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Canisy

Canisy est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 748 habitants[Note 1].

Canisy
De haut en bas, de gauche à droite : l'église Saint-Pierre ; l'église Saint-Ébremond ; le château de Canisy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Jean-Marie Lebehot
2020-2026
Code postal 50750
Code commune 50095
Démographie
Gentilé Canisiais
Population
municipale
1 748 hab. (2020)
Densité 96 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 34″ nord, 1° 10′ 32″ ouest
Altitude Min. 39 m
Max. 116 m
Superficie 18,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Canisy
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Canisy
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Canisy
Liens
Site web www.canisy.fr
    Canisy
    commune déléguée
    Administration
    Pays Drapeau de la France France
    Maire délégué Jean-Marie Lebehot
    Code postal 50750
    Code commune 50095
    Démographie
    Population 1 037 hab. (2020)
    Densité 166 hab./km2
    Géographie
    Coordonnées 49° 04′ 34″ nord, 1° 10′ 32″ ouest
    Altitude Min. 39 m
    Max. 116 m
    Superficie 6,25 km2
    Historique
    Commune(s) d'intégration Canisy
    Localisation
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    Canisy
    commune déléguée
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    Canisy
    commune déléguée

      Le , Canisy se constitue en commune nouvelle et sera également une commune déléguée au même titre que Saint-Ébremond-de-Bonfossé, autre commune composante. Cette commune déléguée est peuplée de 1 037 habitants

      Géographie

      La commune est à l'ouest du pays saint-lois. Son bourg est à km au sud-est de Marigny, à km au sud-ouest de Saint-Lô et à 23 km à l'est de Coutances[1].

      Le bourg est traversé par la route départementale no 38 reliant Saint-Lô au nord-est à Dangy et Gavray au sud-ouest. Elle y croise la D 77 qui mène au nord à Saint-Gilles et au sud à Saint-Martin-de-Bonfossé. Partageant une section de chacun de ces deux axes, la D 53 permet de rejoindre Marigny au nord-ouest et Saint-Ébremond-de-Bonfossé au sud-est. Traversant le nord du territoire, la D 100 relie Saint-Gilles à Cerisy-la-Salle au sud-ouest. L'accès aux grands axes, notamment à l'A84, se fait par la route nationale 174 à Saint-Lô à km au nord-est.

      Canisy est sur une ligne de partage des eaux entre les bassins de la Vire au sud, par son affluent la Joigne, et de la Douve par son sous-affluent la Terrette qui délimite le territoire au nord. La ligne de partage est matérialisée par la départementale 100. La Joigne collecte donc la plus grande partie des eaux du territoire, elle arrose le bourg, reçoit les eaux de quatre courts affluents, puis fait partiellement fonction de limite avec Saint-Gilles. La Terrette reçoit sur le territoire deux affluents de rive droite qui servent également de limites.

      Le point culminant (116 m) se situe en limite sud, près du lieu-dit la Gablerie. Le point le plus bas (39 m) correspond à la sortie de la Joigne du territoire, au nord-est. La commune est bocagère.

      Climat

      Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

      Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

      Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

      • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
      • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
      • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
      • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,9 °C
      • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 022 mm
      • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
      • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

      Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Condé-sur-Vire_sapc », sur la commune de Condé-sur-Vire, mise en service en 1968[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 937,5 mm pour la période 1981-2010[11].

      Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

      Urbanisme

      Typologie

      Canisy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

      Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

      Toponymie

      Le toponyme est attesté sous les formes Canabiacus en 889[21], Caniciacum en 1056[22], Canegeio en 1222[21], Canigeium en 1236[21], Canigeio au XIVe siècle[21], Caniciacum en 1319[21], Canegé en 1349[21], Canigy en 1451[21] et Canisy en 1658[21].

      Il est issu d'un anthroponyme tel que le latin Canitius[22] ou le roman Canabius[23] (comprendre *Canabiu), selon la suggestion de François de Beaurepaire et qui n'est pas attesté. Il est suivi du suffixe gaulois et gallo-roman -(i)acum dont l'évolution régulière dans cette région de la Normandie aboutit précisément à la terminaison -y. Canisy a conservé le groupe Ca- initial contrairement à Chennegy (Aube) et Chenneché (Vienne) qui remonte eux-aussi à *Canabiacum, Canisy se trouvant au-dessus de la ligne Joret.

      Le gentilé est Canisiais[24].

      Histoire

      Les deux communes déléguées.

      Moyen-Âge

      Selon la Chronique de Nantes, Alain le Grand, roi de Bretagne de c.890 à 907, fit don à l'évêché de Nantes d'une abbaye située à Canabiacus (Canisy) dans la pays de Coutances, alors sous domination bretonne[25].

      Un Hue (ou Hugues) de Carbonel était aux côtés de Guillaume le Conquérant en Angleterre et en 1096, cinq Carbonel seront à la première croisade et à la prise de Jérusalem en 1099[26].

