Lave-vaisselle
Un lave-vaisselle ou machine à laver la vaisselle est un appareil électroménager conçu pour nettoyer la vaisselle en remplaçant le plus possible la tùche ménagÚre dite de "faire la vaisselle".
Historique
La premiÚre mention d'une machine lavant la vaisselle remonte à 1850[1]. Les lave-vaisselle modernes descendent d'un modÚle semi-automatique imaginé par Josephine Cochrane en 1886[2].
Les premiers éléments électriques sont ajoutés en 1920. Cet appareil domestique est devenu un équipement courant en Occident dans les années 1980.
Fonctionnement
Lavage
Le lave-vaisselle lave tout ce qu'il contient Ă l'aide de jets d'eau sous pression, et Ă condition que ces jets ne soient pas bloquĂ©s et les buses bien dĂ©bouchĂ©es. Un, deux ou trois bras rotatifs munis de gicleurs aspergent de l'eau tiĂšde Ă trĂšs chaude, sur la vaisselle, selon un cycle dont la durĂ©e est calculĂ©e pour assurer une dĂ©sincrustation des restes alimentaires quelle qu'en soit la nature (graisses brĂ»lĂ©es, sucres caramĂ©lisĂ©s, rĂ©sidus divers). Pour ĂȘtre efficace, le jet d'eau rotatif doit ĂȘtre puissant et durer assez longtemps. De ce fait, il existe une partie de la vaisselle, rĂ©putĂ©e fragile, (tel que verre en cristal[alpha 1] - [3], bordures dorĂ©es, etc.) qu'il n'est pas recommandĂ©, ou autorisĂ©, de laver en machine.
La température de l'eau à l'intérieur peut atteindre les 75 °C. Le niveau de bruit atteint pendant un lavage se situe entre 45 et 65 décibels. Un appareil qui émet entre 40 et 50 dB est considéré comme trÚs silencieux.
Produit de lavage
Le liquide vaisselle utilisĂ© pour laver la vaisselle Ă la main ne doit pas ĂȘtre utilisĂ© en machine, car il produirait une mousse considĂ©rable. Le lave-vaisselle requiert un produit spĂ©cifique Ă base de tensio-actifs non moussants. Durant des dĂ©cennies, ce produit Ă©tait distribuĂ© en barils, sous forme de poudre, comme la lessive pour le linge. Pour des raisons de mode, de marketing et de commoditĂ©, la plupart des marques de produits de lavage prĂ©fĂšrent aujourd'hui vendre ces produits pour lave-vaisselle sous forme de doses se prĂ©sentant habituellement sous l'aspect de gros sucres, alors que certains constructeurs de lave-vaisselle dĂ©conseillent ces produits prĂ©dosĂ©s et prĂ©conisent les produits sĂ©parĂ©s.
On trouve donc le produit de lavage sous différentes formes :
- en poudre ou en liquide Ă doser soi mĂȘme[4] ;
- en tablettes « tout en un » comprenant, normalement, tous les produits nécessaires à l'efficacité et au bon fonctionnement du lave vaisselle (lessive + liquide rinçage + sel anti-calcaire)[4], mais ce dosage basé sur des moyennes risque de surdoser la lessive, surtout pour de petits lave-vaisselle.
Avantages et inconvénients des tablettes
La quantitĂ© d'eau utilisĂ©e a beaucoup diminuĂ© dans les machines rĂ©centes, faisant que la concentration des produits prĂ©dosĂ©s est trop Ă©levĂ©e dans le liquide de lavage : il est donc courant de couper en deux les tablettes de produits prĂ©dosĂ©s (surtout pour le programme « Âčââ charge » ou les lave-vaisselle pour 6 couverts)[5].
Les doses individuelles sont pratiques, mais sans permettre de dosage du produit, ce qui est source de gaspillage et de pollution.
Des produits tout-en-un incluant les fonctions dĂ©tergent, liquide rinçage et sel existent. CĂŽtĂ© dĂ©tergent pas de changement, cĂŽtĂ© liquide rinçage, il est conseillĂ© de ne pas utiliser l'appareil en lavage intensif, la fonction liquide de rinçage Ă©tant libĂ©rĂ©e en fonction de la haute tempĂ©rature liĂ©e Ă ce moment du cycle (rinçage Ă 70 °C environ), l'efficacitĂ© du produit peut donc en ĂȘtre rĂ©duite. La fonction sel intĂ©grĂ©e est quant Ă elle fonctionnelle dans une eau dure jusqu'Ă 35 °th, mais au-delĂ un complĂ©ment de sel est nĂ©cessaire dans le rĂ©servoir. Certaines pastilles possĂšdent Ă©galement des fonctions de protection de la verrerie ou d'entretien des divers organes de l'appareil.
