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Ymare

Ymare est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Ymare
Ymare
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Ingrid Bona
2020-2026
Code postal 76520
Code commune 76753
DĂ©mographie
Gentilé Ymarois
Population
municipale
1 182 hab. (2020 en augmentation de 1,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 293 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 20â€Č 59″ nord, 1° 10â€Č 35″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 153 m
Superficie 4,03 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ymare
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Ymare
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Ymare
Liens
Site web www.mairie-ymare.fr

    GĂ©ographie

    Ymare fait partie du canton de DarnĂ©tal et se situe Ă  18 km de Rouen.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 813 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[10], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Ymare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Ymare, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[15] et 2 146 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16] - [17].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), zones urbanisĂ©es (18,8 %), forĂȘts (17,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Wimara vers 1240; [Iglise d']Ymare en 1291 (Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H. 17, 97); Ymare en 1319 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 3267); Vimara en 1337; Imare en 1431; [Saint Aubin d']Ymare en 1462 et 1464 (Archives départementales de la Seine-Maritime, tab. Rouen); [Ecclesie Sancti Albini de] Imare en 1638; [d']Imare en 1707; d'Ymare en 1772 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G.); Ymard en 1648; Imare entre 1704 et 1738 (Pouillé); Imares en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini); [d']Ymare en 1787 (Archives départementales de la Seine-Maritime, B Parl.); Imares et Ymares en 1788; Ymare en 1879[22].

    Il s'agit d'une formation médiévale en -mare, appellatif toponymique attesté dÚs le Xe siÚcle (Longuemare, Langomarra Xe siÚcle, sur vieil anglais lang / vieux norrois langr « long ») et comme nom commun seulement au XIe siÚcle et au XIIe siÚcle, dans des textes normands[23] - [24].

    Mare est issu du vieux norrois marr (masculin)[24], peut-ĂȘtre croisĂ© avec le terme anglo-saxon mere (fĂ©minin)[25] - [23] de sens proche, gĂ©nĂ©ralement « mer, lac ». L'ancien scandinave existait dans le norn des Shetlands mar « mer, zone de pĂȘche en eau profonde » et se perpĂ©tue dans le norvĂ©gien mar « mer » et le fĂ©roĂŻen marrur « vase, bourbe »[24].

    Le premier Ă©lĂ©ment Y- doit reprĂ©senter un nom de personne, un substantif (appellatif) ou un adjectif, comme c'est gĂ©nĂ©ralement le cas pour les toponymes terminĂ©s par l'appellatif -mare. Exemples avec un anthroponyme : Angommare (Ansgomare 1241, avec le nom de personne scandinave Ásgautr > Angot); Gattemare, Ă©tang Ă  Gatteville (sur le nom de personne germanique Gatto) ou encore Illemare, mare Ă  Illeville (Willevilla XIIIe siĂšcle, sur le nom de personne scandinave Vil(l)i / Ville ou anglo-saxon Willa ou Withlac), exemples avec un substantif : Inglemare Ă  Fermanville; Ă  Amfreville-la-Campagne, Iglemara 1239; Ă  ÉtrĂ©ville; Ă  Belbeuf et Ă  Ocqueville); Ingremare Ă  Ailly; Intremare Ă  Venon (tous sur le mot vieux norrois *iglr, *igla « sangsue » cf. islandais igla « sangsue »), exemples avec un adjectif : Houllemare (Ă  Allouville-Bellefosse, cf. Houllebrecque, nombreux Houlgate, avec holr « profond » cf. substantifs français houle « creux des vagues », normand houlette « terrier »); Lillemare (Ă  Boncourt, avec lĂ­till « petit » > norvĂ©gien lille cf. Lilletot, Licteltot vers 1055); Bellemare; Fongueusemare « la mare fangeuse », etc.

    Histoire

    L'existence d'Ymare est mentionnĂ©e pour la premiĂšre fois en 1240. SituĂ© sur le mont aux Cailloux, le village aurait Ă©tĂ© un pĂŽle d'habitat, probablement un refuge pour les habitants des villages alentour. Au XIIIe siĂšcle, le village compte 200 habitants. Le fief d'Ymare appartient Ă  l'abbaye de Saint-Ouen. À cette Ă©poque, la taxe par maison vaut 5 sous ou une bĂȘte, gĂ©nĂ©ralement choisie parmi les plus belles.

