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Adoucissement de l'eau

L'adoucissement de l'eau est un procédé de traitement initialement destiné à réduire la dureté de l'eau (due à la présence de sels de métaux alcalino-terreux : carbonates, sulfates et chlorures de calcium et de magnésium).

Adoucisseur d'eau et tuyauterie associée

Cette opération entre parfois dans le cadre de l'épuration physico-chimique de l'eau où elle peut accompagner d’autres modalités de traitement de l'eau (filtration, désinfection, dénitrification, élimination des pesticides) en vue de sa distribution comme eau potable ou pour des usages techniques nécessitant une eau déminéralisée.

D'autres techniques de traitement de l'eau existent actuellement sur le marché, comme par exemple les décalcarisateurs avec injection de CO2 permettant de maintenir le carbonate de calcium en solution sous forme de bicarbonate de calcium et d'empêcher ainsi sa précipitation. L'eau ainsi traitée est sous-saturée vis-à-vis de CaCO3 (indice de saturation < 0) et donc agressive, permettant même la dissolution de dépôts de calcaire existants.

Des appareils adoucisseurs "magnétiques" et des adoucisseurs émettant des "fréquences micro-ondes" sont disponibles dans le commerce depuis longtemps mais leur efficacité n'est pas démontrée. Le principe de fonctionnement physico-chimique de ces appareils n'est pas compris et ils sont sujets à controverses. La décalcarisation supposée obtenue par ces appareils ne repose pas sur une diminution du titre hydrotimétrique (TH) lui-même mais permettrait de lutter contre ses désagréments.

Mesure de la dureté de l'eau

La dureté de l'eau ou titre hydrotimétrique (TH) s'exprime en degrés français (°f) ou en ppm, et mesure la quantité de carbonates de calcium et de magnésium en solution dans l'eau. Il ne faut pas la confondre avec le pH qui est le potentiel hydrogène qui mesure l’acidité ou la basicité d'un liquide. La dureté de l'eau varie d'une ville à l'autre selon les points de captage pour la production d'eau potable.

L'eau est dite « douce » en dessous de 15 Â°f et « dure » ou « chargĂ©e » au-delĂ  de 25 Â°f (voir la plage de valeurs du titre hydrotimĂ©trique).

Les normes NF proposaient un rĂ©glage entre 12 Â°f et 15 Â°f en TH rĂ©siduel. Aujourd'hui les normes CE n'imposent aucun rĂ©glage. Les professionnels de l'adoucissement recommandent un rĂ©glage entre °f et 10 Â°f . Il est par ailleurs dĂ©conseillĂ© (pour l'usage domestique) de descendre Ă  °f, bien que dans certaines rĂ©gions, comme le Massif central, l'eau soit naturellement très douce (avoisinant °f). L'eau adoucie n'est pas une eau naturellement douce.

Enjeux, intérêt et limites

Les eaux modérément calcaires, à la différence d'autres eaux très minéralisées, ne sont pas toxiques, mais elles posent des problèmes de biofilms, de colmatage de conduites d'eau, tuyauteries et matériels domestiques (chaudières, machines à laver, fers à repasser, etc.) et lavent un peu moins bien les textiles (car moussant moins).

Une eau trop déminéralisée peut inversement poser des problèmes toxicologiques et écotoxiques induits par la solubilisation de métaux toxiques (par exemple en présence de tuyauteries anciennes en plomb ou de soudures contenant du plomb source de saturnisme) et de corrosion accélérée de certains tuyaux ou contenants[1].

La présence dans l'eau de certains adjuvants (même à faibles doses) peut inhiber certains procédés d'épuration physico-chimiques de traitement et d'épuration d'eaux, dont la décarbonatation (pour le cas d'adjuvants lessiviels par exemple)[2].

Une légende persistante est véhiculée, principalement par les installateurs, indiquant que la consommation d'eau potable calcaire, également appelée eau dure, serait nocive pour la santé. Cette affirmation est fausse comme le démontrent les recherches du CNRS qui indiquent que, pour une personne en bonne santé, la consommation de ce type d'eau potable est sans danger[1].

