Accueil🇫🇷Chercher

Armaillé

Armaillé est une commune française, située dans le Haut-Anjou du département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Armaillé
Armaillé
Vue du bourg d'Armaillé, traversé par la Verzée.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Emmanuelle Galisson
2020-2026
Code postal 49420
Code commune 49010
DĂ©mographie
Gentilé Armailléens
Population
municipale
319 hab. (2020 en augmentation de 2,9 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 19 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 42′ 54″ nord, 1° 07′ 39″ ouest
Altitude 97 m
Min. 39 m
Max. 100 m
Superficie 16,78 km2
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Armaillé
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Armaillé
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
Armaillé
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Armaillé

    Commune rurale du Haut-Anjou, Armaillé se situe dans une vallée entre deux lignes de crête où coule la Verzée, qui permit dans le passé d'alimenter des industries locales, comme des tanneries ou des moulins. Bourg agricole ancien, siège d'une famille de chevalerie, le bourg subit dès le XIXe siècle un exode rural qui continue encore au début du XXIe.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e dans le Haut-Anjou, Ă  environ km de PouancĂ©, le chef-lieu de canton, et environ 20 km de SegrĂ©, la sous-prĂ©fecture.

    Topographie, géologie, relief

    Armaillé fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Sur le plan géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.

    La commune se situe entre deux lignes de crĂŞte. Au nord, l'altitude est comprise entre 94 et 98 mètres, et descend progressivement jusqu'au bourg mĂŞme de la commune, qui se situe Ă  45 mètres. Le terrain remonte ensuite vers la seconde crĂŞte, au sud, culminant Ă  89 mètres, puis redescend une nouvelle fois, vers la commune de Saint-Michel-et-Chanveaux[2].

    Climat

    La région du Haut-Anjou est caractéristique de la «douceur angevine»[3]. Le climat du Maine-et-Loire étant un climat de transition entre le climat océanique de la côte atlantique et le climat continental de la Touraine[4], les hivers y sont doux et les étés agréables. À l'arrivée des perturbations venant de l'océan, le Haut-Anjou et Armaillé sont en première ligne. Le nombre de jours avec précipitations y oscille entre 140 et 150 par an[3].

    Hydrographie

    La commune est traversée d'ouest en est par la Verzée. La rivière est rejointe par le ruisseau des Rochettes, qui forme une partie de la frontière ouest de la commune avec La Prévière. D'autres ruisseaux, coulant en intermittence, peuvent rejoindre la rivière. Celle-ci forme plusieurs étangs au niveau du Domaine du Château du Bois-Geslin, ainsi qu'un plan d'eau devant le bourg, créé par la retenue d'eau de l'ancien moulin. La limite sud de la commune, avec Saint-Michel-et-Chanveaux est délimitée par le ruisseau du Merdereau[2].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Armaleiacus en 1050, Armaleium vers 1330[5].

    Histoire

    Préhistoire

    Aucun site préhistorique ne se trouve sur la commune, cependant, le menhir de Pierre-Frite, le troisième le plus élevé du département[6], se trouve à proximité, à la frontière sud, mais sur le territoire de Saint-Michel-et-Chanveaux.

    Moyen Ă‚ge

    Il est possible qu'à l'emplacement actuel du bourg d'Armaillé se soit tenue une motte féodale puis une résidence seigneuriale, sur la rive droite de la Verzée, où se trouve une cave souterraine. Un des premiers seigneurs du fief fut Hervé d'Armaillé, fils d'Hervé de Martigné, premier seigneur de Pouancé, et frère vassal de Gautier Hai, successeur de leur père à Pouancé[7]. La fondation de l'église date certainement d'avant le XIe siècle. Jean d'Armaillé, bienfaiteur des Dominicains d'Angers, meurt en 1246. Au XVe siècle, la famille d'Armaillé quitte l'ancien château pour s'établir au Bois-Geslin, où ils en font construire un nouveau[8].

