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Astaffort

Astaffort est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Astaffort
Astaffort
Église Sainte-Geneviève.
Blason de Astaffort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Paul Bonnet
2020-2026
Code postal 47220
Code commune 47015
Démographie
Gentilé Astaffortais
Population
municipale
2 036 hab. (2020 en augmentation de 0,3 % par rapport à 2014)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 54″ nord, 0° 39′ 08″ est
Altitude 59 m
Min. 52 m
Max. 215 m
Superficie 35,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Astaffort
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Astaffort

    Géographie

    Localisation

    Traversée par le Gers, la commune est située dans le Brulhois, à une dizaine de kilomètres au sud d'Agen. Elle est limitrophe du département du Gers.

    Accès par la route nationale 21 entre Agen et Lectoure.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Layrac, Gimbrède, Pergain-Taillac, Sempesserre, Cuq, Fals et Marmont-Pachas.

    Communes limitrophes d’Astaffort[1]
    Marmont-Pachas Layrac Fals
    Astaffort Cuq
    Pergain-Taillac
    (Gers)
    Sempesserre
    (Gers)
    Gimbrède
    (Gers)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 741 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laplume », sur la commune de Laplume, mise en service en 1999[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 757,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 12 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Astaffort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (2,3 %), prairies (1,9 %), forêts (1,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Astaffort est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Gers et l'Estressol . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2003 et 2009[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Astaffort.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2002, 2003, 2005, 2011, 2012, 2015, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 9] - [28] - [29].

    Histoire

    Carte ancienne.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, à partir du , ce village de la zone libre a accueilli les 350 habitants du village mosellan de Solgne, évacués juste avant l'annexion de la Moselle par le Troisième Reich.

    Héraldique

    Blason de Astaffort Blason
    De gueules à la bande d'or, accompagnée de six croisettes du même.
    Devise
    "Stat fortiter" (Elle se tient ferme, avec courage)[30]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1898 septembre 1908 Pierre Bourgade
    septembre 1908 septembre 1917 François Cousso
    octobre 1917 mai 1925 Jean Damous
    mai 1925 mai 1929 André Routier[31] SFIO Docteur en médecine
    mai 1929 mai 1935 Paul Bourgade
    mai 1935 septembre 1944 Pierre Lapeyronie[32]
    septembre 1944 mai 1945 Gaston Martin Rad.
    mai 1945 mars 1959 Jean Saubestre SFIO Instituteur, ancien résistant
    Conseiller général d'Astaffort (1945 → 1951)
    mars 1959 mars 1971 Georges Sagazan Rad. Chef d'entreprise
    Conseiller général d'Astaffort (1964 → 1994)
    mars 1971 mars 1977 André Gardeil Directeur commercial
    mars 1977 mars 1989 Georges Sagazan UDF-Rad. Chef d'entreprise
    Conseiller général d'Astaffort (1964 → 1994)
    mars 1989 mars 2001 Hubert Delpech GE Retraité du ministère de l'Intérieur
    Conseiller régional d'Aquitaine (1992 → 1998)
    mars 2001 mars 2004
    (décès)
    Danielle Esteban PS Professeur d'anglais retraitée
    Conseillère générale d'Astaffort (1994 → 2004)
    juin 2004 mars 2014 André Garros DVG Fonctionnaire de la DGCCRF
    mars 2014 mai 2020 Louise Cambournac LR Retraitée du ministère de l'Éducation nationale
    Conseillère départementale du Sud-Est Agenais (2017 → 2021)[33]
    mai 2020 En cours
    (au 14 février 2022)
    Paul Bonnet LR Cadre CCI
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 2 036 habitants[Note 10], en augmentation de 0,3 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 7292 3722 4742 6312 7852 5272 4142 5812 608
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5182 4342 5602 5112 5832 5152 5362 1942 059
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9601 8571 7811 6191 7071 6681 7731 7001 740
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 7921 7401 8021 8351 8281 8801 9892 0162 015
    2018 2020 - - - - - - -
    2 0442 036-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Pont.
    • Église Sainte-Geneviève (XIVe et XVIIe siècles)
    • Église Saint-Félix (époque romane et XVIIe siècle)
    • Église Sainte-Quitterie de Barbonvielle (rénovée au XIXe siècle)
    • Ancien couvent des Clarisses (XVIIe et XVIIIe siècles)
    • Château de Parays (XVIIIe et XIXe siècles)
    • Château de Fondragon (XVIIIe et XIXe siècles)
    • Moulin fortifié de Roques sur le Gers (XIIIe et XIVe siècles)
    • Kiosque à musique (XIXe et XXe siècles)
    • Monument aux morts de la guerre de 1870.