      XXIe siècle

      Si le processus de fusion avait été engagé au niveau des douze communes de la communauté de communes de Canisy[27] mais lors du vote simultané dans chaque commune, seules deux d'entre elles, Canisy et Saint-Martin-de-Bonfossé, émettent un vote défavorable[28]. Quatre communes décident alors de composer la commune nouvelle de Bourgvallées de moindre ampleur.

      Au premier semestre 2016, un projet d'union avec Saint-Ébremond-de-Bonfossé est lancé [29] qui sera entériné par un vote simultanée des deux conseils fin juin. Cette création intervient également dans le contexte d'une intégration en 2017 de la communauté de communes au sein de Saint-Lô Agglo.

      Politique et administration

      La mairie.
      Liste des maires[26]
      Période Identité Étiquette Qualité
      1848 1851 Aimable Lecomte
      1851 1852 Jean-Baptiste Osmond Fait fonction de maire
      1852 1853 Jean-Louis Noël Fait fonction de maire
      1853 1864 Jean-Baptiste Osmond
      1864 1865 (?) Louis Vimard
      1885 1906 Victor Pacary
      1906 1930 Ernest Osmond
      1930 1947 Aimable Françoise
      1947 1959 Ferdinand Leplatois
      1959 1976 Paul Savary
      1976 1985 Auguste Nicolle
      mai 1985[30] juin 1995 Denis de Kergorlay SE Chef d'entreprise
      juin 1995[31] mars 2014 Étienne Viard SE Cadre de banque
      mars 2014[32] En cours Jean-Marie Lebehot[33] SE Cadre en entreprise
      Les données manquantes sont à compléter.

      Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et trois adjoints[33]. Jean-Marie Lebehot est également maire de la commune déléguée de Canisy[33].

      Population et société

      Démographie

      Évolution de la population de la commune déléguée de Canisy [modifier]
      1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
      926838962994929911929898870
      1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
      863796785770764785786764684
      1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
      691675659621632688655853763
      1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
      6866626957198559311 0011 0281 049
      2018 - - - - - - - -
      1 058--------
      De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
      (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
      Histogramme de l'évolution démographique de la commune déléguée

      L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

      En 2020, la commune comptait 1 748 habitants[Note 9].

      Évolution de la population de la commune nouvelle [modifier]
      2015 2020
      1 7761 748
      (Sources : Insee à partir de 2015[36].)

      Sports

      Le Football Club Trois Rivières fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et trois autres équipes masculines, ainsi qu'une équipe féminine à huit, en divisions de district[37].

      Culture locale et patrimoine

      Lieux et monuments

      Le château de Canisy.

      Équipements culturels

      L'école de musique de Canisy-Marigny, agréée en qualité d'association d'éducation populaire et affiliée à la Fédération musicale de Basse-Normandie, propose des cours d'instruments (piano, harpe, accordéon, guitare, batterie, violon...) pour tous les âges et tous les niveaux.

      Personnalités liées à la commune

      • Jean Follain (1903-1971), écrivain et poète, est né à Canisy. Il publie en 1942 un livre sous le titre Canisy. Il est inhumé au cimetière communal.
      • Alphonse Lemerre (1838-1912), éditeur français du XIXe siècle est né à Canisy.

      Héraldique

      Armes de Canisy

      Les armes de la commune de Canisy se blasonnent ainsi :
      Vairé d'or et de gueules à la bande d'azur chargée d'un fer de moulin aussi d'or accosté de deux broyes du même[42].

      Voir aussi

      Bibliographie

      • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 127

      Articles connexes

      Liens externes

      Notes et références

      Notes

      1. Population municipale 2020, légale en 2023.
      2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
      3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
      4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
      5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
      6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
      7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
      9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

      Références

      1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
      2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
      3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
      4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
      5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      9. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      10. « Orthodromie entre Canisy et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      12. « Orthodromie entre Canisy et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
      13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
      16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 544.
      22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
      23. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2, BNF 36174448), p. 85.
      24. « Ouest-france.fr - Mairie de Canisy » (consulté le ).
      25. Courson, Aurélien de, Hrsg., Cartulaire de l'abbaye de Redon en Bretagne, (OCLC 615060925, lire en ligne), p. XLXIII.
      26. Gautier 2014, p. 127.
      27. Communes nouvelles : une situation toujours aussi complexe.
      28. Canisy: coup d'arrêt pour la commune nouvelle.
      29. Le projet de commune nouvelle présenté au public.
      30. « La déviation sud de Saint-Gilles remise en cause », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
      31. « Étienne Viard devient maire honoraire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
      32. « Jean-Marie Lebehot, nouveau maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
      33. Réélection 2020 : « Municipales à Canisy. Jean-Marie Lebehot est réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
      34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
      36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      37. « F.C. 3 Rivières », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
      38. « Domaine du château de Canisy (également sur commune de Saint-Gilles) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      39. « Statue : Vierge à l'Enfant ».
      40. « Œuvres mobilières à Saint-Ébremond-de-Bonfossé », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
      41. « Poutres, solives, entrevous », notice no PM50000959, base Palissy, ministère français de la Culture.
      42. « GASO, la banque du blason - Canisy Manche » (consulté le ).
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