AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Ablon

Ablon est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Calvados, en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 194 habitants[Note 1].

Ablon
Ablon
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville
Maire
Mandat
Xavier Canu
2020-2026
Code postal 14600
Code commune 14001
DĂ©mographie
Gentilé Ablonnais, Ablonnaises
Population
municipale
1 194 hab. (2020 en diminution de 0,91 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 100 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 23â€Č 39″ nord, 0° 17â€Č 48″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 118 m
Superficie 12,00 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Honfleur
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Honfleur-Deauville
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ablon
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ablon
GĂ©olocalisation sur la carte : Calvados
Voir sur la carte topographique du Calvados
Ablon
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Ablon
Liens
Site web ablon.fr

    GĂ©ographie

    La commune est située au nord-ouest du Calvados, à cinq kilomÚtres de Honfleur, dans le pays d'Auge, dans la vallée de l'Orange.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 878 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 916,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et Ă  17 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Ablon est une commune rurale[Note 7] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Honfleur, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 12 communes[17] et 21 768 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Honfleur, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    La commune, bordĂ©e par la baie de Seine, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (52,5 %), forĂȘts (22,2 %), terres arables (18,1 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,2 %), eaux maritimes (0,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Eblelont (sans date)[27] et Abelon en 1180[28] ou/et en 1198[29].

    Selon Jean Renaud, si la forme ancienne qu'il cite est juste, il s'agit d'un ancien Epli-lundr, composĂ© toponymique norrois signifiant « verger de pommier, pommeraie » et il est dans ce cas homonyme de YĂ©bleron (Seine-Maritime), l'ancien scandinave lundr « verger, bois » a rĂ©guliĂšrement abouti Ă  -lon comme deuxiĂšme Ă©lĂ©ment d'un toponyme (cf. Bouquelon, Écaquelon, Yquelon, etc.). RenĂ© Lepelley, qui ne cite pas de forme ancienne, mais qui connaissait certainement celle de 1180, penche pour un nom de personne germanique Abilo, suivi du suffixe -o/-one de prĂ©sence. Cependant, François de Beaurepaire fait remarquer que l'emploi du suffixe -o(ne) est inusuel avec un anthroponyme germanique. Ernest NĂšgre propose le nom de personne germanique Abilo pris absolument, en conformitĂ© avec la forme ancienne qu'il cite. L'emploi d'un nom de personne unique sans suffixe, ni appellatif est exceptionnelle dans la toponymie normande.

    La localisation d'Ablon dans la zone de rĂ©partition de la toponymie scandinave et le fait que lundr ait rĂ©guliĂšrement abouti Ă  -lon en fin de mot, font prĂ©fĂ©rer une hypothĂšse norroise. En outre, si l'on exclut la forme non datĂ©e donnĂ©e par Jean Renaud, il n'est guĂšre Ă©tonnant qu’Abelon de 1180 ne comporte pas de t final car Ă  l'Ă©poque il n'Ă©tait plus articulĂ© comme en tĂ©moignent d'ailleurs Bouquelon (Eure, Bochelon en 1180), homonyme du Bouquelon (Seine-Maritime, Boos, Bouquelont en 1198) ou Yquelon (Manche, Ichelon en 1180), homonyme d'Iclon (Seine-Maritime, Angiens, Ichelunt en 1088).

    En outre, il existe une ancienne commune jouxtant Ablon, nommĂ©e Ableville qui reprĂ©sente peut-ĂȘtre un ancien *Ab(b)eville, toponyme rĂ©pandu en Normandie, oĂč l'on rencontre Ă©galement Abbetot (anciennement Abetot), formĂ© avec l'appellatif tot d'origine scandinave. L'Ă©lĂ©ment Abe- reprĂ©sente le nom de personne germanique Abbo encore utilisĂ© au Moyen Âge sous la forme Abbon ou son correspondant scandinave Abbi, forme hypocoristique d’ÁbiÇ«rn[30]. Un [l] postiche aura Ă©tĂ© ajoutĂ© par analogie avec Ablon ou de maniĂšre spontanĂ©e comme dans Hableville Ă  Senneville-sur-FĂ©camp (anciennement Habeville). Ableville et Ablon formeraient donc une paire toponymique comme on l'observe pour CrĂ©manville et CrĂ©manfleur Ă  cĂŽtĂ©, ainsi que Honnaville et Honfleur dans les environs. Par ailleurs avec -lon (-lundr), se trouvent Étoupeville (Manche, Sotteville, Estobavilla 1093) et son bois d’Étoublon (Stobelont vers 1000) ou encore Acqueville (Calvados, Achevilla 1190) et Achelunda (1070 - 79), etc.

    Si la forme Abelon est la seule correcte, il s'agirait alors d'un « bois d'Abbon ».

    L'homophonie et l'homographie avec Ablon-sur-Seine sont sans doute fortuites.

    Le gentilé est Ablonnais[31].

    Histoire

    À la veille de la RĂ©volution, Louis-Jean-Baptiste de BrĂ©vedent est seigneur d'Ablon. En 1809, Ablon s'agrandit par la rĂ©union avec deux autres communes : CrĂ©manville et Ableville.