En mars 2017, le laboratoire cantonal de Thurgovie (Suisse) a examiné 23 systèmes d’adoucisseurs à sodium choisis au hasard dans des maisons privées et des écoles. L’eau potable a été étudiée pour sa pureté bactériologique et sa composition chimique avant et après l’adoucisseur à sel. Pour 87 % des adoucisseurs (20 sur 23), le nombre détectable de micro-organismes (bactéries et champignons) dans l’eau potable a au moins doublé ! Et dans le cas de six adoucisseurs (26 %), la valeur maximale légale de germes dans l’eau potable a même été dépassée de 3 à 600 fois ! 90 % des adoucisseurs étaient également mal réglés, avec une dureté résiduelle à moins de 15 °fH, la moitié étant même en dessous de 7 °fH avec alors un risque de corrosion des canalisations et des appareils ménagers[3].

Procédés de traitement domestique

Un adoucisseur d'eau est un appareil de confort, car non necessaire, qui réduit la dureté de l'eau en remplaçant les ions calcium et magnésium par des ions sodium[4].

Comparaison de systèmes d'adoucissement de l'eau[5] - [6]
Procédé Efficacité Prix (€) Coût d'usage
Résine Très bonne[5] 1 000 à 2 500 200 à 400 € / an
Cristallisation (par granulés) Très bonne[5] 395 175 €/3 ans
CO2 Très bonne[5] - [6] 1 892 à 2000 50 à 100 € / 100 m3
Polyphosphates Très bonne[5] 92 à 140 11 € / 6 mois
Électrolyse par anode de titane Moyenne[6] 2000 Électricité + entretien par spécialiste
Galvanique par anode de zinc Mauvaise[6] 700 à 1000 Remplacement total après usure
Magnétique Très mauvaise[5] - [6] 129 à 4000 Aucun
Électromagnétique Très mauvaise[5] 484 6,57 kWh / an

Adoucisseur à résine

Adoucisseur pour une villa familiale
Emplacement pour le sel régénérant de l'adoucisseur d'eau d'un lave-vaisselle, à gauche en blanc, avec l'inscription "Salt" dessus.
Jeu de trois robinets Ă  la cuisine la villa Cavrois de Croix : eau chaude, eau adoucie, eau froide.

Un adoucisseur Ă  rĂ©sine, technique traditionnelle, fonctionne grâce Ă  des billes de rĂ©sine sur lesquelles sont fixĂ©s des ions sodium (Na+). Les ions calcium (Ca2+) de l'eau dure sont Ă©changĂ©s lors de leur passage sur la rĂ©sine par les ions sodium. Lorsque tous les ions Na+ de la rĂ©sine sont consommĂ©s, il faut rĂ©gĂ©nĂ©rer l'adoucisseur. On lui apporte alors une solution saturĂ©e en sel (chlorure de sodium NaCl) dit rĂ©gĂ©nĂ©rant, riche en ions Na+. De leur cĂ´tĂ©, les ions Ca2+ sont Ă©vacuĂ©s Ă  l'Ă©gout avec les eaux de rinçage. Si l'appareil est correctement rĂ©glĂ©, il est ajoutĂ© 4,6 mg/L de sodium pour °f de duretĂ© enlevĂ©. En sortie d'appareil, un rĂ©gulateur de duretĂ© va permettre le bon rĂ©Ă©quilibrage du taux de calcaire. Certains modèles utilisent une alimentation Ă©lectrique, d'autres utilisent la dynamique de l'eau pour entrainer les rouages dentĂ©s prĂ©sents dans les deux modèles. Il faut prĂ©voir l'apport rĂ©gulier de sacs ou de blocs de sel rĂ©gĂ©nĂ©rant pour alimenter ces appareils. Les sacs de sel, vendus gĂ©nĂ©ralement par 25 kg, ont l'avantage d'ĂŞtre plus Ă©conomiques que les blocs et pas exclusifs au fabricant de l'appareil. Les blocs sont gĂ©nĂ©ralement exclusifs Ă  une marque et ont un coĂ»t plus Ă©levĂ© pour un traitement Ă©quivalent. C'est ce système qui est en usage dans les lave-vaisselles courants.

La déminéralisation sur échangeur d'ions, qui peut se faire en plusieurs phases et qui est aussi utilisée pour divers types d'épuration d'eaux industrielles[7] - [8].