Traitement adoucissant de l'eau
Les lave-vaisselle modernes disposent tous d'un adoucisseur d'eau intégré qui requiert une charge initiale d'environ 2 kilogrammes de sel régénérant (chlorure de sodium pur). Des boules de résine synthétique favorisent l'échange ionique entre le sel soluble et les sels calcifiants (chlorures de calcium, de magnésium, nitrates). Cet adoucisseur est indispensable lorsque l'eau est calcaire sinon les verres et les couverts, une fois séchés, seraient blanchùtres.
Rinçage
Une fois le cycle de lavage achevé, le cycle de rinçage introduit un produit, le liquide de rinçage, favorisant le séchage, au dernier rinçage. C'est généralement un colloïde hydrosoluble qui rend l'eau plus ruisselante. Il est doté d'un pH bas.
Il est possible d'utiliser du vinaigre blanc comme produit de rinçage[6] essentiellement si l'eau est calcaire.
Constitution
Le lave-vaisselle est constitué des piÚces détachées fonctionnelles suivantes :
- Un flexible avec raccord taraudé pour le raccordement au robinet d'arrivée d'eau ;
- Un cĂąble avec prise pour le raccordement Ă©lectrique ;
- Une électrovanne, qui autorise l'arrivée d'eau dans la machine aux moments définis par le programme choisi ;
- Un remplisseur/répartiteur, qui oriente l'eau vers le lavage ou le rinçage et en conserve une partie pour la régénération ;
- Un détecteur de niveau d'eau ou pressostat, qui gÚre la quantité d'eau admise ;
- Une pompe de cyclage, qui aspire l'eau et la propulse dans les bras de lavage (ou moulinet) ;
- Une résistance (ou thermoplongeur) qui permet le chauffage de l'eau ;
- Une sonde de température, qui contrÎle la chaleur du bain lessiviel ;
- Un adoucisseur, avec bouchon de remplissage pour le sel, pour éviter les dépÎts de calcaire ;
- Un réservoir de produit de rinçage ;
- Une pompe de vidange, permettant l'évacuation des eaux usées ;
- Un filtre démontable pour capter les gros déchets qui nuiraient au bon fonctionnement
- Un flexible pour l'évacuation de l'eau usagée ;
- Un programmateur ou une carte Ă©lectronique, avec son panneau de commande, pour coordonner le fonctionnement de tous ces organes ;
- Différents paniers recevant les piÚces de vaisselle, les couverts, etc.
D'autres organes optionnels sont présents comme le détecteur de salissure, le ventilateur de séchage, le débitmÚtre, etc. et de plus en plus des fonctions de domotique.
Entretien
Le lave-vaisselle demande plus d'attention qu'un lave-linge. AprĂšs quelques cycles de lavage, le filtre doit ĂȘtre nettoyĂ©, du sel doit ĂȘtre rĂ©guliĂšrement ajoutĂ© dans l'adoucisseur (pour rĂ©gĂ©nĂ©rer les rĂ©sines Ă©changeuses d'ions), et du liquide de rinçage (pour faciliter l'Ă©coulement de l'eau sur les couverts, assiettesâŠ) dans le rĂ©servoir appropriĂ©.
Des produits liquides, à utiliser sans vaisselle avec un programme de lavage long et une température élevée, dissolvent les restes de graisses et détartrent les circuits d'eau (les orifices des bras de lavage sont parfois bouchés par du papier ou des restes d'aliments)[7].
Des expĂ©riences rĂ©centes qui ont permis de faire les sels rĂ©gĂ©nĂ©rants Ă©cologiques (100 % chlorure de sodium) ont prouvĂ© que le simple gros sel de cuisine est aussi efficace que le sel rĂ©gĂ©nĂ©rant, sans dĂ©grader l'appareil (la taille des cristaux de sel est cependant un facteur important). De mĂȘme, le liquide de rinçage peut ĂȘtre remplacĂ© par du vinaigre blanc, moins couteux[8].
