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Yébleron

Yébleron est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Yébleron
Yébleron
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Nathalie Lemesle
2020-2026
Code postal 76640
Code commune 76751
Démographie
Gentilé Yébleronnais, Yébleronnaises
Population
municipale
1 274 hab. (2020 en diminution de 6,19 % par rapport à 2014)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 01″ nord, 0° 32′ 16″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 150 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Yébleron
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Yébleron

    Géographie

    Description

    Une rue de Yébleron.

    Commune du pays de Caux.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Yébleron
    Hattenville
    Rouville Yébleron Terres-de-Caux
    Raffetot Bolleville

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 978 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 55 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Yébleron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), prairies (16,1 %), zones urbanisées (4,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Eblelont vers 1210, Ibelont en 1226, Hybelunt vers 1240[21].

    Le premier élément Yèble- représente le vieux norrois epli « pomme(s), pommier(s) » cf. islandais epli « pomme(s) », norvégien eple, danois æble. Le second -lon est écrit -lont ou -lunt dans les formes les plus anciennes (le t final était encore articulé en langue d'oïl au début du XIIe siècle). -lunt remonte à l'ancien norrois lundr « verger, bois, bosquet »[21] (continué par le danois, norvégien et le suédois lund « bois »). Le norvégien eplelund signifie « verger de pommier, plantation de pommier ». Il a parfois évolué en -ron[21], [l] et [r] étant des articulations proches, comme en témoigne également Varengron (Manche, Warengelon en 1274).

    Le sens global serait donc « verger de pommiers, pommeraie », ce qui indique l'ancienneté de la culture de la pomme en Normandie.

    Le mot yèble ou hièble désigne en français le sambucus ebulus « genre de petit sureau à baies noires », dont ebulus a régulièrement abouti à yèble, (h)ièble. Il est possible que ce mot ait influencé phonétiquement l'évolution de ce toponyme.

    Homonymie possible avec Ablon (Calvados) désignée Eblelont (sans date).

    Voir également la Londe et les communes d'Épégard (Eure) et Auppegard (Seine-Maritime) qui contiennent le vieil anglais æppel (pomme) et scandinave garðr (jardin).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement du Havre du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Fauville-en-Caux[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Valery-en-Caux

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Yébleron était membre de la petite Communauté de communes Cœur de Caux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999, et qui succédait au Syndicat Intercommunal de Ramassage Scolaire de la région de Fauville-en-Caux (SIRS) auquel la commune avait adhéré en 1965.

    Dans le cadre des prescriptions de la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du qui prévoit que les intercommunalités devront, sauf exception, regrouper au moins 15 000 habitants, Cœur de Caux a été supprimée et ses communes réparties entre trois autres intercommunalités.

    C'est ainsi que Yébleron est membre, depuis le , de la communauté d'agglomération dénommée Caux Seine Agglo.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1844 M. Leclerc
    1855 François Bourguignon
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1971 Fernand Auger[Note 7]
    1971 1977 Léon Legentil
    1977 mars 1995 Gérard Grieu[24] Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020[25] Georges Courraëy Technicien retraité en gestion de production
    Vice-président de la CC Cœur de Caux (2008 → 2016)
    mai 2020[26] - [27] En cours
    (au 10 août 2020)
    Nathalie Lemesle

    Jumelages

    Yébleron est jumelée à une commune des Vosges : Bellefontaine.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 1 274 habitants[Note 8], en diminution de 6,19 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    1 2711 3501 3081 8171 8031 8181 6631 6651 620
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7251 7911 7601 7671 6071 4481 5571 5601 415
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5261 4561 1321 1191 0861 0331 0281 0171 047
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    1 0029801 1481 2681 3431 3641 3751 3011 274
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L'école élémentaire.

    Autres équipements

    Yébleron dispose d'une bibliothèque municipale comprenant ainsi un espace réservé à l’informatique et gérée par des bénévoles. L'équipe bénéficie du soutien de la centrale départementale de prêt et est implanté, depuis 2019, dans de nouveaux locaux au sein de la mairie[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Léger de Yébleron. De la construction primitive du XIIe siècle, il ne reste que la tour-clocher romane, remaniée et la chapelle du XVIe siècle. En 1878, la foudre endommage gravement l'église. La nef est entièrement rebâtie en 1889 (architecte : E. Barthélémy). La tour et la chapelle sont restaurées en 1892. La foudre frappe à nouveau l'église en 1912. Statue de saint Marcouf qui était objet d'un pèlerinage dont le souvenir se perpétue dans la foire de la Saint-Marcou, chaque année.
    • Monument aux morts.
    • Église Saint-Léger.
      Église Saint-Léger.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Félix Aroux (1802-1875) est né à Yébleron. Il fut industriel, fabricant innovateur de drap à Elbeuf avant de devenir horticulteur et journaliste positiviste français.
    • Eugène Richard (1867-1935), professeur à l'école de médecine et de pharmacie de Rouen, fugacement maire de Rouen en 1935, est né à Yébleron.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Yébleron », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La place de la mairie porte le nom de ce maire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Yébleron et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Yébleron et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 166.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Yébleron », Les communes seinomarines, sur http://seine76.fr (consulté le ).
    24. « Dix-huit années en tant que maire : Yébleron. L'ancien maire Gérard Grieu est décédé à l'âge de 76 ans », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Gérard Grieu s'est présenté pour la première fois aux élections en mars 1971 et a été élu conseiller municipal ».
    25. « Yébleron. Derniers vœux pour le maire et son premier adjoint : L'édile et son premier adjoint ne seront pas candidats aux prochaines élections municipales. », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Municipales 2020 : Nathalie Lemesle élue maire de Yébleron au 1er tour : Nathalie Lemesle, 1re adjointe sortante, prend la succession de Georges Courraëy », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Nathalie Lemesle, 1re adjointe sortante, prend la succession de Georges Courraëy à la mairie. Avec 56,71 % des suffrages (283 voix), sa liste « Agissons ensemble pour l’avenir de Yébleron » est sortie vainqueur au soir du 1er tour, dimanche 15 mars. Face à elle se présentait une autre liste, « Ensemble pour un nouvel élan » menée par Marcel Quesnel qui a obtenu 43,28 % des suffrages (216 voix) ».
    27. « Yébleron. Nathalie Lemesle élue maire de la commune : Le conseil municipal s'est réuni le mercredi 28 mai pour élire son maire et ses adjoints. », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Yébleron : la bibliothèque municipale a été inaugurée », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
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