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Fiquefleur-Équainville

Fiquefleur-Équainville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Fiquefleur-Équainville
Fiquefleur-Équainville
L'église Saint-Georges de Fiquefleur
Logo monument historique Inscrit MH (1992).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville
Maire
Mandat
Michel Prentout
2020-2026
Code postal 27210
Code commune 27243
Démographie
Gentilé Equainvillais
Population
municipale
748 hab. (2020 en augmentation de 7,47 % par rapport à 2014)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 30″ nord, 0° 18′ 42″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 113 m
Superficie 9,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Honfleur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Fiquefleur-Équainville
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Fiquefleur-Équainville

    Géographie

    Localisation

    Fiquefleur-Équainville est une commune située dans le Nord-Ouest du département de l'Eure et limitrophe de celui du Calvados. Selon l'atlas des paysages de Haute-Normandie, elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[1]. Toutefois, l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, la classe au sein du pays d'Auge (en tant que région agricole)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 854 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[11] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 916,4 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 18 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Fiquefleur-Équainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Honfleur, une agglomération inter-départementale regroupant 12 communes[21] et 21 768 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Honfleur, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24] - [25].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[27] - [28].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,8 %), forêts (25,4 %), terres arables (15,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), eaux maritimes (0,2 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].

    Toponymie

    Fiquefleur: Le nom est attesté sous les formes Fiquefleu au début du XIIIe siècle (cout. de la vicomté de l’Eau), Ficquefleu en 1221 (cartulaire de Beaumont-en-Auge)[31], Fliqueflue en 1255 (cartulaire de Beaumont-en-Auge), Fliquefleu au XIVe siècle (cartulaire de Grestain)[32].

    Équainville: Le nom est attesté sous les formes Equainville en 1793[33], Équainville en 1801[33], Fiquefleur-Équainville en 1844[33].

    Histoire

    Les communes de Fiquefleur et d'Équainville fusionnent en 1844[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Michel Prentout DVD Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 748 habitants[Note 8], en augmentation de 7,47 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    456463511427420423450573594
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    618633544525316532502542512
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    517523505435463404444437464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    476462430477496563623641692
    2018 2020 - - - - - - -
    737748-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Fiquefleur-Équainville compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

    • L'église Saint-Georges (XIe, XVe, XVIe et XVIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1992)[38]. Il s'agit d'un des plus anciens monuments romans de Normandie[38].
    • L'église Saint-Georges
    L'église Saint-Pierre d'Équainville.

    Par ailleurs, de nombreux autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • L'église Saint-Pierre (XIIe, XIIIe, XIVe et XVIe)[39] ;
    • Le presbytère (XIXe) au lieu-dit Équainville[40] ;
    • La mairie (XIXe) au lieu-dit Équainville[41] ;
    • L'école (XIXe) au lieu-dit Équainville[42] ;
    • Trois manoirs : le premier du XVIIIe siècle au lieu-dit le Favril[43] ; le deuxième du XVIe siècle au lieu-dit la Rue[44] ; le troisième des XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles au lieu-dit la Loge[45] ;
    • Deux maisons : l'une du XIXe siècle au lieu-dit Équainville[46], l'autre du XVIIe siècle au lieu-dit le Haut-de-la-Côte de Fiquefleur[47] ;
    • Une demeure du XVIIIe siècle[48] ;
    • Deux fermes : l'une des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Vert Buisson[49], l'autre du XVIIIe siècle au lieu-dit les Monts-Hativets[50].

    Terrain acquis par le conservatoire du littoral

    • Rives de Seine sud - 27[51].

    Natura 2000

    • Estuaire de la Seine[52].
    • Estuaire et marais de la Basse Seine[53].

    ZNIEFF de type 1

    Cette ZNIEFF s'étend également sur les communes de Fatouville-Grestain et de Berville-sur-Mer pour le département de l'Eure et sur les communes de La Rivière-Saint-Sauveur, Ablon et Honfleur pour le département du Calvados.

    La majeure partie de cette ZNIEFF est occupée par une saulaie-bétulaie sur sable et par des fourrés dunaires à Argousiers. Leur localisation sur les alluvions récentes de la Seine font de cette zone un site naturel quasiment unique en Normandie. Ce milieu est complétée par des canaux, des mares, des prairies humides pâturées, des phragmitaies, des petits secteurs de dunes fixées et des mégaphorbiaies.

    Du point de vue floristique, ce site abrite des espèces botaniques rares à très rares voire protégées au niveau régional ou même national : le Lotier à feuilles étroites (Lotus corniculatus ssp. tenuifolius), l'Ophioglosse langue-de-serpent (Ophioglossum vulgatum), la Pyrole des dunes (Pyrola rotundifolia var. arenaria), la Menthe pouliot (Mentha pulegium), le Polypogon de Montpellier (Polypogon monspeliensis), le Saule argenté (Salix repens arenaria), le Troscart des marais (Triglochin palustre), la Corrigiole des rives (Corrigiola littoralis), la Laîche arrondie (Carex diandra), l'Amarante blanche (Amaranthus albus), l'Amaranthe à feuilles marginées (Amaranthus blitoides), le Plantain des sables (Plantago arenaria), etc.
    Des orchidées occupent également cette zone : l'Epipactis des marais (Epipactis palustris), l'Orchis à fleurs lâches (Orchis laxiflora), le Souchet brun (Cyperus fuscus), la Lentille d'eau sans racine (Wolffia arrhiza), la Patience maritime (Rumex maritimus), la Patience des marais (Rumex palustris) et la Belladone (Atropa belladonna), etc.

    Du point de vue faunistique, est à relever la présence d'orthoptères dont notamment la Courtillière (Gryllotalpa gryllotalpa) et le Tétrix des vasières (Tetrix ceperoi) et de papillons dont certaines espèces très rares, voire protégées au niveau national (le Sphinx de l'épilobe (Proserpinus proserpina), Euxoa cursoria, Parastichtis suspecta, Apamea oblonga, Chorthodes extrema, Arenostola phragmitidis, Chilodes maritimus, etc.).

    Enfin, la diversité offerte par ces milieux est favorable à la nidification de nombreux oiseaux tels que la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti), le Loriot (Oriolus oriolus), l'Hirondelle de rivage (Riparia riparia), le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis), le Râle d'eau (Rallus aquaticus), le Vanneau huppé (Vanellus vanellus), le petit Gravelot (Charadrius dubius), le Martin-pêcheur (Alcedo atthis), le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos), le Phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobaenus), etc.

    Sites classés

    Site inscrit

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Zonages », sur Agreste (consulté le ).
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Fiquefleur-Équainville et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Fiquefleur-Équainville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Honfleur », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    27. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    31. Jean Renaud, Les Vikings et la Normandie, Editions Ouest-France, , p. 168.
    32. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 84.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 77.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Église paroissiale Saint-Georges-de-Fiquefleur », notice no PA00099641, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Église Paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00054633, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Presbytère », notice no IA00054638, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Mairie », notice no IA00054631, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « École », notice no IA00054632, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Manoir », notice no IA00054637, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Manoir », notice no IA00054636, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Manoir », notice no IA00054630, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Maison », notice no IA00054642, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Maison », notice no IA00054641, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Demeure », notice no IA00054635, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Ferme », notice no IA00054640, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Ferme », notice no IA00054639, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « Rives de Seine sud - 27 », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    52. « Estuaire de la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    53. « Estuaire et marais de la Basse Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    54. « Les alluvions », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    55. « L'église, l'if géant et le cimetière de Fiquefleur », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    56. « L'église et le cimetière d'Équainville », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    57. « La rive gauche de l'embouchure de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
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