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Albefeuille-Lagarde

Albefeuille-Lagarde est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Albefeuille-Lagarde
Albefeuille-Lagarde
Mairie d'Albefeuille-Lagarde.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Grand Montauban
Maire
Mandat
Francis Massimino
2020-2026
Code postal 82290
Code commune 82001
DĂ©mographie
Population
municipale
614 hab. (2020 en diminution de 0,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 76 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 04â€Č 02″ nord, 1° 16â€Č 42″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 102 m
Superficie 8,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montech
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Albefeuille-Lagarde
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Albefeuille-Lagarde
GĂ©olocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
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Albefeuille-Lagarde
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Albefeuille-Lagarde

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Tarn, le ruisseau de Payrol, le ruisseau de Gaillardie, le ruisseau de Laffitte et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Albefeuille-Lagarde est une commune rurale qui compte 614 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelĂ©s les Algardois ou Algardoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune située dans l'aire d'attraction de Montauban.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Barry-d'Islemade, La Ville-Dieu-du-Temple, Montauban, Montbeton et Villemade.

    Communes limitrophes d’Albefeuille-Lagarde[1]
    Barry-d'Islemade Villemade
    La Ville-Dieu-du-Temple Albefeuille-Lagarde Montauban
    Montbeton

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Albefeuille-Lagarde.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainĂ©e par le Tarn, le ruisseau de Payrol, le ruisseau de Gaillardie, le ruisseau de Laffitte, un bras du Tarn, le ruisseau de l'Espigade et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[3] - [4].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont LozĂšre et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Saint-Nicolas-de-la-Grave, aprĂšs avoir traversĂ© 98 communes[5].

    Le ruisseau de Payrol, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune de Montbeton et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn Ă  Barry-d'Islemade, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est, en 2010, qualifiĂ© de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010 qui compte huit types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique plus ou moins altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 738 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[10]. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[11], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 711,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12] - [13].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[16].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[18], d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[19].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[20] : la « basse vallĂ©e du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Albefeuille-Lagarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [I 1] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (98,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (54 %), terres arables (32,5 %), cultures permanentes (5,7 %), zones urbanisĂ©es (4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 25 du réseau TM Transports Montalbanais.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Albefeuille-Lagarde est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Montauban-Moissac, regroupant 15 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement du Tarn, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[27]. La crue historique de mars 1930 a provoquĂ© des dĂ©gĂąts considĂ©rables. Le sinistre a fait 210 morts et prĂšs de 10 000 sinistrĂ©s. 120 morts ont Ă©tĂ© recensĂ©s pour la seule ville de Moissac aprĂšs la rupture des digues et 2 769 maisons ont Ă©tĂ© dĂ©truites en Tarn-et-Garonne. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[28]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2003 et 2013[29] - [25].

    Albefeuille-Lagarde est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Le dĂ©partement de Tarn-et-Garonne prĂ©sentant toutefois globalement un niveau d’alĂ©a moyen Ă  faible trĂšs localisĂ©, aucun Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les risques d’incendie de forĂȘt (PFCIF) n'a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©. Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albefeuille-Lagarde.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (92 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 271 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 271 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 96 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1998, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[34].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Pareloup, un ouvrage de classe A[Note 9] dans l'Aveyron sur les riviĂšres Aveyron et Viaur, disposant d'une retenue de 169 millions de mĂštres cubes[36]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[37].

    Toponymie

    En catalan Albaful. Mentionné au XIIe siÚcle comme Alba folia.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1954 Fernand Carla
    1954 1959 André Larroque
    1959 1983 Yvan Garrigues MRG
    1983 1995 Jean Carla PS
    1995 2001 Joel Garrigues
    2001 2020 Marc Bourdoncle
    2020 En cours Francis Massimino
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 614 habitants[Note 10], en diminution de 0,49 % par rapport Ă  2014 (Tarn-et-Garonne : +3,86 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    764616768797776743731706693
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    683700673648631611562538525
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    518513465416454415460493527
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    505549578601632644631616628
    2020 - - - - - - - -
    614--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 252 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 597 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 340 â‚Ź[I 4] (20 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]8,5 %7 %10,3 %
    DĂ©partement[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  391 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (64 % ayant un emploi et 10,3 % de chĂŽmeurs) et 25,8 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 100 emplois en 2018, contre 102 en 2013 et 108 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 251, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 10].

    Sur ces 251 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    44 établissements[Note 13] sont implantés à Albefeuille-Lagarde au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble44
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    511,4 %(9,6 %)
    Construction1431,8 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    613,6 %(29,7 %)
    Activités financiÚres et d'assurance12,3 %(3,4 %)
    Activités immobiliÚres36,8 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    511,4 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    818,2 %(13,6 %)
    Autres activités de services24,5 %(9,3 %)

    Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 31,8 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (14 sur les 44 entreprises implantĂ©es Ă  Albefeuille-Lagarde), contre 14,9 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

    • Duburc, boulangerie et boulangerie-pĂątisserie (106 k€)
    • Mp2C Energies, travaux d'installation d'Ă©quipements thermiques et de climatisation (77 k€)
    • Les Saveurs D'aubin, restauration traditionnelle (64 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations39312718
    SAU[Note 16] (ha)805767846546

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  31 en 2000 puis Ă  27 en 2010[45] et enfin Ă  18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[46] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 805 ha en 1988 Ă  546 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 21 Ă  30 ha[45].

    Culture

    Sports

    L'US Montauban Cyclisme 82 organise chaque année au mois d'octobre un Grand Prix Cycliste de clÎture de la saison pour les catégories jeunes (minimes, benjamins, poussins).
    Ulm Midi-PyrĂ©nĂ©es, le plus grand club ULM en Tarn-et-Garonne. École de pilotage ULM paramoteur, pendulaire, multiaxe et autogire, baptĂȘme de l'air et vol d'initiation.
    Olivier Marty, né le 29/06/1969 à Montauban, a obtenu le titre de champion du Monde ULM 2012 par équipes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens de Lagarde.

    Il y a deux Ă©glises sur cette commune : l'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-liens au lieu-dit Lagarde au centre du village et l'Ă©glise dite du Tap au lieu-dit Albefeuille.

    L'église de Lagarde a été reconstruite aprÚs 1930, la précédente ayant été détruite par les inondations qui dévastÚrent ce village cette année-là. Celle d'Albefeuille brûlée en 1561 fut également reconstruite au XVIIe siÚcle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[17].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[35].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    Site de l'Insee

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    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
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    Autres sources

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    6. Sandre, « le Ruisseau de Payrol »
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