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Cellule mésenchymateuse

Les cellules mésenchymateuses sont des cellules souches, stromales et multipotentes.
Elles sont présentes dans le mésenchyme de l'embryon, dans le sang de cordon ombilical et plus encore dans la gelée de Wharton (qui entoure le cordon). Elles sont aussi présentes chez l'adulte, mais en trÚs faibles quantités.

Depuis la fin des années 1990, la démonstration de la capacité unique des cellules souches (SC) à s'auto-renouveler a suscité d'importants espoirs d'usages thérapeutiques nouveaux.

Il y a un consensus sur leur potentiel de traitement futur de diverses maladies auparavant incurables[1] - [2] - [3], encore à pondérer par le fait que la recherche médicale est confrontée au fait que ces cellules trÚs particuliÚres obéissent à des rÚgles et déterminants hautement complexes et encore trÚs mal compris[4]. Des scientifiques et régulateurs du secteur de la santé ont récemment (2018) alerté sur le nombre croissant de cliniques privées qui depuis le début des années 2000 promeuvent et vendent des interventions basées sur les cellules souches (SC) en promettant de traiter des problÚmes cosmétiques et médicaux, voire de guérir certaines maladies (HIV/SIDA notamment), selon des méthodes qui en réalité sont non-éprouvées, se basent sur des allégations douteuses et n'ont pas fait la preuve scientifique ni de leur efficacité ni de leur innocuité, avec un « risque grave pour les patients vulnérables » et des méthodes qui risquent indirectement de ternir les valeurs éthiques[5] et légitimes des projets de thérapies en cours de tests précliniques et cliniques rigoureux[6] - [7] - [8] - [9] - [10] - [11] - [12] - [13] - [14] - [15] - [4].

Histoire

En 1924, le morphologiste d'origine russe Alexander A. Maximov (russe: АлДĐșŃĐ°ĐœĐŽŃ€ АлДĐșŃĐ°ĐœĐŽŃ€ĐŸĐČоч МаĐșŃĐžĐŒĐŸĐČ), Ă  partir d'observations histologiques approfondies, identifie dans le mĂ©senchyme un type singulier de cellule prĂ©curseur, qui se dĂ©veloppe en diffĂ©rents types de cellules sanguines[16].

Dans les années 1960, les scientifiques Ernest A. McCulloch et James E. Till révÚlent pour la premiÚre fois la nature clonale des cellules médullaires[17] - [18].

Dans les années 1970, un essai ex vivo porte sur le potentiel clonogénique des cellules multipotentes de la moelle, rapporté par Friedenstein et ses collÚgues[19] - [20]. Dans leur systÚme d'observation, ces cellules stromales étaient appelées fibroblastes unitaires formant des colonies (CFU-f pour Colony-forming unit-fibroblasts).

Le terme de cellules souches mésenchymateuses (CSM) a été formulé par Arnold Caplan en 1991.

Les premiers essais cliniques des CSM ont été achevés en 1995 aprÚs que 15 patients aient reçu une injection de CSM (issues de culture) pour tester l'innocuité du traitement.

En 2012, plus de 200 essais cliniques avaient déjà été lancés mais la plupart étaient encore au stade de la sécurité des tests[21].

Une expĂ©rimentation ultĂ©rieure a rĂ©vĂ©lĂ© la plasticitĂ© des cellules de la moelle osseuse et comment leur sort est dĂ©terminĂ© par des signaux « environnementaux Â». La culture de cellules stromales mĂ©dullaires en prĂ©sence de stimuli ostĂ©ogĂ©niques tels que l'acide ascorbique, le phosphate inorganique ou la dexamĂ©thasone peut par exemple favoriser leur diffĂ©renciation en ostĂ©oblastes. En revanche, l'ajout de facteur de croissance transformant bĂȘta (TGF-b) pourrait induire des marqueurs chondrogĂ©niques.

Au début des années 2010, malgré de nombreuses expérimentations, on ne dispose toujours pas de preuves robustes de bénéfices thérapeutiques[2].

