Saint-Pierre-du-Val
Saint-Pierre-du-Val est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Saint-Pierre-du-Val | |
L'église paroissiale Saint-Pierre. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville |
Maire Mandat |
Martine Houssaye 2020-2026 |
Code postal | 27210 |
Code commune | 27597 |
Démographie | |
Gentilé | Saint Pierrais |
Population municipale |
589 hab. (2020 ) |
Densité | 48 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 23′ 55″ nord, 0° 21′ 42″ est |
Altitude | Min. 18 m Max. 118 m |
Superficie | 12,23 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Beuzeville |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | saintpierreduval.fr |
Géographie
Localisation
Saint-Pierre-du-Val est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure située au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande. Selon l'atlas des paysages de Haute-Normandie, elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[1]. Toutefois, l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, la classe au sein du pays d'Auge (en tant que région agricole)[2].
Le territoire de Saint-Pierre-du-Val se distingue par un paysage au maillage bocager très dense aussi bien dans les vallées que sur les plateaux (seuls deux secteurs, à l'ouest et au sud, sont plus ouverts), des surfaces agricoles très largement consacrées à l'élevage plutôt qu'à la culture, de nombreux vergers parsemant l'espace et enfin, quelques petites vallées encaissées dont les crêtes est sont entièrement boisées (bois des Chesnots, bois du Val, bois du Val Jouan) : autant d'éléments qui sont caractéristiques à la fois du pays d'Auge et de la partie nord du Lieuvin (c'est-à -dire situé au nord de la ligne de crête entre Saint-Georges-du-Vièvre et Lieurey).
À vol d'oiseau, la commune est à 12 km au nord-ouest de Pont-Audemer[3], à 30 km au nord-est de Lisieux[4], à 53 km à l'ouest de Rouen[5] et à 71 km au nord-ouest d'Évreux[6].
Hydrographie
La commune est arrosée par la Vilaine, une rivière qui se jette dans le canal de Retour d'Eau[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[16] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[17] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 916,4 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 21 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[20] à 10,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 11 °C pour 1991-2020[22].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre-du-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [23] - [24] - [25].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26] - [27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,7 %), terres arables (24,1 %), forêts (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Toponymie
La commune est née de la réunion, en 1835 de Saint-Pierre-du-Chastel (Sanctus Petrus de Castro au XIVe siècle, qui évoque un ancien lieu fortifié[30]) et de Notre-Dame-du-Val (Beate Marie ecclesia)[31] - [32].
Saint-Pierre est un hagiotoponyme faisant référence à l'église Saint Pierre dédiée à Pierre (apôtre).
Val peut faire allusion au Val-Jouan (ou Val-Jouen).
Histoire
Il est établi que l'abbaye de Pennante se situait sur le territoire de l'actuelle commune de part et d'autre de la Vilaine. Elle avait été fondée à l'époque carolingienne au VIIIe siècle, puis détruite par les Vikings. Il s'agissait d'un monastère jumeau de celui de Pentale également ravagé par les hommes du Nord.
Sur l'emplacement des ruines de l'abbaye ont été érigées les deux églises paroissiales Saint-Pierre et Sainte-Marie. La première, encore en partie gothique, est toujours utilisée comme église paroissiale, mais il ne subsiste de la seconde que quelques vestiges au bord de la route principale, ainsi que le cimetière qui l'entourait.
Le donjon du château de Saint-Pierre daterait du Xe ou du XIe siècle. Un château postérieur aurait été détruit une première fois pendant la guerre de Cent Ans par le parti anglo-navarrais. Au XVIIe siècle, un nouveau château est érigé pour la famille du Chastel de Grosourdy de Saint Pierre. Sous la Révolution, le château est ravagé par un incendie criminel. Il sera reconstruit sous la forme d’un manoir en brique et silex dans un style propre à l'époque. Le château et la chapelle sont de nouveau la proie des flammes. Vers 1840, ce sera un château style troubadour qui est reconstruit. Il est acquis par le marquis de Saint-Pierre en 1921 et revient ainsi dans le giron de la famille de Grosourdy de Saint Pierre. Il sera finalement volontairement démoli par Michel de Saint Pierre en 1970, pour des raisons de sécurité. De la propriété du XVIIe siècle, il ne subsiste que le colombier, l’orangerie et des bâtiments annexes.
En 1793, Saint-Pierre-du-Chastel est appelé provisoirement Pierre-la-Montagne[32].