Ă€ chaque Ă©tape du processus, de l'eau est rejetĂ©e Ă  l'Ă©gout, environ 10 % de l'eau consommĂ©e pour certains appareils, 8 Ă  9 % pour d'autres ce qui entraĂ®ne une consommation supplĂ©mentaire. Les adoucisseurs « nouvelle gĂ©nĂ©ration Â» sont plus Ă©conomes en eau rejetĂ©e (2,8 %) comme les adoucisseurs sans Ă©lectricitĂ© Ă  rĂ©gĂ©nĂ©ration instantanĂ©e.

L'entretien chaque année, par désinfection, de ces appareils est très important pour éviter les risques réels de prolifération des bactéries[9]. L'entretien permet également d'entretenir et vérifier le bon fonctionnement des rouages dentés. En effet un blocage du mécanisme peut provoquer un mauvais traitement de l'eau (qui peut entrainer une augmentation du taux de calcaire dans l'eau ou une augmentation du taux de sodium dans l'eau), ou une perte d'eau si le système est bloqué en mode régénération des résines.

Un filtre est également très conseillé avant l'adoucisseur qui lui aussi devra être entretenu. Le filtre limite le dépôt des sédiments dans les résines de l'appareil.


Effet du sodium sur la santé

L'adoucissement de l'eau par un adoucisseur à résine augmente la teneur en sodium de l'eau. Certains estiment que cette augmentation de la teneur en sodium n'est pas à considérer comme suffisante pour empêcher la consommation de l'eau adoucie[10]. Toutefois, l'OMS veut réduire de 30 % la consommation de sel de la population mondiale avant 2025, et l'augmentation de la quantité consommée est jugée néfaste pour la santé, en particulier pour le système cardio-vasculaire[11]. Certains installateurs conçoivent un circuit d'eau indépendant de l'adoucisseur pour l'eau potable à boire pour pallier cet inconvénient.

Il faut enfin noter que la norme européenne impose un taux de sodium dans l'eau potable inférieur à 200 mg/L[12]. Des tests doivent donc être effectués après la mise en place d'un adoucisseur pour valider son réglage et que le taux de sodium ne dépasse pas cette limite.Ce taux de sodium est à mettre en face des taux que l'on peut rencontrer dans les eaux en bouteille, par exemple :

Eaux minéralesProportion de sodium (mg/l)
Spa 3[13]
La Salvetat 5[14]
Vittel 5,2[15]
Évian 6,5[16]
Contrex 9,4[15]
Perrier 9,5[15]
Volvic 12[17]
HĂ©par 14,2[15]
S. Pellegrino 33,3[15]
Quézac 110[18]
Badoit 180[19]
Vichy CĂ©lestins 1 172[20]
Saint-Yorre 1 708[21]

Il conviendra donc de vérifier le taux de sodium mesuré par les analyses et de décider en conséquence si l'on souhaite ou peut, en fonction de sa santé, boire l'eau en sortie d'un adoucisseur.

Adoucisseur par filtration et par cristallisation

Un adoucisseur sans sel par filtration et cristallisation fonctionne sans ajout de produit dans l'eau. Ce procédé permet de transformer le calcium du stade de calcite en aragonite, par un passage de l'eau sous pression dans de la roche volcanique et du charbon actif. Ce procédé permet d'effectuer un dégazage de l'eau en enlevant le CO2[22], qui est l'élément nécessaire à la formation du tartre. L'aragonite est composée de cristaux de carbonate de calcium de forme géométrique régulière (aiguilles par exemple), avec un faible pouvoir d'accrochage. Ce principe agit donc sur la forme géométrique de cristallisation et assure une moindre adhérence. En effet les éléments de calcite transformés en aragonite s'enchevêtrent et forment un bloc plus volumineux[23].

C'est pourquoi les canalisations et équipements électroménagers n'ont plus de problème de tartre. L'aragonite est sous une forme de calcaire assimilable par l'homme . Ce procédé, dit d'adoucissement doux, permet de ne pas dénaturer l'eau, sans ajout de composé chimique et permet d'obtenir une eau excellente à boire, débarrassée des mauvais goûts.