Ătiquette Ă©nergĂ©tique
Depuis le 1er septembre 2021, chaque Ă©tiquette de lave-vaiselle comporte les informations suivantes[9] - [10] :
- L'inclusion d'un code QR;
- le nom du fabricant;
- la référence du modÚle;
- la catĂ©gorie dâefficacitĂ© Ă©nergĂ©tique (de A Ă G);
- la consommation Ă©lectrique du programme ĂCO pour 100 cycles en kWh;
- la capacitĂ© en nombre de couverts standard du programme ĂCO;
- la consommation d'eau par cycle du programme ĂCO, en litres;
- la durĂ©e du programme ĂCO, en heures et minutes;
- Les émissions de bruit en décibels et la classe de bruit, de A à D;
- Dans le coin en bas à droite, le numéro de série du rÚglement.
Environnement
La construction, le transport, la vente, l'utilisation et le recyclage ou destruction de l'appareil en fin de vie consomment de l'Ă©nergie et des matiĂšres premiĂšres.
Lors d'un cycle de lavage, l'appareil consomme entre 10 et 20 litres d'eau pour les modĂšles rĂ©cents[11], et environ 1 kWh d'Ă©lectricitĂ©. Si l'on prend en compte uniquement la consommation lors d'un cycle de lavage, un lave-vaisselle plein utilise globalement moins d'eau que plusieurs lavages Ă la main de la mĂȘme quantitĂ© de vaisselle[12] et par consĂ©quent nettement moins d'Ă©nergie (le chauffage de l'eau est trĂšs Ă©nergivore), mais il faut disposer de davantage de vaisselle s'il y a peu de personnes au foyer. Le dĂ©tergent utilisĂ© peut ĂȘtre polluant selon le type utilisĂ©.
Un écolabel européen a été mis en place par l'Union européenne pour informer les consommateurs à ce sujet[13].
Les produits chimiques utilisés pour le lavage laissent sur le verre des résidus en faible quantité, mais suffisants pour donner un goût à l'eau et à d'autres boissons bues dans des verres lavés au lave-vaisselle.
Risques pour la santé
Dans un contexte mondial d'augmentation du risque pandémique et du nombre d'humains immunodéprimée[14] - [15] et alors que la demande mondiale en lave-vaisselle et machines à laver ne cessent de croßtre[16], des préoccupations sérieuses en matiÚre de santé environnementale ont été soulevées à la suite de l'apparition de souches résistantes de bactéries, mais aussi de micro-champignons colonisant les lave-vaisselle (ainsi que dans les bondes d'évier[17], de douche et lavabo de salle de bain[18] et les machines à laver[19] - [20]).
Dans l'atmosphÚre confinée du lave-vaisselle, les restes d'aliments souillant la vaisselle déposée en attente d'un lavage constitue à la fois un substrat et une nourriture abondante (sucres rapides notamment) immédiatement exploitée par de trÚs nombreux microbes.
Parmi ceux-ci se trouvent des champignons tolérants au stress, qui souvent sont aussi des agents pathogÚnes humains opportunistes co-évoluant avec nous dans notre habitat[21].
Depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, il a Ă©tĂ© clairement montrĂ© que dans notre environnement domestique, qu'il soit urbain ou rural, plus que la salle de bain ou les toilettes, c'est la cuisine (oĂč l'on trouve l'Ă©vier, et souvent une poubelle Ă proximitĂ©) qui est colonisĂ©es par la plus grande diversitĂ© de micro-organismes extrĂ©motolĂ©rants[22] - [23] - [24].
