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Bosmie-l'Aiguille

Bosmie-l'Aiguille [bɔsmi lɛɡɥij] (Bòsc Mian en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Bosmiauds[1]. Bosmie-l'aiguille est située à environ huit kilomètres au sud-ouest de Limoges sur la rive gauche de la Vienne et s'étend sur 801 ha.

Bosmie-l'Aiguille
Bosmie-l'Aiguille
La mairie, Château du Boucheron
Blason de Bosmie-l'Aiguille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Vienne
Maire
Mandat
Maurice Leboutet
2020-2022
Code postal 87110
Code commune 87021
Démographie
Gentilé Bosmiauds
Population
municipale
2 612 hab. (2020 en augmentation de 3,65 % par rapport à 2014)
Densité 326 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 07″ nord, 1° 13′ 39″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 375 m
Superficie 8,01 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bosmie-l'Aiguille
(ville isolée)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aixe-sur-Vienne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bosmie-l'Aiguille
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Bosmie-l'Aiguille
Liens
Site web mairie-bosmie.fr

    C’est en 1792 que l’enclave de Bosmie se détacha d’Isle pour devenir une commune à part entière. Son essor commença en 1860 avec la construction de la voie ferrée et de son viaduc, en 1864 avec l’édification du pont de la Vienne et en 1885 avec l’installation des papeteries cartonneries Lacaux. Ce n’est qu’en 1966 que la commune de Bosmie prit le nom de Bosmie-l’Aiguille.

    Elle compte aujourd’hui 2 469 habitants et fait partie de la communauté de communes du Val de Vienne. Elle est jumelée avec la ville espagnole de Pedralba. Quatre cours d’eau la sillonnent : la Vienne, la Briance, le Cramouloux et le Boulou.

    La mairie est installée depuis 1980 dans le château du Boucheron, construit au XIXe siècle par l’ingénieur Paul-Valentin Amilhau, maire de la commune de 1896 à 1908 dont on peut voir les initiales en marqueterie dans un des bureaux actuels.

    Géographie

    Situation de la commune de Bosmie-l'Aiguille en Haute-Vienne.

    La commune de Bosmie-l'Aiguille est située sur la rive gauche de la Vienne, au confluent de celle-ci et de la Briance, à environ huit kilomètres au sud-ouest de Limoges. Elle est également traversée par le Boulou, affluent de la Vienne.

    Son altitude minimale est de 210 m (la Vienne). Son altitude maximale est de 374 m. La mairie se situe à une altitude de 320 m.

    Les constructions de la commune sont réparties principalement sur deux zones :

    • l'Aiguille, qui accueille la plupart des services, des commerces et des bâtiments (écoles, gare, église, cartonnerie Lacaux, etc.) ;
    • les zones qui comprennent les lieux-dits de Charroux, de Viblac, de Lestrade, du Boucheron (qui accueille la mairie de la commune).
    • Bosmie, le village qui avec l'Aiguille donne son nom à la commune est un petit village, le plus au sud de la commune.
    Communes limitrophes de Bosmie-l'Aiguille
    Isle
    Beynac Bosmie-l'Aiguille Condat-sur-Vienne
    Burgnac Jourgnac

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 038 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[10] à 11,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Bosmie-l'Aiguille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Bosmie-l'Aiguille, une unité urbaine monocommunale[16] de 2 579 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), zones urbanisées (29,2 %), forêts (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), eaux continentales[Note 7] (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bosmie-l'Aiguille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne, la Briance et le Boulou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993 et 1999[24] - [22]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais des plans de prévention des risques inondation (PPRI) « Briance aval », approuvé le et « Vienne du Palais à beynac », approuvé le [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bosmie-l'Aiguille.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 27,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bosmie-l'Aiguille est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

    Toponymie

    Bòsc Mian signifie « bois moyen » en occitan.

    Histoire

    Bosmie ne formait pas une paroisse et dépendait vraisemblablement de la ville de Beynac. A partir du 24 germinal an IX (14 avril 1801) l'administration de la commune a été assurée, pour quelque temps, par la mairie de la commune de Saint-Martin-le-Vieux.

    La commune de Bosmie (Bosmie-l'Aiguille depuis 1967), a été créée en 1792, formée principalement par la partie de la paroisse d'Isle située sur la rive gauche de la Vienne, et par quelques villages démembrés des communes voisines de Beynac et Condat.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1896 1908 Paul-Valentin Amilhau Ingénieur
    mars 1971 mars 1977 Pierre Teissedre
    mars 1977 mars 1983 Jean-Pierre Pradeau
    mars 1983 mars 2001 Guy Trayaud Enseignant retraité
    mars 2001 En cours Maurice Leboutet PS Retraité et vice-président de la Communauté de communes du Val de Vienne

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 2 612 habitants[Note 10], en augmentation de 3,65 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    397436403451471482456481483
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    455572486547648667657708668
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    663709732743790805803870929
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    9561 1911 3321 7041 9502 1972 2802 2872 297
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 5202 6162 612------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame de l'Aiguille.
    Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[36].
    Récemment, la municipalité a entrepris d'importants travaux de réhabilitation de la façade extérieure du château et de la partie intérieure utilisée par les services municipaux. On peut y voir des plafonds peints, toilés, ou sculptés, ainsi que le parc du Boucheron.
    L'installation de la mairie dans un château est une particularité partagée par trois autres communes du département.
    • Un chêne centenaire est situé dans le lotissement de Charroux.
    • Moulin à pâtes à porcelaine de 1878[38].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Bosmie-l'Aiguille Blason
    Coupé de gueules et de sable au monogramme BOSMIE en lettres capitales d'or brochant sur la partition, surmonté du nombre romain MDCCLXXXXII[39] d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 23/09/2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bosmie-l'Aiguille et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Bosmie-l'Aiguille », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Bosmie-l'Aiguille », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Article R214-112 du code de l’environnement
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    31. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Eglise paroissiale Notre-Dame », notice no IA00123032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Château, actuellement mairie », notice no IA00123039, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Moulin à pâtes à porcelaine et à émail dit moulin Mausset », notice no IA00123042, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. MDCCLXXXXII = 1792, année de sa création.
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