Les circuits d'eau chaude munis de ces appareils vont renfermer les blocs d'aragonite qui, entraînée dans le circuit de distribution d'eau, aura tendance à se déposer dans les réchauffeurs d'eau et les points bas de l'installation. À ces emplacements est souvent prévu un purgeur pour assurer l'enlèvement des blocs, appelés aussi boues calcaires. La fréquence des interventions de nettoyage (purge) dépend de la dureté de l'eau traitée[23] et du volume d'eau utilisée.

Ce système ne nécessite ni électricité ni CO2 pour fonctionner, et ne rejette pas d'eau comme les adoucisseurs à sel. Il est tout de même nécessaire de changer l'ensemble du filtre composé de roche volcanique et du charbon actif régulièrement pour assurer une transformation suffisante et éviter une contamination de l'eau par les sédiments déposés dans le filtre[24]. L'efficacité du filtre et donc du traitement est difficile à mesurer. La mesure d'efficacité doit se faire par un laboratoire d'analyse d'eau.

Adoucisseur au CO2

Un adoucisseur au CO2 est un appareil qui injecte du dioxyde de carbone dans l'eau de façon proportionnelle au débit. Ce CO2 va entrer en réaction avec l'eau et le calcaire, donc les carbonates de calcium et magnésium, en transformant ceux-ci en bicarbonates de calcium et magnésium, solubles dans l'eau[25] - [5], tout ceci sans déminéraliser l'eau. Bien réglé, tous les carbonates, et donc le calcaire, sont transformés. Il n'y a donc plus de calcaire dans l'eau et tous les minéraux sont conservés. L'eau devient totalement douce, respecte la peau, la santé et les installations. Le dosage du CO2 permet de régler avec précision le pH de l'eau en le rendant plus neutre (7,0)[26].

À la différence du système à résine ou à filtre, l'eau ne stagne pas (donc moindre risque bactériologique) et ne contient pas de sodium (composant du sel), généralement mauvais pour la santé et corrosif.

Ce système ne nĂ©cessite pas de rĂ©gĂ©nĂ©ration et ne provoque ni rejet ni surconsommation. Une alimentation Ă©lectrique est nĂ©cessaire pour le fonctionnement. Il faut prĂ©voir le remplacement de la bouteille de CO2 pour un volume de 100 m3 d'eau traitĂ©. Une famille de quatre personnes consomme en moyenne 150 m3[27] d'eau par an. Les minĂ©raux sous forme de bicarbonates sont nĂ©cessaires aux diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de notre corps et qui garantissent l'Ă©quilibre de notre organisme[28] ce qui n'est pas le cas des carbonates, ne s'incrustent pas et ne se transforment pas en tartre.

DĂ©carbonatation de l'eau

Unité de décarbonatation par électrolyse du Blagour du Soulier (Chasteaux, Corrèze).

C'est l'une des formes d'adoucissement de l'eau (et la plus commune). Elle vise Ă  rendre l’eau moins calcaire en y prĂ©levant les carbonates. Cette opĂ©ration peut se faire en amont (« adoucissement centralisĂ© Â»[29] au niveau de l'usine de potabilisation ou dans l'unitĂ© de pompage, prĂ©-traitement et distribution) ou en aval (chez le consommateur).

Adoucisseur Ă  polyphosphates

L'adoucisseur à polyphosphates contient des cristaux de polyphosphates dans une cartouche. Ces derniers vont se fixer sur le calcaire et diminuer ainsi sa capacité à se fixer dans les canalisations[5]. Le calcaire neutralisé par le polyphosphate n’interagit plus avec la lessive.

L’adoucisseur d'eau au polyphosphate n'enlevant pas le calcaire de l'eau, ce dernier se dépose toujours sur les parois de douches et sur la robinetterie.

Adoucisseurs magnétiques et électromagnétiques

Les adoucisseurs magnétiques et électromagnétiques reposent respectivement sur la formation d'un champ magnétique et sur l'émission d'ondes électromagnétiques de très faible intensité[5]. Leur efficacité est très mauvaise[5]. Certains systèmes électromagnétiques peuvent rendre l'eau douce par micronisation des composants calcaires en aragonite, phase non incrustante de la calcite. Ils peuvent modifier les ions fer en inhibant la corrosion des métaux. Pouvant même détartrer les tuyauteries et équipements, les émissions électromagnétiques se propagent dans l'eau et peuvent parcourir de longues distances. Sur le réseau d'eau potable, une commune espagnole équipée d'un appareil électromagnétique anti-calcaire a pu faire tester le signal électromagnétique ayant pu atteindre jusqu'à dix-sept kilomètres. Certains appareils peuvent réduire considérablement le risque microbiologique présent dans les canalisations et conduites d'eau par suppression des biofilms avec diverses explications, micro-peroxydation de l'eau, moins d'affinités dans le milieu pour le biofilm, tuyauterie moins calcaire présentant moins d'habitats ou de cache pour leur développement cellulaire permettant de les arracher du milieu par simple débit de l'eau[30].

