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Grèbe castagneux

Tachybaptus ruficollis

Tachybaptus ruficollis
Description de cette image, également commentée ci-après
Grèbe castagneux

Espèce

Tachybaptus ruficollis
(Pallas, 1764)

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Répartition géographique

Description de cette image, également commentée ci-après
RĂ©partition de Tachybaptus ruficollis
Grèbe castagneux juvénile

Le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) est une espèce d'oiseaux aquatiques de la famille des Podicipedidae. Il doit son nom à la couleur de son dos, castagneux signifiant châtain[1] - [2]. Cet oiseau est le plus petit des membres de la famille des grèbes, comme le suggère son autre nom vernaculaire, Petit Grèbe. Contrairement aux autres grèbes d’Europe, il pond régulièrement deux fois par an[3]. Oiseau discret, le grèbe castagneux s’installe sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais dont les rives présentent une végétation suffisamment dense.

Morphologie

Aspect général

Ces oiseaux d'eau font partie de la famille des podicipédidés, qui regroupe les grèbes, et, bien qu'aquicoles, ils ne sont pas très proches des anatidés (canards, oies, cygnes), qui ont des pattes palmées, alors que les podicipédidés ont des orteils lobés. Les pattes du Grèbe castagneux, verdâtres, sont situées très en arrière du corps, ce qui lui confère de bonnes aptitudes de nageur et de plongeur, mais handicape ses mouvements au sol.

Le Grèbe castagneux a une apparence replète due à son derrière arrondi, caractéristique renforcée par l’habitude qu’il a d’ébouriffer les plumes de son croupion. Son aspect de « boule de duvet » donne souvent l’impression qu’il flotte comme un bouchon. De fait, sauf lors de la nidification, cet oiseau est rarement vu à terre.

Plumage nuptial

Un Grèbe castagneux en plumage nuptial

En été, son plumage est très sombre, presque noir (en particulier au niveau du menton), mais présente des taches châtain sur la gorge, les joues et les côtés du cou. Ses flancs sont parfois d’un marron plus pâle. Le croupion est marron très clair. Le dessous du corps est noirâtre plus ou moins mêlé de blanc et de gris. Aux commissures du bec noir à pointe blanche, mince et pointu, des marques jaunes en forme d’apostrophe sont présentes. Les iris sont brun-rouge et les pattes gris verdâtre à bleuâtre.

La mue complète se déroule d'août à décembre ; les rémiges chutent entre août et octobre.

Grèbe castagneux en plumage hivernal

Plumage internuptial

En hiver, le plumage est plus terne ; le dos prend une couleur gris brun sale, le croupion est presque blanc, tout comme le dessous du corps. Le cou prend une couleur marron mat. Les marques jaunes du bec s’estompent. On peut alors le confondre avec le Grèbe à cou noir (Podiceps nigricollis), mais le Grèbe castagneux est plus petit, son cou est plus court et chamois (et non grisâtre), le bec plus droit et la calotte plus plate.

La mue partielle se déroule de février à juin-juillet.

Aspect des juvéniles

Les poussins sont couverts de duvet gris, leur bec est jaune et ils ont la tête, le cou et le dos présentant des rayures jaunâtres à rousses.

Les jeunes ressemblent aux adultes en plumage internuptial mais les joues et les côtés du cou brun foncé sont rayés irrégulièrement de blanc. Leur mue partielle se déroule de juillet à décembre.

Mensurations

Il n’y a pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce (Ă  l'exception de quelques mensurations, bec en particulier), il est donc très difficile de distinguer mâles et femelles. C’est un petit oiseau aquatique de 21 Ă  29 cm et d’une envergure de 40 Ă  45 cm, pour un poids variant de 100 Ă  275 g (en moyenne 200 g). Les autres caractĂ©ristiques biomĂ©triques significatives sont une aile pliĂ©e de 93 Ă  104 mm, un bec de 18 Ă  21 mm (mâle) ou de 16 Ă  18 mm (femelle) et un tarse de 34 Ă  39 mm[4].

Comportement

Vol

Plus adaptĂ© Ă  la nage qu’au vol ou plutĂ´t qu'au dĂ©collage puisqu'il doit courir sur l'eau 15 Ă  30 m en battant des ailes pour prendre son essor, cet oiseau est assez rarement observĂ© en vol bien qu'il puisse voler très vite et parcourir de grandes distances lors de ses migrations. Ă€ la moindre alerte, il plonge pour reparaĂ®tre un peu plus loin ou se cache avec talent dans la vĂ©gĂ©tation haute des rives. Il vole souvent très bas, parfois au contact de l’eau. Il tient alors son cou tendu et ses pattes un peu basses. Contrairement aux autres grèbes, il ne prĂ©sente pas en vol de miroir blanc, ni Ă  l'avant, ni Ă  l'arrière des ailes[5].

