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Écaquelon

Écaquelon est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Écaquelon
Écaquelon
L’église Saint-Jacques Logo monument historique Inscrit MH (1926).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
Jean-François Dumesnil
2020-2026
Code postal 27290
Code commune 27209
Démographie
Gentilé Écaquelonais
Population
municipale
601 hab. (2020 en stagnation par rapport à 2014)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 31″ nord, 0° 43′ 35″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 144 m
Superficie 13,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Audemer
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Écaquelon
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Écaquelon
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Écaquelon

    Ses habitants sont appelés les Écaquelonais.

    Géographie

    Localisation

    Écaquelon est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure en région Normandie. Située sur la rive droite de la Risle, elle appartient à la région naturelle du Roumois[1].

    Le bourg d'Écaquelon est à 16,7 km au sud-est de Pont-Audemer[2], à 31,2 km au sud-ouest de Rouen[3], à 39,5 km au nord-est de Lisieux[4] et à 43,3 km au nord-ouest d'Évreux[5].

    Boisement

    Le Nord-Ouest de la commune d'Écaquelon est couverte par la forêt de Montfort.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 781 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumieges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[14] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à 36 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,5 °C pour 1981-2010[19], puis à 11 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Écaquelon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), terres arables (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), prairies (5,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Scacherlun (charte de Henri II) et Schacherlon en 1174[28], Escaquernon en 1203, Escacallon en 1214 (feoda Normanniæ), Esquaquelon en 1248, Escaquelon en 1419, Esquaquelon en 1717 (Claude d’Aubigné), Équaquelon en 1738[29].

    Il s'agit d'un type toponymique fréquent issu de l'ancien scandinave ou d'une forme d'anglo-scandinave dont Jean Renaud dresse la liste à propos de l'appellatif vieux norrois lundr « petit bois, bosquet Â» qui a précisément abouti à la terminaison -lon, ron, voire -non en Normandie[30] - [31]. La comparaison avec les nombreux Ecaquelon permet d'identifier cet élément, par exemple Écaquelon (Seine-Maritime, Rainfreville, Escaquelond milieu 1260); Ecaquelon ou Ecatelonde (Seine-Maritime, Smermesnil, Scakerlonde 1165), etc.

    L'étymologie du premier élément Ecaque- ne fait pas l'unanimité chez les toponymistes : Gillian Fellows Jensen y voit le nom de personne Skakari de type rare, mais que l'on pourrait reconnaître dans Ecaquetot (Seine-Maritime, Saint-Denis-de-Héricourt, Escaquetot 1503), cependant François de Beaurepaire préfère reprendre la suggestion de Jean Adigard des Gautries et proposer le vieil anglais sceacre (sic) que l'on identifie dans Shackerstone ou Shackerley en Grande-Bretagne. Ecaquelon serait dans cette perspective le « bois des voleurs Â»[32]. Jean Renaud reprend cette théorie et propose également l'anthroponyme Skakarri, l'appellatif skaggi « langue de terre Â» ou encore skekill « extrémité d'un champ Â»[33].

    Remarque : Si le rejet du nom de personne Skakar(r)i par François de Beaurepaire semble justifié, car on ne voit pas pourquoi cet anthroponyme rare aurait été (presque) exclusivement combiné avec lundr, sceacre (comprendre sċeacre) ne convient pas davantage phonétiquement, à moins d'imaginer un *skakker anglo-scandinave de même sens. Quant aux appellatifs proposés par Jean Renaud, ils ne sont soutenus par aucune forme ancienne montrant une évolution (non régulière) de /g/ à /k/ ou encore de /e/ à /a/. L'origine du premier élément reste donc obscure.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1943 Emmanuel de Bartillat Nommé conseiller départemental en 1943[34]
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995 3 juin 2009 Jean-Louis Renverseau[35]
    juillet 2009 2020 Christiane Dupont DVG Retraitée de l'enseignement
    2020 En cours Jean-François Dumesnil

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 601 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0158999761 012956964949929893
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    800964722700656582572544479
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    467417386389432402376385337
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    361372300357426428449443513
    2014 2019 2020 - - - - - -
    601601601------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Fête de la Saint-Jacques : premier dimanche de mai.

    Culture locale et patrimoine

    L'église Notre-Dame.

    Lieux et monuments

    La commune d'Écaquelon compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

    • L'église Notre-Dame de Saint-Jacques (ou Notre-Dame-de-l'Assomption) (XIIIe, XIVe, XVIe et XVIIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1926)[40] - [41]

    Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • Le château du Bois-Héroult (XVIe (?) et XVIIIe)[42] et sa chapelle ;
    • Une croix de cimetière du XVIIIe siècle dans le cimetière de l'église Notre-Dame, Saint-Jacques[43] ;
    • Un manoir du XVIIIe siècle au lieu-dit Les Épinais[44].

    Autres lieux :

    • Château de la Ferté ;
    • Château de la Heunière.

    ZNIEFF de type 1

    • La mare d'Itot[45] ;
    • La mare du bois des loups[46] ;
    • La petite vallée[47].

    ZNIEFF de type 2

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Lavedan (1859-1940), journaliste et auteur dramatique français, mort le 4 septembre 1940 à Écaquelon.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Ouvrage collectif, La Normandie monumentale et pittoresque… : Eure, t. 2, Le Havre, Lemale, , 398 p. (lire en ligne), Église d'Écaquelon, par A. Montier, p. 155 & s..

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le Roumois », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Pont-Audemer », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Lisieux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre Écaquelon et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    7. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Jumieges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Écaquelon et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Jumieges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Écaquelon et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 102.
    29. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 74
    30. François de Beaurepaire, op. cit., p. 33.
    31. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 59.
    32. François de Beaurepaire, op. cit., p. 102.
    33. Jean Renaud, op. cit..
    34. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 2 mai 1943, (en ligne).
    35. décédé le 3 juin 2009.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Église », notice no PA00099394, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. op. cit., lire en ligne .
    42. « Château du Bois Héroult », notice no IA00019647, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Croix de cimetière », notice no IA00019648, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Manoir », notice no IA00019646, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « La mare d'Itot », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    46. « La mare du bois des loups », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    47. « La petite vallée », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    48. « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    49. « L'église et le cimetière d'Écaquelon », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    50. « La vallée de la Risle à Appeville-Annebault, Écaquelon, Freneuse-sur-Risle, Glos-sur-Risle, Illeville-sur-Montfort, Montfort-sur-Risle, Pont-Authou, Saint-Philbert-sur-Risle, Thierville », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
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