En 2020, la recherche d'usages thĂ©rapeutiques est porteuse de grands espoirs pour de nombreux soignants, patients et leur entourage, mais avec des attentes encore souvent exagĂ©rĂ©es en ce qui concerne les maladies actuellement rĂ©pertoriĂ©es dans les « besoins mĂ©dicaux non satisfaits »[22] - [23]. La recherche mĂ©dicale ne peut en effet qu'avancer avec prĂ©caution sur ces sujets car les cellules souches obĂ©issent Ă  des rĂšgles et dĂ©terminants trĂšs complexes et encore mal compris ; et leur dĂ©livrance sans prĂ©caution peut avoir des effets adverses inattendus et indĂ©sirables voire contreproductifs[4]. Certains espĂšrent pouvoir restaurer les fonctions de tissus complexes voire d'organes entiers mais des limites biologiques persistent encore dans cette voie et les thĂ©rapies innovantes doivent faire leurs preuves lors d'essais cliniques contrĂŽlĂ©s avant autorisation de mise sur le marchĂ© ou de mise en pratique[4]. Certains patients font donc appel dans certains pays Ă  des interventions mĂ©dicales trĂšs coĂ»teuses, illĂ©gales, non-validĂ©es et non-Ă©prouvĂ©es et gĂ©nĂ©ralement sans guĂ©rison fiable Ă  partir de cellules souches (SCI) ; une Ă©tude rĂ©cente (2018) a portĂ© sur l'essor rĂ©cent et mondial d'un « tourisme des cellules souches ». La mĂȘme Ă©tude fait un bilan des cas signalĂ©s par la littĂ©rature mĂ©dicale d'Ă©checs ou d'incidents de sĂ©curitĂ© associĂ©s Ă  une LME non prouvĂ©e[4]. Une Ă©tude prĂ©cĂ©dente avait mĂ©taphoriquement comparĂ© l'utilisation de thĂ©rapies Ă  base de cellules souches proposĂ©es sur Internet Ă  un espoir de guĂ©rison situĂ© entre la croyance au miracle et la pratique de la roulette russe[24]. Entre 2000 et 2015, les cliniques proposant ces interventions, via internet notamment, ont « des buts lucratifs Ă  peine dĂ©guisĂ©s et continuent d'exploiter une large base de patients vulnĂ©rables, en utilisant des allĂ©gations thĂ©rapeutiques non prouvĂ©es, en suscitant de faux espoirs de fournir de nouveaux traitements efficaces. Comme les interventions Ă  base de cellules souches non-Ă©prouvĂ©es ne bĂ©nĂ©ficient pas de remboursement par une sĂ©curitĂ© sociale ou mutuelle, les patients sont aussi exploitĂ©s financiĂšrement en Ă©tant facturĂ©s des milliers de dollars pour recevoir ces interventions non-Ă©prouvĂ©es »[4].

Face Ă  ces dĂ©rives Ă©thiques et commerciales (qui se sont Ă©panouies y compris aux États-Unis)[25], des lignes directrices et recommandations ont Ă©tĂ© proposĂ©es[23] - [26] - [27] - [28] - [29] - [30] - [31] - [32], et des groupes de dĂ©fense de patients se sont constituĂ©s, de concert avec des sociĂ©tĂ©s mĂ©dicales, des agences et organismes de contrĂŽle et de rĂ©glementation, pour notamment sensibiliser et Ă©duquer les mĂ©decins et les patients Ă  diffĂ©rencier les thĂ©rapies Ă  base de cellules souches correctement testĂ©es de celles qui n'ont pas Ă©tĂ© Ă©prouvĂ©es[33] - [34]. MalgrĂ© ceci, profitant de vides rĂ©glementaires et juridiques, le phĂ©nomĂšne du « tourisme des cellules souches Â» a encore progressĂ© dans les annĂ©es 2000 Ă  2015[4].

