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Boris Vallaud

Boris Vallaud, né le à Beyrouth (Liban), est un haut fonctionnaire et homme politique français.

Boris Vallaud
Illustration.
Boris Vallaud en 2023
Fonctions
Président du groupe SOC à l’Assemblée nationale
En fonction depuis le
(1 an et 4 jours)
Élection
Législature XVIe (Cinquième République)
Prédécesseur Valérie Rabault
Député français
En fonction depuis le
(6 ans et 11 jours)
Élection 18 juin 2017
RĂ©Ă©lection 19 juin 2022
Circonscription 3e des Landes
Législature XVe et XVIe (Cinquième République)
Groupe politique NG (2017-2018)
SOC (depuis 2018)
Coalition NUPES (depuis 2022)
Prédécesseur Monique Lubin
Conseiller départemental des Landes
En fonction depuis le
(2 ans et 1 jour)
Avec Agathe Bourreterre
Élection 27 juin 2021
Circonscription Canton d'Adour Armagnac
Président Xavier Fortinon
Prédécesseur Xavier Lagrave
Porte-parole du Parti socialiste
–
(4 ans, 11 mois et 28 jours)
Avec Pierre Jouvet
Gabrielle Siry
Dieynaba Diop
Premier secrétaire Olivier Faure
Secrétaire général adjoint de la présidence de la République
–
(2 ans, 1 mois et 13 jours)
Président François Hollande
Prédécesseur Nicolas Revel
Successeur Thomas Cazenave
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Beyrouth (Liban)
Nationalité Française
Parti politique PS
Père Pierre Vallaud
Conjoint Najat Vallaud-Belkacem
Diplômé de IEP de Paris
ENA
Profession Haut fonctionnaire

Ancien élève de l'ENA, il collabore avec Arnaud Montebourg au conseil général de Saône-et-Loire de 2008 à 2012, puis au ministère de l’Économie de 2012 à 2014. Il est ensuite secrétaire général adjoint de la présidence de la République, de 2014 à 2016.

Investi par le Parti socialiste, il est élu député dans la 3e circonscription des Landes lors des élections législatives de 2017[1]. Il est réélu député socialiste aux élections législatives de 2022 au sein de la coalition NUPES[2].

En juin 2022, il est élu président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale[3].

Biographie

Famille, Ă©tudes et premiers postes

Najat Vallaud-Belkacem, son Ă©pouse.

Né le à Beyrouth[4], Boris Vallaud est le fils de l'historien Pierre Vallaud[5] et d'une professeure d'histoire[6]. Il est également le filleul du politologue Antoine Sfeir[7]. Il dit avoir « gardé un attachement romantique [au Liban] et à la Méditerranée »[8]. Il a des attaches dans les Landes : ses grands-parents sont enterrés à Saint-Sever et il est propriétaire d'une maison à Hontanx[9].

Titulaire d'une maîtrise en droit public[10], Il est diplômé en 2000 de l'Institut d'études politiques de Paris[11], où il rencontre Najat Belkacem[12] qu'il épouse le à Hontanx. Ils sont parents de jumeaux (un garçon et une fille) : Louis-Adel et Nour-Chloé, nés en 2008[13] - [14].

Il entre ensuite Ă  l'ENA. Il fait partie de la promotion LĂ©opold SĂ©dar Senghor dont est notamment issu Emmanuel Macron[15] - [16].

À la sortie de l'école, Boris Vallaud est directeur de cabinet du préfet du Gard puis secrétaire général de la préfecture des Landes de 2006 à 2008[16]. Il entre ensuite au service d'Arnaud Montebourg comme directeur général des services au conseil général de Saône-et-Loire (2008-2012)[17]. L'Obs affirme qu'à ce poste, il « taillait drastiquement dans les dépenses » ; Benjamin Griveaux, alors vice-président du conseil général, indiquera en 2017 qu'il a « plutôt connu » Boris Vallaud « en Merkel de Saône-et-Loire » qu'en « Rosa Luxemburg à Paris »[18].

