Arbérats-Sillègue
Arbérats-Sillègue [aʁbeʁats silɛɡ] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Arbérats-Sillègue | |||||
Le fronton d'Arbérats. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Sauveur Bacho 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64034 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arberaztar | ||||
Population municipale |
317 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 20′ 33″ nord, 0° 59′ 41″ ouest | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 153 m |
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Superficie | 5,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Palais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Arbérats-Sillègue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 83 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 79 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 5 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1]
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Béhasque-Lapiste (2,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (2,3 km), Domezain-Berraute (3,0 km), Arbouet-Sussaute (3,2 km), Saint-Palais (3,4 km), Amendeuix-Oneix (4,1 km), Gabat (4,5 km), Garris (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Arbérats-Sillègue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8] - [9]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par Eiheraxaharreko erreka, Errekaldeko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[11] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[17] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[18] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 45 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[21], à 14,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[25], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[26] - [Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Arbérats-Sillègue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [27] - [28] - [29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30] - [31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (69,3 %), terres arables (22,7 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (1,5 %), prairies (0,5 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
Arbérats-Sillègue est desservie par les routes départementales D 933 et D 134.
Lieux-dits et hameaux
- Aguerre[10]
- Aitciria[10] - [33]
- Amandania[10]
- Apezetchia[10]
- Arbérats
- Beheitia[10] - [33]
- Bentaberria[10]
- Bidegorria[10]
- Bilhagnia[10]
- Bitenia[10]
- Brigni[10]
- Chibits[10]
- Chiloa[10]
- Chunta[10]
- Elhorriburia[10]
- Etcheparia[10]
- Idiartia[10]
- Iratzia[10] - [33]
- Irunia[10]
- Jemai[10]
- Mendiburia[10]
- Michicourt[10]
- Mignaburia[10]
- Osquilia[10]
- Oxarrainia[10]
- Oxarrainia Etchartia[10]
- Oyhanto[10]
- Peritcho[10]
- Salanbeheria[10]
- Sillègue
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Arbérats-Sillègue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Arbérats-Sillègue est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[36]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37] - [38].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[34].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Arbérats apparaît sous les formes Arberas (1125[41]), Arberatz (1150[41]), Sanctus Laurentius de Arberaz (1160[41]), Arberas (XIIIe siècle[33], collection Duchesne volume CXIV[42]), Arberaz (1350[41]), Arberatz (1413[41] et 1487[33], contrats d'Ohix[43] pour cette dernière mention), Arberaz (1513[33], titres de Pampelune[44]) Arberatz (1975[33], ouvrage de Philippe Veyrin[45]), Arbezats (1793[46], ou an II) et Arberats (1801[46], Bulletin des lois).
Jean-Baptiste Orpustan[41] mentionne deux origines possibles au toponyme Arbérats, provenant toutes deux du basque, soit ar(r)-bera (ou beratz) signifiant ’fragile’ ou ’friable', ou le mot composé arbel, désignant une ’pierre noire’ ('ardoise’). Brigitte Jobbé-Duval[47] interprète également Arbérats par lieu rocheux d’ardoises.
Le toponyme Sillègue apparaît sous les formes Sanctus Petrus de Silegue (1160[41]), Sileugue (1316[41]), Silegoe (1350[41]), Silleugue (1413[41]), Silegoe (1472[33], notaires de Labastide-Villefranche[48]), Silengoa (1513[33], titres de Pampelune[44]), Sillègue-les-Domezain (1734[33], règlement de la cour de Licharre) et Sillegue (1793[49] et 1801[49], Bulletin des lois).
Pour Jean-Batiste Orpustan[41], le toponyme Sillègue est un composé du mot basque zil(h)o, qui signifie ’trou’, ’dépression du terrain’ et d’un deuxième élément, leku, ’lieu’.
Autres toponymes
Aitciria est une ferme de la commune mentionnée sous les graphies Ayciri de Arberatz en 1487 (contrats d'Ohix[43]) et Aïtciry (1863[33], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Beheitia, hameau de la commune, apparaît sous la forme Béhéity dans le dictionnaire de 1863[33].
Le même dictionnaire mentionne un fief du nom de Charritte, vassal du royaume de Navarre[33].
Iratzia, sous la forme Iratce (1863[33], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque), était un fief présent à Sillègues, vassal du royaume de Navarre.
Graphie basque
Son nom basque actuel est Arberatze-Zilhekoa[50].
Au XIXe siècle, Paul Raymond indique pour Sillègue la forme Silhecoa[33].
Histoire
La commune actuelle a été créée le [51] par la réunion des communes d' Arbérats et de Sillègue.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat Elgarrekin Ikas[52].
Population et société
Démographie
Le nom des habitants est Arberaztar[47] - [50].
En 1350, 13 feux sont signalés à Arbérats et 6 à Sillègue[53].
Le recensement[54] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[55] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[56], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arbérats la présence de 7 feux, le second de 26 (24 + 2 feux secondaires). De même pour Sillègue, le recensement de 1412 relève 5 feux et celui de 1551 22 (20 + 2 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[57] dénombre 40 feux à Arbérats et 20 à Sillègues.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[59].
En 2020, la commune comptait 317 habitants[Note 11], en augmentation de 12,81 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arbérats, encore séparé de Sillègue, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[49].
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[61].
Manifestations culturelles et festivités
Située au centre du bourg, la commune s'est équipé d'une salle des fêtes. À l'origine du bâtiment, une ancienne école totalement rénovée.
Sports et loisirs
Seulement doté d'un mur à gauche, Arbérats-Sillègue a inauguré en 2007 un nouveau fronton ainsi que des sanitaires et un terrain de pétanque. Un terrain de football a également vu le jour sur ce même complexe.
Puits datant de l'époque romaine reconverti en base de loisirs.
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Au sein de la commune se trouve également une usine de voestalpine, l'un des grands industriels européens de l'acier, sous le nom de Matériel Ferroviaire d'Arbérats. L'usine avait d'abord été construite par le basque de Laudio JEZ, avant de passer sous le giron de voestalpine[62].
Culture locale et patrimoine
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Arbérats-Sillègue est le bas-navarrais oriental.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Laurent[63], à Arbérats, date de 1615. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2006. L'église est dédiée à saint Laurent de Rome.
- Chapelle Saint-Pierre de Sillègue. La chapelle est dédiée à l'apôtre saint Pierre.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à dix coquilles d'argent rangées en pal 3, 4 et 3[64]. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur www.geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arbérats-Sillègue », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
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- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, BNF 34554156), page 16
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sillègue », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- - Académie de la langue basque
- Ordonnance du 14 avril 1841 (Bulletin des lois de la République française).
- Comersis, « Liste des groupements d'Arbérats-Sillègue ».
- Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 2 909262 05 7), page 77
- Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
- Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
- Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Arb%C3%A9rats-Sill%C3%A8gue%20%2864%29}}.
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- Guy Ascarat