Castelmoron-sur-Lot
Castelmoron-sur-Lot est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Castelmoron-sur-Lot | |||||
Mairie de Castelmoron. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lot et Tolzac (siège) |
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Maire Mandat |
Line Lalaurie 2020-2026 |
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Code postal | 47260 | ||||
Code commune | 47054 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Castelmoronais, castelmoronaises | ||||
Population municipale |
1 796 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 77 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 23′ 53″ nord, 0° 29′ 45″ est | ||||
Altitude | 50 m Min. 35 m Max. 195 m |
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Superficie | 23,25 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Villeneuve-sur-Lot (banlieue) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tonneins | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.castelmoronsurlot.com/ | ||||
Géographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine de Villeneuve-sur-Lot située sur le Lot entre Villeneuve-sur-Lot et Aiguillon, dans le Pays de la Vallée du Lot.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Brugnac, Fongrave, Granges-sur-Lot, Lafitte-sur-Lot, Laparade, Monclar et Le Temple-sur-Lot.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte-Livrade-sur-Lot », sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 757,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 27 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Castelmoron-sur-Lot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[18] et 48 391 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,3 %), terres arables (16,9 %), cultures permanentes (15,1 %), prairies (13,3 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (3,6 %), eaux continentales[Note 6] (2,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Castelmoron-sur-Lot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot, la Bausse et le Tolzac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2021[26] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Histoire
C'est sur un site humide et marécageux, près d'un méandre du Lot, que fut fondé à une date inconnue, un prieuré autour duquel se fixa un premier peuplement qui aurait pu constituer une sauveté. Au XIIIe siècle l'habitat groupé autour du château en bordure de la rivière s'appelle déjà Castelmoron (Castiel de Mauron, Froissart ; Castromorone, Valéri 1320 ; Castro-Mauronis, hommages de 1259). Il faut noter qu'aucune de ces appellations ne reprend le mot latin mariscus ou palus, ni le mot germain marisk, qui sont les étymologies du mot marais. Il faut alors trouver l'origine du nom dans celui d'un envahisseur germain ou latin plus que dans celui de Maures, Maurorum étant le pluriel de maurus (maures en latin), et les Sarrasins et probablement un important bastion morisque.
C'était le temps des bastides mais Castelmoron ne bénéficia pas de l'acte fondateur ni des coutumes qui accompagnent la création de ces lieux de vie : il s'agit probablement d'un castrum comme l'indique d'ailleurs l'hommage de 1259.
Au début de la guerre de Cent Ans, en 1345, la ville fut prise grâce à une feinte par les troupes anglaises du comte de Derby. Ce dernier la donna au chevalier de Caumont qui était à l'origine de la feinte. La seigneurie resta dans cette famille jusqu'au milieu du XVIIe siècle. En 1435, elle fut reprise par les Français et ses fortifications furent démantelées.
Au XVIe siècle, Castelmoron devint un des foyers calvinistes de l'Agenais. Son église réformée fut fondée en 1559. Épargnée pendant les guerres de religion grâce à un accord passé entre catholiques et protestants en 1609, elle vit toutefois son temple, d'abord interdit, livré à la démolition en 1693.
La révocation de l'édit de Nantes () provoqua l'exode d'un certain nombre de protestants. Un Castelmoronais, Mathieu Maury, rejoignit l'Amérique. Ses descendants se distinguèrent dans la fondation des États-Unis, notamment son fils James, directeur d'une école qui compta parmi ses élèves Thomas Jefferson, futur président des États-Unis. Le petit-fils de James, Matthew Fontaine Maury, est renommé pour ses travaux en Météorologie marine et océanographie.
En 1668, la seigneurie de Castelmoron passa des Caumont aux Belsunce (ou Belzunce). C'est dans cette famille à Born que naquit celui qui allait devenir évêque de Marseille, François-Xavier de Belsunce de Castelmoron qui fit acte de dévouement pendant la peste de 1720. Les Belsunce vendirent en 1769, sans le titre de marquis, à monsieur de Lalande, magistrat bordelais.
Le XVIIIe siècle, éprouvé par les deux grandes inondations de 1728 et 1783 qui détruisirent en partie le moulin de Lacoste (datant de 1290) et le moulin Neuf (début XVIIIe) marqua cependant l'apogée de la navigation fluviale sur le Lot. Les nombreuses gabares, depuis le port de Castelmoron, transportaient vins et farines (minots) vers Bordeaux à destination des pays du nord de l'Europe et des Antilles françaises. Un courant commercial s'établit avec Saint-Domingue et la Louisiane suscité par les maîtres des bateaux castelmoronnais. Certains d'ailleurs s'installèrent dans les "Isles" des Antilles. Mais, dès la fin du XVIIIe siècle, la perte des colonies d'Amérique ferma définitivement cet horizon commercial.