En 2006, on s'aperçoit que l'église Saint-Pierre est attaquée par les mérules. Un an et demi de travaux sont nécessaires pour démonter et traiter toutes les boiseries, refaire le carrelage et les enduits, pour un coût avoisinant les 130 000 €. Le financement est principalement assuré par le conseil général et la commune[33].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 589 habitants[Note 8], en augmentation de 4,43 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Saint-Pierre-du-Val compte de nombreux monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- le château Saint-Pierre (XIe (?), XVIIIe et XIXe)[37]. Le château Saint-Pierre est un château fort probablement construit au XIe siècle et détruit certainement à la fin de la guerre de Cent Ans. Au XVIIIe siècle, construction pour la famille Grosourdis d'un château et de ses dépendances. Ils sont démolis vers 1840 pour construire un château au style troubadour. Acquis par le marquis de Saint-Pierre en 1921, le château est de nouveau démoli. Ne subsistent aujourd'hui que les ruines du donjon médiéval, un des deux bâtiments d'écuries (actuellement logis d'habitation), le colombier, une forge, le chenil, une maison dite de garde ;
- l'église Notre-Dame (XIe (?), XIIe (?) et XIIIe (?)) au lieu-dit le Val[38]. Il s'agit de l'église de l'ancienne commune de Notre-Dame-du-Val ;
- l'église Saint-Pierre (XIIe et XVIIe)[39] ;
- la chapelle Saint-Étienne (XIIIe (?)) au lieu-dit le Mesnil[40]. Vestiges de la chapelle du Mesnil-Ferry. Elle devint un bien de l'abbaye de Grestain à partir de 1670. Aujourd'hui, ne subsistent que les contreforts du mur sud et des traces d'ouverture dans le mur est du XIIIe. L'édifice fut remanié au XIXe ;
- le presbytère (XVIIIe)[41] ;
- la mairie-école (XXe) au lieu-dit le Val[42] ;
- le monument aux morts (XXe)[43] ;
- une croix de chemin dite Croix aux Chiens (XVIIIe et XIXe siècles (?))[44]. Cette croix de chemin est une croix monolithe. Elle aurait été taillée à partir d'un menhir au XVIIIe ou XIXe siècle ;
- deux croix de cimetière du XVIIe siècle : l'une dans le cimetière de l'église Saint-Pierre[45], l'autre dans le cimetière de l'église Notre-Dame[46] ;
- une ferme des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit la Porte-de-Planches[47]. Il s'agit d'une ferme située sur le domaine du château de Saint-Pierre ;
- deux maisons : l'une du XIXe siècle au lieu-dit le Mesnil[48], l'autre du XVIIe siècle au lieu-dit la Bigrerie[49] ;
- un lavoir des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Val[50].
Parc naturel
- Parc naturel des boucles de la Seine normande[51].
ZNIEFF de type 1
- Les prairies de Saint-Pierre-du-Val[52]. L'intérêt essentiel de cette ZNIEFF est le petit ruisseau qui traverse la prairie dans laquelle pâture des bovins. Ce ruisseau abrite des agrions de mercure et des Calopteryx vierges.
ZNIEFF de type 2
- La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine[53].
Site inscrit
- La rive gauche de l'embouchure de la Seine[54], Site inscrit (1977) ;
Personnalités liées à la commune
- Michel de Grosourdy, marquis de Saint-Pierre (1916-1987), écrivain français, est décédé et enterré à Saint-Pierre-du-Val le 19 juin 1987. Sa fille, Isaure de Saint-Pierre, est écrivain et journaliste.
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er d'azur à deux églises en ombre et essorées de sable, ouvertes et ajourées d'or et rangées en bande, au 2e de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 3e d'or à la pomme tigée et feuillée d'une pièce de sinople, au 4e de sinople à la vache normande au naturel, la tête de front ; à la rivière en divise d'azur, agitée d'argent et brochant sur le trait du coupé. |
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Détails | Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Zonages », sur Agreste (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Saint-Pierre-du-Val et Pont-Audemer », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Saint-Pierre-du-Val et Lisieux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Saint-Pierre-du-Val et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Saint-Pierre-du-Val et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vilaine (H7020600) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-du-Val et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-du-Val et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire - 1981 - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 187.
- Ernest de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, 1877, p. 205 in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES CTHS DicoTopo.fr (lire en ligne) .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Maurice Quesnot, maire, Le Pays-d'Auge, janvier 2008.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château fort, château de Saint-Pierre », notice no IA00054578, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Paroissiale Notre-Dame », notice no IA00054581, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00054573, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Étienne », notice no IA00054585, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00054576, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie, école », notice no IA00054575, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Monument aux morts », notice no IA00054574, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin dite Croix aux Chiens », notice no IA00054582, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière », notice no IA00054580, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière », notice no IA00054579, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054584, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00054586, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00054583, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Lavoir », notice no IA00054577, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Boucles de la Seine normande », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les prairies de Saint-Pierre-du-Val », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La rive gauche de l'embouchure de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).