    Personnalités liées à la commune

    • Alain Aspect (né en 1947) brillant physicien français, membre de l'Académie des sciences, a obtenu la médaille d'or du CNRS en 2005, le prix Wolf en 2010, la médaille Albert-Einstein en 2012 et le prix Balzan en 2013. Le sujet de ses travaux concerne la physique quantique. Pour ses recherches sur l'intrication quantique, il se voit décerner, le 4 octobre 2022, le prix Nobel de physique[38].
    • Alain Beyneix (né en 1972), archéologue et préhistorien français.
    • Philippe Burty (1830-1890) critique d'art, dessinateur, lithographe et collectionneur français.
    • Francis Cabrel (né en 1953), auteur-compositeur-interprète, y vit[39]. Il y a été conseiller municipal de 1989 à 2004. Reconnu pour ses ballades et chansons sentimentales, ses ventes de disques sont estimées à plus de 25 millions d'exemplaires à travers le monde[40].
    • Henri Caillavet (1914-2013), homme politique, ancien député, sénateur et secrétaire d'État a été conseiller général du canton d'Astaffort (1951-1963).
    • Pierre-Marie Carré (né en 1947), évêque, a été curé d'Astaffort,
    • Philippe Dauzon (1860-1918), conseiller général d'Astaffort (1886-1918), député d'Agen (1893-1910) et président du conseil général de Lot-et-Garonne (1899-1913).
    • Louis Denis Jules Gavarret (1809-1890), polytechnicien et médecin, ancien président de l'Académie de médecine.
    • Jean-Marc Mazzonetto (1983-2018), joueur de rugby à XV
    • Jacques Sadoul (1934-2013), auteur spécialiste du polar, de science-fiction et d'ésotérisme, ancien directeur éditorial de la maison J'ai Lu[41].
    • La Maison de Preissac, qui portait le titre de comte d'Astaffort sous l'Ancien Régime.
    • Placide Clère Séraphin Louverture. Né au Cap-Français, Saint-Domingue (1781-1841), fils de Toussaint Louverture et de Suzanne Simon Baptiste Louverture, époux de Joséphine de Lacaze, il demeura au Château du Parc à Astaffort.

    Jumelages

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Baradat de Lacaze, Astafort en Agenais. Notice historique et coutumes, H. Champion, 1885. (lire en ligne)
    • Alain Beyneix, Le vieil Astaffort, éditions A. Sutton, 2009.
    • Alain Beyneix, Les combats d'Astaffort du 13 juin 1944, éditions Atlantica, 2011.
    • Sylvie Faravel, Le castrum d’Astaffort : état des recherches, Revue de l’Agenais, 142, 2015, p. 279-302.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    9. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Laplume - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Astaffort et Laplume », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Laplume - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Astaffort et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune d'Astaffort », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Astaffort », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    30. Armorial de France
    31. Notice ROUTIER André, Jean-Marie, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
    32. Fiche généalogique Pierre LAPEYRONIE, sur Geneanet
    33. Sa fiche sur le site du conseil départemental de Lot-et-Garonne
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Le prix Nobel de physique 2022 attribué au Français Alain Aspect, un Américain et un Autrichien pour leurs travaux sur la révolution quantique », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
    39. François Delétraz, « Francis Cabrel, l'homme tranquille », Le Figaro Magazine,‎ , p. 74-75 (lire en ligne).
    40. « Francis Cabrel a franchi un cap ! » [archive], Pure People.com, 4 décembre 2010 (consulté le 20 mai 2016).
    41. Astaffort: l'écrivain, Jacques Sadoul s'est éteint vendredi
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