Au sein de l'exécutif (2012-2017)

Après la victoire de François Hollande à l'élection présidentielle de 2012 et celle du Parti socialiste aux élections législatives de 2012, il suit Arnaud Montebourg comme conseiller (2012-2013) et directeur de cabinet au ministère du redressement productif puis au ministère de l'Économie (2013-2014)[19].

Après avoir refusé plusieurs fois de devenir chef de cabinet d'Emmanuel Macron, successeur d'Arnaud Montebourg[7], il est nommé secrétaire général adjoint de la présidence de la République le 17 novembre 2014[20]. À ce poste, il participe notamment aux arbitrages concernant la loi Travail, avec laquelle « il [n'est] pas très à l'aise » selon un ancien collègue[21], et s'oppose parfois au ministre Emmanuel Macron, qui cherche à durcir le texte, en s'inquiétant notamment de l'opposition de la CFDT ; il évoque à ce sujet « un accident industriel majeur »[21]. Il est également, selon L'Opinion, « l'œil industriel de l'Élysée sur Areva », alors en cours de restructuration[22]. Selon Les Inrockuptibles, il s'oppose en interne à la proposition polémique de François Hollande sur la déchéance de nationalité pour les binationaux à la suite des attentats du 13 novembre 2015, citant les « menaces de morts envoyées à sa femme durant cette période et les attaques sur sa double nationalité »[7].

En décembre 2016, il quitte le secrétariat général de l'Élysée, tout en restant conseiller du président François Hollande[23]. Avant le renoncement de François Hollande à se présenter à l'élection présidentielle de 2017, il travaille avec Constance Rivière, sa conseillère spéciale chargée de la culture et de la citoyenneté, et Guillaume Bachelay, numéro 2 du PS, sur les idées de sa possible campagne[24]. Libération relève que « pendant le quinquennat, il réussit la prouesse de passer de la fronde à la hollandie, sans perdre son âme »[25].

Député

Il se présente aux élections législatives de 2017 dans la 3e circonscription des Landes, où était élu Henri Emmanuelli[26] et présentée comme « une circonscription en or »[27]. Soutenu par ce dernier, il obtient l'investiture du PS après avoir remporté une primaire interne au sein de la fédération des Landes, avec 63,5 % des votes des militants face au conseiller départemental Paul Carrère, fils du sénateur PS Jean-Louis Carrère[28]. À l'issue du premier tour, il arrive en 2e position avec 25,33 % des suffrages exprimés, dix points derrière Jean-Pierre Steiner, candidat La République en marche[29]. Il l'emporte au second tour en obtenant 50,75 % des suffrages. Il est l'un des trois seuls députés socialistes non sortants à avoir été élus lors de ces législatives[30]. Il est porte-parole du groupe Nouvelle Gauche[31] qui devient ensuite « groupe Socialistes et Apparentés ».

Au début de la législature, Le Journal du dimanche le situe parmi « les 10 députés qui vont peser dans le quinquennat » : « Depuis son élection dans les Landes, il donne de la voix : il a été l'un des cinq députés socialistes à ne pas voter la confiance au second gouvernement Édouard Philippe et se montre l'un des plus acerbes sur l'action de l'exécutif »[32]. Après six mois de législature, il est le 14e député le plus actif selon le classement établi par Capital, avec notamment 40 présences en commission et 283 amendements[33].

Dans le contexte de l'affaire Benalla, il met au jour une disposition permettant à la commission des Lois de se doter des prérogatives d’une commission d’enquête[34].

Membre de la commission des Affaires sociales[4], il s'oppose à la réforme du code du travail par ordonnances : Mediapart indique qu'il « entend porter une contradiction moins radicale que celle des insoumis et des communistes, mais en réfutant une quelconque continuité avec la loi sur le travail de Myriam El Khomri, à l'élaboration de laquelle il a participé depuis l'Élysée, tout en reconnaissant ne pas avoir gagné tous les arbitrages »[30]. Pour Les Échos, il « s'est révélé lors des travaux sur la réforme du Code du travail [...]. Tandis qu'Adrien Quatennens se faisait remarquer dans l'hémicycle, c'est au sein de la commission des Affaires sociales que le nouveau député des Landes s'est illustré, se positionnant comme co-rapporteur de la mise en application de la loi et en proposant un grand nombre d'amendements »[31]. Il n'est pas présent à la manifestation du , organisée par la CGT, alors que le PS appelle à y participer[35].

