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Arromanches-les-Bains

Arromanches-les-Bains, couramment appelée Arromanches, est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie. C'est une station balnéaire, peuplée de 465 habitants[Note 1] (les Arromanchais).

Arromanches-les-Bains
Arromanches-les-Bains
Arromanches vue de l'est, avec les vestiges du port Mulberry dans sa baie.
Blason de Arromanches-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Intercommunalité Communauté de communes de Bayeux Intercom
Maire
Mandat
Marcel Bastide
2020-2026
Code postal 14117
Code commune 14021
Démographie
Gentilé Arromanchais
Population
municipale
465 hab. (2020 en diminution de 12,59 % par rapport à 2014)
Densité 339 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 21″ nord, 0° 37′ 21″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 55 m
Superficie 1,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Courseulles-sur-Mer
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Arromanches-les-Bains
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Arromanches-les-Bains
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Arromanches-les-Bains
Liens
Site web www.arromanches.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 11 kilomètres au nord-est de Bayeux et 30 kilomètres au nord-ouest de Caen.

    Elle est proche du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

    Communes limitrophes

    Entrée de la ville.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[2].

    Hydrographie

    La commune est classée en loi littoral, catégorie Mer pour le motif de : Commune riveraine de la mer ou d'un océan.

    Voies de communication

    On accède à la commune par la D 514 :

    • depuis Asnelles à l’est à 3,6 km ;
    • depuis Bayeux au sud-ouest à 11 km via la D 516.

    On accède également à Arromanches-les-Bains depuis Meuvaines à 4,7 km par la D 65.

    Transports

    Arromanches-les-Bains est desservie par la ligne d‘autocar No 74 des bus verts du Réseau interurbain du Calvados, à partir de la gare ferroviaire de Bayeux, gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains Intercités Normandie et TER Basse-Normandie, de la ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg.

    L’aéroport le plus proche est celui de Caen-Carpiquet distant de 30,2 km, (33 minutes).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 675 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port-en-Bessin », sur la commune de Port-en-Bessin-Huppain, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 763,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 21 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Arromanches-les-Bains est une commune rurale[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,5 %), zones urbanisées (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones humides côtières (1,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 66 voies[Note 9] dont 23 lieux-dits administratifs répertoriés[26].

    Logement

    En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 471 (dont 75 % de maisons et 25 % d’appartements).

    Parmi ces logements, 54,7 % étaient des résidences principales, 35,5 % des résidences secondaires et 9,9 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 55,7 % contre 41,7 % de locataires[27].

    La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 8,3 %[Note 10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Arremancia en 1175 ; Arremance en 1229 (cartulaire de l’abbaye de Mondaye) ; Arromancia en 1247 ; Arremanche en 1362 ; Arrommanche en 1475[28] ; Arromanches en 1793 ; Arromanches-les-Bains en 1897.

    Albert Dauzat avait vu dans Arromanches un dérivé avec le suffixe -antia[29], pré-latin, basé sur une racine obscure[29].

    Des travaux plus récents suggèrent de reconnaître dans Arromanches, le type toponymique *Allemanica qui désigne un établissement de colons alamans, altéré en *Arremanica par le rhotacisme de [l][28], évolution phonétique fréquemment observée par ailleurs. Il n'est, dans ce cas, pas directement attesté, la forme la plus ancienne connue étant trop récente (XIIe siècle).

    En revanche, il existe en France des noms de lieux du même type qui n'ont pas subi cette altération comme par exemple Allemanche (Marne, Alemanche vers 1229) ou encore Allemance, hameau de Chamalières-sur-Loire (Loire)[28].

    En Normandie, on retrouve d'autres noms de lieux fondés sur cet ethnonyme avec ou sans suffixe : *Allemaniscas[28] (avec suffixe -iska d'origine germanique, d'où en français -ois / -ais / ancien féminin -esche cf. danois / danesche) > Almenêches (Orne) et Omnesques, lieu-dit à Giverville (Eure)[28], alors que le type Allemania (avec suffixe -ia) a produit Allemagne, ancien nom de Fleury-sur-Orne (Calvados) et Allemagne, lieu-dit à Daubeuf-Serville (Seine-Maritime)[28].