ÉlĂ©ments de dĂ©finition

Les expressions « cellule souche mésenchymateuse » (CSM) et « cellule stromale médullaire » (qui signifie « cellule du tissu conjonctif de la moelle ») sont considérées comme synonymes depuis de nombreuses années, mais aucune n'est totalement descriptive de ce qu'elles recouvrent :

  • Le mĂ©senchyme est un tissu conjonctif embryonnaire dĂ©rivĂ© du mĂ©soderme, qui se diffĂ©rencie en tissu hĂ©matopoĂŻĂ©tique (les cellules qui fabriquent et renouvellent en permanence le sang) et conjonctif, alors que les CSM ne se diffĂ©rencient pas en cellules hĂ©matopoĂŻĂ©tiques[35].
  • Les cellules stromales sont aussi des cellules du tissu conjonctif, qui forment la structure de soutien dans laquelle rĂ©sident les cellules fonctionnelles du tissu.
  • L’expression ne transmet qu'une des fonctions des CSM et non tous les rĂŽles qu'on leur a dĂ©couvert depuis quelques dĂ©cennies dans la rĂ©paration des tissus[36].

L’expression englobe les cellules multipotentes dĂ©rivĂ©es d'autres tissus non mĂ©dullaires, tels que le placenta[36] le sang du cordon ombilical, le tissu adipeux, le muscle adulte, le stroma cornĂ©en de l'oeil[37] ou la pulpe dentaire des dents de lait.

Ces cellules n'ont pas la capacité de reconstituer un organe entier.

Spécificités

Cellule souche mésenchymateuse dérivée de moelle osseuse humaine, dont la morphologie est semblable à celle de fibroblastes, vue au microscope à contraste de phase (Carl Zeiss Axiovert 40 CFL) à un grossissement de 63X

Ce sont des cellules souches d'origine mésodermique présentes dans divers tissus de l'organisme adulte tels que la moelle osseuse ou le tissu adipeux, généralement le long des vaisseaux sanguins ou dans le sang de cordon.

Elles peuvent se différencier en de nombreux types cellulaires : dont les ostéoblastes (cellules osseuses), les chondrocytes (cellules du cartilage), les myocytes (cellules musculaires) et les adipocytes (cellules adipeuses qui donnent naissance au tissu adipeux de la moelle)[38].

Morphologie

Les CSM ont un corps cellulaire petit, avec quelques éléments cellulaires longs et minces.

Ce corps cellulaire contient un gros noyau rond avec un nucléole proéminent, entouré de fines particules de chromatine dispersées, donnant au noyau une apparence claire.

Le reste du corps cellulaire contient une petite quantité d'appareils de Golgi, un réticulum endoplasmique rugueux, des mitochondries et des polyribosomes.

Ces cellules, longues et minces, sont largement dispersĂ©es, et la matrice extracellulaire adjacente est peuplĂ©e de quelques fibrilles rĂ©ticulaires mais dĂ©pourvue d’autre types de fibrilles de collagĂšne[39] - [36].

Emplacement

Moelle osseuse

La moelle osseuse était la premiÚre source de CSM et est toujours la plus utilisée. Ces cellules souches de la moelle osseuse ne contribuent pas à la formation des cellules sanguines et n'expriment donc pas le marqueur des cellules souches hématopoïétiques CD34.

Elles sont parfois dites « cellules souches stromales de la moelle osseuse Â»[40].

Cellules du cordon et de la gelée de Wharton

Le cordon ombilical est disponible aprĂšs la naissance et ne prĂ©sente pas a priori de risques particuliers de collecte. Les CSM les plus jeunes et les plus primitives peuvent en ĂȘtre extraites ; Ă  partir de la gelĂ©e de Wharton (qui en est la source la plus riche)[41] ou du sang du cordon ombilical. Les CSM sont cependant bien plus concentrĂ©es dans la gelĂ©e de Wharton que dans le sang de cordon, qui lui est une riche source de cellules souches hĂ©matopoĂŻĂ©tiques (CSH, infime fraction du tissu hĂ©matopoĂŻĂ©tique, mais Ă  l'origine de toutes les lignĂ©es de cellules sanguines du corps).

Ces MSC sont une source utile de MSC pour certaines applications cliniques en raison de leurs propriétés primitives (il a par exemple en mars 2020 été proposé de tester leur utilisation pour soigner les malades de la COVID-19)[42].