    Visite du premier ministre François Fillon le .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1832 1847 Noël-Charles Delamare
    1848 Diftot
    1859 Delamare
    1860 1865 Frédéric Lesur
    1874 1877 Adolphe Lanne
    1898 Édouard Le Hardelay
    1903 1931 LĂ©on Gremont
    1935 1940 Fleury
    1963 Rettagliati
    Les données manquantes sont à compléter.
    1987[26] Christian Picard Démissionnaire aprÚs un accident de santé
    avril 1987 mai 2020[26] Philippe Guilliot[27] PCF Directeur d'entreprise publique retraité
    mai 2020[28] - [29] En cours
    (au 10 août 2020)
    Ingrid Bona SE

    DĂ©mographie

    Les habitants sont nommés les Ymarois[30].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 1 182 habitants[Note 7], en augmentation de 1,2 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2802 801271283268273274289242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    246239234201188208249217210
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    180188185188144112137177213
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2112743518309501 0401 1041 1231 158
    2018 2020 - - - - - - -
    1 1521 182-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'entreprise Thales possÚde un site à Ymare depuis novembre 1984, dédié aux radars et à la surveillance cÎtiÚre[35].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Aubin

    L'Ă©glise Saint-Aubin (XVIIe siĂšcle, rue de l'Église, allĂ©e du 8-Mai) fait partie d'un domaine qui appartenait au seigneur de Rouville. Le chĂąteau a Ă©tĂ© dĂ©truit. Il reste de ce domaine, outre l'Ă©glise et l'allĂ©e qui y mĂšne, les dĂ©pendances du chĂąteau, une bergerie, actuellement transformĂ©e en logement, un colombier, une grange, un four Ă  pain et un fromager.

    • JubĂ©

    1621, bois polychrome. Il est surmonté d'un Christ en croix entouré de la Vierge et de saint Jean. Sculptée dans le style de la Renaissance italienne, cette Crucifixion est peinte, mais certaines couleurs ont disparu comme le bleu de la robe de la Vierge. Le groupe est encadré de panneaux sur lesquels sont peints des rideaux de théùtre.

    • MaĂźtre-autel

    XVIIIe siĂšcle, bois et plĂątre polychromes. De chaque cĂŽtĂ© du maĂźtre-autel sont disposĂ©s dans les niches, saint Aubin, le patron de l'Ă©glise, tenant sa crosse d'Ă©vĂȘque et saint Marc reconnaissable Ă  son lion.

    • Saint Nicolas

    PlĂątre polychrome. Saint Nicolas, Ă©vĂȘque de Myre en Lycie au IVe siĂšcle et patron des petits enfants, est ici reprĂ©sentĂ© avec trois enfants dans un baquet. C'est l'illustration du plus cĂ©lĂšbre Ă©pisode de la vie du saint. D'aprĂšs la LĂ©gende dorĂ©e de Jacques de Voragine, il s'agit en fait de deux Ă©coliers de famille noble se rendant Ă  AthĂšnes pour Ă©tudier la philosophie. L'aubergiste chez qui ils se sont rendus les tue, les dĂ©pĂšce et met leurs chairs Ă  saler dans un saloir. Saint Nicolas, prĂ©venu par un ange, rapporte la scĂšne Ă  l'aubergiste et rend la vie aux jeunes gens.

    • Cloche
      • Le clocher abrite une cloche Caplain de 1846.
      • Son diamĂštre est de 78,5 cm ; son poids est estimĂ© Ă  environ 300 kg.
      • Elle porte l'inscription suivante (relevĂ© OM-) : « La bĂ©nĂ©diction de cette cloche nommĂ©e Clarise Hortense a eu lieu en cette commune en 1846 par M. Halboult desservant M. Philippe Delabarre Prop. notaire honoraire Ă  Gouy la maraine Mme Clarisse Ballicorne Ă©pouse Edouard le Hardelay Prop. À Ymare sous admi municipale de M Delamare Maire de la commune d'Ymare. Caplain fondeur Ă  Rouen m'a faite. »

    Four Ă  pain

    XIXe siĂšcle, Brique et silex. Clos de la Ferme, Grande-rue.