RĂ©gime alimentaire

Grèbe castagneux mangeant un petit poisson (Gasterosteus aculeatus)

Contrairement aux autres espèces de grèbes qui sont essentiellement piscivores, le Grèbe castagneux a un régime principalement insectivore composé aussi bien de larves que d’adultes d’insectes aquatiques (libellules, éphémères, perles, phryganes, dytiques, gyrins) ou non (mouches, scarabées).

La larve aquatique de Perle, couramment consommée par le Grèbe castagneux
Grèbe castagneux mangeant une écrevisse

Il consomme aussi de petits crustacĂ©s (aselles et gammares) et des mollusques (limnĂ©es, physes, planorbes et bithynies) ainsi que des amphibiens (surtout des tĂŞtards, mais aussi de petites grenouilles ou des tritons) et des poissons dont la taille est le plus souvent comprise entre 5 et cm et n’excède pas 11 cm (chabots, goujons, jeunes du genre Cyprinus comme des carpes, gardons, vairons, brèmes, ablettes, perches, vandoises, rotengles, Ă©pinoches, etc).

Ce régime alimentaire lui permet de s’établir sur des plans d’eau trop petits pour contenir de gros poissons.

L'estomac du Grèbe castagneux contient parfois des végétaux, probablement ingérés par erreur. Il contient aussi généralement quelques plumes, mais n'a pas besoin d'en ingérer de grandes quantités comme les grèbes plus strictement piscivores.

Comportement alimentaire

Grèbe castagneux plongeant pour pêcher.

Il capture ses proies en plongeant pendant 10 Ă  25 secondes (maximum 33 s, seulement 8 plongĂ©es comprises entre 25 et 33 s sur 240 chronomĂ©trĂ©es) jusqu’à 1 voire m de profondeur (maximum 6,3 m). Il peut aussi nager le cou et la tĂŞte immergĂ©s et attraper en les piquant du bec des proies posĂ©es Ă  la surface ou sur des vĂ©gĂ©taux flottants. Contrairement au Grèbe Ă  cou noir, le Grèbe castagneux remonte Ă  la surface avant d'avaler ses proies[6].

Il se nourrit assez fréquemment en association avec d'autres espèces (Grèbe malgache et Grèbe roussâtre à Madagascar[7]) ou en profitant des déplacements de proies occasionnés par d'autres espèces s'alimentant. De tels comportements commensaux ont été observés en Europe, notamment en France vis-à-vis du Cygne tuberculé et du Canard chipeau[8], et à Madagascar vis-à-vis de l'Erismature à dos blanc, du Dendrocygne veuf, de l'Anserelle naine et du Canard à bec rouge[7].

Vocalisations

La présence du grèbe castagneux est souvent révélée en période nuptiale par ses trilles sonores un peu hennissantes émises lors de la saison de nidification, et par ses appels (bii-iip).

Cet oiseau produit aussi des gazouillis et des bruits un peu métalliques (ûit-ûit).

Il chante surtout de mars à fin juillet, pendant la période de reproduction. Plus silencieux en hiver, il peut cependant être entendu lors des beaux jours ensoleillés.

Formation des couples

Accouplement.

Les couples, apparemment monogames, se forment en automne et en hiver au sein des groupes. Ainsi, ils sont généralement établis lors de l'arrivée des oiseaux sur leurs sites de nidification. Un territoire est rapidement délimité par le couple. Il est utilisé pour les parades, la copulation, l'alimentation, l'installation du nid et l'élevage des jeunes. Lors de la parade nuptiale, le mâle hérisse son plumage, frappe l’eau de son bec, plonge et éclabousse autour de lui avec ses pattes, parfois imité par sa partenaire[3]. Quelquefois, il rejette aussi la tête sur le dos. De temps en temps, il présente quelques fragments végétaux en guise d'hommage à sa femelle. Ensuite, les deux oiseaux plongent puis émergent côte à côte en poussant des trilles retentissants.

Nidification

Grèbe castagneux couvant des œufs.

