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Quibou

Quibou est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 854 habitants[Note 1].

Quibou
Quibou
L'église Saint-Rémi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Roland Courteille
2020-2026
Code postal 50750
Code commune 50420
Démographie
Gentilé Quibois
Population
municipale
854 hab. (2020 en diminution de 8,07 % par rapport à 2014)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 05″ nord, 1° 12′ 00″ ouest
Altitude Min. 46 m
Max. 114 m
Superficie 17,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Quibou
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Quibou
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Quibou

    Géographie

    La commune est en pays saint-lois. Situé à 80 mètres d'altitude, son bourg est à 2,5 km à l'ouest de Canisy, à 5,5 km au sud-est de Marigny, à 11 km au sud-ouest de Saint-Lô et à 20 km à l'est de Coutances[1]. Couvrant 1 715 hectares, son territoire était le plus étendu du canton de Canisy.

    Le territoire est traversé par la route départementale no 38 reliant Saint-Lô au nord-est à Gavray au sud-ouest. Elle passe au sud du bourg qui y est relié par la D 99 menant à l'ouest à Carantilly et au sud à Saint-Martin-de-Bonfossé. La limite nord est marquée par la D 972 (ancienne route nationale 172) qui relie Coutances à l'ouest à Saint-Lô à l'est. Du bourg, on y accède par la D 399 qui se prolonge au-delà jusqu'à Marigny.

    Quibou est dans le bassin de la Vire, par un affluent pour la moitié sud-est, la Joigne, et un sous-affluent pour la moitié nord-ouest, la Terrette (affluent de la Taute). Les cours de l'une et l'autre sont grossis par de courts affluents dont, pour la Joigne, le ruisseau des Bois en limite sud-est et la rivière de Chaussée en limite sud-ouest. Une petite partie nord-ouest est dans le bassin d'un autre affluent de la Taute, le Lozon.

    Le point culminant (111 / 114 m) se situe au nord-ouest, au lieu-dit le Mesnil-Don. Le point le plus bas (46 m) correspond à la sortie de la Joigne du territoire, à l'est. La commune est bocagère.

    La commune se compose d'un bourg principal (Quibou) et de plusieurs écarts : la Pintelière, la Noraisière, la Bonne Eau, la Chouquerie, la Joignerie, le Buisson, le Bois-Héron, l'Hôtel-Hochu, les Cosnets, la Vauterie, la Grande-Bosquerie, la Petite-Bosquerie, l'Hôtel-Viel, les Hercheries, l'Hôtel Couespel, la Hamonnière, la Coquerie, le Moulin-Vautier, la Guesnonnière, la Fauvelière, l'Hôtel-Noireau, le Foc, la Renondière, l'Hôtel-Drouin, la Forge, le Vage, la Fumelière, la Rainière, le Sault, les Bouillons, les Cinq-Chênes, la Folie, la Voie, la Bazilière, le Hamel, le Moulin-Biard, les Carrières, les Courts Champs, la Bourdonnière, la Huaudière, le Moulin-Lambert, l'Euderie, la Douchardière, la Quellière, le Castillon, la Villette, l'Hôtel-Beaufils, le Cachot, la Cour-Douchin, la Cauvinière, la Conterie, l'Hôtel-Cocagne, la Croix-Lambert, le Mesnil Don, le Vauruel, le Bost, les Martinières, l'Hôtel-Boirot, l'Hôtel-Huault, Saint-Benoît, la Moinerie, Saint-Léger, la Saulnerie, la Joisière, l'Hôtel-Fossard, le Pont à Mazé, la Quesnelle, la Bonhommière, le Grimbert, le Ménage, la Pouchinière, la Tanqueraye, le Feugray, les Fontaines, la Frinvalle, le Grand-Chemin, la Campagne, la Péraudière, le Haut-Val, le Val, le Moulin-Héron, la Grande-Ferronnière, la Petite-Ferronnière, la Croix-au-Doyen, la Goujonnière, la Chevallerie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 003 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Condé-sur-Vire_sapc », sur la commune de Condé-sur-Vire, mise en service en 1968[10] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 937,5 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 38 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Quibou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (76 %), terres arables (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones urbanisées (1,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le toponyme est attesté sous la forme Quiebouc en 1056[24].

    Il existe deux hypothèses sur l'origine :

    • Quibou pourrait désigner à l'origine un endroit où « chie le bouc »[25] ;
    • Quibou, de l'anglo-saxon ceap (« marché, bétail », prononcé kiip) et holt (« colline »)[26]. Holt devient hout en normand[27].

    Le gentilé est Quibois.

    Microtoponymie

    La moitié des lieux-dits de Quibou sont en Y-ère/-erie, ce sont des habitats relativement tardifs résultant de la forte croissance démographique normande du XIe – XIIIe siècle. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière[28]. Les autres lieux-dits en (Hôtel / Hamel / Pont )-Y sont des constructions encore plus récentes, ils désignaient un bien de la famille Y.