    Ancien régime

    En 1576, la famille d'ArmaillĂ© cède le Bois-Geslin Ă  Jacques de la Forest d'ArmaillĂ©[9], qui reprend le titre. Le château et le fief dĂ©pendent toujours de PouancĂ©. Entre 1635 et 1639, une Ă©pidĂ©mie de dysenterie ravage la paroisse, puis une seconde en 1707, qui emporte Jean-Gilles Lallemand, le curĂ©. Durant une autre Ă©pidĂ©mie, en 1781, le curĂ© de la paroisse s'endette de 200 livres pour venir en aide aux malades. Ă€ la fin du XVIIIe siècle, 450 misĂ©reux rĂ©sident dans la commune. Il n'y a pas de chirurgien, ni de vĂ©tĂ©rinaire. La seule industrie de la ville est une tannerie. Les impĂ´ts s'Ă©levaient pour la paroisse Ă  1 217 livres pour les vingtièmes, 1 457 livres pour la taille et 204 livres pour la capitation. Les habitants sont Ă©galement soumis Ă  la gabelle et dĂ©pendent du grenier Ă  sel de PouancĂ©[8].

    RĂ©volution

    La paroisse envoie deux reprĂ©sentants aux États gĂ©nĂ©raux de 1789, le notaire et le tanneur. En 1790, la paroisse est transformĂ©e en commune et intĂ©grĂ©e dans le canton de PouancĂ©. En 1792, le curĂ© d'ArmaillĂ© refuse de prĂŞter serment et s'exile Ă  Jersey suivi de son vicaire. Un curĂ© constitutionnel vient le remplacer, mais ne reste en fonction que deux mois. Son remplaçant abandonne Ă  son tour[8]. La mĂŞme annĂ©e, le 20 mai, une vingtaine d'hommes de la Garde nationale de PouancĂ© arrivent Ă  ArmaillĂ© et arrĂŞtent le maire et une habitante[10]. En 1793, lors de la levĂ©e des 300 000 hommes, des hommes des communes alentour entrent dans le bourg et dĂ©sarment les officiers municipaux et les habitants patriotes[11].

    Époque contemporaine

    La fermeture en[1855 des forges de Tressé, sur la commune de Pouancé, entraine un exode de la population. En 1875, l'ancienne église est détruite pour en construire une nouvelle, de style néogothique. En 1912 sont construits, à la sortie du bourg, la mairie et le groupe scolaire. Lors de la Première Guerre mondiale, Armaillé perd 22 de ses habitants. L'électricité est établie en 1924. La Seconde Guerre mondiale voit la mort de 3 habitants[8].

    Politique et administration

    Armaillé est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 500 habitants, son conseil municipal est constitué de 11 élus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 janvier 1792 Toussaint PĂ©ju
    janvier 1792 décembre 1792 René Raoult arrêté en 1792.
    décembre 1792 1800 François Jallot
    1800 1808 René Deshaies
    1808 1813 François Jallot
    1813 1816 Coué-Dutertre
    1816 1820 Pierre Raoult
    1820 1826 Gendry
    1826 1839 François Jallot
    1839 1841 Bréjouin
    1841 1847 Raimbault
    1847 1851 Rivière
    1851 1863 Prod'homme
    1863 1892 Louis Dutertre
    1892 1900 Alexandre Audiganne
    1900 1904 Joseph Freisnais
    1904 1919 Germain Deneux
    1919 1953 Pierre Adam[Note 1]
    1989 2001 Bernard Thoumin Agriculteur
    mars 2001 mai 2020 Bernard Gaultier[12] DVD Agriculteur
    mai 2020 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Emmanuelle Galisson[13] Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[14]. Le , elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le , la commune rejoint Anjou Bleu Communauté.