Tissu adipeux

Le tissu adipeux est Ă©galement une riche source de MSC (ou « cellules souches mĂ©senchymateuses dĂ©rivĂ©es de l’adipose Â», AdMSC)[36].

Cellules de molaire

Le bourgeon dentaire en développement de la troisiÚme molaire mandibulaire est une riche source de CSM.

Bien qu'elles soient dĂ©crites comme « multipotentes Â», il est possible qu'elles soient en rĂ©alitĂ© « pluripotentes Â». Elles contribuent Ă  la formation de l'Ă©mail, de la dentine, des vaisseaux sanguins, de la pulpe dentaire et des tissus nerveux.

Ces cellules souches se sont montrées capables de produire des hépatocytes.

Liquide amniotique

Des cellules souches sont aussi trouvĂ©es dans le liquide amniotique (Jusqu'Ă  1 cellule sur 100 collectĂ©es pendant l’amniocentĂšse est une cellule souche mĂ©senchymateuse pluripotente)[43]

Fonction

Capacité de différenciation

Les MSC ont une grande capacité d'auto-renouvellement tout en conservant leur multipotence.

Des travaux rĂ©cents suggĂšrent que la ÎČ-catĂ©nine, via la rĂ©gulation de l'EZH2 (en), est une molĂ©cule centrale dans le maintien de la "tige" des MSC[36].

Le test standard pour confirmer la multipotence est la différenciation des cellules en ostéoblastes, adipocytes et chondrocytes ainsi qu'en myocytes.

Les MSC se diffĂ©rencient mĂȘme en cellules de type neuronal[44] mais on n'est pas certain que les neurones ainsi dĂ©rivĂ©s soient bien fonctionnels[45]. Le degrĂ© de diffĂ©renciation de la culture varie selon les individus et la façon dont la diffĂ©renciation est induite, par exemple chimique par rapport Ă  la mĂ©canique[46], et il n'est pas clair si cette variation est due Ă  une quantitĂ© diffĂ©rente de «vraies» cellules progĂ©nitrices dans la culture ou Ă  ou des capacitĂ©s de diffĂ©renciation variables des progĂ©niteurs individuels.

La capacité des cellules à proliférer et à se différencier diminue avec l'ùge du donneur, et avec le temps de culture. On ignore si cela est dû à une diminution du nombre de MSC ou à une modification des MSC existants.

Effets immunomodulateurs

Tout en ayant des effets antibiotiques, es CSM ont paradoxalement un effet de régulation voire de déplétion sur les cellules immunitaires innées et spécifiques ; elles produisent de nombreuses molécules ayant des effets imunosupresseur[47] ou immunomodulateurs. Il s'agit notamment de la prostaglandine E2 (PGE2)[48], de l'oxyde nitrique[49], de l'Indoleamine 2,3-dioxygénase (IDO), de l'IL-6 et d'autres marqueurs de surface - FasL[50], PD-L1/2.

Les CSM ont un effet sur les macrophages, les neutrophiles, les cellules NK, les mastocytes et les cellules dendritiques dans l'immunité innée.

Les MSC sont capables de migrer vers les plaies, oĂč elles se polarisent Ă  travers les macrophages PGE2 dans le phĂ©notype M2 qui se caractĂ©rise par un effet anti-inflammatoire[51].

De plus, la PGE2 inhibe la capacitĂ© des mastocytes Ă  se dĂ©granuler et Ă  produire du TNF-α[52] - [53]. La prolifĂ©ration et l’activitĂ© cytotoxique des cellules NK sont inhibĂ©es par PGE2 et IDO. Les MSC rĂ©duisent Ă©galement l'expression des rĂ©cepteurs des cellules NK - NKG2D, NKp44 et NKp30[54]. Les CSM inhibent les poussĂ©es respiratoires et l'apoptose des neutrophiles par la production de cytokines IL-6 et IL-8[55]. La diffĂ©renciation et l'expression des marqueurs de surface des cellules dendritiques sont inhibĂ©es par l'IL-6 et la PGE2 des MSC[56].

Les effets immunosuppresseurs du MSC sont encore mal compris, ils dĂ©pendent au moins de l'IL-10, mais il n'est pas certain que l'IL-10 le produise seul ; peut-ĂȘtre stimulent-ils uniquement d'autres cellules pour le produire[57].

