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Cabariot

Cabariot est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Cabariot
Cabariot
L'église Saint-Clément.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rochefort Océan
Maire
Mandat
Christian Branger
2020-2026
Code postal 17430
Code commune 17075
DĂ©mographie
Gentilé Cabariotais
Population
municipale
1 422 hab. (2020 en augmentation de 7,97 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 94 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 55′ 36″ nord, 0° 51′ 21″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 27 m
Superficie 15,12 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rochefort
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Tonnay-Charente
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Cabariot
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Cabariot
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Cabariot

    Ses habitants sont appelés les Cabariotais et les Cabariotaises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accès

    Cabariot est une commune rurale située entièrement sur la rive droite de la Charente, en amont de Tonnay-Charente.

    Sur un plan plus général, la commune de Cabariot est située dans la partie Sud-Ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est distante d'une quinzaine de kilomètres à vol d'oiseau, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

    Cadre géographique

    La commune a la particularité d'occuper un lieu de confluence où la Boutonne mêle ses eaux avec le fleuve Charente au site de Carillon. La Boutonne est le principal affluent rive droite de la Charente. Elle est traversée par un pont qui permet à la route départementale 124 de franchir la rivière, tout près de son confluent avec le fleuve.

    Le barrage de Carillon : une structure métallique sur la rivière Boutonne.
    Le barrage de Carillon.

    Le barrage de Carillon Ă  travĂ©es mobiles est situĂ© sur la Boutonne Ă  environ 1 000 m de son confluent et permet de rĂ©guler son dĂ©bit dans la dernière partie de son cours qui subit les marĂ©es remontant la Charente. Les deux cours d'eau y sont navigables, dont la partie aval de la Boutonne uniquement Ă  marĂ©e haute depuis le barrage de Carillon jusqu'au lieu de confluence.

    La chaussée de l'autoroute A837, vue depuis un pont qui la surplombe. En arrière-plan, la barrière de péage de Cabariot.
    L'autoroute A837 Ă  Cabariot.

    Outre sa vocation agricole, Cabariot est un lieu de passage important puisque la commune est traversée à la fois par la RD 137 (ex RN 137), l'autoroute A837, dite des Oiseaux, dont la gare de péage située sur la commune est représentée sur le logo du village et également par la voie ferrée de la ligne Nantes-Bordeaux.

    Le pont de la Cèpe.

    Dans le passé, une gare de bifurcation existait sur cette ligne au PK 218,700, dont l'emplacement, un quai envahi par des herbes sauvages et quelques tilleuls sont encore visibles actuellement au bout du chemin les Petits Gatis situé le long de la voie ferrée. Un vieux panneau de signalisation sur le passage à niveau indique cet endroit oublié. Une bifurcation, au lieu-dit la Vinçonnerie en direction de Bourcefranc-le-Chapus située en amont de cette ancienne gare, existait à une époque sur cette ligne au PK 218,370 depuis Nantes et enjambait la Charente avec le pont de la Cèpe. Cette ligne à voie unique desservait Echillais, Saint-Agnant, Trizay, Saint-Just, Marennes et Bourcefranc-Le-Chapus en longeant sur une grande partie le canal de la Charente à la Seudre. L'embarcadère pour l'île d'Oléron se trouvait à proximité de la gare.

    Dans les années 1960, on pouvait partir de la gare de Paris-Austerlitz et aller jusqu'au Chapus en passant par La Rochelle, Rochefort, Marennes, et enfin Le Chapus qui était le terminus de cette ligne, sans descendre du train. Cette voie ferrée (1889/1986) non rentable a été tout d'abord fermée au trafic, puis abandonnée et enfin déferrée comme beaucoup hélas, à cause du développement de l'automobile. Le tracé de cette voie ferrée a été transformé en piste cyclable (qui joint sans discontinuer Cabariot à la rive Est du canal de la Seudre à la Charente à l'Ouest de Saint-Agnant). Cette piste cyclable s'arrête au lieu-dit Bellevue comme on peut le voir sur la carte détaillée.

    C'est en 1964 que fut mis en service le pont Saint-Clément, sur la Charente, en amont de Tonnay-Charente sur la RD 137, car le pont suspendu construit en 1842 était devenu inadapté aux besoins de la circulation contemporaine. Après une rénovation complète par le Conseil général, celui-ci sert maintenant pour le passage des cyclistes et piétons.

    Cabariot est également un lieu de résidence pour les personnes travaillant à Tonnay-Charente, Rochefort, voire La Rochelle ou Saintes. La commune se transforme progressivement en commune résidentielle faisant partie de la deuxième couronne de Rochefort, étant située dans son aire urbaine.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Cabariot est une commune rurale[Note 2] - [4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), prairies (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (3,5 %), eaux continentales[Note 4] (2,9 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cabariot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et la Boutonne, et par submersion marine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2010 et 2013[12] - [10].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cabariot.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[13].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 592 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 592 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[10].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

    Toponymie

    L'origine du nom de Cabariot n'est pas connue.

    Le toponyme de Saint-Clément a pour origine la référence à Saint Clément, patron de la paroisse.

    Le toponyme de Candé a des origines celtes, Condate signifiant confluence. En effet, comme les autres Candé, Condé, Condat, etc. ceci est en lien avec la confluence proche entre la Boutonne et la Charente.