Opposant aux réformes de la fonction publique et de l'assurance chômage, ainsi qu'à la ratification du CETA et aux mesures sur l'immigration, il dénonce « le strabisme dangereux » d'Emmanuel Macron qui regarderait « vers l'extrême droite », et dénonce un « président populiste »[36]. Alors que le gouvernement a engagé la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP) dans le cadre de la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises (dite PACTE), il est parmi les initiateurs du déclenchement de la procédure du référendum d'initiative partagée (RIP)[37] pour que les Français se prononcent pour ou contre cette privatisation. Opposant à la réforme des retraites de 2020, il prépare la saisine du Conseil constitutionnel[38]. Avec Hervé Saulignac, il défend, à travers une proposition de loi, la création d'une dotation universelle pour tous les jeunes de 18 ans et d'un revenu de base inconditionnel[39].

En , il est investi par le Parti socialiste, pour la coalition Nouvelle Union populaire Ă©cologique et sociale, dans la troisième circonscription des Landes[40] - [41]. Il est rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© au second tour des Ă©lections lĂ©gislatives Ă  59,93%, contre 40,07% pour son adversaire Jean-François Broquères, candidat LREM-Renaissance[42]. Le journal Sud Ouest souligne que Boris Vallaud "amĂ©liore son score de 2017 de plus de 5 000 voix" et obtient "le meilleur score des dĂ©putĂ©s rĂ©Ă©lus des Landes"[2].

Le , il est élu président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale[43].

Cadre du Parti socialiste

En 2017, il est l’invité d’honneur de la Fête de la rose de Frangy-en-Bresse organisée par Arnaud Montebourg[25].

Boris Vallaud soutient Olivier Faure en vue du congrès d'Aubervilliers d'avril 2018[44]. Ils appartiennent tous deux au groupe dit des « quadras », une dizaine de cadres du PS qui se sont soudés à la fin de la présidence de François Hollande, au sein duquel Boris Vallaud « réfléchit à la nouvelle doctrine du socialisme »[45], et qui était disposé à se ranger derrière Najat Vallaud-Belkacem avant son renoncement[46].

Après l'élection d'Olivier Faure comme premier secrétaire, il envisage de lui succéder à la présidence du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée mais se retire avant l'élection[47], constatant qu'il n'aurait pas les suffrages nécessaires face à Valérie Rabault[48]. Quelques jours plus tard, il est désigné porte-parole du PS et secrétaire national à l'Europe[49].

En 2018, il est critiqué au sein du Parti socialiste, notamment par François Rebsamen et Stéphane Le Foll, pour avoir accepté l'invitation à une table ronde de l'université d'été de La France insoumise[50] - [48].

En vue de l'élection présidentielle de 2022, il est chargé du projet du PS et plaide pour « une large union de la gauche en alternative crédible à Emmanuel Macron et Marine Le Pen »[51] - [52] - [53]. Paris Match le présente comme « le socialiste fâché avec personne » au sein de la gauche, indiquant qu'il a « été sollicité par les équipes d’Anne Hidalgo et d’Arnaud Montebourg » tout en étant proche, au sein de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale, de Pierre Dharréville (PCF) et Caroline Fiat (La France insoumise)[52]. Une fois Anne Hidalgo désignée par le PS, il devient responsable de l’équipe de ses porte-paroles[54].

DĂ©partement des Landes

En 2021, il se présente aux élections départementales des Landes, dans le canton d’Adour Armagnac. À l’issue du premier tour il finit 1er avec 44,32 % des suffrages exprimés[55]. Il est élu au second tour avec 57,58 % des voix et renverse ainsi un canton traditionnellement ancré à droite[56].