    Histoire

    Arromanches est restée célèbre comme étant un des lieux historiques du débarquement de Normandie (nom de code : opération Neptune), notamment pour le port artificiel qui y fut installé. Ce port permit de débarquer de 9 000 Ã  22 000 tonnes de matériel par jour, lors de la bataille de Caen.

    C'est sur la plage d'Arromanches que, lors de la bataille de Normandie, immédiatement après le jour J, 6 juin 1944, les Alliés établirent le port Mulberry B, un port artificiel provisoire afin de permettre le débarquement de matériel lourd, sans attendre la conquête de ports en eaux profondes, tels que ceux du Havre ou de Cherbourg (Cherbourg-en-Cotentin depuis 2016). Bien que située au centre de la zone de débarquement Gold Beach, Arromanches fut épargnée par le gros des combats le Jour J. Afin de permettre l'installation d'un port et son bon fonctionnement le plus rapidement possible, il ne fallait pas dégrader la plage et préserver les voies de communications aux alentours. Les troupes anglaises ont donc débarqué plus à l'Est, entre Asnelles et Ver-sur-mer, et ont libéré Arromanches par la terre le 6 juin au soir. Le port fut donc mis en service le 14 juin.

    Ce lieu fut en effet choisi pendant les préparatifs du Jour J afin d’y établir les structures portuaires préfabriquées indispensables au déchargement des quantités de ravitaillement nécessaires aux troupes d'invasion lors du débarquement du .

    Les Britanniques construisirent d'énormes caissons flottants en béton armé, appelés "Phoenix" qui après avoir été remorqués à travers la Manche devaient être assemblés côte à côte en les coulant grâce à l'ouverture de vannes afin de créer des quais et jetées formant une digue et délimitant le port artificiel, comprenant des pontons flottants qui suivaient les marées et étaient reliés à la terre par de véritables chaussées flottantes. Un de ces ports fut assemblé à Arromanches et, aujourd'hui encore, quelques caissons "Phoenix" sont visibles au large et témoignent de leur solidité.

    Quelques chiffres : le , plus de 300 000 hommes, 54 000 véhicules, 104 000 tonnes de ravitaillement avaient été débarqués en moins d'une semaine. Pendant les cent jours de fonctionnement du port, ont été débarqués : 2,5 millions d'hommes, 500 000 véhicules, 4 millions de tonnes de matériel.

    La meilleure performance du port se situe dans la dernière semaine de juillet 1944 (bataille de Caen), au cours de ces sept jours, le trafic d'Arromanches dépassa 136 000 tonnes, soit 20 000 tonnes par jour.

    Politique et administration

    Mairie.

    Élections nationales

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Dupuis
    1995[31] mai 2020 Patrick Jardin[32] SE[32] Opticien
    mai 2020[33] En cours Marcel Bastide SE Chef d’entreprise à la retraite
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2020, la commune comptait 465 habitants[Note 11], en diminution de 12,59 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    430363450493520534528500490
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    502505533532544481480455444
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    444380335273282288262282287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    298339355395409552602609546
    2017 2020 - - - - - - -
    489465-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2014 était de 257 représentant 516 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 160 €[27].

    Emploi

    En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 205, occupant 200 actifs résidants (salariés et non salariés).

    Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,5 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 17,6 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,1 %, retraités ou préretraités 14,2 %, autres inactifs 7,2 %[27].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de quatre-vingt onze dont cinq dans l’agriculture-sylviculture-pêche, un dans l’industrie, six dans la construction, soixante-quatorze dans le commerce-transports-services divers et cinq étaient relatifs au secteur administratif[27].

    Ces établissements ont pourvu cent dix-neuf postes salariés.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Musée du Débarquement

    L'entrée du musée du Débarquement.
    • Objets, armes, photos, uniformes exposés dans différentes salles réservées à chaque nation : Anglais, Américains, Canadiens.
    • Maquettes animées des pontons et routes flottantes avec explications par un guide et diorama pour comprendre le fonctionnement du port artificiel suivant la marée.
    • Un film de 30 minutes tourné pendant les préparatifs du débarquement est projeté pour clôturer la visite.

