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Aunay-sous-Crécy

Aunay-sous-Crécy est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Aunay-sous-Crécy
Aunay-sous-Crécy
Église Saint-Martin d'Aunay-sous-Crécy.
Blason de Aunay-sous-Crécy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Jacques Rivière
2020-2026
Code postal 28500
Code commune 28014
Démographie
Gentilé Aunaisiens
Population
municipale
686 hab. (2020 en augmentation de 19,72 % par rapport à 2014)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 15″ nord, 1° 18′ 20″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 172 m
Superficie 8,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dreux-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Aunay-sous-Crécy
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Aunay-sous-Crécy
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Aunay-sous-Crécy
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Aunay-sous-Crécy
Liens
Site web www.aunay-sous-crecy.fr

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Aunay-sous-Crécy dans son arrondissement.
      Aunay-sous-Crécy dans son arrondissement.
    • Carte de la commune d'Aunay-sous-Crécy.
      Carte de la commune d'Aunay-sous-Crécy.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 610 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marville - Man », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 581,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Aunay-sous-Crécy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), forêts (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (5,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Aunay-sous-Crécy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Blaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2018[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aunay-sous-Crécy.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 265 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 265 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latine Alnetum vers 1080, Alaretum vers 1110[25], Altum et Covetum en 1250, puis sous la forme Alnetum juxta Covetum en 1310[26] et Saint-Martin d’Aunay-sous-Couvé en 1736[27].

    • Aunay : aunaie, « lieu où poussent des aunes ».
    L'aune est un arbre des lieux humides.
    Le terme « aulne » est assez récent : l'arbre s'appelait auparavant verne ou vergne.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1792
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1795 Claude Vaudry
    1795 1799 André Girard Cultivateur
    1799 1804 Pierre Vincent Ivonnet Bourrelier
    1804 1809 Claude Vaudry Cultivateur
    1809 1815 André Girard Cultivateur
    1815 1818 Odilon de Bellanger Militaire
    1818 1831 Nicolas Luzurier Tisserand
    1831 1865 Etienne Jumelle Cultivateur
    1865 1876 Pierre Charles Hoddé Cultivateur
    1876 1888 Eugène Nicourt Cultivateur
    1888 1896 Emile Blin Cultivateur
    1896 1904 Aimé Hurel Industriel
    1904 1908 Paul Hurel Industriel
    1908 1920 Edgard Jumelle Cultivateur
    1920 1922 Paul Poussin Horticulteur-Primeuriste
    1922 1925 Zéphir Brière Cultivateur
    1925 1941 Ernest Lefèvre
    1941 1976 Marcel Desdoigts
    1976 1977 Pierre Hurel
    1977 1993 Jean-Pierre Sirdey Enseignant
    1993 2001 Marcel Molherat
    2001 2008 Jean-Pierre Sirdey Enseignant
    2008 en cours Jacques Rivière Technicien

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2020, la commune comptait 686 habitants[Note 7], en augmentation de 19,72 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    202223256211247308369431396
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    335335267306276251268249242
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    261298304285320339318380349
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    437444566666673644578569575
    2017 2020 - - - - - - -
    637686-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Ancien château d'Aunay, propriété du groupe Soufflet.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Martin

    L'édifice actuel daterait de la fin du XVe siècle.

    • Trois de ses verrières (baies 3 à 5) sont classées monuments historiques en tant qu'objet depuis 1908[35]. Elles figurent notamment l'ange de l'Annonciation, saint Nicolas de Bari, sainte Barbe, l'Arbre de Jessé et la Vierge à l'Enfant.
    En 1946, une verrière des ateliers Lorin de Chartres est réalisée pour orner une baie du mur sud. Elle met en scène l’apparition de Marie à Bernadette Soubirous[36].
    • Deux écussons sont sculptés : le premier (de gueules au croissant d'or, au chef d'argent chargé d'hermines), qui se trouve dans la partie supérieure du vitrail donnant sur la sacristie, côté de l’Évangile, à l'intersection des nervures des meneaux, porte les armoiries de Philippe de Gauville, possesseur de la terre du Nouvet ; le second (de gueules fretté d'argent au franc quartier d'or chargé d'un lion contourné de sable), qui se trouve à l'extérieur de l'église, adossé au premier, est celui de l'épouse de Philippe de Gauville : Jacqueline de Ligneris[37] - [Note 8].

    Ancien château d'Aunay

    Le château est construit au XVIIe siècle.

    • Lieux et monuments
    • Le château, le bâtiment Soufflet et l'église Saint-Martin.
      Le château, le bâtiment Soufflet et l'église Saint-Martin.
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Façade ouest de l'église.
      Façade ouest de l'église.
    • Façade nord de l'église.
      Façade nord de l'église.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'argent à l'aulne, au chef échiqueté d'or et d'azur chargé de trois tours d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aunay-sous-Crécy, monographie communale. Les usines d'engrais chimiques, de Charles Maillier, chez l'auteur 1 rue Chénevotte à Dreux, 1964, 52 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. À Chartres, l'hôtel particulier qui abrite la préfecture se nomme l'hôtel de Ligneris.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marville - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Aunay-sous-Crécy et Marville-Moutiers-Brûlé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marville - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Aunay-sous-Crécy et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune d'Aunay-sous-Crécy », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Dans une charte de l’abbaye Saint-Père-en-Vallée.
    26. Dans une charte de l’abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois à Saint-Maixme-Hauterive.
    27. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier, .
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Ministère de la transition écologique et solidaire - Inspection des installations classées., « Fiche de l'établissement », sur http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    33. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, 2 juillet 1971 : "La ligne de chemin de fer Dreux-Chartres qui sera fermée aux voyageurs lundi avait été inaugurée le 28 juillet 1873"
    34. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, août 1971
    35. « 3 verrières figurées : l'ange de l'Annonciation, saint Nicolas de Bari, sainte Barbe, l'Arbre de Jessé, Vierge à l'Enfant, motifs décoratifs (baies 3 à 5) », notice no PM28000018, base Palissy, ministère français de la Culture.
    36. [PDF] Églises ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saint-Martin d'Aunay-sous-Crécy », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
    37. Procès-verbal de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, bilan des années 1926-1929. Identification des écussons faite par l'Abbé Boudet le 4 février 1926 et mentionnée dans le compte-rendu de l'assemblée générale du 6 février 1930. (Procès-verbaux de la SAEL- Tome XIV - pages 277 et 278)
    38. Généalogie de la Rivière Pré d'Auge, Richard de la Rivière, 1970, Archives Nationales
    39. Journal Vert-Vert, 30 octobre 1885, p.2 : "Vers 1842 ou 1844, si nous avons bonne mémoire, M. Perrin se trouvait à Aunay-sous-Crécy, près de Dreux, chez un de ses très proches parents ; aux prises avec les dures nécessités de l'existence, on peut le dire à son honneur, il chercha dans notre ville (Dreux) à vivre de son jeune talent comme peintre."
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