La MSC exprime les molécules d'adhésion VCAM-1 et ICAM-1, qui permettent aux lymphocytes T d'adhérer à leur surface. Ensuite, le MSC peut les affecter par des molécules qui ont une courte demi-vie avec un effet limité au voisinage immédiat de la cellule[49]. Ceux-ci incluent l'oxyde nitrique[58], PGE2, HGF[59], et l'activation du récepteur PD-1[60]. Les MSC réduisent la prolifération des cellules T entre les phases du cycle cellulaire G0 et G1[61] et diminuent l'expression de l'IFNγ des cellules Th1 tout en augmentant l'expression de l'IL-4 des cellules Th2[62].

Les CSM inhibent également la prolifération des lymphocytes B entre les phases du cycle cellulaire G0 et G1[63].

Propriétés antimicrobiennes

Les CSM peuvent aussi produire des peptides antimicrobiens (AMP).

Il s'agit notamment de la cathĂ©licidine humaine LL-37[64], de ÎČ-dĂ©fensine humaine[65], de la lipocaline 2[66] et d'hepcidine[67]. Les CSM diminuent efficacement le nombre de colonies de bactĂ©ries Ă  Gram nĂ©gatif et Ă  Gram positif en produisant ces AMP.
De plus, un mĂȘme effet antimicrobien de l'enzyme IDO produite par les CSM a aussi Ă©tĂ© constatĂ©[68].

Signification clinique

Aspect brut (typique) d'une construction cartilagineuse tubulaire conçue à partir de cellules souches mésenchymateuses amniotiques

Les cellules souches mĂ©senchymateuses du corps humain peuvent ĂȘtre activĂ©es et mobilisĂ©es si nĂ©cessaire, mais Ă  ce jour avec une faible efficacitĂ© (ainsi les dommages aux muscles guĂ©rissent trĂšs lentement). Une Ă©tude meilleure comprĂ©hension des mĂ©canismes d'action du MSC pourrait fournir des moyens d'augmenter leur capacitĂ© de rĂ©paration tissulaire[69] - [70].

Maladie auto-immune

Des études cliniques sur l'efficacité des cellules souches mésenchymateuses dans le traitement de maladies auto-immunes sont en cours de développement, en particulier pour les comprendre (ex : maladie du greffon contre l'hÎte, maladie de Crohn, sclérose en plaques, lupus érythémateux disséminé et sclérodermie systémique[71] - [72].

Depuis 2014, aucune recherche clinique de haute qualité n'a prouvé son efficacité, et de nombreuses incohérences et problÚmes existent dans les méthodes de recherche[72].

Autres maladies

Beaucoup des premiers succÚs cliniques de la transplantation intraveineuse ont concerné des maladies systémiques telles que la maladie du greffon contre l'hÎte et la septicémie.
L'injection directe ou le placement de cellules dans un site nĂ©cessitant d'ĂȘtre rĂ©parĂ© peut ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ©, car la dĂ©livrance par la voie vasculaire souffre d'un inconvĂ©nient dit "effet de premier passage pulmonaire" oĂč les cellules injectĂ©es par voie intraveineuse sont sĂ©questrĂ©es dans les poumons[73].

DĂ©tection

La SociĂ©tĂ© internationale de thĂ©rapie cellulaire (ISCT) a proposĂ© des critĂšres de dĂ©finition les CSM = une cellule peut ĂȘtre classĂ©e MSC si elle prĂ©sente des propriĂ©tĂ©s d'adhĂ©rence plastique dans des conditions de culture normales et si elle a une morphologie de type fibroblaste.

En fait, certains soutiennent que les CSM et les fibroblastes sont fonctionnellement identiques[74].

De plus, les CSM peuvent subir une différenciation ostéogénique (produisant des cellules osseuses), adipogÚne (produisant des cellules graisseuses) et chondrogÚne (produisant du cartilage) ex vivo.

Biomoléculairement parlant, les MSC en culture expriment également sur leur surface les marqueurs de surface CD73, CD90 et CD105, tout en manquant de l'expression des marqueurs de surface CD11b, CD14, CD19, CD34, CD45, CD79a et HLA-DR[75].

