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Brion (Vienne)

Brion est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Brion
Brion (Vienne)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Roland Thevenet
2020-2026
Code postal 86160
Code commune 86038
Démographie
Gentilé Brionnais
Population
municipale
215 hab. (2020 en diminution de 13,31 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 23″ nord, 0° 27′ 42″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 141 m
Superficie 16,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lussac-les-Châteaux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Brion
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Brion
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Brion
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Brion

    Ses habitants sont appelés les Brionnais[1].

    Géographie

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Brion présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[2] :

    • d'argile à silex peu profonde pour 43 %, de Terres fortes pour 19 % et de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 19 % sur les plateaux du seuil du Poitou ;
    • de groies superficielles pour 18 % dans les plaines. Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite.

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Clouère sur une longueur de km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 811 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Ferrière Airoux_sapc », sur la commune de La Ferrière-Airoux, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 771,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Brion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,9 %), zones agricoles hétérogènes (36,1 %), forêts (14 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Brion est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Clouère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brion.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[25]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 10] - [29] - [30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Raymond Dauge
    mars 2001 En cours Roland Thévenet

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 215 habitants[Note 11], en diminution de 13,31 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    264232276291323375374371386
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    360369400400437425511491467
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    416391405379377361346309302
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    299278224203197203237242248
    2017 2020 - - - - - - -
    226215-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densité de population de la commune était de 15 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[36], il y a 13 exploitations agricoles en 2010 contre 9 en 2000. C'est une des rares communes du département de la Vienne qui a vu le nombre d'exploitations augmenter.

    Les surfaces agricoles utilisées ont, paradoxalement, très légèrement diminué et sont passées de 917 hectares en 2000 à 911 hectares[36]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[37].

    59 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre et surtout maïs pour les 3/4), 8 % pour les oléagineux (colza), 10 % pour le fourrage et 1 % reste en herbes[36].

    6 exploitations en 2010 (contre 5 en 2000) abritent un élevage d'ovins (320 têtes en 2010 contre 745 têtes en 2000)[36]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[38]. L'élevage de volailles a disparu en 2010 (94 têtes sur trois fermes en 2000)[36].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    La commune de Brion possède un souterrain-refuge situé sous l'église communale. Ce souterrain daterait du XIIe ou XIIIe siècle. De nos jours, son entrée est condamnée mais il fut accessible au public pendant très longtemps (jusqu'à la réhabilitation de la voirie)[39].

    L'entrée du souterrain se trouve au pied du transept nord de l'église. Elle permet d'accéder aux différentes salles présentes sous l'édifice. La pièce principale du refuge se trouve juste sous la nef, permettant ainsi aux réfugiés d'écouter la messe. De nos jours le souterrain compte trois pièces, l'ensemble est entièrement sous l'église, mais on peut distinguer deux portes, l'une sur la face Ouest et l'autre sur la face Est du refuge, pouvant déboucher sur d'autres pièces ou bien sur des couloirs menant vers des sorties assez éloignées permettant ainsi aux réfugiés de fuir en sécurité. La tradition raconte qu'il déboucherait dans une grotte située dans le jardin de la Baumière[40] - [41].

    Arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[42], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont des chênes pédonculés.

    Plateau de Fontcoudreau

    Le plateau de Fontcoudreau est situé à une dizaine de kilomètres à l’est de Gençay. Le site est à cheval sur plusieurs communes : Brion, Dienné, Saint-Laurent-de-Jourdes, Saint-Maurice-la-Clouère et de Vernon. C'est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[43] qui couvre 6 % de la surface communale de Brion.

    Le relief du plateau est très homogène. Son altitude moyenne est de l’ordre de 130 mètres. Il est constitué de calcaires et d’argiles lacustres. Sur ces sols de « terres fortes » très argileux, tantôt saturés ou calcaires, tantôt acides et riches en cailloux et blocs de meulières, plusieurs dizaines de mares ont été créées autrefois par l’homme pour l’extraction de marne. Ces mares sont dispersées au sein d’un paysage semi-naturel où les prairies pâturées et les haies bocagères dominent, interrompues par quelques bosquets.

    Elles constituent de nos jours un habitat de choix pour une faune d’amphibiens d’une diversité exceptionnelle (12 espèces différentes recensées) qui a justifié son classement et sa protection. Y ont été recensés:

    • le Triton crêté : c’est une espèce menacée dans toute l’Europe de l’Ouest. On peut le découvrir dans la quasi-totalité des mares du plateau. De fortes densités, jusqu’à plus d’une centaine d’individus sur des mares dont la surface n’excède pas quelques m², ont pu être constatées par les naturalistes. Le Triton crêté est caractérisé par sa grande taille et sa face ventrale jaune maculée de taches noires. Cette espèce affectionne surtout les paysages ouverts tels que les prairies en zones bocagères, pourvus de mares assez profondes, bien éclairées et munies de berges en pente douce. C'est sur ces berges qu'ont lieu la ponte et le développement de ses larves. Devenus adultes, les tritons crêtés mènent une vie terrestre durant la plus grande partie de l’année en dehors des 3-4 mois que dure la période de reproduction marquée par des rituels de parade spectaculaires. Diurnes à l’état larvaires, ils deviennent nocturnes une fois adultes et se nourrissent alors de petits mollusques, de vers, de larves diverses et de têtards des autres amphibiens. D’octobre à mars, ils hivernent dans des galeries ou sous des pierres. Ils mènent, alors, une vie au ralentie au cours de laquelle ils ne se nourrissent pas. La raréfaction des paysages agricoles traditionnels avec l’arrachage des haies, les remembrements, le comblement des mares et la reconversion des prairies naturelles en cultures constituent aujourd’hui les principales menaces pesant sur l’espèce. Le maintien de réseaux de mares présentant des connexions entre elles (prairies naturelles, corridors de haies) et permettant le brassage des populations est une des conditions indispensables à sa survie.
    • le triton marbré,
    • la Rainette verte dont plus de 100 individus ont pu être comptés sur une seule mare de 100 m2 en zone bocagère,
    • le Crapaud calamite qui se reproduit quant à lui dans les prairies et les jachères inondées.
    • La Grenouille de Lesson,
    • la Pélodyte ponctué.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Vienne Nature, Arbres remarquables de la Vienne, Poitiers, Atlantique éditions de l’Actualité Scientifique Poitou-Charentes, , 192 p. (ISBN 2-911320-11-5), page 62

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    10. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Brion et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France La Ferrière Airoux_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Brion et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Brion », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brion », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    37. Agreste – Enquête Structure 2007
    38. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    39. On peut malgré tout le visiter virtuellement grâce à ce film réalisé par le Centre Culturel La Marchoise : http://vimeo.com/47925531
    40. Des oies entrées à Brion en seraient sorties à la Baumière
    41. On peut trouver davantage d'informations dans le livre Brion-Gençay de Jacques Pineau, ancien maire et habitant de Brion
    42. Poitou-Charentes Nature, 2000
    43. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
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