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la généralité de Caen, de l'élection de Coutances (en 1612/1636, 1677), puis de Saint-Lô (1713), et de la sergenterie de Saint-Gilles[Note 9].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires[29].
    Période Identité Étiquette Qualité
    1801 1808 Pierre Desfontaines
    1808 1816 Thomas Fontaine
    1816 1830 Pierre Douchin
    1830 1846 Thomas Douchin
    1846 1851 Félix Fontaine
    1851 1865 Philippe Lefèvre
    1865 1878 Théophile Le Rond
    1878 1886 Pierre Cocaigne
    1886 1892 Noël Osmond
    1892 1896 Pierre Herman Ancien instituteur
    1896 1914 Aimable Requier Cultivateur
    1915 1940 Auguste Marie
    1940 1947 Émile Ferey Cultivateur
    1947 1983 Pierre Marie
    1983 1995 Marcel Godard
    1995 1997 Gérard Pican Agriculteur
    1997[30] mars 2014 Évelyne Fabre SE Cadre de santé
    mars 2014[31] mai 2020 Christelle Lebedel SE Assistante d'éducation
    mai 2020[32] En cours Roland Courteille SE Retraité cadre de la fonction publique territoriale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 854 habitants[Note 10], en diminution de 8,07 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Quibou a compté jusqu'à 2 057 habitants en 1831.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8831 8262 0042 0352 0571 9761 8841 8381 712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6201 5951 5081 3441 3031 2561 2651 2201 163
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1221 1141 0991 0101 0801 0169721 0361 069
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 040995876784809819823830907
    2014 2019 2020 - - - - - -
    929865854------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les principales ressources sont :

    • pâturages ;
    • bovins ;
    • entreprise de menuiserie : Izabelle Batiman ;
    • entreprise toiture : Espace Toiture ;
    • entreprises de maraîchage bio : La Ferme du Panier Vert[37], Le Jardin de la Bourdonnière ;
    • brasserie de bière biologique Au Brasseur Quibois.

    Commerces

    La commune dispose d'une boulangerie, d'une épicerie, d'un bar et d'un tabac-presse, marché bio le jeudi, d'un garage automobile.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Rémi

    L'église Saint-Rémi.

    L'église Saint-Rémi (XIIe – XXe siècle)[29] est un édifice moderne : vitraux de Gaudin, tapisserie et chemin de croix d'Helen Mai ; une des réussites de la reconstruction d'après 1944.

    L'église Saint-Rémi de Quibou a été en grande partie détruite durant les combats qui sévirent du au ; seuls restèrent en place les murs de la nef du XIIe siècle et de la chapelle sud, la base du clocher du XIIIe siècle et le porche gothique remanié en 1659[29]. Elle a été reconstruite par les architectes Henri Tougard, élève de Paul Bigot et André Cochepain en 1954[29]. Ces derniers ont su tirer parti des éléments restés en place, tout en créant un nouveau chœur au volume extérieur massif qui contraste avec la transparence de la structure intérieure. La reconstruction fut financée par le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme et la coopérative des églises et édifices religieux sinistrés.

    À partir du porche, la nef étroite et sombre s'étend jusqu'au chœur ample et lumineux. Le transept unique est le dernier témoin d'un plan cruciforme abandonné. Au nord, la tour carrée et trapue possède encore sa puissante base ancienne du XIIIe siècle dans laquelle l'autel secondaire a trouvé place. Quatre piles octogonales en ciment armé, ancrées à plusieurs mètres de profondeur, soutiennent une structure en charpente essentée d'ardoise. La sacristie surmontée d'une tribune, au sud, a conservé en partie la maçonnerie de l'ancienne chapelle latérale. C'est le cas également de la nef, dont les murs portent les traces d'un appareil en opus spicatum. Le vaste chœur moderne est fermé par un mur oriental aveugle en pierres apparentes, au sein desquelles courent quelques assises en arête-de-poisson qui rappellent le passé architectural médiéval de l'église. Le vaste sanctuaire est largement éclairé au nord et au sud par des claustras placées à un mètre du sol. La structure et les couleurs de l'autel et du mobilier s'harmonisent parfaitement avec celles de l'architecture intérieure, dont la rigueur est tempérée par le plafond bleu supporté par des solives rouge sombre.

    Les architectes ont choisi le parti de conserver et respecter la forme, les matériaux et les éléments du passé, tout en les faisant dialoguer avec une architecture du XXe siècle.

    Autres lieux

    • Croix de chemin (la croix de l'École, la croix Lambert, la croix au Doyen, la croix du Pont à Mazé).
    • Calvaire de mission de la Joignerie (1896).
    • Manoir du Gislot[29] (XVIIIe ou début XIXe siècle).
    • Ancien presbytère (XVIIIe siècle)[29].

    Activités et manifestations

    • Une salle polyvalente située sur la départementale en direction de Dangy.
    • Marchés en fête (été et noël)
    • Associations culturelles : Animathèque, Quibou Traditions et Patrimoine, Quibou en Fêtes

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. La sergenterie de Saint-Gilles, qui relevait initialement de l'élection de Coutances, fut en grande partie rattachée à l'élection de Saint-Lô à la fin du XVIIe ou au début du XVIIIe siècle.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Quibou et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Condé-sur-Vire_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Quibou et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Villages de nos ancêtres - Chantony », sur chantony.fr (consulté le ).
    25. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie, Paris, Éditions Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 148.
    26. Contribution à l'étude des établissements saxons en Normandie Louis Guinet - 1967
    27. Les emprunts gallo-romans au germanique: : Volume 44, Louis Guinet - 1982.
    28. Voir Histoire de la Normandie
    29. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 477.
    30. « Les derniers vœux du maire Évelyne Fabre », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Christelle Lebedel élue nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Municipales à Quibou. Roland Courteille est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Antoine Desvages, jeune maraîcher bio de 26 ans », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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