Comme tous les grèbes, cet oiseau niche au bord de l’eau parmi les joncs et les roseaux clairsemĂ©s, parfois mĂŞme Ă  dĂ©couvert sur certains sites (gravières et lagunes). Le nid flottant est constituĂ© de vĂ©gĂ©taux aquatiques, algues, brindilles et roseaux plus ou moins dĂ©composĂ©s, accrochĂ©s Ă  des vĂ©gĂ©taux submergĂ©s. il est construit par les deux partenaires. La femelle pond d’avril (parfois dès fin mars) Ă  juillet de 4 Ă  7 Ĺ“ufs (dans les rĂ©gions tempĂ©rĂ©es mais 2 Ă  4 Ă  Madagascar) blanchâtres assez brillants (dimensions moyennes : 35 Ă  37 Ă— 26 mm ; extrĂŞmes : 33 Ă  43 Ă— 24 Ă  28 mm ; poids frais : 14 Ă  16 g) qui bruniront au contact des vĂ©gĂ©taux en dĂ©composition[3]. L'incubation commence avant que la ponte soit complète. Les Ĺ“ufs sont couvĂ©s par les deux parents pendant 20 Ă  23 jours (parfois jusqu'Ă  27). Lors des relais sur le nid, les deux adultes apportent frĂ©quemment de nouveaux matĂ©riaux sous forme de vĂ©gĂ©taux aquatiques.

  • Nid
    Nid
  • Nid avec des Ĺ“ufs
    Nid avec des Ĺ“ufs
  • Grèbe castagneux et ses Ĺ“ufs
    Grèbe castagneux et ses œufs
  • Grèbe castagneux couvant
    Grèbe castagneux couvant
  • Ĺ’ufs de Tachybaptus ruficollis -  MusĂ©um de Toulouse
    Œufs de Tachybaptus ruficollis - Muséum de Toulouse

Soin aux jeunes

Poussin de grèbe castagneux

À l’éclosion, les poussins nidifuges quittent rapidement le nid pour suivre leurs parents sur et sous l’eau. Ces derniers les portent parfois sur leur dos et leur donnent de petites plumes à avaler, sans doute pour protéger leur système digestif des arêtes de poisson. Mâles et femelles s’occupent de l’alimentation des petits. Les jeunes ne deviennent autonomes qu'à un mois et demi.

Grèbe castagneux et ses poussins

À la différence des autres grèbes, le grèbe castagneux continue à utiliser le nid après l’éclosion des œufs pour s’y reposer et parfois pour y réchauffer ses petits[3]. Une seconde ponte ou une ponte de remplacement n’est pas rare, et peut être effectuée jusqu’au début du mois d’août. Le mâle s'occupe seul alors des jeunes issus de la première couvée.

Hybridation

On a rapporté le cas d’un grèbe castagneux de Cornouailles qui s’est reproduit avec un grèbe à bec bigarré (Podilymbus podiceps) erratique[9]. Des cas d'hybridation avec le grèbe roussâtre et le grèbe malgache ont également été constatés[7]. La sous-espèce capensis s'hybridait également à Madagascar avec le Grèbe roussâtre (Tachybaptus rufolavatus), espèce désormais éteinte.

Longévité

Le grèbe castagneux atteint la maturitĂ© sexuelle vers l'âge d'un an[10]. La longĂ©vitĂ© de cet oiseau est estimĂ©e Ă  10 ou 15 ans : le record actuel est dĂ©tenu par un individu baguĂ© en Suisse qui a Ă©tĂ© recapturĂ©, et son âge a ainsi Ă©tĂ© estimĂ© Ă  au moins 13 ans et 6 mois[11].

RĂ©partition et habitat

Sous-espèces et répartition mondiale

Cette espèce de grèbe possède huit sous-espèces[12] réparties comme suit[13]:

Grèbe castagneux, Bueng Boraphet, Thaïlande

L'UICN estime que la population mondiale du Grèbe castagneux compte de 470 000 Ă  2,6 millions d'individus[14].

Répartition européenne

Le Grèbe castagneux niche dans 35 pays europĂ©ens avec des effectifs estimĂ©s Ă  81 000 couples dont 2 500 Ă  3 000 en France (oĂą 5 000 individus seraient prĂ©sents en hiver), 650 Ă  800 couples en Belgique et 3 700 couples en Suisse (entre 1970 et 1980). Toutefois, cette espèce a fortement diminuĂ© sur le LĂ©man en hiver avec plus de 6 000 individus vers 1967 et seulement 2 300 en 1987. 1 500 couples se reproduisent en Russie et 15 000 en Turquie[4].