    Population et société

    Évolution démographique

    Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population d'Armaillé sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. Entre 1720 et 1726, la paroisse comptait 176 feux, pour 794 habitants[8].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2020, la commune comptait 319 habitants[Note 2], en augmentation de 2,9 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    779515657670810797762736793
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    726731713697736755729650613
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    622611597537507509514475495
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    453403335307297290295298285
    2014 2019 2020 - - - - - -
    310319319------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 164 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 51,74 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    3,6
    75-89 ans
    3,2
    17,6
    60-74 ans
    18,8
    19,4
    45-59 ans
    16,9
    24,8
    30-44 ans
    20,1
    13,3
    15-29 ans
    15,6
    21,2
    0-14 ans
    25,3
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Enseignement

    Seule une école publique dépendant de l'académie de Nantes accueille les enfants de maternelle et primaire. Les collèges se trouvent à Pouancé et les lycées se situent à Châteaubriant ou Segré.

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Armaillé. Les plus proches sont basés à Pouancé, de même que l'hôpital. Les cliniques les plus proches se situent à Châteaubriant, de même que le service maternité.

    Autres Ă©quipements, commerces et tourisme

    La commune dispose pour unique équipement sportif d'un terrain de football, d'une bibliothèque pour équipement culturel et d'une salle de fête d'une capacité de 100 personnes. Un commerce fait office de café-tabac et de dépôt de pain[21]. Pour le tourisme, la commune est affiliée à l'office de tourisme de l'Anjou bleu (office de tourisme de destination). Une chambre d'hôtes et un gîte rural se trouve sur la commune[22]. Armaillé a obtenu une fleur au concours des villes et villages fleuris.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2008, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 15 446 â‚¬, ce qui plaçait ArmaillĂ© au 24 741e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 mĂ©nages en mĂ©tropole[23].

    Emploi, entreprises et commerces

    Selon l'INSEE, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, quatre entreprises dont une dans la construction et trois dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[24].

    Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2015, 51 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[25].

    Agriculture

    On comptait 33 exploitations agricoles en 2000[24]. Le nombre d'exploitations a diminuĂ© entre 1988 et 2000, passant de 37 Ă  33, mais la superficie cultivĂ©e a, elle, augmentĂ© dans cette pĂ©riode, passant de 1 431 hectares (moyenne 39 hectares par exploitation) Ă  1 569 hectares (48 hectares par exploitation). Vingt-six exploitations Ă©levaient des bovins, le nombre de tĂŞte baissant lĂ©gèrement de 2 770 Ă  2 743 entre 1988 et 2000, et vingt-cinq des volailles, dont le nombre baisse Ă©galement de 5 691 Ă  5 111 sur la mĂŞme pĂ©riode[24].

    Appellations sur le territoire

    La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[26]:

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Armaillé comporte plusieurs monuments à découvrir :

    • Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
      Église Saint-Pierre-Saint-Paul.
    • Ex-voto du lavoir.
      Ex-voto du lavoir.
    • Ancienne minoterie.
      Ancienne minoterie.
    • Le prieurĂ© de la Primaudière est un ancien prieurĂ© fondĂ© en 1207 par accord entre le seigneur de PouancĂ©, Guillaume de La Guerche, et Geoffroy, seigneur de Châteaubriant. L'ordre de Grandmont s'y Ă©tablit. Le prieurĂ© a pour particularitĂ© d'ĂŞtre Ă©tabli au-dessus de la Nymphe, le cours d'eau sĂ©parant l'Anjou de la Bretagne. Vendu comme bien national sous la RĂ©volution française, la nef de la chapelle est convertie en verrerie, puis en Ă©table. Actuellement, la nef a Ă©tĂ© restaurĂ©e et est accessible au public, tandis que les anciens communs sont propriĂ©tĂ© d'un privĂ©. Seule la nef de l'Ă©difice et une moitiĂ© des communs se trouvent sur la commune d'ArmaillĂ©, le reste faisant partie de JuignĂ©-des-Moutiers[F 1].
    • Le château du Bois-GĂ©lin est une demeure du XVIe siècle, qui devient la maison seigneuriale de la famille d'ArmaillĂ©. Il sera vendu plus tard Ă  Jacques de la Forest et appartiendra au XXe siècle Ă  Louis de Broglie. Le château s'articule autour d'un logis flanquĂ© de deux pavillons Ă  pignon pointus au nord, eux-mĂŞmes flanquĂ©es d'une tourelle. Les douves sont encore prĂ©sentes[F 1].
    • Le lavoir d'ArmaillĂ© datant du XIXe siècle possède encore un ex-voto scellĂ© dans la maçonnerie. Originellement placĂ© sur un acacia avec une Vierge, la niche conserve l'inscription « JĂ©sus, Maria, 1756. Prions les. Cette croix et cette Vierge ont Ă©tĂ© donnĂ©es par un homme qui a failli se noyer et les a fait faire en 1767. »[F 2].
    • L'ancienne minoterie, installĂ©e sur la VerzĂ©e, a Ă©tĂ© construite vers 1863. En 1869, la cheminĂ©e en brique est construite. Originellement haute de 28 mètres, elle a Ă©tĂ© depuis tronquĂ©e de la moitiĂ© de sa hauteur[F 2].
    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Saint-Paul remonte Ă  1875, payĂ©e par une souscription publique, par la commune, la fabrique et l'État. Le monument est de style nĂ©ogothique, avec un nef formĂ©e de voĂ»tes en ogives surbaissĂ©es donnant sur un transept et un chĹ“ur. Dans un bras du transept se trouve un autel dĂ©diĂ© Ă  sainte Apolline. Plusieurs statues se trouvent dans le transept ou le chĹ“ur. Lors du rĂ©amĂ©nagement de l'Ă©difice en 1928, la dalle funĂ©raire de François de la Forest d'ArmaillĂ©, datĂ© de 1662 est descellĂ©e pour ĂŞtre placĂ©e Ă  l'entrĂ©e de l'Ă©glise. Lors de ce dĂ©placement, deux cĹ“urs en fer, reliĂ© par une tige, ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s. Ces cĹ“urs sont ceux de François et de son Ă©pouse Françoise Le Chat (fille de Pierre Le Chat et de Marie Ayrault). Ils sont aujourd'hui exposĂ©es dans un oculus vitrĂ©, dans l'Ă©glise[F 2] - [8].

    Personnalités liées à la commune

    Norbert Esnault (1928-2016), coureur cycliste.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (Ă©dition rĂ©visĂ©e par Jacques Levron et Pierre d'HerbĂ©court), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 180-181.
    • Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et RĂ©my Toulouse, Le Patrimoine des communes de Maine-et-Loire, .
    1. p. 1017.
    2. p. 1018.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Son nom a été donné à un parc de la commune, le Jardin Pierre Adam.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 164.
    2. « Armaillé », sur geoportail.fr (consulté le ).
    3. Douceur angevine sur Anjou tourisme.
    4. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 4 mars 2011.
    5. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 22.
    6. Bernard M. Henry, L'Anjou Préhistorique et Archéologique : Quatre mille ans d’histoire, G. H. Rossard (Librairie Sainte-Croix), Angers, 1975, p. 46.
    7. Peuplement, pouvoir et paysage sur la marche Anjou-Bretagne, Jean-Claude Meuret ; Société d'archéologie et d'histoire de la Mayenne, 1993, p. 359.
    8. CĂ©lestin Port 1965, p. 180-181.
    9. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, 2007, page 112.
    10. André Neau, Sur les chemins de l'Histoire, en Pays Pouancéen, Pouancé, 2010, p. 217.
    11. Sur les chemins de l'Histoire, en Pays Pouancéen, Pouancé, p. 222.
    12. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    13. « Maine-et-Loire. Emmanuelle Galisson, première femme maire d’Armaillé », sur Ouest-France, (consulté le ).
    14. « Communauté de Communes de la région de Pouancé-Combrée », sur cc-pouance-combree.fr (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Armaillé (49010) », (consulté le ).
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    21. « Armaillé », sur Communauté de Communes de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
    22. « Hébergement », sur tourismepouanceen.wifeo.com (consulté le ).
    23. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. Armaillé sur le site de l'Insee.
    25. « Commune d’Armaillé (49010) », sur Insee, .
    26. Armaillé sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.