Techniques de culture de cellules mésenchymateuses

Elles adoptent presque toutes aujourd'hui une approche passant par des cultures de fibroblastes formant des colonies (CFU-F), oĂč de la moelle osseuse brute non purifiĂ©e ou de la moelle osseuse purifiĂ©e au ficoll sont directement plaquĂ©es (sur des plaques ou dans des flacons de culture cellulaire). Les cellules souches mĂ©senchymateuses, mais pas les globules rouges ni les progĂ©niteurs hĂ©matopoĂŻĂ©tiques, adhĂšrent au plastique des cultures tissulaire dans les 24 Ă  48 heures.

Cependant, au moins une publication a identifié une population de CSM non adhérents non obtenus par la technique de placage direct[76].

D'autres méthodes basées sur la cytométrie en flux permettent le tri des cellules de moelle osseuse pour des marqueurs de surface spécifiques, tels que STRO-1[77] (Nota : STRO fait référence à Stroma qui désigne le réseau conjonctif, dit mésenchyme, soutenant les cellules ; Et STRO-1+ est le nom donné au premier anticorps monoclonal isolé à partir de cellules souches mésenchymateuses. Le terme "STRO-1" a ensuite été appliqué à l'antigÚne de cet anticorps. Dans le corps humain STRO-1 est retrouvé dans de nombreux organes dont le poumon et le foie[78] - [79]. Les cellules STRO-1 sont généralement plus homogÚnes et ont des taux d'adhésion et des taux de prolifération plus élevés, mais les différences exactes entre les cellules STRO-1+ et les CSM ne sont pas encore claires.

La supplĂ©mentation des milieux basaux avec du sĂ©rum de fƓtus de bovin ou du lysat de plaquettes humaines est courante dans les cultures MSC.
Avant l'utilisation de lysats plaquettaires pour la culture MSC, un processus d'inactivation des agents pathogĂšnes est recommandĂ© pour empĂȘcher la transmission d'agents pathogĂšnes[80].

Recherche

Les cellules souches sont progressivement mieux comprises, mais comme pour la thĂ©rapie gĂ©nique, le passage des connaissances de laboratoire Ă  un usage thĂ©rapeutique sĂ»r en application clinique est encore difficile. Les risques et les avantages de ces thĂ©rapies doivent ĂȘtre Ă©valuĂ©s et compris, le cadre rĂ©glementaire pourrait devoir ĂȘtre adaptĂ©[4].