Habitat

Le Grèbe castagneux s’installera sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais possédant une végétation assez dense sur ses rives. D'ailleurs, il peut se reproduire sur les étangs des parcs publics de grandes villes comme Londres et Amsterdam et Paris (la Courneuve), ou dans des gravières ou fossés larges inondés, des réservoirs, voire dans des baies côtières abritées ou des estuaires. Il est cependant plus farouche et plus difficile à observer que le grèbe huppé, et sa présence peut facilement passer inaperçue.

Grèbe castagneux sur un étang

Il niche essentiellement dans les zones humides des plaines et des plateaux mais aussi, localement, en moyenne montagne (jusqu'Ă  1 300 m en Autriche et 1 710 m en Suisse).

En été, il préfère les plans d’eau présentant une végétation suffisamment haute pour dissimuler son nid, mais en hiver, on peut le trouver dans des endroits plus dégagés. Les hivernants fréquentent en grand nombre les eaux libres des lacs et des cours d'eau. Ils se trouvent également sur les eaux saumâtres ou salées des estuaires, des golfes, des lagunes et des ports. Les plans d'eau urbains sont également utilisés. Du fait de son régime alimentaire moins piscivore que celui des autres grèbes, il se trouve assez fréquemment sur des plans d’eau de très petite taille. Les rassemblements hivernaux sont des dortoirs fréquentés d'année en année entre octobre et mars. Les oiseaux les rejoignent isolément ou en petits groupes. Le maximum connu est de 700 oiseaux sur un lac champenois.

Migration

Les populations vivant en Europe de l’Ouest et en Afrique du Nord sont sédentaires. Celles de l’Europe du Nord migrent vers le sud à la fin de l’été. Elles passent l’hiver dans la partie ouest de l’Europe, se mêlant aux populations résidentes. Les Grèbes castagneux forment alors de petits groupes qui se mêlent avec d’autres espèces d’oiseaux hivernants. De façon plus générale, seules les populations nichant dans les zones où l’eau gèle en hiver sont migratrices[15].

Le Grèbe castagneux et l’homme

Statut et préservation

Oiseau discret, le Grèbe castagneux est facilement dérangé par la présence humaine. Outre la pression humaine, les principales menaces pour cet oiseau sont l’assèchement des marais, le bétonnage des rives, le curage excessif des rivières et l’urbanisation, qui limitent ses sites de nidification. Il peut aussi être atteint par la pollution des eaux via son alimentation. Dans la région méditerranéenne, il peut être victime de la chasse à la sauvagine[16].

MalgrĂ© cela, l’espèce est pour le moment commune. L’UICN estime les dimensions de son aire de rĂ©partition Ă  10 millions de km², et sa population entre 470 000 et 2,6 millions d’individus[17]. Cette organisation a donc classĂ© l’espèce dans la catĂ©gorie « prĂ©occupation mineure ».

De mĂŞme, l’Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie a classĂ© l’espèce dans la catĂ©gorie C1, c’est-Ă -dire comme une population non menacĂ©e, comptant plus de 100 000 individus, mais susceptible de bĂ©nĂ©ficier, dans une large mesure, d’une coopĂ©ration internationale[18].

BirdLife International estime sa population europĂ©enne Ă  plus de 99 000 couples, avec une Ă©volution stable ou en hausse dans la majoritĂ© des pays (sauf en Turquie), et le place dans la catĂ©gorie des oiseaux non menacĂ©s. Cette espèce est aussi considĂ©rĂ©e depuis 1994 comme sĂ©curisĂ©e par l'Agence europĂ©enne pour l'environnement (AEE)[19], mais a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e vulnĂ©rable en Suisse[20] et aux Pays-Bas[21].

Bien qu’absent de la liste de la Commission européenne des oiseaux les plus menacés d’Europe, ce grèbe est tout de même protégé par la Convention de Berne (2002)[22].

Étymologie

Le mot grèbe est utilisé pour désigner ce genre d’oiseau depuis au moins le XVIe siècle et serait d’origine savoyarde[23] - [24].

Le mot castagneux est issu du moyen français castaign « châtain », emprunt vraisemblable au provençal, dérivé à l'aide du suffixe -eux[2] et serait une référence à la couleur châtain des joues et de la gorge de l’oiseau en été, ou à la forme très ronde de son corps.

Le nom latin Tachybaptus remonte au grec tachus « rapide » et baptizô « plonger ». Le mot ruficollis est issu du latin rufus, « roux » et collis « cou »[25].

Philatélie

Cet oiseau a été représenté sur des timbres émis par plusieurs pays : Île de Man en 1997, Japon en 1991, Bailliage de Jersey en 1999, Zaïre en 1982, la Dominique en 1998 et les îles Maldives en 1985[26].