    Arromanches 360°

    Le Cinéma circulaire Arromanches 360.

    Situé sur les hauteurs des falaises d'Arromanches et près de la table d'orientation, le cinéma circulaire domine les vestiges du port artificiel d'Arromanches mais aussi la baie de Seine.

    2021 - Nouveau film d’une pure intensité historique : Les 100 jours de la Bataille de Normandie

    Le Débarquement des Alliés en Normandie, le 6 juin 1944, a exigé des mois d’entraînement et des années de réflexion. Sa réussite obligatoire nécessitait une préparation logistique et militaire inédite.

    Le nouveau film du cinéma Arromanches 360 démarre ainsi : des deux côtés de la mer, on se préparait à ce moment attendu. Puis, malgré une météo défavorable, vint ce matin du 6 juin, qui reste dans la mémoire universelle celui du premier pas tant espéré de la libération de l’Europe occidentale.

    La Bataille de Normandie démarre ainsi : les parachutistes, dans la nuit du 5 au 6 juin, puis les débarquements sur cinq plages de la Manche et du Calvados parmi les plus connues dans le monde. Les Normands vivent sur leur sol une bataille de trois mois qui n'est pas achevée le jour de la libération de Paris. Elle dure en fait jusqu’au 12 septembre, avec la fin du tragique bombardement du Havre.

    Les images que nous avons choisies pour ce film et ses neuf écrans sont exceptionnelles : archives britanniques, canadiennes, allemandes, américaines et françaises.

    Ce film a été réalisé par la société Tempora et par le Mémorial de Caen. Il a été voulu et financé par la Région Normandie.

    L'église d'Arromanches

    Elle est dédiée à saint Pierre, patron des pêcheurs. Elle fut construite entre 1857 et 1870 dans le style néo-roman. Elle remplace l'église paroissiale du XIIIe siècle devenue trop petite avec le développement de la station balnéaire.

    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • L'orgue.
      L'orgue.

    Héraldique

    Blason de Arromanches-les-Bains Blason
    D'azur à l'ancre d'or chargée d'une étoile d'argent, accompagnée de deux chaînes brisées de sable mouvant des cantons du chef vers l'étoile ; au chef de gueules chargé d'un léopard d'or armé et lampassé d'azur.
    Détails
    Création : Robert Louis, adoptée par délibération du conseil municipal du 30 juin 1947 [38].

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Carpentier, inventeur français. Une rue principale est nommée en son honneur.
    • François Carpentier, petit-fils de Jules Carpentier, architecte français et maire de la commune. Il a créé le musée du Débarquement d'Arromanches.
    • Sylvie Joly possédait une villa dans la commune. Son père a été maire de cette commune juste après la guerre, de 1947 à 1963.
    • La famille de Boisgelin possédait une grande superficie du village et y détient toujours une grande bâtisse.
    • François Jourdan de La Passardière (1787-1851), marin, vainqueur du combat naval d'Arromanches des 7 et 8 septembre 1811, contre la marine anglaise. Une rue est baptisée de son nom dans la commune et un monument rappelle le combat.
    • Lord Louis Moundbatten (1900-1979), amiral britannique, favorable au débarquement en Normandie, chargé du port artificiel d'Arromanches, port Mulberry.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gérard Fournier, Le port artificiel d’Arromanches : nom de code Mulberry B, Charles Corlet, , 90 p. (ISBN 978-2847067255).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Deux annulations en 1990 et 2001.
    10. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Plan séisme consulté le 14 novembre 2017 »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Port-en-Bessin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Arromanches-les-Bains et Port-en-Bessin-Huppain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Port-en-Bessin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Arromanches-les-Bains et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Annuaire des communes françaises
    27. Statistiques officielles de l’INSEE.
    28. François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 62
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 29b
    30. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
    31. « Le maire Patrick Jardin brigue un quatrième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. Réélection 2014 : « Arromanches-les-Bains (14117) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    33. « Municipales à Arromanches-les-Bains. Marcel Bastide, nouveau maire de la cité historique », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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