    Ablon fut également le siÚge de la dynamiterie Nobel[32] de 1879 à 1989. Elle cessa son activité aprÚs une forte explosion qui tua cinq personnes, dont le directeur de l'usine, et en blessa huit autres le . Des vitrines furent brisées jusqu'à Honfleur, située pourtant à plus d'un kilomÚtre de là[33] - [34].

    Depuis 2004, une épicerie-bar-point poste et une nouvelle école primaire ont été construites.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2001 2008 Christian Trocque UMP
    2008 En cours Xavier Canu[35] DVD Infirmier

    Tendances politiques et résultats

    Lors des Ă©lections europĂ©ennes de 2019, le taux de participation d’Ablon est supĂ©rieur Ă  la moyenne (57,46 % contre 50,12 % au niveau national). La liste du Rassemblement National arrive en tĂȘte avec 30,49 % des suffrages, contre 23,31 % au niveau national. La liste de la RĂ©publique en Marche obtient 21,02 % des voix, contre 22,41 % au niveau national. La liste d’Europe Écologie les Verts rĂ©alise un score de 10,42 % des votes, contre 13,48 % au niveau national. La liste des RĂ©publicains fait un score de 6,82 % des suffrages, contre 8,48 % au niveau national. La liste de la France Insoumise et celle de Debout La France arrivent ex-aequo avec 5,30 % des voix, contre respectivement 6,31 % et 3,51 % au niveau national. Les autres listes obtiennent des scores infĂ©rieurs Ă  5 %[36].

    Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[37] :

    Candidat Premier tour Second tour
    Voix % Voix %
    Eva Joly (EÉLV)131,66
    Marine Le Pen (FN)17121,84
    Nicolas Sarkozy (UMP)23029,37 40355,89
    Jean-Luc MĂ©lenchon (FG)607,66
    Philippe Poutou (NPA)81,02
    Nathalie Arthaud (LO)20,26
    Jacques Cheminade (SP)40,51
    François Bayrou (MoDem)9512,13
    Nicolas Dupont-Aignan (DLR)384,85
    François Hollande (PS)16220,69 31844,11
    Inscrits 901 100,00 901 100,00
    Abstentions 107 11,88 129 14,32
    Votants 794 88,12 772 85,68
    Blancs et nuls 11 1,39 51 6,61
    Exprimés 783 98,61 721 93,39

    Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[38] :

    Candidat Premier tour DeuxiĂšme tour
    % Voix % Voix
    Nicolas Dupont-Aignan (DLF)7,1756
    Marine Le Pen (FN)26,1220439,59270
    Emmanuel Macron (EM)22,0217260,41412
    BenoĂźt Hamon (PS)4,3534
    Nathalie Arthaud (LO)0,645
    Philippe Poutou (NPA)2,0516
    Jacques Cheminade (SP)0,131
    Jean Lassalle (RES)0,776
    Jean-Luc MĂ©lenchon (LFI)15,24119
    François Asselineau (UPR)0,907
    François Fillon (LR)20,61161
    Inscrits 928 100,00 928 100,00
    Abstentions 134 14,44 155 16,70
    Votants 794 85,56 773 83,30
    Blancs 11 1,39 73 9,44
    Nuls 2 0,25 18 2,33
    Exprimés 781 98,36 682 88,23

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[40].

    En 2020, la commune comptait 1 194 habitants[Note 9], en diminution de 0,91 % par rapport Ă  2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    324259332982901738702702721
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    660719660638628650660740757
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    803741760728772741775841813
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8528668388809401 0471 1451 1751 211
    2018 2020 - - - - - - -
    1 1981 194-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
    • ChĂąteau d'Ablon XVIIIe, tour XIVe.
    • Église Saint-Pierre-Ăšs-Liens XVe – XVIe siĂšcles.
    • Ferme-manoir de la Houssaye.
    • Moulin d'Ablon, sur la Morelle, appartenant Ă  Letellier de Brothonne en 1849.
    • Manoir de la GuĂ©rie, datant du XVe siĂšcle, appartenant Ă  Letellier de Brothonne en 1849.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ablon et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ablon et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Honfleur », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Ă©ditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1)
    28. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, Droz, GenÚve, Ch. IV, p. 825, no 14261
    29. CitĂ©e dans les Archives de l'Échiquier de Normandie.
    30. Abbi sur Nordic Names (lire en anglais)
    31. Gentilé sur le site habitants.fr, consulté le 25 août 2008.
    32. « Usine de produits explosifs », notice no IA14000758, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    33. Fiche d'accident sur la base ARIA
    34. Fiche d'accident détaillée sur la base ARIA.
    35. Réélection 2020 : « Municipales à Ablon. Xavier Canu réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    36. « Ablon : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le )
    37. MinistÚre de l'Intérieur - Calvados (Basse-Normandie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Ablon » (consulté le )
    38. MinistÚre de l'Intérieur - Calvados (Normandie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Ablon » (consulté le )
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.