Combat de Douaya
Le combat de Douaya a lieu le lors de la guerre du Mali, soit trois jours après l'attentat de Tombouctou.
Date | |
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Lieu | Douaya |
Issue | Victoire française |
aucune | 11 morts[1] |
Batailles
Conflit des bérets verts et des bérets rouges
Conflit entre les islamistes et le MNLA
- Konna
- Gao (bombardement)
- Diabaly
- Gao (2e)
- Gao (3e)
- Gao (4e)
- In Khalil
- Tigharghâr
- Timétrine
- Imenas
- Tin Keraten
- In Zekouan et Teurteli
- Tombouctou (2e)
- Gao (5e)
- Teghboubinene et In Arab
- Tombouctou (3e)
- 1re Ber
- Anéfis (1re)
- Anéfis (2e)
- Bordj Badji Mokhtar et In Farah
- FooĂŻta
- Douaya
- Amazragane
- Tin-Hama (2e)
- Araouane
- Kondaoui
- Tamkoutat
- AmetettaĂŻ (bombardement)
- Dayet en Maharat
- Inabohane-Ebahlal
- Kidal (2e)
- Kidal (3e)
- Anéfis (3e)
- Tabankort (1re)
- Indelimane (2e)
- N'Tillit
- AmetettaĂŻ
- Tabankort (2e)
- Nampala (1er)
- TĂ©nenkou (1er)
- Tabankort (3e)
- Tabrichat
- AbeĂŻbara
- Léré
- TĂ©nenkou (2e)
- Tin Telout
- Koba
- Nara
- Takoumbaout
- Sama
- Gourma-Rharous (1er)
- Sévaré
- Anéfis (4e)
- Inafarak
- Tiébanda
- Talahandak (1re)
- Wanna
- Aguel'hoc (2e)
- Sévaré
- Nampala (2e)
- Kidal (4e)
- Goumakoura (2e)
- Kazay-Kazay
- Boulikessi (1re)
- Gourma-Rharous (2e)
- Foulsaré
- Dogofry (1re)
- Serma (1re)
- Tikerefinadji
- Bintagoungou
- Inkadogotane
- Djebok
- Takellote
- Touzik
- Adjlal
- Tombouctou (4e)
- Tin Biden
- Indelimane (3e)
- Youwarou
- Soumpi
- Inaghalawass
- Akabar
- Tombouctou (5e)
- Tina
- Aklaz et Awkassa
- Talataye (1re)
- Boni (1re)
- Inabelbel
- Inghalamane
- Tintihidjrene
- Soumouni
- Dogofry (2e)
- Ndaki
- 2e Ber
- Farimaké
- Abanguilou
- Serma (2e)
- Aguel'hoc (3e)
- Elakla
- Dialloubé
- Dioura
- Tiésaba-Bourgou
- Guiré
- Aconit
- Fafa
- Boulikessi (2e)
- Indelimane (4e)
- Bourgou IV
- Tabankort
- Eranga
- Wagadou
- Sokolo
- Tarkint
- Bamba
- Talahandak (2e)
- Bouka Weré
- Sokoura
- Boulikessi (3e)
- Niaki
- Éclipse
- Boulikessi (4e)
- Boni (2e)
- Tessit (2e)
- Aguel'hoc (4e)
- Nokara
- Dangarous
- Bodio
- Mondoro
- RĂ©gion de MĂ©naka
- Andéramboukane (2e)
- Tessit (3e)
- Talataye (2e)
- Tadjalalt et de Haroum
- Diafarabé et Koumara
Coordonnées | 17° 38′ 53″ nord, 3° 09′ 35″ ouest |
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DĂ©roulement
Le , un affrontement oppose les Français et les islamistes selon le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l’état-major des forces armées françaises[2] - [3]. Ce jour-là , les Français sont informés que des jihadistes ont gagné le marché de Douaya, à 120 kilomètres au nord de Tombouctou, transportés par plusieurs pick-up. Un hélicoptère est envoyé sur place mais les jihadistes prennent la fuite lorsqu'ils l'aperçoivent. Un des véhicules est cependant relocalisé plus tard dans la journée. L'hélicoptère effectue un tir de sommation mais les islamistes descendent du pick-up et ouvrent le feu[2] - [3]. Les Français engagent alors au sol une cinquantaine de soldats des forces spéciales[1].
L'affrontement dure quatre heures[4]. À son issue, selon l'armée française, la totalité de la dizaine d'occupants descendus du pick-up sont « neutralisés », c'est-à -dire tués[2] - [3]. Selon Jean-Christophe Notin, leurs pertes sont plus précisément de 11 morts[1].
Notes et références
- Jean-Christophe Notin, La guerre de la France au Mali, p. 511-514.
- AFP, « Mali: une dizaine de combattants islamistes tués début octobre », La Dépêche,
- « Mali : une dizaine d'islamistes tués par les forces spéciales françaises », Jeune Afrique,
- « Mali: l'armée française confirme une attaque contre des jihadistes au nord de Tombouctou », RFI,
Bibliographie
- Jean-Christophe Notin, La guerre de la France au Mali, Tallandier, .