Synthèse des résultats électoraux

Élections législatives

Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2017[57] PS 3e des Landes 13 636 25,33 2d 23 460 50,75 Élu
2022[58] PS 3e des Landes 22 057 40,16 1er 28 998 59,93 Élu

Élections départementales

Année Parti Canton 1er tour 2d tour
Voix % Rang Voix % Issue
2021[55] PS Adour Armagnac 3 512 44,32 1er 4 435 57,58 Élu

Publication

  • Un esprit de rĂ©sistance, Flammarion, 2021.

Références

  1. « Législatives 2017 - 2nd tour : Boris Vallaud élu député dans la troisième circonscription des Landes », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  2. Romain Barucq, « Législatives dans les Landes : Boris Vallaud au sommet de la vague dans la troisième circonscription », Sud-Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
  3. « Boris Vallaud, un profil « diplomate » pour présider le groupe PS à l’Assemblée nationale », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Fiche sur le site de l’Assemblée nationale.
  5. Christophe Gautier, « Portrait : Qui est Boris Vallaud, l'époux de Najat Belkacem ? », (consulté le ).
  6. Mariana Grépinet et Éric Hacquemand, « Najat et Boris Vallaud, chacun son tour », Paris Match, semaine du 19 au 25 octobre 2017, page 80-85.
  7. Julien Rebucci, « Portrait de Boris Vallaud, le dernier socialiste ? - Les Inrocks », sur https://www.lesinrocks.com/ (consulté le )
  8. Corinne Laurent, « Boris Vallaud, artisan d’une alternative de gauche », sur la-croix.com, (consulté le ).
  9. Nelly Assénat, « Henri Emmanuelli : "Arrêtez de traiter Boris Vallaud de parachuté !" », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  10. « Boris Vallaud », sur lesbiographies.com.
  11. Fiche de Boris Vallaud sur sciences-po.asso.fr
  12. Jérémy Pastor, « Qui est Boris Vallaud, le mari de Najat Vallaud-Belkacem ? » sur planet.fr, 21 juillet 2014
  13. « Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole » sur L'Express, 16 mai 2012.
  14. « Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole » sur Le Nouvel Observateur, 16 mai 2012.
  15. « PORTRAIT - Ancien directeur du cabinet d'Arnaud Montebourg à Bercy et époux de Najat Vallaud-Belkacem, Boris Vallaud a été nommé secrétaire général adjoint de l'Elysée. », sur lCI, (consulté le ).
  16. Boris Vallaud devrait être nommé secrétaire général adjoint de l'Élysée sur Sud Ouest, 31 octobre 2014
  17. « Arnaud Montebourg et Boris Vallaud présentent le projet Center Parc », Le Journal de Saône-et-Loire,
  18. Loïc Le Clerc, « Benjamin Griveaux rappelle qu'il a "plutôt connu" Boris Vallaud "en Merkel de Saône-et-Loire" qu'en "Rosa Luxemburg à Paris" », sur Le Lab, (consulté le ).
  19. https://jorfsearch.steinertriples.ch/name/Boris%20Vallaud
  20. « Boris Vallaud nommé secrétaire général adjoint de l'Élysée », RTL, avec AFP, (consulté le )
  21. Nathalie Schuck, « Boris Vallaud, l’étoile montante du PS que Hollande appelle «Jaurès », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  22. Renaud Belleville, « Boris Vallaud, l'œil industriel de l'Elysée sur Areva », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  23. Audrey Ludwig, « Landes : Boris Vallaud quitte le secrétariat général de l’Élysée » sur Sud Ouest, 28 décembre 2016
  24. David Revault d’Allonnes, « Présidentielle : Hollande mise sur l'absence de plan B », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  25. Pierre Steinmetz, « Boris Vallaud, la rose sans les épines », sur liberation.fr, (consulté le ).
  26. Emmanuelle Pédezert, « Landes : dans l'arène, Vallaud, l'héritier d'Emmanuelli » sur Sud Ouest, 15 mai 2017
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