    Le double four Ă  pain et Ă  pĂątisserie est de nouveau en service une fois l'an, le jour de la fĂȘte du village. Le four, « rĂ©chauffĂ© » plusieurs jours avant, doit atteindre une tempĂ©rature de 250 °C pour cuire le pain fait par le boulanger. Il sert Ă  faire une fournĂ©e lors de chaque fĂȘte du pays chaque dernier week-end d'avril.

    Colombier

    XIXe siĂšcle, Brique. Clos de la Ferme, Grande-Rue.

    Le colombier conserve encore son organisation intĂ©rieure[36]. Dans la partie supĂ©rieure de l'Ă©difice, sous la charpente, des alvĂ©oles en terre soutenues par des lattis de chĂȘne s'alignent le long des parois. Ce sont les « bĂ»lins » ou « boulins », oĂč se logeaient et pondaient les pigeons. On y accĂšde par une Ă©chelle en bois.

    Croix

    XVIe-XXe siĂšcles, pierre et fonte. CimetiĂšre.

    Posée sur un emmarchement moderne, la croix présente un fût monolithe du XVIe siÚcle, de forme octogonale. Le Christ en croix, figuré au sommet, est de facture récente.

    Tombe du Druide

    Située à la limite d'Ymare et Alizay, cette pierre en forme de dolmen d'origine préhistorique semble avoir des vertus, soi-disant, thérapeutiques contre les rhumatismes lorsque l'on passe dessous. Avis aux amateurs.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomĂ©ration de Rouen : De Maromme Ă  Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9), « Ymare », p. 498-499.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ymare et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 d'Ymare », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, tome 1, réédition 1982 - 1984, Paris, p. 1080 (lire en ligne sur DicoTopo)
    23. Site du CNRTL : Ă©tymologie de mare
    24. Elisabeth Ridel, Les Vikings et les mots; l'apport de l'ancien scandinave à la langue française, éditions Errance, 2009, p. 243.
    25. Walther von Wartburg, Französisches Etymologisches Wörterbuch. Eine darstellung des galloromanischen sprachschatzes (Dictionnaire étymologique du français. Une représentation du trésor lexical galloroman), 25 vol. Bonn/Berlin/Bùle : Fritz Klopp/B. G. Teubner/Zbin, t. 16, p. 533 - 534.
    26. « AprĂšs six mandats, le maire d’Ymare, Philippe Guilliot, ne se reprĂ©sente pas : Philippe Guilliot, maire depuis 1987, a dĂ©cidĂ© de ne pas se reprĂ©senter. Il espĂšre que de nouvelles vocations apparaĂźtront », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C’est par une lettre ouverte Ă  ses administrĂ©s que Philippe Guilliot a annoncĂ© sa dĂ©cision de ne pas se reprĂ©senter aux municipales de mars 2020, aprĂšs six mandats de maire et trente-sept ans de vie publique (...) « En 1983, le maire de l’époque, Christian Picard, est venu me chercher pour mes compĂ©tences dans les finances. J’ai Ă©tĂ© surpris, car je n’avais que 27 ans. J’ai acceptĂ© d’abord comme quatriĂšme adjoint, puis Ă  la suite de dĂ©missions comme premier adjoint. En 1986, le maire a eu un accident cardiaque. J’ai fait l’intĂ©rim et en 1987, il a dĂ©missionnĂ© et le conseil municipal m’a Ă©lu maire. C’était un 1er avril ».
    27. « Philippe Guillot », Célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
    28. « Municipales 2020 : Ingrid Bona, tĂȘte d’une liste sans Ă©tiquette Ă  Ymare : Le maire ne se reprĂ©sentant pas, une liste intitulĂ©e « Ymare DĂ©mocratie » se propose aux voix des villageois », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C’est pour toutes ces raisons que collectivement et sans Ă©tiquette politique, Ingrid Bona a acceptĂ© de prendre la tĂȘte de la liste ».
    29. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    30. Le village D'Ymare, consulté sur site www.annuaire-mairie.fr le 12 mai 2012
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. THALES : Le site Thales Rouen – Ymare fĂȘte ses 30 ans
    36. Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 39.
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