Notes et références

  1. Centre ornithologique Île-de-France (CORIF), « Le Grèbe castagneux », sur http://www.corif.net : « […] son nom lui viendrait, en réalité, de la couleur brune (châtain) de son dos. »
  2. Étymologie de castagneux, sur le site du CNRTL
  3. Stastny 1989
  4. Géroudet P. (1999) Les Palmipèdes d'Europe. Delachaux et Niestlé, Lausanne, Paris, 510 p.
  5. Hume R., Lesaffre G. et Duquet M. (2004), Oiseaux de France et d'Europe, p. 27
  6. Protection des oiseaux.be
  7. Langrand 1995.
  8. Sueur F. (1979) Comportement commensal du Grèbe castagneux Podiceps ruficollis. Aves, 16 : 161.
  9. Birdcare:hybrid
  10. Tachybaptus ruficollis sur le site AnAge
  11. Longévité du Little Grebe (Tachybaptus ruficollis) sur le site Euring
  12. Zoonomen 2006
  13. Global Register of Migratory Species (GROMS) 2007
  14. Wetlands International 2002 pour l'UICN 2007
  15. Global Register of Migratory Species (GROMS) 2006
  16. sauvagine = gibier aquatique à plumes réf : Protection des oiseaux, 2006
  17. Wetlands International 2002
  18. Tachybaptus ruficollis sur le site de l'AEWA
  19. Tucker G.M. and al. (1994) pour l'AEE
  20. Duelli P. (1994) pour l'AEE
  21. Lina P.H.C. and al. (1996) pour l'AEE
  22. UNEP-WCMC Species Database
  23. Pierre Belon, Portraicts d’oyseaux, animaux, serpens, herbes, arbres, hommes et femmes d’Arabie et d’Égypte observez par P. Belon du Mans, le tout enrichi de quatrains pour la plus facile cognoissance des Oyseaux et autres portraicts, plus y est adjousté la Carte du Mont Attos et du Mont Sinay pour l’intelligence de leur religion, G. Cavellat, Paris, 1557.
  24. Étymologie de grèbe, sur le site du CNRTL
  25. Cabard P. et Chauvet B. 2003
  26. Birds on postage stamps

Voir aussi

Bibliographie et textes

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Cabard P. et Chauvet B. (2003) Étymologie des noms d’oiseaux. Belin. (ISBN 2-70113-783-7)
  • Dubois P., Le MarĂ©chal P., Olioso G., Yesou P. (2000) Inventaire des Oiseaux de France. Avifaune de la France mĂ©tropolitaine. Paris, Nathan.
  • EncyclopĂ©die en 14 volumes (1982) La nature, Hachette, (ISBN 2-245-01629-7)
  • GĂ©roudet P. (1999) Les Palmipèdes d'Europe. Delachaux et NiestlĂ©, Lausanne, Paris.
  • del Hoyo J., Elliott A. & Sargatal J. (1992) Handbook of the birds of the World, Vol 1 : Ostrich to Ducks, Lynx Edicions, Barcelone (p. 174-196). (ISBN 84-87334-10-5) (OCLC 41028650)
  • Hume R., Lesaffre G. et Duquet M. (2004) Oiseaux de France et d’Europe. Larousse, (ISBN 2-03-560311-0)
  • [Langrand 1995] Olivier Langrand (trad. de l'anglais, prĂ©f. Philip Mountbatten, ill. Vincent Bretagnolle), Guide des oiseaux de Madagascar [« Guide to the birds of Madagascar »], Lausanne, Paris, Delachaux et NiestlĂ©, , 415 p. (ISBN 2-603-00999-0, OCLC 34721114, SUDOC 004973348). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Mullarney K., Svensson L., Zetterström D. & Grant P.J. (2004) Le guide ornitho. Delachaux et NiestlĂ©, (ISBN 2-603-01142-1)
  • PDF: estimation de la population europĂ©enne du Grèbe castagneux par Bird Life International
  • Stastny K. (1989) Oiseaux aquatiques. GrĂĽnd, Paris. (ISBN 2-7000-1816-8)
  • Karel Ĺ ĹĄastnĂ˝ (trad. du tchèque par Dagmar Doppia), La grande encyclopĂ©die des oiseaux, Paris, GrĂĽnd, , 494 p. (ISBN 2-7000-2504-0), p. 31
  • Sueur F. (1979) Comportement commensal du Grèbe castagneux Podiceps ruficollis. Aves, 16 : 161

Références taxonomiques

Liens externes

Photos et Vidéo

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