Notes et références

  1. « Eau potable : eau dure eau douce », sur cnrs.fr (consulté le ).
  2. AS Peisajovich, Étude de l'influence d'adjuvants lessiviels sur quelques procédés physico-chimiques de traitement et d'épuration d'eaux, 1993, sur cat.inist.fr (Notice Inist-CNRS)
  3. Benoît Saint Girons, La qualité de l'eau, Paris, Médicis, , 218 p. (ISBN 978-2-85327-695-5), p.128
  4. Placer un adoucisseur d'eau n'est pas toujours judicieux
  5. « Adoucisseurs d’eau », Test-Achats,‎
  6. « Systèmes anti-calcaire sans sel », Test-Achats,‎
  7. Barraque, C. et Nicol, R. (1983), Déminéralisation sur échangeur d'ions de jus de deuxième décarbonatation et traitement poussé des eaux résiduaires produites, Industries alimentaires et agricoles, 100(11), 853-857 (résumé).
  8. Sauvignet, P. et Gaïd, K. (2013), Actiflo Softening : la combinaison optimale de la clarification à grande vitesse et de la décarbonatation, L'Eau, l'industrie, les nuisances, (359), 75-80.
  9. Aquawal et RĂ©gion Wallonne, Quelques conseils pour l'utilisation optimale de votre adoucisseur d'eau, Namur, Belgique, Pierre Boulvy (lire en ligne), p. 4, « Faites entretenir l’appareil au moins une fois par an Â»
  10. Mayo Clinic, Water softeners and sodium, 18 janvier 2000
  11. Lenntech
  12. « Spa Reine – Produits », sur spa.be (consulté le )
  13. composition,
  14. composition,
  15. composition,
  16. composition,
  17. composition,
  18. composition,
  19. composition,
  20. composition,
  21. Jean Rodier, Bernard Legube et Nicole Merlet, L'analyse de l'eau, Dunod, , 10e Ă©d., 1600 p. (ISBN 9782100756780), p. 101
  22. Pierre Antoine et Jean Sarrot-Reynauld, Procédés physiques de détartrage - Aspect minéralogique, , 218 p. (lire en ligne [PDF]), « Conclusions »
  23. A. Hodiaumont, J. Meheus, P. Peeters et R. Savoir, Le traitement d'eau domestique, Belgaqua, , 16 p. (lire en ligne [PDF]), p. 8, 9
  24. (en) Peter W. Hart, Gary W. Colson et Jeffery Burris, « Application of carbon dioxide to reduce water side lime scale in heat exchangers », J-FOR Journal of Science & Technology for Forest Products and Processes, vol. 1, no 2,‎ , p. 68 (colonne 2 ligne 1)
  25. (en) Scholze, R.J., Prakash, M.T., Rainwater, K. et Harwood, J., « Application of Carbon Dioxide Treatment to Manage Scale in a Building Potable Water System », USA-CERL Technical Report,‎
  26. « La consommation moyenne en eau d’un foyer », sur habitat.fr, m-habitat.fr, (consulté le ).
  27. Nicolas Palangié, Bicarbonate - Un concentré d’astuces pour votre maison, votre santé, votre beauté, Groupe Eyrolles, , 34 p. (ISBN 978-2-212-55144-0, lire en ligne), p. 26
  28. Piriou, P. (2011), L'adoucissement centralisé des eaux en France, GWA, 91(8), 577-589.
  29. Yannick D.N. Tremblay, Skander Hathroubi, Mario Jacques, « Les biofilms bactériens : leur importance en santé animale et en santé publique », Canadian Journal of Veterinary Research, vol. 78, no 2,‎ , p. 110 (PMID 24688172, lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

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