De plus, l'intĂ©rieur de chaque lave-vaisselle en fonctionnement s'apparente pour ces microbes Ă un milieu extrĂȘme : bactĂ©ries, archĂ©es et microchampignons y sont soumis Ă des alternance de pĂ©riodes humides, ennoyĂ©es et sĂšches ; Ă tempĂ©ratures variant rapidement (de 20 °C Ă 74 °C), parfois Ă©levĂ©es (plus de 70 °C) ; Ă de puissants dĂ©tergents oxydants qui peuvent rapidement faire passer le pH de 6,5 Ă 12 ; Ă des taux variables et Ă©levĂ©es de NaCl, Ă l'eau chlorĂ©e du rĂ©seau ; Ă la force de cisaillement des jets lancĂ©s par les asperseurs d'eau durant les cycles de lavage[16]. La plupart des prĂ©lĂšvements faits dans les lave-vaisselle rĂ©vĂšlent des Pseudomonas sp, Escherichia sp et Acinetobacter sp, trois groupes de bactĂ©ries connus pour inclure des souches et espĂšces pathogĂšnes opportunistes, notamment sources de maladies nosocomiales. MalgrĂ© les puissants dĂ©tergents utilisĂ©s et l'eau chaude, ces bactĂ©ries et d'autres (Ă©ventuellement naturellement extrĂȘmophiles) peuvent discrĂštement produire des biofilms dans les parties fixes et mobiles du lave-vaisselle. Ces derniers ne sont pas nĂ©cessairement pathogĂšnes mais peuvent l'ĂȘtre, et on y trouve aussi des souches microbiennes de l'environnement humain, pouvant notamment provenir de la bouche et des poumons, devenant peu Ă peu, via la sĂ©lection naturelle, rĂ©sistantes Ă ce milieu. C'est le cas par exemple des souches : Saprochaaete clavata EX 5631, Candida albicans EX 9382, Candida parapsilosis EX 9370, Aureobasidium pullulans EX 3105, Aspergillus fumigatus EX 8280, Fusarium dimerum EX 9214, Exophiala dermatitidis EX 5586 et Rhodotorula mucilaginosa EX 9762. Des Ă©tudes rĂ©centes ont montrĂ© que « L'Ăąge, la frĂ©quence d'utilisation et la duretĂ© de l'eau du robinet entrant dans les lave-vaisselle ont eu un impact significatif sur la composition des communautĂ©s bactĂ©riennes et fongiques. Les reprĂ©sentants de Candida spp. ont Ă©tĂ© trouvĂ©s Ă la prĂ©valence la plus Ă©levĂ©e (100 %) dans tous les lave-vaisselle et sont supposĂ©s ĂȘtre l'un des premiers colonisateurs des lave-vaisselle rĂ©cemment achetĂ©s ». Comme dans les milieux extrĂȘmes naturels, mais avec une source de nourriture autrement riche, des microchampignons peuvent s'associer Ă des bactĂ©ries pour fortement accroitre les processus d'adhĂ©sion, de contact et les interactions prĂ©coces nĂ©cessaires Ă la formation d'un biofilm. Les scientifiques constatent dans la quasi-totalitĂ© des lave-vaisselle qu'ils observent la prĂ©sence constante de groupes de micro-organismes qu'ils ont qualifiĂ© de poly-extrĂ©mo-tolĂ©rants-persistants, sur le mĂ©tal, le plastique et les joints en polymĂšres de type caoutchouc synthĂ©tique[16].
Dans un monde aux ressources naturelles limitĂ©es, les nĂ©cessaires Ă©conomie d'eau et d'Ă©nergie ont conduit Ă utiliser moins d'eau et des tempĂ©ratures de lavage plus basses. Et les dĂ©tergents tendent Ă ĂȘtre moins polluants (et donc en partie biodĂ©gradables), remplaçant des agents de lavage qui Ă©taient trĂšs fortement biocides[16]. Paradoxalement, ce sont les conditions de nettoyage poussĂ© (mais Ă©pisodique) qui induisent une forte pression de sĂ©lection sur une diversitĂ© microbienne rĂ©duite, pression qui pousse les espĂšces les plus adaptĂ©es Ă de mieux en mieux rĂ©sister au stress induit par les cycles de lavage[16].
- Concernant les microchampignons (qui avec les bactĂ©ries Ă©tablissent de solides biofilms) : ils sont peu affectĂ©s par la chloration de l'eau[25], ils peuvent d'ailleurs parfois dĂ©jĂ ĂȘtre prĂ©sent dans l'eau du robinet bien qu'elle soit chlorĂ©e[26]. Plus l'eau est dure et plus le lave-vaisselle a servi, plus il sera riche en nombre et variĂ©tĂ© de microbes, mieux ces microbes seront bien fixĂ©s et plus leur diversitĂ© alpha sera Ă©levĂ©e[16]. Si l'eau est douce ou adoucie, c'est le phylum Ascomycota qui domine la communautĂ© fongique du lave-vaisselle[16]. Les champignons microscopiques les plus frĂ©quents dans les lave-vaisselle sont des espĂšces des genres Candida, Cryptococcus et Rhodotorula, tous trois connus pour contenir des souches et espĂšces pathogĂšnes opportunistes, souvent nosocomiales[16].