La ville de Castelmoron traversa sans dommage la période révolutionnaire. Toutefois, un Castelmoronnais, Jacques Bujac fut guillotiné à Bordeaux, le pour ses accointances avec le parti girondin. Au début du Premier Empire, un autre Castelmoronnais se rendit célèbre par son courage et son audace. Le , Pierre Alexandre Marauld Dupon, commandant le bateau corsaire La Représaille battait et mettait en fuite devant Santander, une goélette anglaise bien supérieure en force. Il mérita le surnom de "Corsaire Agenais".
L'expansion économique commencée sous la monarchie de Juillet provoqua dans la seconde moitié du XIXe siècle, de profondes transformations qui donnèrent à Castelmoron, une nouvelle physionomie en rupture avec son ancienne configuration moyenâgeuse.
En 1845, pour permettre à la route départementale 13 de traverser Castelmoron, un pont suspendu fut construit sur le Lot ; il débouchait sur l'emplacement de vieille église du XIIIe siècle qui fut démolie. La construction de ce pont changea radicalement la ville dont l'axe devient perpendiculaire au Lot et fait une rotation de 90°.
La nouvelle église (l'actuelle) est construite sur l'emplacement de l'ancien cimetière suivant les plans de l'architecte Leboucher. Elle a été consacrée le par l'évêque d'Agen, Mgr Jean-Aimé de Levezou de Vezins. En 1859, le temple protestant s'élèvera à la sortie de la ville. En 1871, le vieux château est acheté par la veuve de Félix Solar et entièrement transformé tel que son mari, natif de Castelmoron et mort en 1870, l'avait voulu et choisi[33]. Son architecture nouvelle, comprenant de nombreuses structures en bois (galerie et balcons) prenait son inspiration dans l'Alhambra de Grenade et la mosquée de Cordoue, imitant en cela le casino mauresque d'Arcachon. Le « Château Solar » sera acheté par la municipalité en 1902 et deviendra l'hôtel de ville. C'est aussi à la générosité de Félix Solar que l'on doit la fontaine à jets d'eau construite en 1859 sur la place, près de la Halle.
L'impulsion donnée par la Troisième République aux municipalités devait engendrer de nouvelles réalisations. En 1873 furent créées la place du Foirail, agrémentée de platanes, la place de l'Airyal (ancien cimetière protestant), et sur le lieu de l'ancien réservoir pour le fossé de la ville (fossé qui fut alors ponté) l'actuelle place Bransoulié (du nom du maire qui prit alors la décision des travaux). En 1874, une halle métallique fut édifiée en remplacement de l'ancienne halle en bois.
Enfin, en 1875, sur le site de l'ancien bac, on construisit une cale de commerce avec un imposant quai en pierre. Malheureusement, le trafic fluvial était sur son déclin malgré les énormes travaux réalisés tant sur le Lot que sur la Garonne (chaussées nouvelles, amélioration des écluses et des chemins de halage, constructions de quais). La concurrence du chemin de fer et le développement du réseau routier donneront un coup de grâce à la navigation commerciale sur la rivière qui disparaîtra définitivement en 1923.
Au XXe siècle, d'autres événements, d'autres personnages vont enrichir la chronique historique de Castelmoron-sur-Lot.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2020, la commune comptait 1 796 habitants[Note 9], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château Solar, actuelle mairie depuis 1902[39]. En 2022, il fait partie des douze sites de la Nouvelle-Aquitaine retenus pour bénéficier de l'aide du Loto du patrimoine et doit recevoir à ce titre une aide de 200 000 euros de la part de la Mission Patrimoine de Stéphane Bern[40] ;
- L’église catholique Saint-Caprais des Moulins du Lot.
- Église Sainte-Madeleine de Sermet. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[41].
- Église Saint-Hilaire de Castelmoron-sur-Lot. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[42].
- Église Saint-Pierre de Roubillon. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[43].
- La halle construite en 1874[39] ;
- Plan d'eau du Temple-sur-Lot ;
- Pont sur le Lot, construit en 1935, ayant reçu le label « Patrimoine du XXe siècle »[44].
Personnalités liées à la commune
- Félix Solar, homme d'affaires ;
- Maison de Pérusse des Cars ;
- La famille Boudet de Montplaisir, dont Daniel de Montplaisir, historien français.
Héraldique
Blason | D'argent au château de gueules surmonté d'une tête de maure de sable[45]. |
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Détails | Armes parlantes (armes accordées en 1697 par Louis XIV en référence aux invasions maures). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sainte-Livrade-sur-Lot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Orthodromie entre Castelmoron-sur-Lot et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Façade arrière de la mairie de Castelmoron-sur-Lot, Région Aquitaine, en ligne.
- Françoise Yrieix, « Line Lalaurie à l'unanimité », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Des informations sur le patrimoine de la ville », sur www.castelmoronsurlot.com (consulté le ).
- « 200 000 euros accordés au château Solar », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20e.
- « Église paroissiale Sainte-Madeleine », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Pont sur le Lot », notice no EA47000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Armorial de France