    Histoire

    Le , pendant la Restauration, une ordonnance royale regroupe les deux communes de Saint-Clément et Candé, et la commune garda le nom de Saint-Clément. Par la suite, c’est le petit village de Cabariot, mieux situé géographiquement au sein de la commune, qui est choisi comme chef-lieu. Une mairie et une école publique y sont construites.

    En 1902, la commune change de nom, et c'est Ă  partir de cette date qu'elle porte le nom de Cabariot.

    Administration

    La mairie de Cabariot (un bâtiment blanc sans étage, assez simple), avec, à sa gauche, le monument aux morts de la commune.
    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995 2001 Pierre Branger DVD puis RPR Instituteur, conseiller général du canton de Tonnay-Charente (1976-1994)
    2001 2020 Claude champagne DVD puis UMP puis LR Agriculteur retraité
    2020 En cours Christian branger LR Professeur des écoles retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 1 422 habitants[Note 5], en augmentation de 7,97 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    345260256455801799837791869
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    882911902846798817873861878
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    814837785699682680711701689
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8728819218941 0871 0801 1431 1491 277
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 3171 3861 422------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,5 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 683 hommes pour 681 femmes, soit un taux de 50,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,85 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    3,2
    7,8
    75-89 ans
    10,4
    20,2
    60-74 ans
    20,1
    20,5
    45-59 ans
    19,6
    17,6
    30-44 ans
    19,1
    14,7
    15-29 ans
    12,0
    18,0
    0-14 ans
    15,6
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2018 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,5
    9,5
    75-89 ans
    12,3
    21,6
    60-74 ans
    22,6
    20,2
    45-59 ans
    19,8
    16,5
    30-44 ans
    15,9
    15,2
    15-29 ans
    12,8
    15,9
    0-14 ans
    14,1

    Commerces et Ă©quipements

    Vue de l'étang des "Moulins de Giroins", entouré par un petit chemin, et au bord duquel se trouvent des arbres et de l'herbe.
    Le plan d'eau des "Moulins de Giroins", prisé des pêcheurs et des promeneurs.
    • Le village possède un foyer rural (salle des fĂŞtes), une Ă©picerie-papeterie, une boulangerie, et un hĂ´tel-restaurant Le Chalet.
    • Une aire de jeux et de promenades a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e en contrebas du village Ă  proximitĂ© du stade avec sentier pĂ©destre autour de l'Ă©tang des "Moulins de Giroins".

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-ClĂ©ment Ă©difiĂ©e au XIe siècle, fut reconstruite en partie au XVe siècle. Elle appartient Ă  deux Ă©poques bien distinctes : la nef est d'origine romane, le chĹ“ur est ogival. La façade est de pur style roman, le portail est remarquable par sa voussure polylobĂ©e.

    Le tympan du portail gauche offre une sculpture très intéressante qui date de 1146. Le pourtour extérieur du chœur est jalonné de modillons à têtes frisées.

    • La fontaine de la Briouzière, petite fontaine carrĂ©e, couverte, derrière laquelle passe un ruisseau dans la partie sud du village de Cabariot, a Ă©tĂ© restaurĂ©e en 2004.
    • Le village de CandĂ© surplombe la Charente et sa vallĂ©e. Il doit sa crĂ©ation Ă  son ancien port, par lequel transitaient les produits locaux, et Ă©tait un lieu de passage entre les deux rives du fleuve au moyen d'une embarcation appelĂ©e localement une grave.
    • Le cimetière de ce petit village possède des tombes anciennes. Jusqu'en 2015, une cloche, vestige d'une ancienne Ă©glise aujourd'hui disparue, s'y trouvait Ă©galement.
    • L'Ă©glise Saint-ClĂ©ment.
      L'église Saint-Clément.
    • La fontaine de la Briouzière.
      La fontaine de la Briouzière.
    • La Charente vue depuis CandĂ©.
      La Charente vue depuis Candé.
    • La Charente, la Boutonne avec ses quelques carrelets proche du confluent et 18 km de fossĂ©s humides servant Ă  l'Ă©vacuation des marais sont des lieux de pĂŞche et de loisirs. 50 km de chemins ruraux et quelques sentiers pĂ©destres permettent de faire d'agrĂ©ables promenades et se dĂ©tendre en Ă©coutant et dĂ©couvrant cette nature sauvage.

    Personnalités liées à la commune

    • Julien Foucaud (1847 - 1904), botaniste, est nĂ© Ă  Saint-ClĂ©ment ;
    • Jean-Guy Branger, homme politique, est nĂ© Ă  Cabariot en 1935 ;
    • Alain PrĂ©vost, qui interprĂ©tait le personnage « Passe-Temps Â» pendant 20 ans de 1990 Ă  2010 dans le jeu tĂ©lĂ©visĂ© Fort Boyard, a habitĂ© le village oĂą il tenait l'hĂ´tel-restaurant "Chez Passe-Temps - Le Chalet", rue des Gabares de 2008 Ă  2014.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Cabariot comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p.21
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. « Les risques près de chez moi - commune de Cabariot », sur Géorisques (consulté le )
    11. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    13. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cabariot », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cabariot (17075) », (consulté le ).
    22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
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