursuit sur un mode mieux maîtrisé, notamment avec l'aménagement du quartier de l’Église à la fin des années 2000.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 440 hommes pour 461 femmes, soit un taux de 51,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
L'activité principale de la commune est l'agricultire. En 2010, la surface agricole utilisée (SAU) communale est de 511 hectares soit environ 82 % du territoire communal. La SAU utilisée par les exploitations ayant leur siège d’exploitation sur le territoire est alors de 493 hectares (soit près de 97 % de la SAU communale). Peu d’exploitants extérieurs cultivent des terres à Fresnoy-en-Thelle. On assiste à une réduction du nombre d’exploitations agricoles, passé de 10 en 1979 à 6 en 2010[25] et 4 en 2016, cultivant essentiellement : blé, betteraves, pommes de terre, colza et maïs[4]..
L'entreprise Robert Juliat, qui produit des projecteurs de renommée internationale, est implantée dans la commune et y emploie environ 80 salariés[4].
Il n'y a plus, en 2016, de commerces de proximité au village, et les habitants se rendent en général dans les bourgs structurants locaux tels que Chambly et Neuilly-en- Thelle pour leurs besoins quotidiens. Les autres activités sont constituées par deux maçons, deux électriciens, deux chauffagistes[4].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Fresnoy-en-Thelle ne compte aucun monument historique inscrit ou classé sur son territoire. On peut néanmoins noter :
- Église Saint-Nicolas, rue de Lamberval / rue de Morangles : Ses abords austères et sans grand caractère cachent un édifice de qualité du second quart du XIIe siècle et de la première moitié du XVIe siècle, qui est resté en partie inachevé, et a été malmené par le remaniement néo-classique de la façade, en 1758, et la démolition des parties hautes du clocher, après 1842. Elles ont été reconstruites sans style réel.
Cependant, le transept, dont le croisillon sud n'a apparemment jamais été construit, et le chœur rectangulaire forment un ensemble homogène de la dernière période romane. Voûtées d'ogives dès l'origine, ces trois travées constituent un intéressant témoignage de la transition successive vers le style gothique. Ainsi, les arcs-doubleaux sont déjà en arc brisé, et les piliers fasciculés, bien hiérarchisés, présentent des colonnettes à chapiteaux très fines.
La nef romane n'existe plus : elle est remplacée par la construction actuelle à la période gothique flamboyante. En cohérence avec le transept incomplet, elle n'est accompagnée que d'un unique bas-côté, au nord. Les cinq grandes arcades qui font communiquer les deux vaisseaux sont particulièrement représentatives de la création flamboyante de la région. Le voûtement d'ogives, initialement prévu comme l'indiquent les contreforts à l'extérieur, n'a finalement jamais été exécuté[2] - [47].
- Le château de Lamberval a été construit sur des bases du XIIe siècle. Détruit en 1818, il a été reconstruit depuis et se situe rue de Lamberval, à la sortie nord-est du village vers la RD 929[4].
- L'église Saint-Nicolas.
- Le château.
- Le monument aux morts.
- Charrue en monument.
- La mare.
Héraldique
Blason | De sable au sautoir d'or cantonné en chef d'un frêne arraché, aux flancs de deux moutons affrontés et en pointe d'une canette, le tout d'argent[48]. |
|
---|---|---|
Détails | Armes parlantes (Fresnoy → frêne). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Urba services, Rapport de présentation : Plan local d'urbanisme, (lire en ligne [PDF]).
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Fresnoy-en-Thelle (602596) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Fresnoy-en-Thelle », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Fresnoy-en-Thelle » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fresnoy-en-Thelle » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnoy-en-Thelle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnoy-en-Thelle - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 36-37
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 144 p. (lire en ligne), p. 36-37 et 78-79, sur Google Livres.
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 41
- Philippe Delattre, « Fresnoy- en- Thelle, un si joli village : Premier opus de notre série d’articles consacrés aux villages de la Communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », L’Écho du Thelle,‎ (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pontoise - Aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fresnoy-en-Thelle et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pontoise - Aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fresnoy-en-Thelle et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 48
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 15
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 20
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- Philippe Delattre, « Denis Courboin cède le fauteuil de maire à Marc Lamoureux : Le plus ancien maire du Pays de Thelle, Denis Courboin, en place depuis 1977, a, comme il l’avait annoncé lors de sa dernière réélection en 2014, passé le flambeau à son gendre jeudi dernier », L’Écho du Thelle, no 638,‎ , p. 17 « Originaire de Villers-SaintChristophe (Aisne), où il avait été conseiller municipal pendant un mois avant de déménager à la ferme Lamberval de Fresnoy-en-Thelle, Denis Courboin a été élu conseiller municipal à Fresnoy en 1971, puis maire en 1977. Un poste de maire qu’il n’a jamais quitté depuis, effectuant son sixième mandat depuis 2014. Lors de sa dernière réélection, il avait déjà annoncé qu’il n’irait pas jusqu’au bout de son mandat et qu’il passerait le flambeau au mari de sa fille Elise, Marc Lamoureux, qui a été élu conseiller municipal en 1997 puis réélu depuis au sein de l’équipe municipal où il occupait le poste de 3e adjoint depuis 2014 » « Maire depuis 1977, il est resté 39 ans à la tête du village et a été réélu sept fois. Il a ensuite laissé sa place en 2016 au maire actuel Marc Lamoureux ».
- Romain Bénard, « Denis Courboin, l'ancien maire de Fresnoy-en-Thelle, est mort après 39 ans de mandat : Denis Courboin a dirigé le village de Fresnoy-en-Thelle pendant près de 40 ans. Il est décédé dans la nuit de mercredi 29 au jeudi 30 décembre d’une longue maladie », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) .
- « Marc Lamoureux succède à Denis Courboin à Fresnoy-en-Thelle », Le Parisien, édition de l'oise,‎ (lire en ligne) « Une longue page s’est tournée au Fresnoy-en-Thelle, où Denis Courboin, maire de la commune depuis 1977, a cédé son fauteuil et son écharpe de maire à l’un de ses adjoints, Marc Lamoureux ».
- Guillaume Plassais, « Fresnoy-en-Thelle : Le maire Marc Lamoureux et trois adjoints élus », L’Écho du Thelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 22
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 24
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 26
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 28
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Rapport de présentation du PLU, , document mentionné en bibliographie, p. 10
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnoy-en-Thelle (60259) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Eugène Müller, « Quelques notes encore sur les cantons de Creil et Chambly », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, années 1897-98, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II,‎ , p. 218-219 (lire en ligne, consulté le ) sur Gallica.
- « 60259 Fresnoy-en-Thelle (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).