  • Des mĂ©thodes d'immunodĂ©plĂ©tion utilisant des techniques telles que le tri cellulaire magnĂ©tique ont Ă©tĂ© utilisĂ©es dans la sĂ©lection nĂ©gative des CSM[81] ;
  • On sait maintenant que le vieillissement induit des changements fonctionnels et phĂ©notypiques des sous-populations de CMS (cardiaques par exemple) expliquant une partie des dysfonctions de certains organes associĂ©es Ă  l'Ăąge[82]
  • les liens entre arthroses et cellules souches mĂ©senchymateuses sont en passe d'ĂȘtre mieux compris[83]
    Une nouvelle recherche intitulée Transplantation de cellules souches mésenchymateuses dérivées de l'ESC humaine améliore l'arthrose spontanée chez les macaques rhésus[84] ;
  • Les cellules stromales mĂ©senchymateuses ou CSM (pourrait favoriser la rĂ©sistance (les rechutes) de certains cancers aux chimiothĂ©rapies (ex : MyĂ©lome Multiple, qui est une hĂ©mopathie Ă  cellules B, caractĂ©risĂ©e par une pullulation de plasmocytes malins dans la moelle osseuse) Ă  cause de clones rĂ©siduels chimio-rĂ©sistants, et en sĂ©crĂ©tant des facteurs de croissance et cytokiniques[85]. On a comparĂ© les transcriptomes de cellules stromales mĂ©senchymateuses provenant de moelle de donneurs sains Ă  ceux de patients Ă  diffĂ©rents stades de ce cancer (stades du diagnostic, de la rechute et de rĂ©mission sur 2 ans). Des diffĂ©rences d’expression gĂ©nique existent, mais avec - curieusement - un profil transcriptomique des cellules stromales mĂ©senchymateuses trĂšs proche aux diffĂ©rents stades du myĂ©lome et plus particuliĂšrement aprĂšs le traitement (rechute et rĂ©mission), suggĂ©rant que l’altĂ©ration d’expression gĂ©nique des MSC, tout au long du dĂ©veloppement du cancer, peut persister mĂȘme en l’absence de signe clinique[85]. Le contact des plasmocytes cancĂ©reux avec les MSC pourrait conduire Ă  une modification pĂ©renne du transcriptome des MSC. La valeur pronostique de cette variation d’expression gĂ©nique des MSC lors du dĂ©veloppement de ce cancer est encore Ă  prĂ©ciser[85] ;
  • des cellules stromales mĂ©senchymateuses (CSM), combinĂ©es Ă  d'autres traitements, pourraient diminuer les sĂ©quelles de l'accident vasculaire cĂ©rĂ©bral (AVC) ischĂ©mique (non-hĂ©morragique)[86].
  • Enfin, les cellules souches mĂ©senchymateuses extraites du cordon ombilical et de la gelĂ©e de Wharton (qui en contient encore plus)[41] ; cellules aussi dites UC-MSC (pour Umbilical Cord Tissue Mesenchymal Stem Cells) pourraient aider Ă  combattre la COVID-19 grĂące Ă  leurs propriĂ©tĂ©s immunosuppressives[47] ou immunomodulatrices[47].
    Des projets de biomĂ©dicaments sont Ă  l'Ă©tude, visant Ă  empĂȘcher le systĂšme immunitaire du patient d'Ă©voluer vers le choc cytokinique (tempĂȘte de cytokines, laquelle peut rapidement le tuer via des dommages irrĂ©versibles aux organes, un ƓdĂšme, un dysfonctionnement des Ă©changes d'air aboutissant Ă  un syndrome de dĂ©tresse respiratoire aiguĂ« (SDRA), des lĂ©sions cardiaques aiguĂ«s... facilitant - si le patient a survĂ©cu jusque lĂ  - une infection secondaire, Ă©ventuellement nosocomiale.
    En Chine, au moment oĂč l'Ă©pidĂ©mie de COVID-19 se dĂ©veloppait ; faute de mĂ©dicaments efficaces disponibles, plusieurs patients ont Ă©tĂ© traitĂ©s avec des UC-MSC.
    Le CollÚge italien d'anesthésie, d'analgésie, de réanimation et de soins intensifs a ensuite publié des lignes directrices pour traiter les patients atteints de coronavirus avec des cellules souches dans l'espoir de réduire la surcharge des unités de soins intensifs.
    Selon une Ă©tude amĂ©ricaine rĂ©cente, des preuves limitĂ©es mais Ă©mergentes concernant l'UC MSC dans la gestion de COVID-19 suggĂšrent qu'il pourrait ĂȘtre envisagĂ©, au moins pour une utilisation compassionnelle chez les patients gravement malades pour rĂ©duire la morbiditĂ© et la mortalitĂ© aux États-Unis.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Nagamura-Inoue T, He H. Umbilical cord-derived mesenchymal stem cells: Their advantages and potential clinical utility. World J Stem Cells; 6:195- 202.
  • Neybecker P (2019) CaractĂ©risation et Ă©tude des potentialitĂ©s chondrogĂ©niques des cellules souches mĂ©senchymateuses d’origine synoviale pour le traitement des lĂ©sions focales et diffuses du cartilage (Doctoral dissertation, UniversitĂ© de Lorraine) (rĂ©sumĂ©).
  • Villard O (2019) Effets des cellules stromales pancrĂ©atiques immortalisĂ©es humaines sur les cellules bĂȘta humaines (Doctoral dissertation, Montpellier) (rĂ©sumĂ©)
  • Weiss ML, Trover DL (2014) Stem cells in the umbilical cord. Stem Cell Rev 2006; 2:155.162.

Notes et références

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