- concernant les bactéries : à titre d'exemple : dans 24 échantillons de biofilm formés sur des joints en caoutchouc de lave-vaisselle, 16 phylums bactériens ont été trouvés, dominés dans tous les cas par des protéobactéries, devant des actinobactéries et des Firmicutes. Plusieurs Bacteroidetes étaient également présents, dans tous les échantillons. Les autres phylums (contribuant jusqu'à 9 % du total des procaryotes) étaient Chloroflexi, Cyanobacteria, Deinococcus-Thermus, Spirochaetes, TM7, Verrucomicrobia, SynergIERTes et Acidobacteria). Dans tous les échantillons, les communautés de protéobactéries étaient dominée par les sous-classes alphaprotéobactéries (46 % ± 7 %) et gammaprotéobactéries (45 % ± 7 %) ; et les bacilles étaient la sous-classe dominante de Firmicutes. {{Citation|L'ADN dominant de tous les échantillons appartenait aux genres Gordonia, Wautersiella, Rhodobacter, Nesterenkonia, Stenotrophomonas, Exiguobacterium, Acinetobacter et Pseudomonas. Des Unités taxonomiques opérationnelles bactériennes représentées par le genre Meiothermus appartenant aux embranchements Deinococcus-Thermus (bactéries à coques trÚs résistantes aux risques environnementaux) et TM7 étaient présentes dans 19 échantillons sur 21. En outre 62 % des lave-vaisselle contenaient des Escherichia et Shigella et 67 % contenaient des Pseudomonas[16].
Selon les chercheurs danois Prem Krishnan Raghupathi et al. (2018), le lave-vaisselle peut ĂȘtre une « source de pollution microbienne domestique, et de contamination croisĂ©e conduisant Ă des impacts mĂ©dicaux Ă©largis »[16] ; ils soutiennent l'hypothĂšse dĂ©jĂ posĂ©e par au moins trois autres Ă©tudes, que l'augmentation rĂ©guliĂšre constatĂ©e ces derniĂšres dĂ©cennies de l'incidence des infections fongiques d'origine domestique pourrait ĂȘtre expliquĂ©e par l'utilisation croissante du nombre de lave-vaisselle, appareils jouant le rĂŽle de rĂ©servoir de pathogĂšnes multirĂ©sistants[27] - [28].
Galerie d'images
- Compartiment pour la poudre à vaisselle (en poudre ou en tablette) (à gauche) et le liquide de rinçage (à droite), sur la partie supérieure du panneau abaissé.
- L'emplacement pour le sel régénérant de l'adoucisseur d'eau est à gauche en blanc, avec l'inscription "Salt" dessus et le corps de chauffe et en bas à droite avec une entrée et une sortie d'eau
- Tablettes de poudre Ă vaisselle
- Tablette de poudre Ă vaisselle pas complĂštement dissoute dans son compartiment
- Liquide de rinçage pour lave-vaisselle
Notes et références
Notes
- Le cristal au plomb est interdit du fait des rejets de particules de plomb qui peuvent se décrocher et aller dans les égouts. Toute vaisselle recouverte de pigments peut en perdre à chaque lavage.
Références
- (en) Improvment in machine for washing table furniture., sur le site todayinsci.com, consulté le
- (en) Josephine G. Cochran, de Shelbyville, Illinois. Sur le site todayinsci.com
- Le cristal au plomb et votre santé, sur canada.ca, consulté le 26 novembre 2017
- Pastilles pour lave-vaisselle : Prendre soin de sa vaisselle, sur le site quechoisir.org
- Ces substances que nous cachent⊠les tablettes pour lave-vaisselle, sur consoglobe.com du 29 mars 2013, consulté le 8 novembre 2017
- « Comment nettoyer et entretenir un lave vaisselle », Chmuller, WikiHow Traduction
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Annexes
Bibliographie
- Office québécois de la langue française, Terminologie des appareils électro-ménagers : le réfrigérateur, le lave vaisselle, la machine à laver, la sécheuse, Québec, BibliothÚque nationale du Québec, , 98 p. (BNF 42792572, présentation en ligne, lire en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Présentation d'un lave-vaisselle
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :